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Cours 2 Recepteurs Et Cibles
Cours 2 Recepteurs Et Cibles
• Aspects généraux
• Aspects cinétiques
• Aspects moléculaires
• Régulation
Université d’Abomey-Calavi
Cotonou, Bénin
Une très grande partie du contenu de ces diapositives est reprise du cours de Pharmacologie
générale du Professeur E. Hermans
• types de cibles
sélectivité et spécificité
• récepteurs aux médiateurs
notion d’agonisme et d’antagonisme
• canaux ioniques
• transporteurs
• acides nucléiques
Non déterminées
7%
Enzymes
28%
Hormones et f acteurs de
croissance
11% chiffres approximatifs
Canaux ioniques
A DN
et susceptibles de changer
5% en fonction des découvertes
2%
futures
Yohimbine
(inhibe la
vasoconstriction)
Amitryptiline
(antidépresseur)
Exemple : récepteurs
adrénergiques
1 1 2
: petites artérioles (contraction)
: utérus (contraction)
2 : bronche (relaxation)
: utérus (relaxation)
cible pharmacologique importante !
Exemple : l’asthme, utilisation de substances activant les
récepteurs 2 (uniquement!)
Agoniste Réponse
(mime le
médiateur)
• Exemple : Le curare,
un poison
– L'acétylcholine est l'agoniste physiologique des récepteurs ‘paralysant’
nicotiniques de l’acétylcholine. C’est l’agoniste endogène.
L’agoniste endogène
Acétylcholine n’est pas préférentiel
(il est non-sélectif)
Récepteurs Récepteurs
nicotiniques muscariniques
Les agonistes et
antagonistes utilisés
Nicotine Curare Pilocarpine Atropine en pharmacologie
sont discriminants
(ils sont sélectifs)
Agonistes non-sélectifs
Agonistes sélectifs
Localisés du côté
présynaptique (sur la cellule
qui libère le transmetteur), les
(-) autorécepteurs opèrent un
Pré Post contrôle négatif sur la
libération de ce transmetteur
(mécanisme de feedback)
Inhibiteur Blocage de
l’activité
4. Les transporteurs
• Certains médicaments agissent en diminuant l'activité de transporteurs de
médiateurs (catécholamines, glutamate, sérotonine), ou de transporteurs d'ions
(Na+, H+, Ca2+, K+).
• Soit, ils bloquent l’activité de ce transporteur, soit, ils sont eux-mêmes des
substrats et entrent en compétition avec le substrat endogène.
Inhibiteur Bloque le
transporteur
Compétiteur Diminution de
(faux substrat) l’efficacité de
transport
La pompe à sodium
(Na+/K+ ATPase)
3 Na+
extracellulaire
membrane
intracellulaire
Digitalis
ATP ADP Purpurea
2 K+
F
OH
N N
HN
ciprof loxacin
Le jeu…
Le modèle
La réalité
vue au
microscope
éléctronique
http://sp.uconn.edu/~terry/229sp03/lectures/genetics1.html
DNA GYRASE
ATP binding subunits FLUOROQUINOLONES:
4 stacked molecules
BINDING TO DNA
R5 O O
R6 C
BINDING TO O- BINDING TO
THE ENZYME THE ENZYME
R7 X8 N
R1
AUTO-ASSEMBLING
DOMAIN
(for stacking)
k+1
R + L RL
k-1
association dissociation
Conc plasmatique
liaison liaison
t½ t½
temps
Tem ps k = 0.693 / t½ temps
Tem ps
La dissociation du
médicament de sa cible peut
avoir des influence sur la
durée de l’effet. Même si le
médicament n’est plus dans le
sang, ses effets pourraient
perdurer…
La quétiapine se détache
rapidement du récepteur D2
La chlorpromazine montre
une dissociation plus lente.
association = dissociation
Unité :
k+1 [R] [L] = k-1 [RL] concentration
molaire
Ligand : KD log
Acétylcholine (récepteur nicotinique) 1 M 10-6
Isoprénaline (récepteur bêta adrénergique) 0.1M 10-7
Prostacycline (récepteur PGI2) 10 nM 10-8
Chlorpromazine (Récepteur dopaminergique D2) 1 nM 10-9
Insuline (récepteur à l’insuline) 0.1 nM 10-10
IgE (récepteur aux immunoglobulines) 10 pM 10-11
En pratique… R + L* RL*
…la technique du binding
(mesure de la liaison de * L = ligand marqué radioactivement (3H; 125I)
radioligand) R = matériel biologique où existe le récepteur
incubation
Notions de réversibilité,
saturabilité, sélectivité,…
Déc. 2012 Pharmacologie générale: 2. Récepteurs et cibles 33
Passer de la mesure à la caractérisation (1)…
où Rt = le maximum
mais je peux dire que: [Rt] = [R] + [RL]
de récepteurs
([Rt] x [L])
[RL] =
(KD + [L])
100
Rmax = 100
Kd = 1
75
= 10
= 50
% d'occupation
50
Rmax = 50
Kd = 10
25
0
0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110
concentration du ligand libre [L] (µM)
B x (KD + F) = Bmax x F
B x KD + B x F = Bmax x F
B x KD BxF
+ = Bmax
F F
B x KD B Bmax B
= Bmax - B = -
F F KD KD
indique Bmax.
• L’intersection avec l’axe des Y
indique Bmax/KD
B (càd [lié])
B Bmax B
= -
_ 1 F KD KD
(càd [lié]/[libre])
KD
Rapport B/F
1
Y=c– *X
KD
B (càd [lié])
B Bmax B
= -
F KD KD
(càd [lié]/[libre])
Rapport B/F
Bmax B
0= -
KD KD
B Bmax
=
B (càd [lié]) KD KD
Bmax B = Bmax
Bmax / KD
B Bmax B
= -
F KD KD
(càd [lié]/[libre])
Rapport B/F
B Bmax 0
= -
F KD KD
B (càd [lié])
0.3
2.0
1.8
Liaison du radioligand
1.6
1.4 0.2
1.2
B/F
1.0
0.8
0.1
0.6
0.4
0.2
0.0 0.0
0 20 40 60 80 100 120 140 160 180 200 0 1 2
concentration du radioligand (nM) B
R R*
Évaluation expérimentale de l’effet d’un compétiteur sur la liaison d’un ligand : étude du
déplacement de la liaison du ligand lors d’ajout de concentrations croissantes du compétiteur
Valeur IC50 (concentration en
compétiteur inhibant 50 % de la
(% de la liaison mesurée en
l'absence de compétiteur)
80
40
20
0
-10 -9 -8 -7 -6
Concentration du compétiteur
(en logarithme10 de la conc molaire)
• Les courbes de
(% de la liaison mesurée en
l'absence de compétiteur)
80
IC50 de B compétiteur
60
40
• Ces courbes ne
renseignent pas sur la
Compétiteur A
20 puissance, ni sur
Compétiteur B
0
l’activité intrinsèque
-10 -9 -8 -7 -6
Concentration en compétiteur • IC50 de A < IC50 de B
(en logarithme10 de la conc molaire)
• A est plus affin que B
Déc. 2012
KatzungPharmacologie
1998 générale: 2. Récepteurs et cibles 48
La notion de compétition (déplacements partiels)
Déplacement complet
(% de la liaison mesurée en
l'absence de compétiteur)
100
Liaison du ligand
80
Déplacement partiel
60 (hétérogénéité de sites)
40
Compétiteur A
20
Compétiteur B
0
-10 -9 -8 -7 -6
Concentration en compétiteur
(en logarithme10 de la conc molaire)
R* R*
Substance A Substance A
(% de l'effet maximal)
Liaison au récepteur
100 100
Substance B Substance B
80 Substance C 80 Substance C
Réponse
60 60
40 40
20 20
0 0
-10 -9 -8 -7 -6 -5 -10 -9 -8 -7 -6 -5
Concentration de la substance Concentration de la substance
(en logarithme10 de la conc molaire) (en logarithme10 de la conc molaire)
Affinité Activité
Pas de rapport direct
!
Concentration Puissance
Affinité Efficacité
[] KD EC50
(Mol/L) (Mol/L) / (Mol/L)
Occupation des récepteurs Réponse pharmacologique
1. Clark (1926):
• Modèle le plus simple
• Relation linéaire entre occupation et réponse
• EC50 = KD
• Réponse maximale si occupation maximale
(Réponse)max [L]
Réponse = [L] + KD
[RL] [L]
L’équation s’inspire directement de l’équation de la liaison au récepteur [Rtot] = KD + [L]
La courbe concentration-effet est une hyperbole tendant vers la réponse maximale
2. Ariëns (1954):
• Introduit la notion d’activité intrinsèque
(Réponse)max [L]
Réponse = x [L] + KD
MAIS incomplet : n’explique pas le décalage souvent observé entre l’affinité et la puissance
n’intègre pas le concept de récepteur de réserve
= 1 (agoniste)
(% de l'effet maximal)
100
80
Réponse
20
0 = 0 (antagoniste)
-10 -9 -8 -7 -6 -5
Concentration de la substance
(en logarithme10 de la conc molaire)
Réponse Réponse
R R R*
(% de l'effet maximal)
Sans ligand
80 Substance A
Réponse
Ce modèle n’explique pas comment Substance B
60
1) certains modèles développent Substance C
une réponse sans ligand 40 Substance D
(activation constitutive)
20
2) certains ligands diminuent cette
activité constitutive 0
100
(% de l'effet maximal)
60 Substance C : antagoniste
40 Substance D : agoniste inverse
20
0
-10 -9 -8 -7 -6 -5
Concentration de la substance
(en logarithme10 de la conc molaire)
• = 1 (agoniste)
• 0 < < 1 (agoniste partiel)
• = 0 (antagoniste)
L’agoniste inverse
• < 0 (agoniste inverse) possède une activité intrinsèque négative
Conformations Conformations
inactives actives
(pas de réponse, (réponse, avec
avec ou sans ligand) ou sans ligand)
R R*
Agoniste partiel Se fixe aux deux états avec une préférence (partielle!) pour R*
0<<1 Induit partiellement la réponse
Caractérisation d’antagonistes
dopaminergiques par déplacement
d’un radioligand (3H-Halopéridol)
et par blocage de réponses
fonctionnelles
80 80
Réponse
Réponse
60 60 50% réponse
d’inhibition
maximale
40 40 + concentrations
croissantes d’antagoniste
20 20
0 0
-10 -9 -8 -7 -6
Concentration d'antagoniste
Contrôle + agoniste (en logarithme10 de la conc molaire)
80 • La puissance ‘apparente’ de
3
l’agoniste est diminuée (EC50
Réponse
1
60 augmente) 2
A + R AR B + R BR
Réponse
l’agoniste) vers des
(% max)
80
concentrations supérieures 60
40 Sans B
Une manière d’aborder cette
20 Avec B
question du déplacement est
0
d’étudier l’augmentation
d’agoniste qu’il faut considérer [A]1 [A]2
pour conserver une réponse Log [A]
identique
100
Plus de précision dans
80
l’évaluation expérimentale
Réponse
60 de la puissance d’un
40 antagoniste compétitif :
20
La mesure du pA2, sur
0
base de l’effet de
Concentration en agoniste
(en logarithme10 de la conc molaire)
l’antagoniste testé à
plusieurs concentrations
Sans antagoniste
Avec antagoniste Conc1
Avec antagoniste Conc2
Avec antagoniste Conc3
60
2 • L’efficacité apparente de
1 l’agoniste diminue
40
• La puissance ‘apparente’ de
20 l’agoniste est inchangée (EC50
0
3 constante) 2
Concentration en agoniste • Plus la concentration en
(en logarithme10 de la conc molaire) antagoniste est élevée, plus la
Sans antagoniste Avec antagoniste Conc2 diminution est importante. 3
Avec antagoniste Conc1 Avec antagoniste Conc3
1ère phase
1ère phase :
(% de la réponse maximale)
100 La réserve de
récepteurs s’épuise ,
80 l’effet semble
surmontable
Réponse
60 2ème
phase 2ème phase :
40 la réserve est épuisée,
l’antagonisme devient
20 insurmontable.
Concentration en agoniste
(en logarithme10 de la conc molaire)
Agoniste
Antagoniste
Agoniste partiel
(à activité intrinsèque élevée)
Agoniste partiel
(à activité intrinsèque faible)
100°C
AGONISTE
110
100
Temperature (°C)
90 eau à 100°C
80
70
60
50
40
30
20
10
0
quantité ajoutée
100°C 37°C
AGONISTE Agoniste PARTIEL
110
100
Temperature (°C)
90 eau à 100°C
80
70
60
50
40
eau à 37°C
30
20
10
0
quantité ajoutée
+
100°C 20°C
AGONISTE ANTAGONISTE
BLOCAGE
TOTAL
110 eau à 20°C
100
Temperature (°C)
90
80
70 eau à
60 100°C
50
40
30
20
10
0
quantité ajoutée
Déc. 2012 Pharmacologie générale: 2. Récepteurs et cibles 75
Agoniste – Antagoniste – Agoniste partiel
+
100°C 37°C
AGONISTE AGONISTE PARTIEL
BLOCAGE
PARTIEL
110
100 eau à 37°C
Temperature (°C)
90
80
70 eau à
60 100°C
50
40
30
20
10
0
quantité ajoutée
Déc. 2012 Pharmacologie générale: 2. Récepteurs et cibles 76
Agoniste – Antagoniste – Agoniste partiel
Je suis Je suis
agoniste antagoniste
100 100
80 Partiel 80
Réponse
Réponse
60 60
40 40
20 20
0 0
Contrôle agoniste agoniste Contrôle agoniste agoniste agoniste
partiel + +
agoniste antagoniste
partiel
Déc. 2012
L’effet d’un agoniste partiel dépendra du contexte
Pharmacologie générale: 2. Récepteurs et cibles 77
Agoniste – Antagoniste – Agoniste partiel
150
% Résponse maximale
100 Réponses
toxiques
complet
50
Partiel Réponses
thérapeutiques
0
0 25 50 75 100 125 150
[médicament agoniste]
Quisqualate : agoniste
DFB :modulateur allostérique positif
• stéréospécificité
• localisation
• aspects structuraux
O O
H2NC H2NC H CH3
H CH3
N C6H5 N C6H5
OH H OH H
HO H H OH
RR : bloquant SR : 1 bloquant
O O
H2NC H2NC H3C H
H3C H
N C6H5 N C6H5
OH H OH H
H OH HO H
Exemples :
• Récepteur nicotinique de l’acétylcholine (Na+)
• Récepteur GABAA de l’acide -aminobutyrique (Cl-)
• Récepteur 5HT3 de la sérotonine (Na+)
• Récepteurs NMDA du glutamate (Na+, Ca2+)
Déc. 2012 Pharmacologie générale: 2. Récepteurs et cibles 98
Les récepteurs-canaux ioniques (ionotropiques)
Présence de nombreux
sites modulateurs,
agonistes, agonistes
inverses, antagonistes
compétitifs et
antagonistes non-
compétitifs, exploités
en pharmacologie
Structure
du canal
sodique
Déc. 2012 Pharmacologie générale: 2. Récepteurs et cibles 101
Canal ionique Na+, voltage dépendant
sous-unité :
• 1 seul long peptide principal de 280 Kda
• 4 motifs de 6 hélices transmembranaires
• Entre les motifs 1 et 2 : sites de phosphorylation (régulation)
• Hélices IV : riches en arginine/lysine, sensibilité au voltage
• Hélices V & VI + boucles : pore, passage des ions
sous-unités ß :
2 petites sous-unités avec une seule
hélice transmembranaire
(rôle inconnu, mineur)
Certains neurotransmetteurs
reconnaissent à la fois des
récepteurs ionotropiques et des
récepteurs métabotropiques
Exemple :
Sérotonine (5HT)
Glutamate
Acétylcholine
GABA!!!
T. Adipeux
Foie
Muscle
Insérer Rank
exemple des réponses fonctionnelles page 37
Effets de la stimulation des récepteurs
adrénergiques sur le foie, le muscle et le
tissu adipeux
Déc. 2012 Pharmacologie générale: 2. Récepteurs et cibles 122
Les récepteurs couplés aux protéines G : EFFECTEURS
Phospholipase C
• Stimulée par la protéine Gq
• hydrolyse le phosphatidylinositol diphosphate (PIP2)en inositol triphosphate
(IP3) et diacylglycérol (DAG)
• l’IP3 induit la libération des stocks intracellulaires de calcium (rétic. endopl.)
• Le DAG active la protéine kinase C (PKC)
• Activation de la PKC et augmentation de la [Ca2+] intracellulaire, conduisent à
des réponses.
Trouver un schéma
ou comment les
récepteurs couplés aux
protéines G modulent-
ils l’expression des
gènes…
Structure :
• Intracellulaires ! Les ligands doivent
pénétrer dans la cellule.
Liaison des
• Certains cytosoliques, d’autres sont agonistes
nucléaires.
• Caractéristique principale : présence d’un Domaine
site de fixation à l’ADN (avec spécificité de liaison
à l’ADN
vis à vis de séquences déterminées).
Exemples :
• Récepteur des stéroïdes
• Récepteurs de l’hormone thyroïdienne
• Récepteur de la vitamine D
• Récepteur de l’acide rétinoïque
Mécanisme d’action :
• Les récepteurs intracellulaires sont des facteurs de transcription
modulés par des transmetteurs.
• Ils contrôlent l’efficacité de transcription de certains gènes.
• Les effets sont lents à apparaître, et sont durables
y au
No
XXXXXXXX
R
Effets RNA R
R
Protéine mRNA R
R
Ligand
Exemple : mécanisme d’action des stéroïdes
Application de l'agoniste
Application de l'agoniste
Amplitude de la réponse
Désensibilisation
Resensibilisation
Amplitude de la réponse
Désensibilisation
Resensibilisation
Temps
Temps
Amplitude de la réponse
tion
il isa
ib
ens
S
Temps Temps
La régulation des
récepteurs est un
phénomène
physiologique qui
s’opère en permanence
dans l’organisme. Un
équilibre est ainsi établi.
L’application prolongée
d’un agoniste ou d’un
antagoniste entraîne une
modification de cet
équilibre
Note : la
naltrexone =
antagoniste des
récepteurs
opiacés
Control + Dopamine
On constate que l’application d’un agoniste induit l’internalisation des récepteurs (ici mis en
évidence avec un anticorps révélé en fluorescence). Le signal à la surface des cellules diminue et
des petits agglomérats de signal apparaissent DANS la cellule.
Tolérance
=
diminution progressive de la réponse à une substance après son usage répété suite à
l’adaptation de la cible pharmacologique (de l’organisme)
(= accoutumance)
L’individu doit augmenter les doses consommées (ou les fréquences d’administration)
pour retrouver l’effet recherché
Naïf Tolérant
100 %
temps
2. Tolérance + dépendance
150 %
AMPc
100 %
temps
NB : administration d ’un morphinique (dose fixe) aux moments indiqués par les flèches
200
(% de l'effet maximal)
150
Réponse
Etat sensibilisé
100 Naïf
Etat désensibilisé
50
-10 -9 -8 -7 -6 -5
Concentration de la substance
(en logarithme10 de la conc molaire)