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•L’expectoration : rejet hors de la cavité buccale par la toux de •Circonstances d’apparition •Pulmonaires : abcès, pneumonie,
sécrétions des voies aériennes sous glottiques anormales par leur cancer excavé, tuberculose excavée,
•Signes accompagnateurs : fièvre+++
qualité et/ou leur quantité OAP…
•Circonstances favorisantes : position du patient
•La bronchorrhée : rejet par la bouche de sécrétions quotidiennes •Bronchiques : DDB, bronchite
dépassant 100ml •Horaire : matinales DDB+++ aigue/chronique…
•Le crachat : rejet par la bouche de sécrétions provenant des voies •Quantité : évaluée par le patient et par une courbe/24h+++ •Pleurales : pleurésie purulente avec
aériennes sous glottiques et/ou supérieures (mouchage postérieur) •Couleur : claire, jaunâtre, verdâtre, striée de sang fistule broncho-pleurale
•Les expectorations ne sont pas forcément extériorisées notamment •Odeur : fétide (germes anaérobies)
chez les enfants et les femmes qui ne savent pas cracher, donc
déglutissent inconsciemment les expectorations. •Aspect et consistance :
•Séreuse : transparente, filante
•Dans certains cas pathologiques (paralysie des muscles expiratoires ou
laryngés, poliomyélite, trachéotomie, coma profond) le réflexe •Muqueuse : transparente, incolore, +/- petites masses
tussigène est aboli, donc responsable d’un encombrement trachéo- gommeuses, grises et opaques, visqueuses, parfois perlées et
bronchique gélatineuses
•Purulente : pus franc, homogène, épais
•Muco-purulente
•Mousseuse : blanche, fluide aérée, parfois saumonée (rosée)
•Hémoptoique : même valeur sémiologique qu’une hémoptysie
La vomique :
•Type respiratoire :
•Facteurs de modification :
•Climat : température extérieure, humidité…
•Saison : printemps (pollens/asthme)…
•Environnement : fumée de tabac…
•Signes associés :
•Fièvre, SLR
•Douleur angineuse
•Toux, Sifflements thoraciques…
Examen clinique
=relever les signes objectifs
1) L’inspection :
•Consiste à observer attentivement le malade
•Doit être faite dans les meilleurs conditions :
•Thorax nu,
•Patient assis ou debout,
•En pleine lumière
•Observer le malade en train de se déshabiller : dyspnée de déshabillage
•Inspecter le thorax de façon globale
renseigne sur :
•Pâle,
•Aspect général du malade : •Cyanosé,
•Dyspnéique,
•Maigre,
•Œdèmes…
•thorax normal
•Morphologie du thorax : •thorax distendu (ou en tonneau)
•pectus excavatum (thorax en entonnoir)
•pectus carinatum (thorax en carène)
•pectus arcuatum
L’amplitude respiratoire
•Caractères de la respiration : La fréquence respiratoire
La durée de l’inspiration et l’expiration
L’ampliation thoracique
Le type respiratoire : costal supérieur, abdominal
Le bruit de la respiration : stridor, wheezing
Signes de lutte respiratoire (SLR) :
•Tirage :
Creusement des parties molles du cou et du thorax
Sus-sternal, sus-claviculaire, intercostal …
Épuisement des muscles respiratoires et mise en jeu des muscles accessoires
•Battement des ailes du nez
•Balancement thoraco-abdominal ou respiration paradoxale
•Circulation collatérale ●Turgescence des veines jugulaires Œdème en pèlerine
•Hippocratisme digital : bombement des ongles dans le sens transversal et longitudinal, associé parfois à une
hypertrophie des parties molles des doigts (en baguettes de tambour) +/-des orteils
•Affection chronique des bronches (DDB)
•Tabagique
Syndrome paranéoplasique
(Tumeur maligne)
•Autres :
2) La palpation :
Intérêt principal + technique À l’état normal : En pathologie : •Signes accessoires :
•Intérêt principal : étude de la •Le thorax transmet les •↗↗ VV : Syndrome de •Relief et tonicité des
transmission des vibrations vibrations pharyngo- condensation «pneumonie» groupes musculaires
vocales VV laryngées de la voix que la •↘↘ VV ou abolies : •Palpation-pression des
main perçoit normalement pleurésie, pneumothorax, structures osseuses et
•Technique : •Les VV sont plus fortes à obstruction d’un gros tronc cartilagineuses pour repérer
Sujet assis droite, plus intenses en bronchique (atélectasie), le point de départ des
Mains préalablement avant, mieux perçues chez raréfaction du parenchyme douleurs d’origine pariétale
réchauffées : l’homme, mal perçues chez (bulle d’emphysème) •Permet de découvrir :
oPour éviter la contracture les obèses Empâtement pariétal,
musculaire Emphysème sous-cutané,
oPosées à plat, doigts réunis et Masse (consistance, douleur,
parallèles aux espaces chaleur…), Ganglions
intercostaux •Permet de préciser le
Palpation bilatérale, rythme respiratoire et
symétrique, comparative des 2 l’ampliation thoracique
côtés •Palpation systématique des
On fait prononcer au patient à organes de voisinage : foie,
voix haute : «44» en arabe, «33» rate
en français
3) La percussion :
4) L’auscultation :
•Souffle tubaire :
•Modifications •Intensité forte
anormales du BG: •Tonalité élevée
•Timbre rude, creux
•Prédomine à l’inspiration
•Comparable au bruit que l’on fait en «soufflant dans un tube creux» ou en
disant «chut» à voix basse
→Condensation parenchymateuse : pneumonie, infarctus pulmonaire…
•Souffle pleurétique :
•Doux, lointain, voilé, d’intensité faible
•Tonalité aigue, élevée
•Timbre aigu
•Expiratoire
•Mais inconstant
→ Pleurésie de moyenne abondance, à la limite supérieure de la matité,
surtout en arrière
•Souffle amphorique :
•Intensité faible
•Tonalité élevée
•Timbre métallique
•Surtout expiratoire
•Comparable au bruit que l’on fait en «soufflant dans une poche ou un récipient
vide»
→ Pneumothorax, énorme cavité parenchymateuse
•Souffle caverneux :
•Intensité forte
•Tonalité basse
•Timbre creux
•Surtout inspiratoire
→ Cavité aérienne au sein du parenchyme pulmonaire : énorme caverne
tuberculeuse, abcès pulmonaire volumineux
B. Bruits
surajoutés : •Râles : Râles discontinus : Parenchymateux
•Râles crépitants :
•Fins, Secs, Eclatant en bouffées en fin d’inspiration,
•Zones déclives du poumon,
•Comparés au «froissement d’une mèche de cheveux»
•Résultent de l’ouverture soudaine, au cours de l’inspiration, des voies
aériennes fermées lors de l’expiration précédente et/ou de la réouverture de
territoires pulmonaires distaux atélectasiés
→ Transsudat ou exsudat alvéolaire (pneumonie, OAP…)
•Râles sous-crépitants :
•= râles muqueux ou bulleux =« bulles éclatant à la surface d’un liquide »
•Timbre humide, Eclatant en bouffées en fin d’inspiration,
•Irréguliers, Variables d’un cycle respiratoire à l’autre
•Souvent dès le début de l’inspiration
→ Brassage de liquides (mucosités, sérosités ou pus) dans les alvéoles :
pneumonies, bronchopneumonies, bronchite chronique, tuberculose, cancer
pulmonaire…
Râles continus : bronchiques
•Râles ronflants :
•Râles bronchiques = Ronchus
•Tonalité grave = «ronflement d’un homme qui dort»
→ Encombrement des gros troncs bronchiques : DDB, bronchite chronique…
•Râles sibilants :
•Plus aigus
•«petit sifflement prolongé» ou «cri des petits oiseaux»
•Wheezing:
•Sifflement très localisé
•Parfois perçu par le malade lui-même
→ Sténose d’un gros tronc bronchique
Cliché thoracique de face •situe avec exactitude une anomalie dans un axe
vertical
Cliché thoracique de profil •situe avec exactitude une anomalie dans un axe
antéropostérieur
B- La radiophotographie:
D- L’échographie thoracique :
•Analyse mieux les anomalies des bases pulmonaires, de la paroi, du médiastin supérieur et de l’orifice cervico-
médiastinal.
•Précise la nature solide (tissulaire) ou liquidienne d’une anomalie.
F-PET-SCAN ou TEP
•=Tomographie par Émission de Positrons
•Technique nouvelle d’exploration isotopique
•Traceurisotopepeuradioactif:18Fluoro-Désoxy-Glucose(ou18-FDG)
•18-FDG:capté préférentiellement par les cellules à haute activité métabolique, cancéreuses+++ ou inflammatoires ou
infectieuses
II) Examens utilisant un produit de contraste :
Opaque :
A- La bronchographie
Gazeux
G- Le pneumopéritoine - diagnostic :
• Principe : Réaliser un cliché centré sur les coupoles diaphragmatiques par Insuffler l’air dans la cavité péritonéale
• But : Préciser le siège thoracique ou abdominal d’une anomalie de la base thoracique surtout droite.
III) Exploration de l’appareil respiratoire :
Exploration de l’arbre A-Bronchoscopie rigide •Matériel : Tube rigide, rectiligne pourvu d’une source de lumière à son
trachéo-bronchique extrémité, introduit par la bouche
•But :
•Vision directe du larynx, la trachée, les grosses bronches jusqu’aux
orifices des bronches segmentaires.
•Prélèvements bronchiques : biopsies, brossage, aspiration
B-Bronchoscopie souple •Matériel : Tube souple, faible diamètre qui véhicule la lumière grâce à
ou Fibroscopie un système de fibres de verre
bronchique
•But :
•Vision directe : Larynx, trachée, grosses bronches et petites bronches
(5èmeet 6èmeordre).
•Prélèvements bronchiques : biopsies, brossage, aspiration, Lavage
broncho-alvéolaire (LBA), biopsie pulmonaire trans-bronchique
C-Indications de •Diagnostiques :
l’endoscopie bronchique •Trouble de ventilation : obstruction bronchique intrinsèque (tumeur,
corps étranger)ou compression bronchique extrinsèque (tumeur,
ganglions)
•Toute suspicion d’une tumeur bronchique
•Hémoptysie qui ne fait pas sa preuve
•Suppuration pulmonaire (abcès…)
•Bronchite chronique, DDB, Tuberculose pulmonaire, Sarcoïdose, PID…
•Thérapeutiques :
•Extraction d’un corps étranger
•Aspiration des sécrétions bronchiques
V) Modes de prélèvements :
A-Les examens des •Le mode d’examen le plus élémentaire en pneumologie
sécrétions broncho- 1.Les expectorations: •Le matin à jeun de préférence
alvéolaires : •Types d’examens:
a)Macroscopique
b)Bactériologique:
•Germes banals
•Bacille de Koch BK :examen direct, culture, genexpert
•Parasites :scolex, membranes hydatiques…
•Mycoses :pneumocystis jiroveci …
c)Cytologique:
•Formule cytologique :hyperéosinophilie (allergie), hyperleucocytose
(infection bactérienne)
2.Le tubage gastrique : •But : prélever dans l’estomac des sécrétions broncho-alvéolaires
dégluties pendant le sommeil
•Technique :
•Le matin, à jeun, au réveil
•Sonde d’aspiration gastrique, grâce à une seringue
•Après un lavage gastrique par du sérum physiologique
•Intérêt :
•Recherche de BK qui ne sont pas détruits par le liquide gastrique
•Surtout chez les personnes qui ne savent pas cracher : enfants,
femmes
3.Le prélèvement •Prélèvement direct des sécrétions bronchiques par aspiration lors
endobronchique: d’une bronchoscopie
•Matériel :
•Trocart de Kuss
•Seringue
•Tubes stériles pour prélèvements
•Matériel et source d’aspiration
•Technique :
•Patient confortablement installé,
•Assis le dos rond courbé vers l’avant,
•Le bras du côté atteint soulevé vers le côté controlatéral
•Repérage clinique et radiographique
•En rasant le bord supérieur de la côte inférieure
•Trajet perpendiculaire à la paroi thoracique ou vers le bas
•Afin de rester à distance du paquet vasculaire intercostal
•En pleine matité en cas de pleurésie
•En pleine sonorité en cas de pneumothorax
1-Confirmer la pleurésie
3-Prélèvements :
a)Étude chimique : dosage de l’albumine
•Un transudat:
•Pauvre en albumine < 30g/l, et en cellules
•Origine mécanique : hépatique, rénale, cardiaque
•Un exsudat :
•Riche en albumine > 30g/l, et en cellules
•Origine inflammatoire, dite séro-fibrineuse: tuberculose, cancer...
•Réaction de Rivaltapositive
b)Etude bactériologique :
•Pleurésies purulentes : recherche de germes banals et BK
•Pleurésies séro-fibrineuses : généralement aseptiques et pauci-bacillaires (intérêt de la culture)
c)Etude cytologique :
•Réalisée après centrifugation du prélèvement pleural
•Détermine la formule cytologique du liquide pleural, contenant :
•GR, GB, cellules mésothéliales, parfois des cellules tumorales
•On distingue alors :
•Les pleurésies lymphocytaires (> 80% de lymphocytes)
•Les pleurésies mixtes ou panachées
•Les pleurésies éosinophiles (> 10% d’éosinophiles)
•Au total :
•Les pleurésies à liquide clair sont transudativessauf après ponctions pleurales répétées
•Les pleurésies jaunes citrins exsudatives, inflammatoires, dominées par la tuberculose et le cancer
•Les pleurésies purulentes peuvent être bactériennes ou tuberculeuses
•Les pleurésies hémorragiques peuvent être d’origine maligne, tuberculeuse ou cardiaque
•Les pleurésies chyleuses sont dues à une compression du canal thoracique, quelle qu’en soit la cause
bénigne ou maligne
C-Les tests cutanés : •Principe :
•Introduire dans l’organisme un antigène (Ag) qui va déterminer une réaction Ag-Ac, lorsque ce même
organisme a déjà eu un 1ercontact avec ce même Ag et a déjà élaboré des anticorps (Ac) contre lui.
•Technique :
•La scarification :faire une incision cutanée superficielle grâce à un vaccinostyle et y déposer un Ag.
•L’intradermoréaction (IDR) :se fait grâce à une fine aiguille intradermique montée sur une seringue
remplie d’Ag. IDR à la tuberculine teste un contact antérieur avec le BK.
•Le pricktest :piquer àtravers une goute d’allergène (Ag) déposée sur la peau.
•Résultats :
•La réaction cutanée se manifeste par l’apparition d’une triade, dite de LEWIS:
•Papule
•Érythème
•Prurit
•Ces réactions immunologiques sont soit :
•Immédiates : lecture après 10-20 mn
•Semi-tardives : lecture après 6-8 h
•Tardives : lecture après 48-72 h
But Moyens
Evaluer les différentes étapes de la En plus de l’évaluation clinique et radiologique, et du simple au plus complexe :
respiration : •Etude des volumes et des débits respiratoires :
•La ventilation •Le spirographe :le plus classique, permet d’obtenir un spirogramme
•La diffusion alvéolo-capillaire •Le pneumotachographe :permet d’obtenir une courbe débits-volumes
•Le transport des gaz du sang •Le pléthysmographe :permet de mesurer les résistances des voies aériennes et
•Mais aussi le sommeil la compliance pulmonaire, en plus des débits et des volumes
•Etude des échanges gazeux au repos : transfert du CO, gaz du sang
•Etude des échanges gazeux à l’effort : test de marche de 6 minutes, épreuve
fonctionnelle à l’exercice (EFX)
•Polygraphie ventilatoire et polysomnographie
Sévérité du TVO :
Mesurée par la réduction du VEMS en pourcentage de la valeur prédite
VEMS : Meilleur index de sévérité de l’obstruction des voies aériennes
Réversibilité du TVO :
–Asthme: TVO réversible spontanément ou sous B2 mimétiques
–BPCO: TVO non ou peu réversible après B2 mimétiques
–Intérêt du test de Réversibilité
—Moyens :
•Inhalation bronchodilatateurs (sympathomimétiques)
•Administration de corticoïdes (0,5 mg/kg/j de Prednisolone)
–Refaire la spirométrie :
•≥ 10-15 min si sympathomimétiques
•10 à 15 jours si corticoïdes
–Interprétation :
•Obstruction bronchique réversiblesi :
–↗ VEMS ≥ 200 ml (en valeur absolue)
ET
–≥ 12% (par rapport à la valeur initiale) :
(VEMS post –VEMS pré) / VEMS pré > 0,12 (12%)
Courbe Débit/Volume
Trouble ventilatoire Définition :
restrictif (TVR) : Réduction du volume pulmonaire : CPT +++
•Polygraphieet polysomnographie
•Enregistrement au cours d’une nuit de sommeil de :
•Evénements respiratoires : débits aériens nasobuccaux, mouvements
thoraco-abdominaux, saturation en O2 (Sp02) et fréquence cardiaque
ou ECG
•Activité : électro-encéphalogramme (EEG), un électro-
oculogramme(EOG) et un électro-myogramme(EMG)
Les syndromes thoraciques
Au niveau de la plèvre :
I) Syndrome d’épanchement liquidien :
Définition Signes fonctionnels Signes généraux Examen physique du thorax Examen
général
complet +++
Présence de liquide dans la cavité Début brutal ou Varient en à la palpation: ou abolition de
pleurale. progressif fonction de la transmission des VV
On distingue selon le taux Douleur thoracique à l’étiologie à la percussion: Matité
d’albuminedans le liquide pleural: type de point de côté Fièvre +++ à l’auscultation: ou abolition de
Les pleurésies exsudatives: Toux sèche quinteuse la transmission du MV
•Albumine > 30g/l déclenchée par les syndrome d’épanchement
•Origine inflammatoire changements de position liquidien thoracique
Les pleurésies transsudatives : Dyspnée
•Albumine < 30g/l Souffle pleurétique ---
•Origine mécanique Frottement pleural ---
Présence dans la cavité ceux du •Syndrome d’épanchement liquidien à la Apprécie l’aspect du liquide Pleurale
pleurale à la fois de l’air et du pneumothorax base
liquide •Surmonté d’un Syndrome
d’épanchement aérique
•Succussion hippocratique: à éviter, peut
être dangereuse
V)Syndrome emphysémateux :
Définition Signes fonctionnels Signes physiques Signes radiologiques
VIII)Bronchite chronique :
Définition Examen clinique Radiographie
toux et expectorations survenant au moins 3 thorax distendu, hippocratisme peut être normale ou montrer des
mois par an depuis au moins 2 années digital +cyanose signes d’emphysème
consécutives sans autres causes identifiées
IX)Bronchectasies :DDB
Définition Examen clinique Radiographie Bronchographie: TDM thoracique :
thoracique :
Augmentation hippocratisme
permanente et digital, râles
irréversible du calibre ronflants
des bronches ( du
3èmeau 8èmeordre)
•Symptôme majeur :La
bronchorrhée (Toilette
bronchique matinale)
Bronchoscopie :
Au niveau du médiastin :
X)Syndromes médiastinaux :
Goitre endothoracique
Opacité médiastinale
Étage supérieur
Limites ext. régulières
Refoulement trachée