Chapitre: Resistance bactérienne et cancérisation 

La resistance bactérienne (fiche lesson)

Activité 1: 
Doc. 1 (p. 1): Le document 1 est un antibiogramme qui permet de déterminé la sensibilité d’une souche de bactérie a different antibiotiques.
On constate que sur l’antibiogramme l’aureole d’inhibition autour de la pastille d'antibiotiques n’a pas la meme taille.
Cette aureole permet de determiner l’efficacité de l’antibiotique. On en déduit que l’antibiotique D est inefficace et l’antibiotique A est
efficacement.
Doc. 4 (p. 2): Le document 4 montre l’evolution de la consommation des antibiotiques en France entre 2000 et 2003. On constate que entre 2000 et
2004 la consommation d’antibiotique en France a diminué et est passe de 34 a 29,3. On peut suppose que la campagne de 2002 a été efficace, alors
que celle de 2010 cenelle peut efficace, le nombre de dose est passe de 30,5 a 32,3.
Doc. 2 - 3 (p. 1 - 2): Les documents 2 et 3 montre une force d’augmentation de pourcentage de bactéries resistance depuis 2008, les antibiotiques
n'agissent ps donc tous entre toute les bactéries. Un antibiotique ne va tirer que des bactéries sensible se qui permet la selection naturel des bactéries
résistantes. Il faut donc une utilisation résinez des antibiotique pour résonner les souches de bactéries restante. 

Lesson: 

I- Variation génétique bactérienne et resistance au antibiotique 

Les bactéries sont des être vivant uni-cellulaire très différents et présent partout (eau, sol, air, objet…). Cecon des substances naturel (produite par
certain micro-organisme, comme des champignons) ou artificiel qui bloque la croissance bactérienne ou qui détruise des bactéries. Ils ne sont
efficace que sur des infections bactériennes. 
L’ADN des bactéries comme celui de tout les êtres vivants peut subir des mutations spontanées ou provoquer par l'environnement et qui vont rendre
les bactéries résistantes a un ou plusieurs antibiotiques.
L’utilisation des antibiotiques va donc sélectionner des bactéries mutantes devenue résistante en éliminant les bactéries sensibles a ses antibiotiques.
La proposition des batteries resistance dans une population donnes suite a cette selection réalisé par l’antibiotique. 

II- Resistance au antibiotiques: un enjeux des santés publics 

L’utilisation systématique de traitement antibiotiques en santé humaine ou pour des applications agronomiques ou vétérinaire conduit a augmenté la
fréquence des formes résistante dans les populations naturel des bactéries. Cela représente un enjeux majeur des santé public parce que le nombre de
famille d'antibiotiques disponible est limité.
Inversement, la diminution de l’utilisation des antibiotiques en santé humaine et dans les élevages a conduit a une diminution du nombre de
bactéries résistante a ses antibiotique. 
Il faut envisage de nouvelle pratique individuelle et collective plus responsable a fin de préserver l’efficacité des antibiotiques. Cela passe
notamment par des campagnes d’informations ainsi que par la mise en place des réseaux de surveillance de la résistance bactériennes au
antibiotiques. 

II- La cancérisation
Une cellule somatique devient cancéreuse a l’issue de plusieurs mutations. Elle se distingue des cellules normale par leurs immortalité, par la perte
de leurs fonctions initiales, et par leur multiplication anarchique et incontrôlée qui échappe au mécanisme de contrôle. La multiplication de ces
cellules formes des tumeurs capable de provoqué la multiplication des vaisseaux sanguin et donc leurs approvisionnement en nutriment et en
d’oxygène. 
Des cellules cancéreuses peuvent se détacher de ses tumeurs passe dans les vaisseaux sanguins pour migrer dans l’organisme et forme de métastases
a l’origine de nouvelle tumeurs. Le cancer peut ainsi devenir inventif et interner la mort.
Plusieurs facteurs de risques environnementaux et génétiques peuvent entraîné le cancer (tabac pour le cancer des poumons, soleil pour le cancer de
la peau, alcool pour le cancer du fois).  
Plus de la moitié des cancers sont associés a des mutations du gène codant pour la protéine P53 ui est une protéine qui supprime les tumeurs. Cette
protéine est capable d'arrêter le cycle cellulaire pour une éventuelle réparation après la replication ou de provoquer la mort de la cellule par
apoptose, c’est a dire la cellule va se suicidé (=suicide cellulaire).