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FOAD GESTION
Mention : Gestion
Parcours : Tronc commun
Niveau : M1
Semestre : S7
Unité d’Enseignement : UE1
Elément Constitutif :
PRINCIPE ET TECHNIQUE DE
MANAGEMENT
Elément: n°1
Concepteur :
Madame RAKOTOMALALA Claudia
Docteur en Sciences de Gestion
Enseignant-Chercheur
Université d’Antananarivo
Avertissement :
Section1 : L’ORGANISATION
Dans un premier sens, les organisations désignent des groupements humains qui coordonnent
leurs activités pour atteindre des buts qu’ils se donnent. Elles sont de nature économique
(entreprise), sociale (syndicat), politique (parti) ou religieuse (église)…
Dans un second sens, les organisations caractérisent les diverses façons par lesquelles ces
groupements agencent ou structurent les moyens dont ils disposent pour parvenir à leur fin.
Les modes organisationnelles sont appliquées à des ensembles concrets (ateliers, réseau
commercial, service après-vente…). Ce sont des instruments de rationalisation permettant
d’optimiser la gestion des ressources, la division des tâches, la répartition des pouvoirs ou les
règles de fonctionnement.
Dans un troisième sens, le terme organisation sert à décrire l’action d’organiser c'est-à-dire le
processus qui engendre les groupements ou les structurations.
Selon ETZIONI, « l’organisation permet d’associer un ensemble d’activité volontaires et les
coordonnant pour réaliser des objectifs communs ». Pour ce faire, l’organisation s’adresse à
un environnement avec lequel elle entretient des échanges indispensables à sa survie, tout en
assurant les conditions de stabilité nécessaire à son fonctionnement. Elle importe des
ressources et les transforme en produits, prestation de service conforme à sa mission. La
nature des enjeux est un facteur essentiel de différenciation, par exemple une entreprise est
considérée comme une organisation à intérêt commercial privé (but lucratif) tandis que les
établissements de type hospitalier ou université sont des organisations à intérêt public (sans
but lucratif).
La diversité vient aussi du degré de complexité (selon la taille, la technologie ou le contexte
d’action) ou de la façon dont les hommes sont impliqués dans l’action commune ( par
espérance de gain ou par conviction idéologique (syndicat ou association). Par rapport aux
hommes, certains définissent l’organisation comme un nœud de contrat s’intéressant aux
aspects collectifs et aux règles qui garantissent les transactions (convention statutaire, contrat
des salariés, contrat commercial). En tant que structure social concrète, l’organisation est un
ensemble de rôle, de norme, de rapport de pouvoir, de finalité et de valeur en interaction. Les
individus tachent de s’intégrer dans ce réseau relationnel, compte tenu des obligations ou des
bénéfices personnels qu’ils attendent.
2-1 L’entreprise
C’est une organisation qui produit des biens et services pour le marché. L’entreprise cherche
donc à satisfaire ses clients en répondant à un besoin solvable. Au cours de cette activité,
l’entreprise crée des richesses qui doivent lui permettre d’assurer sa pérennité et de rémunérer
ces différents acteurs. (Actionnaires, dirigeants, salariés).
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Un des enjeux majeurs du management consiste à gérer les intérêts divergents des parties
prenantes tout en maintenant la cohésion de l’organisation. Outre leur finalité lucrative, elles
doivent de plus en plus prendre en compte leur responsabilité sociétale.
- tâches d’analyse : compréhension des problèmes et des causes et de leurs incidences sur les
résultats passés ou probables pour l’avenir.
- tâches de choix des objectifs : qui consiste à hiérarchiser et à quantifier les objectifs à court
terme et à moyen terme et à les faire connaitre à toutes les organisations.
- tâches de formulation des politiques et stratégie : qui consiste à définir les grandes règles ou
lignes de conduite de l’entreprise dans différents domaines (ex : politique générale, politique
commerciale, politique financière, politique sociale…), elle consiste à imaginer les stratégies
d’action compte tenu du contexte ; à prendre en compte du problématique de l’entreprise, de
la situation concurrentielle et prévoir les résultats attendus.
- tâches d’organisation : qui consistent à préciser comment l’action sera mise en œuvre (choix
des moyens, délégation de responsabilité, structure, procédure et méthode de gestion…)
- tâches d’animation et de motivation : informer, communiquer, mobiliser les énergies et les
compétences dans une même direction.
- tâches de contrôle : mesurer les résultats obtenus et les comparer aux objectifs visés.
Analyser les écarts éventuels pour identifier les causes et engager les actions correctives
appropriées.
Cependant, en pratique pour la réalisation de ces différentes tâches, les managers se trouvent
en permanence confrontés à un environnement turbulent : impact des nouvelles technologies,
mutations économiques, impératifs écologiques…
L’école classique
L’école des relations humaines
L’école quantitative
L’école moderne
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Les différents théories universelles.
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Le gestionnaire doit donc être sensible aux facteurs qui font varier une situation précise.
L’approche situationnelle proposée particulièrement par P. LAWRENCE invite les managers
à utiliser les techniques et la philosophie qui conviennent aux circonstances.
L’approche systémique souligne la relation entre les parties dans l’organisation tandis que
l’approche situationnelle tente de comprendre comment ces différents éléments sont inter-
reliés et dépendent l’un de l’autre. (ex : le choix d’un style de leadership ne peut se reposer
sur des critères prédéterminés, le meilleur choix dépend des subordonnés, des valeurs de
l’entreprise, de la personnalité du manager, du temps disponible, bref de la situation).
Cette approche est maintenant très répandue et acceptée comme méthode de management.
Elle reconnait la grande complexité du processus de management ainsi que les besoins d’être
flexible et de s’adapter aux variables de chaque situation. Ainsi, le management est exercé
avec un certain style qui résulte d’une combinaison de la personnalité des dirigeants et des
composantes propres à l’organisation qu’ils conduisent.
et éthique (le subordonné obéit car il est convaincu et forcé) mises à causes de son
efficacité supérieure.
le coaching : c’est une approche où le supérieur cesse de se sentir « supérieur ». C’est
le remplacement du paradigme d’un management basé sur le contrôle, l’ordre,
l’obéissance par celui d’un manager qui est basé sur l’implication. L’accent est mis sur
le travail et non pas sur la personne, sur le développement d’aptitude et surtout sur le
problème personnel, sur la performance de chaque collaborateur, et surtout sur un
standard absolu. Le but final est d’augmenter les capacités des collaborateurs de les
responsabiliser et de créer un climat, un environnement, un contexte qui les mettent en
position de donner ce qu’ils ont de mieux.
la délégation : ici, le leader ou le cadre n’accepte pas lui-même le travail mais il
encadre la personne à laquelle il a confié l’organisation du travail.
le leadership situationnel ou contingent : cette approche stipule, « quel style de
management est performant dans telle situation ou telle circonstance ». Les
dimensions de la situation dont il fallait tenir compte sont : le temps à disposer, la
nature de la tâche à exécuter, le rôle du chef et l’atmosphère du travail puis on ajoute
les attentes, les capacités et les nombres des subordonnés. THIEISAND (81).
chaque orientation, on peut décrire 81 styles de leader. BLAKE et MOUTON n’ont fait porter
leur analyse que sur les styles extrêmes et centraux.
Le laisser-faire : qui correspond au style 1/1
Dans ce style, le dirigeant ne s’engage pas, il reste passif et évite les contacts, fuit les
décisions ou la prise de responsabilité (laisser- aller): très peu d’intérêt pour les relations
humaines et sur la production (gestion anémique).
- soit par démotivation,
- soit par frilosité,
- soit par manque d’intérêt (il ne s’occupe que de technique).
le dirigeant développe, au sein de son équipe, trois types de réactions:
- certains collaborateurs, ravis, laissent libre cours à leur créativité et à leurs initiatives;
- d’autres entrent en guerre pour conquérir ce qui est laissé vacant, c’est-à-dire le leadership;
- d’autres encore jouissent ou souffrent de l’oisiveté.
Le paternaliste : qui correspond au style 1/9
Dans ce style, l’aspect social est l’objectif du dirigeant. Beaucoup d’intérêt pour les relations
humaines et peu d’intérêt pour la production. (Gestion club social)
Le dirigeant recherche, avant tout, « l’amour » de ses collaborateurs. Un bon climat reste sa
quête essentielle. Il protège, surprotège même, il vole au secours de la moindre défaillance ou
difficulté. Il n’hésite pas à contrebalancer les insuffisances des collaborateurs par un
surtravail. Il camoufle les manques de compétences en se substituant à l’opérateur. Ce style
repose sur un humanisme réel, d’ailleurs ses collaborateurs l’aiment bien, même s’il agace
certains. Le véritable problème de ce style réside dans le fait qu’il ne développe ni les
compétences, ni l’engagement des membres de l’équipe.
L’autocrate : qui correspond au style 9/1
Dans ce style, le dirigeant se soucie des tâches à réaliser et néglige les relations avec ses
subordonnés. Beaucoup d’intérêt pour la production et peu d’intérêt pour les relations
humaines. (gestion autocratique) Il considère son personnel comme un instrument de travail.
Le dirigeant n’a pas d’état d’âme. La clarté est d’ailleurs sa force. Il dirige et décide, les
autres exécutent. Les tâches de chacun sont précisément définies et contrôlées, les objectifs
sont limpides, les sanctions aussi. Un autocrate durant une période plus ou moins courte, en
fonction de son visage, génère du résultat. Il est l’homme du court terme, de la gestion de
crise.
L’alternatif : qui correspond au style 5/5
Dans ce style, le dirigeant est à la recherche du juste milieu, il est motivé de manière moyenne
entre production et aspect humain. (Gestion intermédiaire)
Le dirigeant essaie d’obtenir un niveau optimal de production tout en conservant un bon
moral chez les employés. Il se croit le manager de la mesure, qui sait arbitrer entre les
impératifs d’efficacité et de climat relationnel. En fonction des situations, il sait sévir ou
excuser.
En fait, il adapte son style au gré du vent, au gré des résultats de l’unité. Quand tout est calme,
les objectifs en vue, il adoptera une attitude paternaliste; par contre, en cas de difficultés,
d’erreurs, d’urgence, il saura prendre le masque de l’autocrate et jouer ce rôle sans
défaillance.
Le participatif : qui correspond au style 9/9
Dans ce style, le dirigeant est capable de concilier les deux variables à leur plus haut niveau,
c’est l’accomplissement de travail par des personnes responsables avec relation de confiance
et respect mutuel. (Gestion par travail en équipe)
Il est l’homme du moyen terme. À brève échéance, les résultats de son unité peuvent être
inférieurs à ceux de l’autocrate ou du paternaliste. Il doit d’abord constituer son équipe, la
former, la motiver, déléguer un certain nombre de tâches. Le style participatif repose sur une
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croyance simple: « Seule une équipe motivée, formée, prenant des initiatives, jouissant de
larges délégations, pourra à moyen terme dégager des résultats durables.»
Le manager doit être, non seulement capable d’analyser et d’évaluer chaque contexte, mais
aussi d’adopter les attitudes et les comportements adaptés.
Pour cela, il lui faut jouer en permanence sur trois registres:
L’Autorité: il s’agit du pouvoir formel qui lui est conféré de par sa position
hiérarchique, la partie du pouvoir de direction qui lui est déléguée.
Le Leadership: il s’agit d’une autorité informelle qui lui est reconnue par ses
collaborateurs, du fait de ses capacités à proposer une direction (un objectif),
une méthode pour y parvenir (une organisation et un plan d’action), une
coordination qui assure la cohésion des efforts de chacun et la valorisation de
tous. Le leadership est d’essence relationnelle, il repose sur la capacité
d’écoute, de compréhension, de communication du responsable. Il sait nouer
des relations fortes et positives avec chaque membre de son unité.
Le Charisme: il s’agit d’une puissance ou d’une séduction personnelle du
responsable, indéniable et reconnue de tous.
En étant équilibrés entre eux, ces trois piliers fondent le style de management, l’existence
d’un seul niveau réduit à néant toute possibilité de mise en œuvre d’un management
différencié.
Les objectifs
Les Les
politiques
politiques
Les procédures
Les programmes
Les règlements
Les budgets
Les objectifs : dépendent de la finalité des entreprises. Il s’agit des résultats à atteindre, la
cible et un ensemble de contraintes et obligation. Afin de réaliser les objectifs, des règles, des
politiques, des procédures vont être formulées ainsi que la stratégie.
Les politiques : sont les plans permanents servant de guide pour la prise de décision ou pour
la réflexion en vue d’atteindre les objectifs (politique commerciale, politique de formation,
politique de recrutement de personnel…)
Les procédures : sont des plans qui définissent le déroulement normal des activités en
indiquant les méthodes utilisées, les outils … elles indiquent de façon précise la manière
d’accomplir l’activité en question. (par ordre chronologique…)
Les règlements : sont des énoncés d’action ou de comportement (ex : règlement intérieur…)
Les programmes : peuvent concerner des plans à moyen et court terme élaborés dans un but
précis. Il s’agit des programmes d’action (ex : lancement d’un nouveau produit, création de
nouveau service…)
Les budgets (font parties intégrante des programmes) : traduisent en terme financier les
objectifs, politiques et programme d’action.
La stratégie tourne autour de la décomposition des objectifs en sous objectifs, la fixation des
centres de responsabilité, la mise en place d’une structure fonctionnelle, la budgétisation des
programmes, le contrôle d’exécution, l’analyse des écarts et les mesures rectificatives.
Les missions de ces deux types de planification présentent des caractéristiques différentes :
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style autoritaire
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style consultatif
4
style du décideur économique
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style participatif
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CHAPITRE VI : LA DIRECTION
Dans l’exercice de sa fonction et afin de mener à bien sa mission, le manager se doit de
connaitre les notions essentielles qui tournent autour de la direction. Ainsi mise à part
l’analyse des informations sur l’environnement dans lequel l’entreprise opère, il y a aussi la
maitrise des divers problèmes organisationnels qui pourront avoir des impacts conséquents
sur l’atteinte de l’objectif fixé.
Section1 : LA MOTIVATION
Le rôle de la hiérarchie consiste à faire exécuter le travail par les employés ce qui nécessite
quelque fois la mise en œuvre de la motivation.
permettre à la fois d’apporter une plus grande satisfaction ou travailleur et des rendements
accru à l’entreprise.
La contribution fondamentale de HERTZBERG pour le manager est sa théorie sur
l’enrichissement des emplois. Il souligne le lien existant entre le contenu de l’emploi et la
satisfaction de l’employé. Le manager peut enrichir l’emploi en y intégrant les facteurs de
motivation par l’élargissement des tâches c'est-à-dire confier au travailleur plus d’opération
d’un même niveau de compétence (rotation des postes de travail).
L’enrichissement des tâches : accorder un contrôle plus complet de leur tâche moins de
contrôle, plus d’initiative, augmentation de la marge de manœuvre (plus de responsabilité et
de considération, plus d’autorité, contact directe avec l’employé…), donner des tâches plus
complexes afin que l’employé puisse mettre en pratique ses connaissances et ses habilités et
puisse en acquérir des nouvelle mise en place de fonction personnalisée pour lui permettre de
devenir un expert et de voir sa motivation reconnue (croissance de responsabilité).
En théorie, les conflits sont étudiés selon des courants de pensée eux- même divergents ou
opposés. On peut les analyser comme des coûts (des risques, des pertes de rendement,
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d’efficacité…) mais aussi comme des facteurs d’équilibre et de progrès (des possibilités de
débat constructif ou de réorganisation des potentiels. Plus précisément, on distingue trois
écoles de base d’après ROJOR (1994).
La première veut supprimer les conflits, son existence étant considérée comme un mal en soi.
Dans cette perspective, elle tâche d’obtenir un consensus permanent en soumettant au
fonctionnement organisationnel, à une rationalité unique ou a des techniques de
standardisation.
La seconde cherche à guérir les conflits en supposant que ce sont des maladies de
l’organisation, elle prône la communication et des méthodes de gestion sociale qui apaise,
répare ou contourne les tensions.
La troisième accepte les conflits tels qu’il est avec réalisme en cherchant simplement à le
gérer, elle aborde les organisations comme un réseau de négociation dans des champs
conflictuels à rationalité limitée. Les limites de la rationalité sont liées à toute sorte de filtre
depuis les contraintes vécu par les acteurs jusqu’aux influences sociales et par des biais
cognitifs inhérents à l’être humain.
Le conflit est une dimension inévitable dans la vie de l’entreprise, c’est aussi une source
d’innovation et de créativité, une sorte de remise en question des pratiques et des habitudes de
gestion ; les conflits découlent donc des relations entre les individus et entre des groupes
causés par l’accroissement du stress chez un individu et ses conséquences sur ses activités
dans un milieu de travail. Ils proviennent également des attentes incompatibles des individus
ou des groupes et des différences entre les tâches de chacun, entre les procédures, les valeurs
ou les désirs. TURGEON (1999)
Le conflit apparait entre les membres d’une organisation lorsqu’une partie perçoit que l’autre
est sur le point de nuire ou de tenter de nuire à ses intérêts, il est surtout causé par
l’incompatibilité des objectifs de chacune des parties, la disponibilité des ressources
nécessaires à la réalisation des objectifs respectifs et par les niveaux d’interdépendance des
activités de chacune des parties.
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Menace à sa sécurité ou à ses habitudes, l’individu a peur de l’inconnu et de ces conséquences : la situation
actuelle répond à ses besoins, le changement apporte un bénéfice inconnu.
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