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Dans le cas de dépense imprévues (électricité) et transfert de chapitre à chapitre.

EXAM : Calculer l’amortissement, parler de PJ de la dépense, 1 ou 2 question à rédiger,


Amortissement

L’exécution des dépenses

A/ Engagement des dépenses/EXAM = sous quelle forme je passe


comande chez un fournisseur.

Règles : (1)légalité ou volonté formelle – (2)ordonnateur ou ah – (3)crédits

§ Engagement dans le cadre de la légalité ou juridique (exemple : je dois passer


une commenade en bonne et due forme chez un fournisseur)

Volonté formelle d’une collectivité de payer une somme en contrepartie d’une


service à titre onéreux rendu à la population ou à la collectivité. Ex : subvention
d'une équipe de foot. La délibération engage la dépense (ex : la subvention de
foot).

Si marché public, l’Assemblé autorise la passation du marché, ne signe pas le


marché public. La signature implique l’engagemnt de la dépense.

§ Autorité habilitée : habilitée naturellement pour faire ses dépenses. C’est


l’ordonnateur Soit
§ A Le Maire- Organne exécutif + B : DGS si délégation par un arrêté du Maire
centre de C décision dispersé (chef de service) Attention : la délégation de
signature n’entraine pas la délégation de compétence ou pouvoir
§ Crédits régulièrement ouverts et disponibles : il faut qu’au budget il y ait des
crédits disponibles. Crédits limitatifs. Au moment ou je signe ; le comptable doit
s’assurer qu’il peut faire face à la dépense. Pour autoriser la dépense je dois être
titulaire des crédits.
Fait générateur de l’engagement des dépenses : contrat – réglementation-
décision u-j

§ Obligations contractuelles/Engagement juridique pouvant consommer des


autorisations d’engagement ex : bon de commance ex2 : bail ex3 : décision
attributive de subvention**
§ Réglementation ex : CGCT, dépenses obligatoires à la charge des collectivités
ex1 : location ou construction d’un local pour la Mairie ex2 : Conservation des
archives municipaux ex3 : indemnité des fonctions aux élus
§ Décision unilatérale ex : nomination d’un agent
§ Décision de justice qui crée l’obligation à la charge dela collectivité

Crédits disponibles pour l’engagement= Crédits ouverts -


Mandats émis- Dépenses engagées mais non payées

B/ La liquidation de la dépense=lui donner une donner une valeur monetaire, argent


disponisble => Quantités +Livraison et bon état+ Prix unitaires/forfaitaires (ex : j’ai
accepté de payer la salle de fêtes 500000 euros. Si modif, avenant au marché) = Service
fait et bon à payer

Pièces justificatives (établies par


C/ Le mandatement de la dépense =>
décret, le comptable ne peut pas exiger plus ; l’ordonnateur doit
fournir les pièces justificatives)+ordre de payer au comptable
public= mandat

Le mandat clôt la phase administrative de l’ordonnateur

Consommation des crédits budgetaires : Exemples de paiements pouvant consommer


des crédits de paiement. Paiement d’une commande/loyer/subvention** qui sont
payés au vu de la facture ou de la quittance. La subvention si + de 23000 euros, il faut
délibération+convention signée entre l’asso et la collectivité (à fournir pièces justificatives,
contrôle formel)

Pièces justificatives : Décret de valeur normative/Circulaire avril 2022 : liste avec des
biens d’investissement. Nomenclature des pièces justificatives de la dépense (décret
interministeriel) pour fluidifer le lien entre ordonnateur et le compatable (ex : conflit
pour payer indemnités suite à expropiation)
Le visa de la dépense (Début de la phase comptable du
comptable)
Compétence de l’ordonnateur (arrêté excutoire : signé, envoyé au contrôle de legalité
et publié, Autorité habilitée ), Légalité externe de la dépense (le comptable n’est pas
juge d’opportunité, procède à un contrôle formel)/ Le comptable vérifie que
l’engagement existe., Conformité des PJ , Exactitude des décomptes, Validité de
l'imputation (ex : augmentation de la voirie, investissement et pas entretien/respect
classement de la dépense : investissement dif. Entretien), Disponibilité des crédits (si
indisponibilité, visa négatif), Absence de prescription (si prescription, le comptable doit
refuser de payer ; )

Titulaire d'une créance ; personne à qui de l'argent est dû. Le créancier dispose d'un
délai de 30 jours à compter de la réception du courrier pour donner son avis

En application de la prescription quadriennale, un comptable public doit-il refuser de payer un fournisseur qui
réclame le 1er novembre 2002 le paiement d'une facture reçue le 30 octobre 1998 ?

Non : le délai de prescription de quatre ans des créances sur l'État, les collectivités territoriales et les
établissements publics dotés d'un comptable public ne court qu'à compter du 1er janvier de l'année suivant celle au
cours de laquelle les droits ont été acquis (loi n°68-250 du 31 décembre 1968). Dans l'exemple cité, la prescription
quadriennale ne peut donc être opposée au créancier qu'à partir du 1er janvier 2003.

Deux aménagements profonds du visa (2 contôles) : hiérarchisé


et allégé partenarial

1) Contrôle hiérarchisé de la dépense (CHD) :

§ vise à mieux concilier l’efficacité et la régularité de l’exécution des


dépenses publiques

§ Contrôle sélectif en fonction de la nature et/ou des enjeux de la


dépense.

Cours : On fait pas tout sinon en fonction des risques, dépenses sensibles, des
échantillons. Contrôle de 10% des mandats dans ce compte car diminution
de personnel

2) Le contrôle allégé partenarial (CAP)

§ Convention entre l’ordonnateur et le comptable pour valoriser les


bonnes pratiques en diminuant les contrôles a priori sur certaines
dépenses, après un diagnostic préalable

§ Les mandats concernés sont automatiquement visés


Le règlement de la dépense = Caractère libératoire+
Payement à la bonne personne+Respect du délai global
de payement

Le délai : tant que l’ordonnateur ne conteste pas, le délai de 30 jours continue


à courir. Les 30 jours sont partagés (20 jours pour l’ordonnateur et 10 jours pour le
comptable), sinon on paie des intérêts moratoires, payés d’office. Ce délai est
incompressible= qu’on ne peut pas réduire .

Si mail de contestation= suspension du temps qui court.

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