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EL GHADI Hamahollah

ETUDE DE CAS : BILAN


LE COMPTE DE PRODUIT ET
CHARGES
Etat de solde de gestion - ESG
GRAND LIVRES
LA BALANCE
N de Solde de début Solde de Fin
Mouvement
Compt Nom de compte Débiteur Créditeur Débiteur Créditeur
e Débit Crédit
1111 Capital social - 12 000 000 - - - 12 000 000
11400 Reserve Legal 1200 000 - - - 1200 000
11610 Reserve Statutaire - 2 786 670 - - - 2 786 670
14810 Emprunt auP des EC 9 500 000 - - - 9 500 000
14880 Fournisseur des immob - - 230 180 390 180 160 000
21110 Frai de constitution 376 000 - - - 376 000
2220 Brevt Marque D et Valr - - 180 000 - 180 000 -
2311 Terrain 4 680 000 - - - 4 680 000 -
23210 Bâtiment 5060 000 - - - 5060 000 -
23320 Materiel et outillage 5 720 000 - 161 200 180 000 5 701 200 -
23380 Autre installation tech - - 600 - 600 -
2340 Materiel de transport - - 160 000 - 160 000 -
23660 Materiel informatique - - 12 000 - 12000 -
28220 Amortissement brevet - - - 6820 - 6820
28332 Amort des mat et outil - - 134 000 84 200 49 800
28340 Amort des mat de trans - - - 48 000 - 48 000
3111 Marchandises 12 100 000 - 14 600 12 100 12 102 500 -
31210 Matiere prémier 1 580 000 - 1540 1580 1 679 980 -
3421 Client 6 260 000 - 696 000 504 000 6 452 000 -
34211 Client GRP_A - - 30 020.76 - 30 020.76 -
34550 Etat TVA récupérable - - 42 380 - - 42 380
4411 Fournisseur - 8 340 000 - 24 000 - 8 384 000
4455 Etat TVA Facturé - - - 121 003.48 - 121 003.48
4486 Asso Dividende A payé - - - 1 293 330 - 1 293 330
6141 Banque 1 860 000 - 584 000 230 160 2 213 840 -
5161 Caisse 200 000 - - - 200 000 -
6111 Achat de marchandise - - 20 000 - 20 000 -
6114 Varia stck de mat prem - - 1580 1540 40 -
61933 Dot E aux Amortissmen - - 132 200 - 132 200 -
63860 Escomptes Accordeés - - 252.70 - 252.70 -
6513 Valeur N d’amrt de mac - - 46 000 - 46 000 -
7111 Vt de marchadse Maroc - - - 480 000 - 480 000
71210 Vente de b1 et Service - - - 25 270 - 25 270
7127 Vente de prod et acess - - - 100 000 - 100 000
7513 Prodt de css des immo - - - 80 000 - 80 000
37 836 000 37 836 000 40 139 433.46 40 139 433.4 39 096 433.4 39 096 433.4
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Tableau des immo autre que financiers
Nature Montant AUGMENTATION DIMINUTION Montant
Brut debut Acquisitio Productio Vireme Cession Ret Viremen Brut fin
exercice n n par e/se nt rait t exercice
pour elle
m
Immobilisation 460 000 - - - - - - 460 000
En Non Valrs
-Frais - - - - - - 460 000
460 000
préliminaires

Immo 22 100 000 228 360 160 000 - 180 000 - - 12 788 360
corporelles
-terrain 4680 000 - - - - - - 4680 000
-Construction 7020 000 - - - - - - 7020 000

-Materiel 10 400 000 228 360 - - 180 000 - - 1 088 360

-Mat trans
- - 160 000 - - - - -

1. tableau des IMMOBILISATION

Immobilisation Brut 2002 Augmentation Diminution Brut 2003


Frais préliminaire 460 000 - 85 000 375 000
Terrain 4 680 000 - - 4 680 000

Construction 7 020 000 - - 7 020 000

Matériel 10 400 000 364 000 80 000 10 684 000

Total 22 560 000 364 000 165 000 22 759 000


2. Tableau des emprunt
Elément Brut 2002 AUG DIM Brut 2003
Emprunt au pré des établissement de crédit 9 500 000 - 2 330 000 7 170 000

3. Tableau de Financement – TF ( Synthèse de masse de bilan)


Synthèse de masse de EXERCICE VARIATION
bilan
L’année N L’année N-1 Emplois Ressource
-Financement permanent - 28 129 127.30 - 26 780 000 - 1 349 127.3
-Actif immobiliser - 5 056 000 - 15 836 000 - 10 780 000

(A)=Fonds de roulement -
23 073 127.3 (10 944 000) 12 129 127.3
Fonctionnel
- Actif circulant - 20 208 840.78 - 19 940 000 268 840.7 -
-Passif circulant - 1 414 333.46 - 11 056 000 9 641 666.54
-
(B)=Besoin de 18 794 507.2 (8 884 000) 9 910 507.2 -
Financement Global
Trésorerie Nett (Actif – 4 278 620.1 2 060 000 2 218 620.1 -
Passif) A-B

CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT EXERCICE


N N+1
Résultat Net 482457,30
- Produit de cession d’immob 80000
+ VNA des immobilisations cédées 46000
+ Dotations 132200
- Reprises -
Capacité d’autofinancement 580657,3
LES RECHERCHES

Les Big Four succèdent aux Big Five, qui comprenaient, les entreprises DELOITTE, EY(Ernst and
Young), KPMG, PwC(PricewaterhouseCoopers) et la firme Arthur Andersen Celle-ci a disparu
en 2002 à la suite de l'affaire de fraudes Enron ou autrement appelé l’affaire Enron, qui a mené à des
procédures pénales contre les dirigeants de l'entreprise. Elles-mêmes ont succédé aux Big Six après la
fusion de Coopers & Lybrand et de Price Waterhouse en 1998, qui formeront PwC. La taille et la
puissance des Big Four amène parfois à les surnommer les « Fat Four »

Le scandale Enron, ou affaire Enron, est un cas de fraude et de manipulation financière découvert
en 2001, qui s’est soldé par la faillite de l’entreprise Enron, un temps septième capitalisation
des États-Unis, et par le démantèlement et la disparition de facto de son auditeur Andersen. Il s'agit à
l'époque de la plus grande faillite de l'histoire américaine (à côté de la faillite scandaleuse d'une
autre grande entreprise américaine WorldCom à peu près, à la même époque et pour des raisons
similaires).

L’affaire Enron a donné lieu à un nombre sans précédent d’enquêtes officielles, d’actions en justice
et de réactions des médias à travers le monde. Cette affaire, comme celle de WorldCom en 2002, a
également, enrichi la culture managériale et le débat (depuis Henry Mintzberg en 1973) autour de la
responsabilité du cadre dirigeant (le manager, en anglais) de l'organisation (entreprise ou tout autre
groupement à but non lucratif).
Elle a mené à la création de nouvelles lois et normes dans le domaine de la gouvernance
d'entreprise, de l’audit, de la comptabilité et du conseil, et est devenue, dans la culture populaire, un
symbole de la fraude à grande échelle

Le phénomène (scandale Enron) a également concerné les autres métiers d'Andersen, à l'exception
notable du conseil en organisation et systèmes d'information, soumis à une tout autre
problématique avec le désengagement des grands réseaux du secteur
Particulièrement actif dans la recomposition du paysage, Ernst & Young a déjà absorbé les équipes
d'Andersen dans près de 60 pays, notamment la France, l'Allemagne ou Singapour. De son côté,
Deloitte Touche Tohmatsu s'est renforcé dans une vingtaine d'autres, dont le Royaume-Uni, l'Italie,
l'Espagne, la Corée du Sud ou Taiwan. Pour sa part, PwC, qui reste le numéro un mondial, a conforté
ses positions à Hong Kong et en Chine continentale.

Enfin, KPMG a absorbé les équipes d'Andersen en Irlande, au Japon, en Thaïlande, au Vietnam, en
Afrique du Sud, et négocie au Nigeria. Il s'agit là d'un maigre lot de consolation pour un réseau qui
avait entamé des discussions en vue d'un rapprochement global en dehors des Etats-Unis. Dans ce
pays, les auditeurs d'Andersen se sont également dispersés au gré de leurs affinités locales, le pôle
conseil fiscal rejoignant Deloitte Touche Tohmatsu.

Autre fait notable, la Commission européenne, qui, il y a quelques années, avait posé ses conditions à
un projet de fusion entre KPMG et Ernst & Young, a clairement validé la concentration des grands
réseaux. En autorisant l'absorption d'Andersen France par Ernst & Young France, Bruxelles a en effet
indiqué que l'acquisition hypothétique d'Andersen France par des cabinets d'audit français de second
rang « ne serait pas à même de reproduire le réseau mondial et la réputation requis pour pénétrer sur
le marché des grandes sociétés cotées en Bourse ».

Par ailleurs, le scandale Enron a conduit au désengagement de Deloitte Touche Tohmatsu du marché
des grands systèmes d'information. Dernier grand réseau, avec Andersen, à défendre sa présence
dans tous les services, Deloitte Touche Tohmatsu a dû se résoudre à se séparer de Deloitte
Consulting. Rebaptisé « Braxton », ce pôle d'activité sera une entité indépendante au 1er janvier
2003.
Recherche N2 : La Notion de risque en matière d’audite

Le risque d'audit est une intersection entre trois composantes. Ces composantes sont définies
comme suit :

1. Risque Inhérent (RI) : lié à l'existence d'erreurs significatives dans les états financiers (audités)
d'une entreprise, ces erreurs étant dues à l'environnement externe de l'entreprise (cela en
supposant que les procédures de contrôle interne ne soient pas opérationnelles)

(Des erreur dues aux procédures de contrôle externe ; dans ce cas le CI et flemmard)

2. Risque lié au Contrôle (RLC) : lié à l'existence d'erreurs significatives dans les états financiers
(audités) d'une entreprise, ces erreurs sont dues à l'environnement interne de l'entreprise :
seraient dues aux procédures de contrôle interne inefficaces ou inexistantes.

(Erreur dues aux procédures de contrôle interne inefficaces ou inexistantes)

3. Risque de Non Détection (RND) : lié à l'existence d'erreurs significatives dans les états
financiers (audités) d'une entreprise, dues à l'incapacité de l'auditeur à les détecter (cela en
supposant que l'environnement externe et l'environnement interne de l'entreprise aient
fonctionné comme il le faut pour empêcher l'insertion d'erreurs dans les états financiers).

(Dans le cas où les control interne et externe n’arrivent pas à détecter le problème)

Le risque d'audit est alors l'ensemble des erreurs pouvant exister dans les états financiers et pouvant
émaner de ces trois composantes, de l'une ou de l'autre ou des trois en même temps.
Les missions de l’ordre des experts comptables Marocain

L'Ordre des experts comptables Marocain a pour objet :

D’assurer la sauvegarde des principes et traditions de moralité, de dignité et de probité qui font
l'honneur de la profession d'expert-comptable et de veiller au respect par ses membres des lois,
règlements et usages qui régissent l'exercice de la profession.

Il admet dans la profession les experts comptables selon les formes et les conditions prévues par les
articles 20, 21, 22 et 23 de la présente loi.

II édicte tout règlement nécessaire à l'accomplissement de sa mission et établit le code des devoirs
professionnels qui sera rendu applicable par le gouvernement.

L'Ordre assure, en outre, la défense des intérêts matériels et moraux de la profession d'expert-
comptable, éventuellement devant les juridictions, organise et gère les œuvres de coopération, de
mutualité et d'assistance de ses membres ainsi que les œuvres de retraite.

Il représente la profession d'expert-comptable auprès de l'administration à laquelle il donne son avis


sur toutes les questions dont elle le saisit, et auprès des organisations ou organismes internationaux
poursuivant des buts analogues à ceux que lui assigne la présente loi.

L'Ordre des experts comptables exerce ses attributions par l'intermédiaire d'un conseil national et de
conseils régionaux, et de leurs présidents respectifs.

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