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ii
EPIGRAPHE
Dominique Wolton
1
https://www.google.com/dominique+wolton+citation+communication , consulté le 18 décembre 2021 à 20h
iii
DEDICACE
REMERCIEMENTS
tendre mère KAPINGA Louise ; nos frères et sœurs Odia AGNES, KAMANA
Mariam, KAMANA Mireille, KAMANA Belinda, KAMANA Trésor,
KAMANA Brunette, KAMANA Marco, KAMANA Rigobert, KAMANA
Justine, Parovie KAMANA, Gemima BULEBA, Josué KAMANA, Winner
KAMANA, Donel KAMANA, Donelvie KAMANA, Aravna, Zoe, Sephora
META.
Que tous ceux dont les noms ne sont pas mentionnés dans ce présent travail
trouvent une gratitude de notre part.
vi
0. INTRODUCTION GENERALE
1. Problématique
2
https://www.google.com/louisp_richard/communication . Consulté, le 18 mai 2021 à 10h25
3
https://franckbouhassira.wordpress.com/mauvaise-co,,unication . Consulté, le 22 juillet 2021 à 14h04
2
4
RONGERE.P., méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, 1971, P.18.
5
ZAGRE.A., méthodologie de la recherche en sciences sociales, Paris, le Harmattan, 2013, P.60.
6
GRAWITZ. M., méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, 2001, P.398.
3
Cette étude nous aide à enrichir nos expériences aussi bien théoriques,
que pratiques et de confronter nos connaissances en communication avec la
réalité du terrain, et à être opérationnel dans le contexte où la
professionnalisation des enseignements permet d’amortir la coupure entre
l’université et le monde du travail.
5. Méthodes et Techniques
5.1. Méthode
7
https://www.google.com/methode_ethno_sociologique consulté le 23 juillet 2021 à 10h00’
6
Les difficultés auxquelles nous avons été confrontées sont nombreuses dont
il nous importe d’évoquer quelques-unes :
La méfiance de la part des certains enquêtés au début des enquêtes ;
Manque de financement ;
Le refus des données à l’ARPTC sous prétexte de secret
professionnel.
Malgré toutes ces contraintes, nous avons tant soit peu surmonté certains
obstacles et nous sommes parvenu à produire ce travail.
8. Ossature du travail
Hormis l’introduction générale et la conclusion générales, notre travail est
subdivisé en trois chapitres.
0. Introduction
1. Communication
1.1. Notion
Le terme communication apparaît pour la toute première fois dans un
document intitulé serment de Strasbourg en 8428 depuis lors, il est entré dans la
langue française. Il est proche de « communion », « partage », « participation ».
Il sied par ailleurs de noter que le concept communication fait partir de ses
notions qui possèdent une extension très grande que nul ne peut prétendre
limiter. Car chaque doctrine tente de la définir à sa manière mais il existe tout de
même des points communs dans leurs différentes définitions.
Étymologiquement9 ; le mot communication vient du verbe latin«
communicare » qui signifie partager, mettre en commun, rendre commun ou être
en relation avec. Dans ce sens, la communication est le fait d’établir une relation
avec autrui.
8
EKAMBO, J.C., Information et communication, cours inédit G2, IFASIC, Kinshasa, 2009
9
https://www.google.com/communication consulté le 25 juillet 2021 à 15h37’
8
10
HABERMAS, J., Théorie de l’agir communicationnel, Fayard, Berlin, 1981.
11
BATESON, G., Communication et société, Seuil, Paris, 1988.
12
LEKU, L., déficit communicationnel de la ceni sur la machine à voter, G3 sic, IFASIC, TFC, 2018, P.5
9
13
MUBANGI, G., information et communication, cours G2, Unikin, Kinshasa, 2017-2018
14
SIMONDON, G., Communication et information : cours et conférences, réimprimée, Paris, 2010.
15
WINKIN, Y., La communication n’est pas une marchandise, Labor, Bruxelles, 2003.
16
HOVLAND, C., Communication et persuasion : Psychologie, études de changement option, Yale, Chicago, 1953
17
LASWELL, H., Théorie de la communication, Chicago, 1948
10
1.2. Typologie
Il est noté que les types de communication se distinguent d’après les
paramètres lesquels. Nous avons :
2. Communication publique
La communication publique, comme tous les autres champs de
communication, a ses spécialistes. A l’état actuel de nos connaissances, seul
Pierre Zémor18 s’est attaché à ce champ de communication. Pour cette raison, la
synthèse théorique ci-dessous sera, en grande partie, tributaire de son travail.
18
ZEMOR, P., La communication publique, 2ème édition corrigée, Paris, PUF, 1999
19
ZEMOR, P., La communication publique, p.5
11
20
Ibid. p. 7
21
J. BAECHLER, op. Cit, p. 77.
12
22
Ibid., p. 78.
23
ZEMOR, P., la communication publique, 2e Ed, Presse universitaire de France, Paris, 1997, P.25.
13
24
Ibid. P.30.
14
Les études portent sur la connaissance des attentes des publics ; celle-ci
implique une adaptation de la méthodologie du travail afin de procurer le
maximum de satisfaction aux usagers de l’institution publique.
25
ZEMOR, P., op.cit. p. 23.
15
La conception des actions est une « fonction opérationnelle qui peut et doit
être répartie selon les formes ou les finalités (relations publiques, campagnes
publicitaires, communication institutionnelle, grandes causes…), soit regroupée
pour que les cahiers des charges qui constituent l’élément pour définir une
action, ne préjugent pas prématurément des formes les plus pertinentes de
communication à retenir. »26
Une action menée doit faire l’objet d’évaluation afin de savoir si l’objectif
visé a été atteint. Mais avant toute évaluation, il faut se souvenir du fait que
toute stratégie de communication n’a de sens que replacée dans l’évaluation de
la politique qu’elle sert. De la sorte, l’évaluation va plus consister en la
vérification de l’image du service public et sous certaines formes appliquées
dont l’impact immédiat (test de notoriété) ou moins immédiat d’une action
(mémorisation des messages, évolution des comportements en matière de
communication sociales et civiques).
26
ZEMOR, P., op. Cit. p. 73
16
27
KAPFERER, J.N., Les chemins de la persuasion. Le monde d’influence et de publicité sur le comportement,
Paris, Gauthier-Villard, 1973, p.13
28
Idem, p.14
18
I. L’exposition :
C’est la mise en situation de proximité par rapport à un stimulus de telle
sorte que l’un ou plusieurs des cinq sens soient susceptibles d’être activés. Elle
est sélective c'est-à-dire que l’individu ne peut être en contact qu’avec une
fraction de l’ensemble des stimuli et elle résulte d’un choix dans la mesure où
les messages sont en accord avec ses opinions et attitudes.
II. L’attention :
Jean Noël définit l’attention comme étant l’affection d’une capacité de
traitement ou d’effort à un stimulus. Étant donné que cette capacité est limitée,
l’individu procède à un choix comprenant deux aspects liés : La sélectivité et
l’intensité ou degré d’attention.
Cependant l’attention aux programmes ne signifie pas, selon Kapferer,
l’attention aux messages véhiculés.29
III. La Perception :
Dans les modèles de persuasion, les termes de perception, compréhension
et interprétation sont proches. Nous indiquerons seulement que perception et
compréhension sont intimement liées, la perception consistant dans les
décodages formels des stimuli, la compréhension consistant, elle, à l’attribution
du sens aux stimuli.
IV. Compréhension :
0. INTRODUCTION
1.5. Missions
2. ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT
31
https://www.google.com/journal_officiel_de_l’artpc , consulté le 12 aout 2021
28
32
Journal officiel de l’arptc
29
Le collège se réunit au moins une fois par semaine et aussi souvent que
l’intérêt de l’Autorité de Régulation l’exige.
2.2. L’administration de l’Autorité de Régulation
9SA-9SZ
9QA-9QZ
9TA-9TZ
ORGANIGRAMME
38
Les téléphones ;
Les Smartphones ;
Certaines tablettes communicantes ;
Les modems, routeurs, d’ongles USB ;
Les appareils de connexion pour les services de télémesure ou
télécommande machine2machine.
1.6. Le numéro IMEI
L’IMEI est l’acronyme de ‘International Mobile Equipement Identity, en
français « Identité Internationale d’Equipement Mobile ». c’est un numéro
unique de 15 chiffres permettant d’identifier l’appareil mobile.
Et, si l’appareil est original, c’est le numéro IMEI qui fait l’objet des frais
d’enregistrement. Mais s’il est contrefait, ce sera la /les carte(s) SIM qui feront
l’objet des frais d’enregistrement.
41
0. Introduction
Dans ce présent chapitre, notre attention sera focalisée sur les résultats du
questionnaire d’enquête réalisée auprès de notre cible.
Cependant, ce chapitre est fractionné en trois sections. La première nous
rappelle le cadre méthodologique de cette investigation, la deuxième quant à elle
tourne autour de la présentation des résultats de notre enquête et la troisième
section est consacrée à l’interprétation de résultats.
SECTION 1. : 1.RAPPEL METHODOLOGIQUE
Une enquête est une démarche menée par une personne ou un chercheur
pour découvrir une vérité sur une situation donnée ou observable grâce à une
démarche scientifique.
Une enquête peut être collective ou individuelle. Elle est collective
lorsqu’elle est réalisée par plusieurs personnes ou un groupe d’individus, et elle
est individuelle lorsqu’elle est réalisée par une seule personne.
Dans le cadre de ce travail, notre enquête est réalisée d’une manière
individuelle par l’entremise d’un questionnaire d’enquête distribué aux
différentes personnes ciblées.
1.4.1. Accueil
Autres 7 7
Total 100 100
Source : notre enquête
Commentaire : nous remarquons que dans ce tableau 60% des enquêtés
estiment que le RAM est une nouvelle taxe du gouvernement contre 20 % qui
pensent que c’un impôt, et 13% des personnes enquêtées jugent que c’un service
qui lutte contre les téléphones contrefaits, les autres avec 7% soit ils ne savent
rien sur le service, soit ils ne comprennent pas la communication liée à ce
service.
Figure n°5 : Comment appréciez-vous la communication de l’ARPTC sur
le RAM ?
REPERES EFFECTIFS POURCENTAGE
Une excellente 5 5
communication
Une bonne 20 20
communication
Une communication 75 75
médiocre
Autres 0 0
Total 100 100
Après avoir observé ces résultats, nous avons constaté que dans notre
échantillon, le projet RAM ne concerne pas un sexe au détriment d’un autre.
Pour nous, la communication sur le RAM a été mal élaboré raison pour laquelle,
la population doute de son apport dans la société.
Pour ce qui est de l’âge, le service RAM, intéresse plus les personnes dont
l’âge varie entre 18 et 25 ans. Selon nous, c’est normal car il s’agit là de la
tranche d’âge des personnes qui sont attirées par la Nouvelle Technologie.
En ce qui concerne la variable District de résidence, parmi nos enquêtes, le
district de Mont-Amba a plus répondu à nos questions par rapport aux autres
district du faite que l’affaire RAM touche tous les congolais.
Quant à la figure 3 : Nous constatons 47% de la population ont été informé
du service via le moyen de SMS des opérateurs des télécoms et là nous voyons
que l’ARPTC a évité d’utiliser plus le moyens étant donné que la
communication est un secteur trop couteux.
En ce qui concerne la figure 4, on remarque que 60% des enquêtes disent
que c’est une nouvelle taxe qui émane du gouvernement, et là nous trouvons une
information incomplète qui est à la base.
Figure 5, quant à l’appréciation de la communication, 75% jugent médiocre
la communication de l’ARPTC, et la raison pourrait être le mauvais choix du
canal de la transmission du message.
Figure 6, en ce qui concerne la manière de convaincre au moyen de la
communication, 80 % de nos enquêtés pensent que la communication sur le
RAM ne les a pas convaincus. Là nous voyons soit le plan communicationnel
été mal concis, soit le chargé de communication ne maitrise pas bien
l’environnement communicationnel.
Figure 7, démontre que 60% de la population opte pour la télévision
comme un outil valable à la transmission du message. Cela montre déjà que
beaucoup de gens sont devant leurs postes téléviseurs et cela pourrait les aider à
être informer le plus vite possible.
53
Figure 8, quant aux enjeux, nous remarquons que 47% des interrogés
trouvent que l’enjeu est plus d’influencer la population afin qu’elle adhère et
accepte ce service.
Figure 9 : 62% des enquêtés, ont des inquiétudes vis-à-vis de la
communication sur ce service RAM, cela est due au manque d’explication
exacte du service RAM.
Figure 10 : 83% de nos enquêtés, estiment mauvais le service. Cela pourrait
être lié au doute qui persiste sur sa légitimité.
Figure 11 : 40% des interrogés, jugent le tarif du RAM, excessivement
cher, du fait que la coupure d’unités est à chaque recharge.
Figure 12 : 75% des enquêtés, disent non-favorable de soutenir le RAM et
nous constatons que cela pourrait être lié à la faiblesse communicationnelle de
l’ARPTC à influencer la population.
Figure 12 : 70% des enquêtés, souhaitent de supprimer les frais.
Cela prouve que l’ARPTC, n’arrive pas à persuader la population, afin de
concrétiser les objectifs fixés.
2. Évaluation critique
2.1. Notre Position
Suggestions
Conclusion partielle
Le troisième chapitre de notre travail a servi d’un espace permettant la
récolte des avis des enquêtés au sujet relatif à notre recherche sous-étude.
Nous avons ainsi dans cette partie du travail présenté les résultats de
l’enquête réalisée et le contenu de la communication.
On peut retenir de tout ce qui précède que la communication de l’ARPTC a
eu moins d’influence sur la population de Kinshasa.
CONCLUSION GENERALE
ANNEXE
UNIVERSITE DE KINSHASA
QUESTIONNAIRES D’ENQUETE
QUESTION D’IDENTIFICATION
1. Sexe
Féminin masculin
61
2. Age
18 – 25 26 – 35 36 – 40 41 et plus…
3. District de résidence
󠄀A la Télévision
󠄀A la Radio
󠄀Via les Réseaux sociaux
󠄀Via SMS envoyés par les opérateurs des télécoms
󠄀Autre
󠄀Un impôt
󠄀Nouvelle taxe du gouvernement
󠄀Service qui lutte contre les téléphones contrefaits
󠄀Autre
󠄀Autre
󠄀Parfait
󠄀Bon
󠄀Mauvais
󠄀Autre
BIBLIOGRAPHIE
I. Livres
1. ALTHABEG. G., Introduction, sociétés industrielles et urbaines contemporaines, Ed.
Sciences de l’homme, Paris, 1985, P .12
2. BATESON, G., Communication et société, Seuil, Paris, 1988.
3. DELAPORTE. Y., L’objet de la méthode, Ed, Harmattan, Paris, 1998, P.168
4. DEREZE, G., La croisée des regards, éléments pour une ethnologie active, Ed presse
universitaire de bordeaux, 1994, P.17
5. GRAWITZ, M., méthodes des sciences sociales, Paris, Dalloz, 2001, P.398.
6. HABERMAS, J., Théorie de l’agir communicationnel, Fayard, Berlin, 1981.
7. HOVLAND, C., Communication et persuasion : Psychologie, études de changement
option, Yale, Chicago, 1953
8. LASWELL, H., Théorie de la communication, Chicago, 1948
9. LEMAIRE. M., et ZEMOR, P., La Communication publique en pratique, Paris, La
Documentation française, 2008.
10. KAPFERER, J.N., Les chemins de la persuasion. Le monde d’influence et de publicité
sur le comportement, Paris, Gauthier-Villard, 1973, p.13
65
17. ZEMOR, P., La communication publique, 2e Ed, Presse universitaire de France, Paris,
1997, P.25.
II. Cours
1. EKAMBO, J.C.,Information et communication, cours inédit G2, IFASIC, Kinshasa,
2009
2. MUBANGI. G, information et communication, cours G2, Unikin, Kinshasa, 2017-
2018
III. Mémoires
1. LEKU, J., déficit communicationnel de la ceni sur la machine à voter, G3 sic,
IFASIC, TFC, 2018, P.5
IV. Webographie
1. https://www.google.com/dominique+wolton+citation+communication , consulté le 18
décembre 2021 à 20h
2. https://www.google.com/dominique+wolton+citation+communication , consulté le 18
décembre 2021 à 20h
3. https://franckbouhassira.wordpress.com/mauvaise-co,,unication. Consulté, le 22 juillet
2021 à 14h04
4. https://www.cnrtl.com/definition/hypothse consulte le 14 décembre 2021 à 00h23’
5. https://www.google.com/methode_ethno_sociologique consulté le 23 juillet 2021 à
10h00’
6. https://www.google.com/communication consulté le 25 juillet 2021 à 15h37’
7. https://www.google.com/web+revues+home+prescrit+article , consulté le 03 octobre
2021 à 14h34
66
6. Délimitation de l’étude....................................................................................5
7. Difficultés rencontrées....................................................................................5
8. Ossature du travail..........................................................................................6
CHAPITRE 1 : CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE...............................7
0. Introduction.....................................................................................................7
SECTION I. : CADRE CONCEPTUEL...............................................................7
1. Communication...............................................................................................7
1.1. Notion..........................................................................................................7
1.2. Typologie.....................................................................................................9
2. Communication publique..............................................................................10
2.1. Définitions de la communication publique................................................10
2.3. Formes de la communication publique......................................................14
2.4. Fonctions de la communication publique..................................................14
2.4.1. Fonctions générales................................................................................14
2.4.2. Fonctions opérationnelles.......................................................................15
2.5. Communication dans le processus de décision..........................................15
2.5.1. Décisions et discours rationnels..............................................................15
2.5.2. Personnalisation de la décision...............................................................16
SECTION II. CADRE THEORIQUE.................................................................16
1. Théorie de la persuasion...............................................................................16
1.1. La communication persuasive....................................................................17
1.1.1. Définition................................................................................................17
1.1.2. Les cinq étapes de la persuasion de Noël Kapferer................................17
I. L’exposition :................................................................................................17
II. L’attention :...................................................................................................18
III. La Perception :...........................................................................................18
IV. Compréhension :........................................................................................18
V. La Mémorisation :.........................................................................................19
1.1.3. Les fonctions de la persuasion................................................................19
1.1.4. Les variables de la communication persuasive.......................................20
CHAPITRE II. PRESENTATION DE L’AUTORITE DE REGUGATION DE
LA POSTE ET DES TELECOMMUNICATIONS DU CONGO ET DU
REGISTRE DES APPAREILS MOBILES........................................................21
68
0. INTRODUCTION........................................................................................21
SECTION 1. : PRESENTATION DE L’ARPTC...............................................21
1.1. Situation géographique..............................................................................22
1.2. Statut juridique...........................................................................................22
1.3. Évolution du secteur des Postes et Télécommunications dans le monde. .22
1.4. Importance d’un organe de régulation en RDC.........................................23
1.5. Missions.....................................................................................................24
2. ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT.............................................26
2.1. Le collège de l’Autorité de Régulation......................................................26
2.2. L’administration de l’Autorité de Régulation............................................29
2.2.1. Du personnel...........................................................................................30
3. GESTION DE L’ARPTC..............................................................................31
3.1. Gestion du spectre......................................................................................31
3.2. Inspection et contrôle du spectre................................................................32
3.3. Gestion des numérotations et codes...........................................................32
3.3.1. Types de numéros attribués....................................................................32
3.3.1.1. Numéro géographique............................................................................32
3.3.1.2. Numéro non géographique.....................................................................32
3.3.1.3. Numéro standard.....................................................................................32
3.3.1.4. Numéro court..........................................................................................33
3.3.1.5. Numéro de services à valeur ajoutée......................................................33
3.3.1.6. Numéro spécial.......................................................................................33
3.3.2. Types de codes........................................................................................33
3.3.2.1. Service mobile maritime.........................................................................33
3.3.2.2. Codes operateurs.....................................................................................34
4. PROCEDURE D’AGRÉMENT ET D’HOMOLOGATION.......................35
ORGANIGRAMME...........................................................................................36
SECTION 2. : 1. REGISTRE DES APPAREILS MOBILES (RAM)................37
1.1. Objectif du RAM.......................................................................................37
1.2. Sévices RAM.............................................................................................37
1.3. Tarifs RAM................................................................................................37
1.4. Mode de payement.....................................................................................38
1.5. Appareil Mobile.........................................................................................38
69