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Rapport de stage :
Remerciements
Avant d’entamer les différentes parties de ce rapport nous tenons à remercier
l’ensemble des professeurs de centre de qualification agricole kalaat Mgouna qui
ont assuré notre formation en polyculture élevage.
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Table des matières
Remerciements.....................................................................................................................................................2
Introduction ........................................................................................................................................................4
1. L’entreprise agricole et son environnement ..................................................................................................6
1.2. Environnement de l’entreprise ...............................................................................................................6
1.2. Microenvironnement de l’entreprise ..................................................................................................6
2. Les opérations d’installation de cultures .....................................................................................................19
2.1. Labour profond......................................................................................................................................21
2.2. L’apport des engrais de fond .................................................................................................................22
L’apport organique de fond .........................................................................................................................22
L’apport de fumure minérale de fond ..........................................................................................................22
2.3. Confection des ados ........................................................................................................................23
2.4. Installation de système d’irrigation (goutte à goutte) ..........................................................................23
2.5. Désinfection du sol ................................................................................................................................24
2.6. Confection des trous .............................................................................................................................26
2.7. Opération de plantation ........................................................................................................................26
3. Les opérations d’entretien ...........................................................................................................................27
3.1. Palissage : ..............................................................................................................................................27
3.2. Ebourgeonnage .....................................................................................................................................28
3.3. Effeuillage ..............................................................................................................................................28
3.4. Couchage ...............................................................................................................................................29
3.5.La pollinisation .......................................................................................................................................29
3.6.Désherbage ..................................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
3.7.Nettoyage ...............................................................................................................................................31
3.8.Écimage ..................................................................................................................................................32
3.9. Chaulage ................................................................................................................................................32
3.10. Fertilisation..........................................................................................................................................33
3.11. Irrigation ..............................................................................................................................................35
3.12. Protection des cultures : .....................................................................................................................38
3.3.La récolte : ..............................................................................................................................................45
4.Hygiène, santé et sécurité en milieu de travail .............................................................................................48
Conclusion ........................................................................................................................................................50
Introduction
Généralement, les cultures maraichères sont des plantes
cultivées sous abri serres nécessitent au cours de leur cycle de
culture un certain nombre des interventions techniques qui
permettent de réaliser une conduite bien adéquate de la
culture. Particulièrement, la culture de tomate qui se
considère comme des cultures qui demande un nombre assez
important des techniques cultures pour pouvoir réussir à se
produire en optimisant le rapport qualité et quantité.
Le bon déroulement de la compagne de production de tomate
qui sera destinée à l’export dépend en grande partie de
l’évolution des conditions climatiques qui représente parmi les
éléments majeurs qui permettent d’avoir un rendement assez
important ainsi que la maitrise de la gestion phytosanitaire.
Parmi les facteurs qui participent à rendre la production assez
énorme comme la disponibilité de la main d’œuvre qualifié, la
disponibilité des ressources hydriques, la présence des sociétés
de l’approvisionnement des produits phytosanitaires et des
engrais qui seront destinés à la nutrition de la culture, la
proximité géographique au marché européen.
Toutes ces vertus nous incitent à faire un stage d’initialisation
au milieu de travail en culture maraichère particulièrement à
la culture de tomate.
Ce présent rapport permet de donner une conduite technique
de culture de tomate détaillée et suffisamment complète dans
une unité de production de tomate qui est prénommée farissi
naceur . Il est articulé sous axes suivants
La première partie est dédiée à la présentation de
l’exploitation agricole
La deuxième partie est consacrée à la conduite technique
La dernière partie comporte la situation des hygiènes, santé et
sécurité et la conclusion.
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1.L’entrepriseagricole et son environnement
Axes routiers : l’entreprise bénéficie d’un réseau routier qui peut dépasser 8000 km
en plaçant de la région sur l’axe qui relie l’Europe à l’Afrique subsaharienne.
Caractéristiques agro-climatique
Climat et son influence sur l’activité agricole :
Température :
températures minimales est de 8°C
températures maximales est de 39°C
La région est soumise à deux types de vents qui sont les plus dominants
Les vents sud-est (chergui) : sont apportés d’une augmentation de température et une
baisse importante de l’hygrométrie.
Sols de la zone :
Nature : sableuse
Couleur : jaune
Profondeur : 35 cm – 40 cm
Hygrométrie : Pendant la période du chergui, le niveau de l’hygrométrie dans
l’exploitation ne peut pas franchir 15%, mais au mois de novembre, le taux de
l’humidité peut parvenir 80%.
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.
Microenvironnement de l’entreprise
Caractéristique de l’entreprise
Identification de l’entreprise :
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Plan d’accès
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Croquis de la ferme
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Historique
Superficies occupées
Ressources en eau
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Occupation du sol
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La culture dominante est ATENEO pour les raisons suivant :
Et il a choisi MAXI FORT comme porte greffe (pour ATENEO) car il caractérisé
par :
Personnel de l’entreprise :
Personnel permanant :
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Personnel occasionnel
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Organigramme :
PATRON
Gérant
Chef Responsable
phytosanitaire
D’équipe
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Installations et équipements de l’entreprise
Installations
Bureau 2 20 Bon
Station de tête 1 20 Moyen
Station de 1 20 Bon
traitement
Magasin des engrais 1 20 Bon
et des fertilisants
Magasins des 1 20 Bon
produits
phytosanitaires
Secteur d’habitation 1 20 Bon
Secteur de repos 1 20 Bon
pour les personnels
Magasin de petits 1 20 Bon
matériels
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Figure : medcin de travail
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Figure : magasin Figure : toilette
Equipements
Gros matériel
Type du matériel Désignation nombre Etat
Matériel de Tracteur 2 Bon
traction Charrue
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Petit matériel
Echasses 9 Bon
Pulvérisateur à dos 2 Bon
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2. Les opérations d’installation de cultures
L'aspect général d'une variété est déterminé avant tout par le développement de la
tige et des ramifications. La hauteur de la tige peut varier de 3m à 5m et même plus
selon les conditions de la culture et de variété.
• Type indéterminé :
Caractérisé par des distances entre les nœudsplus au moins longues et une nette
tendance à la ramification, ce qui confère à la plante un port dirigé.
Système racinaire :
Il est variable selon les variétés et le mode de culture. Après la levée, les jeunes
plantes développent tout d'abord leurs racines principales. Les racines secondaires se
développent plus tard. Dans certaines conditions, la partie basale de la tige peut
former des racines. Cette particularité biologique de la tomate contribue au
renforcement du système radiculaire, de la stabilisation de la tige et de la plante.
La tige :
La tige des jeunes plants de la tomate est herbacée et se lignifie avec l'âge. Chez
toutes les variétés, la tige est ronde au stade jeune et plus tard devient anguleuse.
L'abondance de la pilosité est une caractéristique variétale. Certains poils, les courts,
émettent une sécrétion jaunâtre à odeur spécifique de la tomate.
Couleur de la tige est verte à vert foncé avec une tendance vers le violacé au sommet
de la plante qui disparaît avec l'âge.
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Au début de la végétation, la tige est dressée, mais plus tard elle verse sous le
poids de la partie aérienne.
La feuille :
La feuille de la tomate est composée, imparapennée avec des folioles à nervures plus
au moins marquées. Ce caractère varie selon la variété et le mode de culture. On
distingue en général deux types de feuilles :
L'inflorescence :
Elle est en forme de grappe (ou bouquet). En effet certainesEn grappes simples
;lorsque les fleurs sont disposées de part et d'autre d'un axe central.
Les fruits :
Ils sont de couleur, forme et calibre variables selon les variétés. Le poids d'un fruit
varie de 2 grammes chez la tomate sauvage à 500 g chez les types à gros fruit
cultivés. On rencontre habituellement :
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Caractéristiques pédologiques de la parcelle :
26/09/2021
Ca=7Kg/Ha/ Semmaine
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est pratiqué 15 à 20 jours avant la plantation. Par ailleurs les objectifs visés par le
labour profond sont :
Il est effectué par un apport de fumier de vache bien décomposé et dégradé. Son
rôle est de fournir au sol une richesse en matières organiques qui assurent la nutrition
du sol en termes d’éléments fertilisants et l’amélioration de la stabilité structurelle
du sol afin de garantir une croissance prépondérante et un développement des
plantes.
Le fumier est apporté dans la parcelle selon deux modes d’apport ; Répandu et
dispersé sur toute la parcelle puis enfoui au moment de passage de covercrop.
Les engrais minéraux de fond sont apportés et enterrés avec le fumier dans les
tranchés qui sont préalablement confectionnés et creusés le long de l’abri serre. Elles
constituent les futures lignes de plantation sur lesquelles des ados seront
confectionnés pour recevoir la plantation qui proviennent de la pépinière la
transplantation
Remarque :
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Les quantités des engrais à apporter sont relativement à la richesse du sol. Donc il est
préconisé de faire une analyse de sol pour pouvoir connaitre les pourcentages et les
taux d’éléments fertilisants.
Niveler le sol pour obtenir une couche arable meuble et bien travaillée
Enfouir les engrais de fonds et le fumier organique en les incorporant dans le sol.
Les ados constituent le lieu de plantation des plantules, ils ont une largeur de 50 cm
et une hauteur de 15 cm et qui se réalisent à l’aide d’un billonneuse.
C’est une technique qui consiste à placer Des rampes porte rampe, ils ont installé deux
rampes avec des goutteurs non autorégulant, espacés de 40 cm, avec un débit de 1,5
L/h. Les rampes sont installées sous le paillage et placées au milieu du billon pour
assurer une irrigation équilibrée.
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II permet une économie en engrais apportés aux plantes cultivées.
Soit les suspensions de sable, de terre qui sont acheminées par l'eau depuis le puits.
Le paillage plastique consiste à couvrir les ados par un film plastique de faible
épaisseur 40 cm et de couleur noire, blanche ou noire du côté du sol et de couleur
blanche du côté de sa surface supérieure. Les objectifs visés par l’utilisation du
paillage plastiquerésident dans
Lutter contre les mauvaises herbes(le film noir empêche la lumière à atteindre les
plantes de mauvaises herbes et par conséquent celle-ci meurent par l’absence de
synthèse de matière sèche)
Figure : NEMAPROP
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2.7. Confection des trous
La confection des trous est pratiquée avant de la plantation. Elle consiste à
trouer le paillage plastique qui couvre les ados, le matériel utilisé pour effectuer
et réussir la trouaison soit un couteau, soit un tube cylindrique PVC dont le
diamètre ne dépasse pas 10 cm. Elle peut être mécanique. La distance entre les
trous de la plantation dépend de mode de plantation.
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plastique Les sapes Paillage blanche
C’est une opération qui consiste à enrouler la ficelle autour et au long de la tige
dans le sens ascendant à mesure de sa croissance, Le Palissage est répétée dans le
temps de puis 1er bouquet floral jusqu’à le pincement. (Commence dès que les
plants ont atteint une hauteur de 20 à 30cm.)
Cette position permet :
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Figure : palissage
3.2. Ebourgeonnage
L’ébourgeonnage est d’éliminer tous les bourgeons axillaires soit manuellement au à
l’aide d’un sécateur qui poussent à l'aisselle des feuilles, l'ébourgeonnage doit être
3.3. Effeuillage
C’est une opération qui consiste à éliminer manuellement les feuilles âgées ou
malades. Il qui est pratiquée pendant tout le cycle des plantes cultivées
L’objectif de l’effeuillage est:
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- Donner une bonne coloration desfruits.
- Eviter la contamination de la plante par le contact de feuilles avec
lesol.
Figure : Effeuillage
3.4. Couchage
Le couchage consiste à maintenir la plante dans un sens oblique par la ficelle de
palissage. Il est effectué au futur à mesure de l'avancement des récoltes des
bouquets et de celui de l'effeuillage de la partie basale. Par ailleurs, le couchage
est réalisé en sens inverse sur les plantes des deux lignes jumelées.
L'objectif visé par l'opération du couchage, c'est de pouvoir gagner un grand
nombre de bouquets floraux sur la plante. Le couchage est pratiqué quand la
plante a atteint dans sa croissance en longueur le fil de fer, auquel la ficelle de
palissage est attachée.
Remarque :
L'opération du couchage peut engendrer certains problèmes sur le plan
pathologique, tels que :
• La dissémination rapide des champignons spécialement la
pourriture grise.
.La dissémination des acariens.
• Le couchage est une technique qui demande un certain nombre de
journées de travail, donc des frais de main d'œuvres en plus.
3.5.La pollinisation
Lapollinisation étant définie par le transport des grains de pollen des étamines vers le
stigmate dela fleur. Pour que toutes les fleurs de tomates soient pollinies
Les bourdons : Ce sont des insectes qui semblent donner le meilleur résultat
quant à l'amélioration de la pollinisation des fleurs de tomate.
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Les ruches ont pour objectif de:
Remarque
Lors de leur travail, les bourdons laissent une petite marque brune sur les pétales
des fleurs, cela permet, en effet, d'être sûr que les bourdons ont accompli leur
tâche convenablement.
Lorsqu’on a besoin de faire des traitements par des insecticides, il est impératif
de faire sortir les ruches de bourdons en dehors de la serre pour éviter leur
attaque par les produits de traitements. Cependant, au cas où on procède à des
traitements autres qu'insecticides il faut tout simplement fermer les ruches.
Lors de leur butinement, l'objectif principal visé par le bourdon n'est pas
la pollinisation, mais c'est la recherche de nectar qui est une substance sucrée,
savoureuse et qui se trouve à l'aisselle des pétales des fleurs. De ce fait, quand le
bourdon pénètre dans la fleur pour sucer le nectar, son abdomen et ses ailes
touchent les étamines et se couvrent de grains de pollen. A son passage sur une
autre fleur, le bourdon dépose indirectement et à son insu, le pollen qu'il
transporte sur le stigmate de la fleur visitée.
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Figure : les bourdons
3.6. Désherbage
C'est une opération qui consiste à éliminer les plantes adventives qui poussent dans
l'abris-serre à côté des plantes cultivées. Les mauvaises herbes présentent deux
inconvénients à savoir :
- Elles entrent en concurrence pour l'eau et les sels minéraux avec les plantes
cultivées.
• Le désherbage entre les lignes de plantation : il est réalisé par des sapes.
• Le désherbage est effectué quand cela est nécessaire pendant tout lecycle de
production de la culture
3.7.Nettoyage
Le nettoyage permet le ramassage des débris des végétaux après les opérations
suivantes : l’effeuillage, ébourgeonnage, les fruits pourris cette opération fait par
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les ouvriers manuellement ou à l’aide des fauches et des balais
Figure : nettoyage
3.8.Écimage
C’estlefaitdepincerlebourgeonapicallorsquelaculturearriveàlahauteurdésirée.L'opér
bouquetsfloraux.
3.9. Chaulage
Au moment de forte chaleur, la température de l’abri serre s’est élevée
brusquement et par conséquent les plantes transpirent plus et les ravageurs et les
colonies pour attaquer la culture qui sera mise dans une situation vulnérable ce qui
engendre la chute de la productivité. Pour cela, on effectue le chaulage qui est une
technique qui sert à répandre la chaux dissous dans l’eau sur la couverture de l’abri
Soufflage du souffre :
C’est une opération qui consiste à envoyer des quantités de souffre sous forme
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d’une poudre sur le feuillage de tomate. Le matériel utilisé est un souffleur qui
3.10. Fertilisation
C’est une technique qui permet de transmettre aux plantes les éléments minéraux et
les nutriments nécessaires dont les plantes ont besoin pour assurer une croissance
idéale et un développement perspicace des plantes. La fertilisation est assurée par le
système d’irrigation qui les circule en mettant à la disposition des plantes et à la
proximité de système racinaire. Les objectifs visés par cette opération :
Remplir ½ debac.
engraisazoté)
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Tableau : compatibilité entre quelque engrais
de de de Magnésium
Chaux
Potasse
Potasse
magnésie
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3.11. Irrigation
Ressources hydriques :
Dans l’exploitation de farissi naceur les Ressource hydrique sont représenté dans
Figure : bassin
Station de tête :
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- Filtration :
Les filtres :
Ce sont des filtres de forme cylindrique ; ils contiennent un support autour du
quel sont placés plusieurs anneaux laissant entre eux des petits passages qui
permettent l'accès de l’eau et l’arrêt des particules ayant des dimensions
supérieures à celles des passages et leur élimination se fait manuellement.
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Figure : bac de mélange des engrais Figure : ventilateur de mélange
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Station de pompage :
N.C M.A Hl
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Lutte biologique
Matériel de traitement :
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Figure : motopompe Figure : traitement de tomate
-Culture : tomate
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contrôle afin de calculer le seuil de nuisibilité de ravageur et avoir décider sur
le déclenchement de l’application de traitement.
Lutte biologique (lâché des auxiliaires) :
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TUTA ABSOLUTA :
CLADOSPORIOSE :
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Ce champignon à des symptômes sur la face inférieure de la feuille, on constate un
duvet brun dû à la présence du mycélium du champignon.
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BACTéRIOSE :
Le botrytis est une maladie cryptogamique, qui peut attaquer les feuilles, la tige , les
fruits.
Le développement de ce champignon est favorisé par certaines conditions :
- Une humidité relative élevée (supérieure a 80%)
- Blessures engendrée par la taille au cours de l’opération de la taill, efeuillage.
Méthodes de lutte :
Une bonne aération des abris pour éviter l’excès d’humidité.
Ne pas laisser sur les plantes des organes pouvant constituer le point de démarrage
de champignon.
3.13.La récolte :
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- Il ne faut jamais récolter les fruits verts
- Eviter de faire une blessure des fruits récoltés
- Vider le fruit dans des caisses propre.
- Eviter de remplir trop les caisses
- Respecter la coloration demandée
- Eviter l’exposition de la production au soleil et au sol
- Il faut effectuer la sélection des fruits en éliminant ceux qui
La récolte est effectuée manuellement par les ouvriers pour tous les variétés de
la tomate dans le ferme ça dépend de la demande des clients. On note ici que la
plupart du rendement du domaine farici naceur est destiné vers l’export, c’est
pour cela le directeur commande aux chefs de domaine les caractéristiques des
fruits et les normes qu’il faut récolter (coloration et le calibre etc.)
Pendant la récolte 3 ouvriers font un triage qui consiste à traiter les caisses en
éliminantles fruits défectueux, périssables qui ne conviennent pas aux exigences
de consommateur et de petit calibre ainsi qu’il faut éliminer les fruits déformés
puis ils laissent seulement les fruits de bonnes qualités dans la caisse qui
conviennent aux normes.
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Figure : la récolte de tomate
La récolte de tomate :
Destination de la production :
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4. Hygiène, santé et sécurité en milieu de travail
Démarche d’évaluation des risques professionnels :
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Les trousses de premiers Non
soins de secours sont-elles
disponibles à proximité du
lieu de travail ?
Les dangers sont-ils Oui Totalement on trouve sur
clairement identifiés par les murs des panneaux
les panneaux d’avertissement pour met
d’avertissement ? l’attention, tel ou tel
danger.
Les salariés sont-ils Non
informés des dangers des
produits utilisés
Les vêtements et les Oui
équipements de protection
sont-ils stockés dans un
endroit autre que le lieu de
stockage des produits
phytosanitaires ?
Le salarié peut-il refuser Non
d’exécuter un travail
présentant un danger pour
sa vie ou sa santé
Les salariés appliquent ils Non Les salariés ne donnent pas
les règles d’hygiène, santé la considération sur
et sécurité au travail ? l’importance de respecter
les règles d’hygiène.
Les salariés sont-ils Non
informés sur la
réglementation relative à
l’hygiène, santé et sécurité
au travail ?
Existe-t-il une démarche Non
de prévention aux risques
dans l’entreprise ?
L’entreprise prend-elle en Non Parfois l’entreprise néglige
considération les les précautions à
précautions relatives à apprendre pour l’hygiène
l’hygiène, santé et sécurité et santé.
au travail ?
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Conclusion
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