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1 - Le droit
On fait ici référence au droit objectif. Ce qualificatif s’éclaire à la
lecture de la définition. Il peut être présenté comme étant l’ensemble
des règles régissant la vie en société sanctionnées par la puissance
publique. La spécificité réside dans le fait que celles-ci s’appliquent à
tous et donc ne désignent personne en particulier.
Exemple : L’article 1382 C. Civ. oblige celui qui cause un dommage à
autrui à le réparer.
Il s’agit bien d’une règle abstraite ayant trait au droit de la
responsabilité qui s’applique à tous et ne désigne pas quelqu’un en
particulier.
Le droit objectif comprend différentes branches (1.1) auxquelles se
joignent une pluralité
de sources (1.2).
• Le droit international
• Le droit interne
Le droit public régit l’organisation des pouvoirs publics ainsi que les
rapports entre l’administration et les usagers. Il se subdivise :
– le droit constitutionnel contient les règles présidant à l’organisation
politique de l’Etat et à son fonctionnement.
– le droit administratif régit les rapports entre les particuliers et
l’administration ou les personnes morales de droit public (Exemple :
commune, département, région) ou encore les relations des
administrations entre elles.
– le droit fiscal organise les règles relatives au calcul et au
recouvrement des impôts, il détermine également d’une manière
plus générale les droits et obligations des personnes au regard de
leur contribution fiscale.
2 - Les droits
Ceux-ci sont appelés « droits subjectifs », ils peuvent être définis
comme des prérogatives(pouvoirs) détenues par une personne
L’existence des droits subjectifs est liée à une règle de droit dont les
actes ou les faits juridiques consisteront à en provoquer l’application.
Ces derniers sont donc considérés comme source des droits subjectifs
en tant qu’ils en sont les générateurs.
– Les actes juridiques sont des manifestations de volonté destinées à
produire des effets de droit. Le sujet à l’origine de l’acte a donc
Le mariage
Avant le mariage, les futurs conjoints évoluent dans un état de fait :
les fiançailles.
La loi ne les réglemente pas et les conséquences de leur rupture ont
été tirées de la jurisprudence. La promesse de mariage ne sera
officialisée que par la publication des bans qui constitue une des
conditions de formation du mariage. Toutefois les fiançailles sont
dépourvues de valeur légale afin de préserver la liberté du
La séparation
Nous nous situons au cas présent dans une situation que l’on serait
tenté de qualifier d’intermédiaire par rapport au divorce. En effet la
séparation se révèle souvent être un préliminaire à la rupture
judiciaire du lien matrimonial mais elle est également susceptible de
constituer parfois un palliatif pour ceux qui ne souhaitent pas encore
dissoudre leur union et à cette fin, elle peut être aménagée dans le
temps par voie de justice. Il importe de remarquer que la séparation
ne dissout pas le mariage mais va simplement distendre le lien
matrimonial.
Outre la possibilité d’obtenir du juge une autorisation de résider
séparément de son conjoint pendant l’instance en divorce, il est
classique de présenter deux types de séparation : la séparation de
fait et la séparation de corps. La première est à la discrétion exclusive
des époux qui l’aménagent selon leur bon vouloir ou parfois la
subissent par la faute de l’autre sachant qu’ils violent par là même les
devoirs et obligations du mariage. La seconde bénéficie d’un régime
juridique défini par la loi.
Le divorce
L`erreur
Le dol
L’article 1116 du Code civil dispose à cet effet que : “ Le dol est une
cause de nullité de la convention lorsque les manœuvres pratiquées
par l’une des parties sont telles,qu’il est évident que, sans ces
manœuvres, l’autre partie n’aurait pas contracté. Il ne se présume
pas et doit être prouvé”.
La violence
La lésion
La responsabilité Civile
La responsabilité pénale.
La responsabilité administrative.
La responsabilité civile.