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SOMMAIRE :
I.
Introduction……………………………………………………
…………………
II. Sociologie
urbaine………………………………………………………….
.
II-I. Contribution de la sociologie urbaine…….
……………………………………………….
III- Anthropologie
urbaine……………………………………………………….
III-I. Contribution de
l’anthropologie…………………………………………………………………..
IV. La
conclusion……………………………………………………
……………..
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I. Introduction :
Lorsque l'on examine attentivement ces deux sciences, on se rend compte de leur
différence de genre. L'anthropologie, traitant de l'homme en tant qu'être particulier est d'abord
une science descriptive. Elle n'est pas concernée par des lois ou des principes mais par des
faits matériels. La sociologie, à l'inverse, s'intéresse d'abord aux interactions et à ce qui les
suscite ou les modifie. Ces dernières ne relèvent pas de données matérielles. Il s'agit de
phénomènes. La science qui s'y attache est de ce fait concernée principalement par des lois et
des principes qui influent sur les conditions de l'association. En bref, alors que l'anthropologie
est une science essentiellement concrète, la sociologie est, elle, une science essentiellement
abstraite.
De nos jours, la moitié de l’humanité vit dans des zones urbaines. On estime que
cette proportion continuera d’augmenter au cours des prochaines décennies la ville se définit
de manière variée mais toujours avec une grande précision culturelle et politique, on voit le
plus souvent dans les agglomérations urbaines à la fois des pôles d’interactions culturelles et
ethniques et des environnements susceptibles de stimuler un développement durable. Étudier
les milieux urbains et les dynamiques complexes qu’ils recèlent est donc primordial. Comme
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l’a remarqué Italo Pardo, la recherche de terrain en anthropologie est un « art du possible » :
or les villes regorgent de possibilités. Assortie d’objectifs de recherche précis, la
méthodologie de l’ethnographie engendre une multitude d’approches et de nouveaux défis
paradigmatiques. jusque dans les années 1970 les distinctions établies entre les disciplines
académiques avaient amené les anthropologues à se concentrer sur les sociétés tribales, voire
les communautés villageoises, sans réellement s’intéresser aux milieux urbains en tant que
terrain de recherche. Ce choix s’explique en partie par une partition disciplinaire remontant à
la fin du xix e siècle et selon laquelle les villes, notamment dans les sociétés occidentales
industrialisées, formaient le domaine propre aux enquêtes sociologiques .
Le développement progressif de la recherche anthropologique en milieux urbains suscita une
inquiétude paradoxale chez les tenants de la discipline. Alors que les sociologues
manifestaient un intérêt accru pour la méthode ethnographique, certains anthropologues
anglais reconnus qui travaillaient sur les villes ont ouvertement mis en doute la possibilité
d’appliquer l’observation participante en zones urbaines ; ceci aboutit à promouvoir de
nouvelles méthodes et une « anthropologie par procuration ».
Au cours des années 1990, l’anthropologie urbaine a vu se multiplier les recherches sur la
relation entre les gens ordinaires et les élites, sur la légitimité de la gouvernance, sur l’espace
social, la marginalisation, le crime, la violence et les conflits, ainsi que sur les mouvements de
résistance , L’anthropologie a parcouru un long chemin depuis l’époque où la recherche
ethnographique légitime ne pouvait se dérouler que dans des localités exotiques et rurales.
Aujourd’hui, les anthropologues sont de plus en plus nombreux à mener des recherches en
ville, y compris dans les grandes villes occidentales.
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Développement :
La corruption peut se définir comme violation de la loi de façon indirecte, elle
consiste à octroyer un avantage à une personne pour qu’elle accomplisse ou pas un acte qui
relève de sa fonction
1/Il existe deux corruptions : Active et Passive
3/La corruption peut être classée de différentes manières. Les types de corruption les plus
courants sont :
1-Le pot-de-vin : Consiste à la remise à un fonctionnaire ou agent public d’un
avantage indu, un pourcentage du montant d’un contrat ou toute autre faveur en nature afin
que celui-ci agisse ou s’abstienne d’agir dans l’exercice de ses fonctions officielles. Le pot-
de-vin peut se présenter sous plusieurs formes :
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1-1. Les dessous de tables
1-2. Les commissions occultes
1-3. Les cadeaux
2-Les prélèvements illicites : des taxes ou droits de services, qui ont été
prélevés de manière illégale.
3-Les conflits d'intérêts : lorsqu’un individu participe à plusieurs activités qui sont
liées, donnant lieu à manque potentiel d’impartialité dans les prises de décisions, les conflits
d’intérêts font surface
4-La collusion : arrangement entre deux partis ou plus, avec intention malhonnête de
détromper un processus.
2.Les causes économiques : souvent décrite comme étant un crime économique. Les
pratiques de corruption sont plus dans des économies à faible niveau de croissances. Afin de
continuer sur cette marche difficile, les entreprises vont employer des méthodes interdites, ce
qui permet aux fonctionnaires de tirer profit de ces inquiétudes.
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1. Les conséquences économiques :
Le point de vue conventionnel est que la corruption entrave la croissance économique, car
elle entraine :
- L’augmentation des coûts
-Un découragement de l'investissement
- Une limitation du développement
- La favorisation des investissements improductifs
Conclusion :
La lutte contre la corruption relève un défi très sévère et difficile qui consiste
donc d’aller de pair avec le renforcement de l'état de droit et de la bonne gouvernance ainsi
qu'avec l'établissement d'institutions solides qui, à leur tour, sont la base du développement
humain.
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