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Test qui dure 1H30 environ, scénario et faut appli’ la méthode universelle qu’on déploie pour gérer
une crise
Voice ce qu’il se passe / voilà quelles sont les csq / voilà qui est concerné / voilà ce qu’on fait pour y
remédier
Dans chaque crise y a un prix à payer pour son règlement. Y a tjrs un prix à payer car la gestion de
crise c’est la créa’ un modèle qui n’existe pas : en déployant des actions on va créer d’autres csq
qu’on n’a pas encore pu anticiper
Après la crise on ne revient pas à avant, il y a des choses qui vont rester
CAUSES/CSQ
Mondialisation est un pb
Est-ce qu’on laisse faire la nat’ ? La nat’ a tjrs bien fait les choses, mais est-ce qu’on accepte ça ?
Situation de crise c’est qu’on n’agit pas avec les moyens habituels
La crise c’est qd on a causes + csq / impacts
CRISE : impact sur les perso’, l’act’, mon image, la respo’ et l’env’ et aussi pq pas l’impact financier
La crise est un événement dont la sévérité des impacts ne peut pas être gérés avec les plans prépa’ à
l’avance / les procédures hab’ et c’est pour cela qu’on parle de crise. Pour gérer une crise on a une
posture dérogatoire qui est la gestion de crise. Ce qu’on peut pas anticiper c’est la sévérité des
impacts. Ce qu’on ne peut pas connaître non plus c’est la D des parties prenantes
C’est quoi l’événement ? Qu’est-ce qu’on att’ de moi ? C’est quoi le contexte de l’événement ?
Le rôle de la gestion de crise de prendre des scénarios et de voir ce qu’on doit changer dans l’orga’
existante donc de prépa’ une orga’ flexible
Pompiers, policiers, c’est pas de la gestion de crise, c’est de la rép’ urgente très orga’
En Fr’, ce lui qui fait de la gestion de crise c’est le préfet car a tt ces parties prenantes impliquées
Pr’ PM préfet maires, mais le pb de la Fr’ c’est qu’on est sur du top-down, on n’a pas de
retour sur les décisions, les dispo’, on s’adapte pas
+ on rajoute de nvx, + c’est dur à coordonner
Gestion de crise : faut comprendre la dimension hû / dimension socio’ / dimension négo’ / dimension
recul (il faut pas être dans un entre-soi mais un autre soi, faut voir les choses telles qu’elles sont pas
telles qu’on veut les voir)
La gestion de crise c’est de l’imparfait alors que les gens veulent du parfait. C’est normal que tout ne
fonctionne pas comme prévu
La gestion de crise commence tjrs par une hist’. On va essayer de comprendre le début de l’hist’. II y
a les faits puis faut les confirmer
Parties prenantes internes/externes (par rapport à l’entité touchée par le pb) : celles impliquées dans
la gestion de l’événement/gestion de crise (internes), celles impactées = les victimes, celles à
informer
Connaître l’hist’ pour : connaître la sévérité des impacts puis les gérer = les anticiper et aussi gérer les
parties prenantes en comprenant leurs attentes
Il faut savoir ce que veut l’attaquant
Attention aux effets silo = chacun L dans son coin alors qu’il faudrait qu’ils sortent de leur zone de
confort
Ajd le vrai pb c’est que chacun pense qu’il a la solution au pb à son niveau, mais non, faut prendre en
compte l’ensemble
Il faut com’ avec les parties prenantes dans les 2 sens. Qu’est-ce qu’on peut s’apporter. Et là je crée
un plan d’action
La gestion de crise c’est l’art et la manière de connaître l’hist’ pour gérer tout ou partie des impacts
et/ou tout ou partie des parties prenantes
Le changement de posture ind’ peut entraîner du stress : réaction physiologique. Face à une crise on
va avoir stress positif ou négatif. Stress positif c’est qu’on va mob’ toute l’énergie dessus. Stress
négatif c’est qu’on se paralyse, par ex’ qd c’est trop tard. Effet tunnel : on ne voit pas l’événement en
entier mais qu’une partie de la réal’. Le stress est alimenté par les émotions. Tt les parties prenantes
en gestion de crise son affectées par le stress et partant par des émotions : colère, peur, tristesse,
joie
Dès que ça dépasse un jour ou deux on n’est plus sur une émotion mais un sentiment et après on est
sur humeur (trouble de l’humeur)
La peur c’est la peur de la csq, la tristesse c’est logique du deuil (j’ai perdu qqch), la joie (c’est pas le
sentiment qui domine mais y a bonnes nvlles etc), colère (car qqun ou qqch a entravé ce que j’avais
prévu de faire, ça entrave l’agenda perso’ ou pro’). La tristesse est l’émotion la plus dure à gérer
L’écoute est une arme fatale. Remettre de la rationalité dans l’émotion et ça, ça vient avec le plan
d’action. Si je diminue l’effet de stress, je diminue l’effet tunnel et donc je vais pouv’ acquérir une
vision globale des choses
Logiques de deuil : choc/sidération ; déni ; colère ; peur des csq ; temps de latence (faits/impacts) ;
acceptation. Mais en fait il peut y avoir retour, surtt /b/ colère et peur
En crise on ne ment pas, on peut occulter la vérité pdt qq temps mais on ne ment pas car y aura tjrs
un retour à l’envoyeur
Escalier de changement comportemental en période de crise. Pour que la partie prenante ait une
émotion stable, qu’est-ce que je fais en premier : écoute active (je parle /b/ 5 à 10% du tps) l’obj’
c’est de créer l’empathie (capacité à se mettre à la place de l’autre, lui dire je t’ai compris bcs
ça/ça/ça…) créer un lien avec la partie prenante je com’ avec elle sur le plan d’action si le
plan d’action atteint les att’ des parties prenantes, on va alors changer leur comportement
Sinon la partie prenante va sur les réseaux sociaux
Il faut pas que la partie prenante se rende compte des mécanismes stratèges qu’on met en place. Le
danger c’est qu’une crise majeure peut fédérer plein de gens qui vont s’en prendre à la source du pb
en un temps record
Les chiffres ont en fait ce qu’on en veut sauf si les indicateurs sont très clairs L’indicateur le +
pertinent qu’on devrait tous suivre c’est la capacité à absorber en réa’
Lilian.laugerat@solace.fr