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b) Types d’entreprise
Cette structure concerne les secteurs suivants : Commerces – Artisans – Cabinets libéraux –
Très petites entreprises (TPE).
c) Avantages
- Mise en œuvre simple,
- Structure flexible,
- Grande adaptabilité au changement,
- Faible besoin de coordination,
- Grande réactivité bilatérale : chef d’entreprise-responsable
- Pas de risque de redondance de poste
- Grande complémentarité.
e) Observations
Cette structure est organisée autour du chef d’entreprise, souvent son créateur, dont les qualités
de leadership sont essentielles pour la survie de l’entreprise. Les responsables sont rassemblés
autour de lui pour faire fonctionner la structure.
2) La structure fonctionnelle
La structure fonctionnelle repose sur le découpage de l’organisation par grandes fonctions ; le
découpage des unités est donc horizontal et entraîne leur spécialisation. Au stade de la structure
fonctionnelle simple, les principales fonctions opérationnelles apparaissent et le dirigeant en
assure seul la coordination. À mesure que la taille de l’entreprise s’accroît, la structure
fonctionnelle évolue car le dirigeant ne parvient plus à assurer la cohérence entre les fonctions.
Par conséquent, la direction générale se spécialise à son tour et des fonctions non
opérationnelles (finance, gestion des ressources humaines, marketing...) s’ajoutent aux
premières fonctions de l’entreprise (production, commerciale...). La structure fonctionnelle
présente un grand nombre d’avantages. Cette structure est simple, claire et centralisée. Les
domaines de compétences et de responsabilités sont clairement définis, répondant au principe
d’unité de commandement énoncé par Fayol (1916). Le dirigeant assure la coordination. Le
développement des compétences est favorisé par la reconnaissance d’experts de la fonction.
Cependant, elle n’est pas exempte de limites et son utilisation suppose un certain contexte. La
centralisation conduit à une formalisation élevée des procédures et à de l’immobilisme. Le
cheminement de l’information est long. Cette structure s’avère un inconvénient quand la taille,
la diversité des produits et l’incertitude de l’environnement augmentent. Chaque fonction peut
avoir tendance à privilégier ses propres buts et à perdre de vue ceux de l’organisation. La
coordination entre les fonctions devient difficile. Par conséquent, la structure fonctionnelle
répond aux exigences d’un environnement stable et n’est plus adaptée au-delà d’une certaine
taille de l’entreprise et/ou d’une trop grande diversification des produits. Pour Drucker (1974),
le principal apport de Fayol est d’avoir introduit la notion de structure fonctionnelle. Pour
autant, il estime que «si on l’utilise en dehors des limites du modèle fayoliste, la structure
fonctionnelle s’avère rapidement coûteuse en temps et en efforts et elle implique un risque
sérieux de déperdition des énergies de l’organisation ».
3) La structure divisionnelle
La structure divisionnelle opère un découpage de l’entreprise en unités autonomes spécialisées
en fonction des domaines d’activités stratégiques. La spécialisation repose en pratique
principalement sur la distinction d’activités (une division par activité), de familles de produits
(une division par produit), ou encore de marchés (une division par zone géographique). Cette
structure répond à certaines des limites de la structure fonctionnelle. Chandler (1962) décrit
l’avènement de la structure divisionnelle dans les années 1920 aux États-Unis jusqu’à son
apogée dans les années 1960. Les premières entreprises à l’avoir adoptée sont alors Dupont,
General Motors, Standard Oil Company et enfin Sears, Roebuck and co. Sloan (1963) qui a
dirigé General Motors explique les résistances face à la mise en place d’une structure
divisionnelle dans une entreprise jusqu’alors très centralisée et l’importance des mécanismes
de coordination pour réussir la décentralisation.
Quels sont les principaux avantages de cette structure ?
Cette structure permet de concentrer des moyens et compétences au niveau de chaque division
ce qui favorise l’innovation. Elle permet de mener un raisonnement stratégique spécifique à
chaque division et facilite l’adaptation au changement. Les responsabilités sont décentralisées
et les résultats de chaque division visible, ce qui permet d’en mesurer la performance.
Quelles sont les limites de cette structure ?
Cette structure fonde sa divisionnalisation à un seul critère, ce qui peut être insuffisant. Elle
limite les possibilités d’économies d’échelle et peut conduire à des doublons. La
divisionnalisation et la mesure de la performance peuvent conduire au développement de la
concurrence interne. La multiplication des divisions peut nuire à la transmission des
compétences techniques entre divisions. L’innovation peut être freinée par la segmentation
rigide des divisions. La coordination des divisions est difficile à assurer quand elles se
multiplient ou que leurs interdépendances augmentent. Les mécanismes de coordination se
complexifient. Cette structure répond donc au contexte de diversification des activités, des
produits et des marchés. Elle se retrouve principalement dans les entreprises diversifiées à
produits liés et dans les conglomérats. Elle soulève plusieurs problématiques : celle de
l’arbitrage entre les avantages de la divisionnalisation et la perte d’économies d’échelle, celle
du degré d’autonomie et de contrôle des divisions et surtout celle des modalités de découpage
et de liaisons entre les différentes divisions. Elle ne permet notamment pas de découper les
activités sur une base multicritère.
4) La structure matricielle
La structure matricielle est une structure plus complexe que les précédentes. En effet, elle
combine deux critères de segmentation des activités. Les couplages les plus courants sont les
structures matricielles fonctions/produits, ou produits/régions. La structure matricielle induit de
facto une double hiérarchie, ce qui contredit le principe d’unité de commandement de Fayol
(1916), mais rejoint la vision de Taylor (1911). Les structures matricielles sont apparues dans
les années 1970, sans pour autant avoir été toujours clairement identifiées par les entreprises
les utilisant. Par ailleurs, certaines structures matricielles ne sont pas permanentes quand elles
répondent à une logique de projets. Les structures par projets sont généralement des structures
mixtes qui peuvent combiner la logique matricielle, mais aussi la logique fonctionnelle.
Quels sont les principaux avantages de cette structure ?
Cette structure supprime les cloisonnements internes, favorisant ainsi l’adaptation à
l’environnement et l’innovation. Elle favorise une bonne allocation des moyens et une pleine
utilisation des compétences. Elle facilite la circulation de l’information et vise à gérer les
interfaces.
Quelles sont les limites de cette structure ?
La dualité hiérarchique est critiquée et conduit à une négociation permanente et à la recherche
d’un équilibre du pouvoir. La pression sur les individus est forte. Cette structure est complexe
et difficile à mettre en œuvre. Elle multiplie les communications, engendrant des pertes de
temps. Les critiques de la structure matricielle sont fondamentales et son efficacité n’est
possible que si son principe est bien compris et accepté par les membres de l’organisation. Ceci
n’est pas évident, car cette structure remet en cause des principes de management bien établis.
En pratique, ces structures sont moins souvent employées que les autres, car un des critères de
segmentation prédomine. Ces trois structures-types (fonctionnelle, divisionnelle et matricielle)
sont les plus communes dans la réalité. Bien évidemment, les entreprises s’approchent plus ou
moins d’un type, mais ne s’y identifient pleinement que rarement. Par ailleurs, notons que les
entreprises internationales adoptent aussi ces structures, mais que leurs choix s’appuient
également sur la nécessité d’articuler les dimensions locales et globales. Se pose maintenant la
question de l’efficacité relative des structures et des facteurs d’influence sur la structuration des
entreprises. L’école de la contingence propose des pistes de réponse à ces questions.
1. Comprendre l’entreprise :
A. L’approche économique :
Cette approche définit une E/se selon deux disciplines : macro et micro-économique.
• macro : l’E/se est considérée comme l’agent économique chargé au niveau d’une
nation de la production et des biens et services par opposition aux ménages qui sont les
consommateurs.
• micro : l’E/se est une organisation structurée et autonome qui combine et rémunère
des facteurs de productions afin de produire, vendre et réaliser des bénéfices (valeur
ajoutée) ; ces profits sont répartis sous forme de salaires, d’apports de capitaux, de
financement d’investissement et paiement d’impôts.
B. L’approche systémique :
• Les objectifs apparents : ces sont les objectifs énoncés dans les statuts d’une E/se,
dans sa publicité…etc. Ils peuvent évoluer avec l’accroissement de l’activité de l’E/se.
• Les objectifs profonds : le profit n’est pas le seul objectif de l’E/se, elle peut aussi
fixer des objectifs concernant son environnement humain et social (rémunération ;
promotion sociale …etc.)
2. le rôle du manager :
• Management : le management ou la gestion est une science qui traite l’ensemble des
domaines et des pratiques d’action dont la maîtrise est indispensable à la survie, à la
progression et à la prospérité d’une organisation. Il a pour objet d’élaborer et de
développer des concepts, des outils et des méthodes permettant une combinaison
optimale des facteurs de productions.
• Direction : elle désigne l’organe suprême qui décide, guide et dirige l’activité de
l’E/se.
• Organisation : l’organisation peut avoir deux sens : l’un descriptif qui concerne la
disposition ou la structure des différentes parties ou organes de l’entité, et l’autre
opérationnel qui précise l’action de mise en place des différents organes de l’E/se.
• Contrôle : est ma fonction qui consiste à s’assurer que les activités produisent les
résultats souhaités. Au sens le plus vaste, le contrôle est une activité qui consiste à
suivre, à vérifier et à évaluer le degré de conformité des actions entreprises ou réalisées
par rapport aux prévisions et aux programmes en vue de combler les écarts et d’apporter
les corrections nécessaires.
• Expert ou spécialiste
• Meneur d’homme (leader)
• Stratège
MINTZBERG réclame que dix rôles ne sont pas dissociables, ils forment ce qu’on appelle
GESTALT :
• Le travail s’effectue généralement avec un rythme incessant
• Les activités souvent variées, partielles, brèves
• Utilisation de la communication verbale
• Conduite de plusieurs projets à la fois
• Il noue un réseau complexe de relations complexes avec plusieurs personnes externes
• La majorité des activités déterminées par des forces extérieures
• Fixation de quelques tâches quotidiennes
• Les 2/3 du temps passé dans des réunions, en plus des visites, travaux de bureaux et les
appels téléphoniques.
C. le leadership du manager :
Le leadership est le pouvoir d’exercer une influence sur d’autres individus pour atteindre un
objet spécifique, dans une situation donnée.
Le leadership peut s’envisager sous deux angles l’un moral et l’autre réel.
ROJOT et BERGMAN ont dégagé quelques règles susceptibles de faciliter le rôle du manager :
• Eviter le laisser faire
• Encadrer et ne pas enfermer
• Etre constant
• Etre vigilant
• Etre participatif
• Adopter un style de direction en harmonie avec son caractère
Manager Leader
• Administre • Innove
• Il est une copie • Il est un original
• Assure le maintien de l’organisation • Fait progresser l’organisation
• S’intéresse aux systèmes et structures • S’intéresse aux gens
• Se fie au contrôle • Inspire la confiance
• Envisage les choses à court terme • Envisage les choses à long terme
• Se demande quand et comment • Se demande quoi et pourquoi
• Fixe son attention sur le bénéfice net • Fixe son attention sur l’horizon
• Imite • Crée
• Accepte le statu quo • Remet en cause le statu quo
• Se comporte un bon petit soldat • Prend ses propres décisions
• Fait bien les choses • Prend les besoins initiatives.
A. La planification :
avantages inconvénients
+ indique l’évolution de l’organisation -fausse prévisions
+ la convergence des plans opérationnels et stratégiques -coût de mise en œuvre très élevé
+contrôle facile
2. Le processus de planification :
La planification est un processus interactif d’aller-retour constant entre les fins et moyens,
d’essais et d’erreurs.
+ L’analyse de la situation :
• Environnement : permet de juger les opportunités et menaces de l’environnement,
économie, technologie, concurrence, social, juridique, …etc.
• Organisation : cherche à établir un diagnostic des forces et faiblesses (audit), permet :
• Appréciation de la fonction commerciale
• Contrôle de la situation financière
• Mesure des capacités de production
• Appréciation du climat social
+ Niveau de décisions :
Ils sont relatifs aux objectifs fixés par l’organisation :
• Objectifs stratégiques —> décisions stratégiques —> long terme
• Objectifs tactiques —> décisions tactiques —> court et moyen terme
• Objectifs opérationnels —> décisions opérationnels —> court terme
+Le processus de prise de décisions :
• Détection du problème : on cerne le problème—> mesure les composantes —>
distingue les intérêts. Il faut éviter de se concentrer sur les symptômes, et ne pas trop
généraliser.
• Conceptions des solutions : réunir les informations—> les analyser—> les énumérer
—>les évaluer en avantages et inconvénients.
• Sélection de la solution appropriée : choisir entre les différentes solutions déterminées
lors de la conception. La meilleure solution sera choisie grâce à l’analyse des coûts-
bénéfices.
• Action : mettre en action la solution choisie (étape d’orientations et de résolution de
problème). Il y’a 2 types d’action : rapide, étiré dans le temps.
• Evaluation des résultats : comparer les résultats aux objectifs tout en évaluant au
moment du déroulement du plan d’action.
B. L’organisation
L’organisation, deuxième étape du processus de management a pour but de définir les tâches
à accomplir, de les regrouper et d’établir des liens de subordination, de coopération et
d’information.
C. La direction
Le but de la direction est d’animer les hommes et les femmes qui planifient, organisent et
contrôlent afin de donner vie à l’organisation. Pour cela 5 points peuvent être qualifiés de
majeurs :
La motivation
La motivation est le besoin ou le dynamisme intérieur qui pousse un individu à agir dans un
sens orienté vers un objectif.
Le pouvoir
Les organisations sont le théâtre de nombreux jeux et conflits de pouvoir. Le pouvoir désigne
la capacité d’influencer le comportement d’autrui. C’est un rapport dynamique qui se manifeste
lorsque les situations et les individus changent. On distingue deux sources de pouvoir :
• Les sources interpersonnelles du pouvoir
French et Raven ont identifié 5 sources du pouvoir :
o Le pouvoir légitime provient de la position officielle d’un individu dans une
organisation
o Le pouvoir de coercition est la capacité d’influence liée à la punition de
comportements indésirables. La punition peut se traduire par l’attribution de
travail indésirable, un renforcement de la surveillance.
o Le pouvoir de gratification est la capacité du manager à influencer le
comportement de ses subordonnés en récompensant leurs comportements
satisfaisants.
o Le pouvoir de compétence concerne la capacité du manager à influencer le
comportement de ses subordonnés en raison de ses compétences, qualités ou
connaissances particulières.
o Le pouvoir de l’exemple c’est la capacité du manager d’influencer le
comportement de ses subordonnés grâce à l’estime ou à l’admiration que ces
derniers lui portent ou encore à son charisme.
• Les sources structurelles et conjoncturelles du pouvoir
En plus du pouvoir lié aux relations hiérarchiques, il existe des sources structurelles qui
découlent de la division du travail et de la départementalisation qui entraînent, naturellement,
des inégalités quant à l’accès à l’information, aux ressources, aux prises de décision, voir à
diverses personnalités et à différents groupes.
- Le savoir, en tant que pouvoir, provient du fait que les individus ou les départements
dotés de certaines connaissances sans lesquelles les buts de l’organisation ne seraient
pas atteints détiennent un certain pouvoir. Il s’agit donc, des personnes et des groupes
qui peuvent, en raison de leurs fonctions, accéder à l’information ou acquérir une
connaissance anticipée des événements et projets futurs.
- Les ressources en tant que pouvoir supposent que les départements, groupes ou
individus, qui peuvent fournir des ressources vitales ou difficiles à obtenir, acquièrent
un certain pouvoir dans l’organisation.
- La prise de décision en tant que pouvoir, suppose que les individus, ou les groupes
détiennent un certain pouvoir dans la mesure où ils peuvent affecter certaines parties du
processus (de prise de décision). Ils pourraient influencer le choix des objectifs, la
formulation des prémisses sur lesquelles repose une décision, la liste des options, les
résultats prévisionnels, etc.
- Les réseaux en tant que pouvoir ; l’existence d’un pouvoir structurel et conjoncturel
ne dépend pas seulement de l’accès à l’information, aux ressources et aux prises de
décision, mais aussi d’une certaine habilité à faire participer autrui à l’exécution d’une
tâche.
Pour être efficace, les managers et les départements ont besoin d’entretenir des liens avec
d’autres individus et départements dans l’organisation.
Le concept de réseaux en tant que pouvoir implique que des affiliations variées, à la fois à
l’intérieur et à l’extérieur de l’organisation, constituent des sources de pouvoir.
Le conflit
C’est une source d’instabilité et de désagrégation dont l’origine peut être la concurrence, une
mauvaise définition des rôles, les différences de perception de l’organisation, l’acuité accrue
des faiblesses des autres. Le management doit minimiser les effets des conflits en détectant
rapidement les sources, en engageant des « remédiations ».
Le commandement
Lors d’une relation entre individus, l’un peut exercer une influence prépondérante sur l’autre
dans le cadre de règles précises et de normes formelles édictées par l’organisation.
Cette relation peut varier d’un dirigeant à un autre en fonction de la perception qu’il a de ses
subordonnés. D’un style autoritaire laissant peu de place à l’initiative et à l’autonomie des
individus, le dirigeant pourra tendre vers un mode plus participatif s’il souhaite faire de son
organisation un espace de liberté.
Le style avec lequel un dirigeant exerce son pouvoir dans l’organisation va alors déterminer la
motivation des salariés. L’activité d’un dirigeant ou d’une équipe dirigeante repose toujours sur
deux dimensions complémentaires : la dimension technique ou de production et la dimension
humaine ou relationnelle. Le comportement des dirigeants va dépendre de l’orientation (sur les
tâches ou sur les personnes) qu’il donne à son action dans l’exercice du pouvoir.
La représentation graphique de Blake et Mouton met en évidence les styles de direction selon
l’intérêt porté par le dirigeant à la production et aux relations humaines.
Le changement
Le changement est un élément important du management car il a pour but de modifier les
croyances, les attitudes, les structures des organisations afin que ces dernières puissent s’adapter
aux évolutions de leur contexte.
Le management doit le favoriser en impliquent les membres de l’organisation afin d’éviter les
blocages. Pour susciter les changements, les démarches sont généralement planifiées et
nécessitent une longue période d’action. Elles restent proches de la démarche de planification
(diagnostic, plan d’action, mise en œuvre, suivi).
D. Le contrôle :
Le contrôle est le processus qui permet d’évaluer le rendement des actions mises en œuvre et
d’intervenir afin d’obtenir les résultats désirés. Il existe une corrélation entre ce processus et les
autres processus du management.
4. L’action corrective :
Elle vise à corriger les écarts dépassant la marge de tolérance ou améliorer le rendement, cette
action doit être rapide, adaptable, et modérée, mais tout dirigeant a 5 possibilités pour faire face
à toute situation défavorable :
• Prendre des mesures de contrôle anticipées (préventives).
• Intervenir au moment de l’exécution de l’activité =>réduction des écarts.
• Influer sur les réalisations futures en bénéficiant des expériences antérieures.
• Modifier la norme fixée.
• Maintenir le statu quo.