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X.

Jourdain Axel Barreteau TP6

SAÉ 4.1 – Choix et justification de solutions


constructives en infrastructure

Introduction
Étant dans la peau d’un responsable des travaux dans une entreprise, le but de ce
projet est d’étudier la réalisation de l’infrastructure pour un chantier de bâtiment ayant un
niveau de parking souterrains. Pour ce faire, en utilisant le logiciel « Talren », il nous a fallu
regarder le coefficient de sécurité sur 4 situations différentes, une sans talus, une autre avec
un talus au remblai avec plusieurs étapes pour déterminer la bonne pente, une gardant le
talus et en terrassant la fouille et une dernière en ajoutent une charge tout en trouvant une
solution si besoin.
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1. Étude de la fouille en pleine masse de la couche de remblai

Dans cette première partie, la valeur du coefficient de sécurité F vaut 0,2973. A l’aide
de cette valeur ainsi que du schéma obtenu on remarque facilement que le remblai ne tiendra
pas du tout. Ceci est notamment dû au fait qu’il n’y a pas de talus pouvant limiter
l’éboulement.
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2. Étude de la fouille en pleine masse avec talus de remblai


a. Talus de 1/1

Dans cette phase, nous procédons à la réalisation du talus avec un angle de 45°, ceci
permet donc de doubler la valeur du coefficient de sécurité, soit 0,5910. Cette fois-ci, le
coefficient et le schéma nous permet de dire que la situation est plus favorable que
précédemment, malgré qu’elle ne soit pas suffisante pour dépasser 1. Nous aurons donc un
éboulement plus léger.
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b. Talus de 3/2

Pour cette phase, on diminue la pente en talutant le remblai a 33.7°. Cette diminution
de pente permet une nouvelle fois d’augmenter le coefficient de sécurité jusqu’à 0,8925. La
pente n’est donc toujours pas assez faible pour permettre d’empêcher un éboulement.
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c. Recherche de la pente du talus

Pour obtenir cette pente j’ai utilisé la formule : tan (α) = BC/AC. Ici, α valait l’angle de
frottement interne φ, soit dans mon cas 30,5°, et BC valait l’épaisseur de mon remblai soit 1,15. On
obtient donc une valeur de 1,952 pour AC c’est-à-dire la longueur en x du talus. On a donc une pente
de 30.5°.

On obtient une valeur du coefficient de sécurité de 1,0006. Cette méthode nous permet donc
d’obtenir un talus parfait pour un avoir un coefficient presque exact à 1 afin d’éviter certaines pertes,
il n’y aura donc plus d’éboulement.
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d. Surface de rupture circulaire manuelle

En créant cette situation avec une surface de rupture circulaire manuelle, nous pouvons
obtenir une valeur du coefficient encore plus proche de 1 tout en restant supérieur soit 1,0003. Nous
avons donc encore moins de pertes.
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3. Étude de la fouille en pleine masse toute hauteur

Dans cette situation, nous avons conservé l’angle précédant et nous avons en plus terrasser
verticalement dans les autres couches jusqu’au niveau inférieur de la dalle basse du sous-sol. On
remarque cette fois que le coefficient de sécurité est égal à 1,2014. Ceci ne va donc pas nuire aux
occupants.
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4. Étude de la fouille en pleine masse avec surcharge

Pour cette partie, nous devons prendre en compte une grue mobile qui stationnera sur
le bord de la fouille. Tout d’abord, il a fallu que l’on détermine la charge répartie de la grue
ainsi que sa pression au sol. Pour cela, nous avons fait :
M * g = 40t * 9.81m/s² = 392.4 kN –> sa charge est de 392.4kN
392.4 / S -> sa charge est répartie sur 4 vérins de 4x4 donc S = 64m²
392.4 / 64 = 6.13 kPa
Ensuite, on répartie cette charge sur 8m, on obtient un coefficient de sécurité de
0,9337. Le coefficient est donc trop faible, le fait de rajouter la grue va donc nuire au sol et
provoquer des éboulements.
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5. Solution pour travailler en sécurité

Dans cette dernière situation il nous faut trouver une solution qui permettra d’avoir un bon
coefficient supérieur à 1. Pour cela, j’ai décidé de décaler la grue de 50 cm ainsi que de diminuer la
pente à 25,1°, pour au final obtenir un coefficient de sécurité de 1,0290. Notre solution permet donc
de gérer le problème de la grue.
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Conclusion
Pour conclure, lors de ce projet, nous avons pu remarquer que le changement du
coefficient de sécurité est dû à plusieurs facteurs, la pente du talus ou la charge émise sur le
sol. Ce projet nous aussi permis de bien prendre en main le logiciel « Talren », étant très utile
professionnellement, et donc d’avoir une vision critique sur le monde professionnel.

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