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TRAVAIL DE RECHERCHE
ECUE : Gestion des organisations et des ressources humaines
Date : Lundi 12 juillet 2021 à 07h30
Niveau : 2e année de Master Mécanique Energétique et Ingénierie
Option : MEI 2
TABLE DE MATIERE
TABLE DE MATIERE .............................................................................................................. 1
INTRODUCTION ...................................................................................................................... 3
I. Revue de littérature sur la théorie des organisations ............................................................... 3
I.1.Un système ........................................................................................................................ 3
I.2. Organisation ..................................................................................................................... 4
II. Différents systèmes d’organisation :...................................................................................... 4
II.1. Friedrich Winslow TAYLOR (1856-1915) .................................................................... 4
II.1.1. Qu’est-ce que le taylorisme ?................................................................................... 4
II.1.2. Les quatre grands principes du taylorisme .............................................................. 5
b) La division horizontale ......................................................................................... 5
d) La coordination du travail au moyen de la hiérarchie fonctionnelle .................... 6
II.1.3. Avantages et limites du taylorisme .......................................................................... 6
II-2 FAYOL ............................................................................................................................ 6
II.2.1 Qu’est-ce que le Fayolisme ? .................................................................................... 6
II.2.2. Les principes du Fayolisme ..................................................................................... 7
II.2.3. Avantages et inconvénients des principaux types de structure organisationnelle
pour une entreprise. ............................................................................................................ 8
a. La structure hiérarchique ...................................................................................... 8
a.1. Avantages de cette structure organisationnelle ............................................. 9
a.2. Inconvénients de cette structure organisationnelle .............................................. 9
b. La structure fonctionnelle : .................................................................................. 9
b.1. Avantages de cette structure organisationnelle ................................................. 10
b.2. Inconvénients de cette structure organisationnelle : .......................................... 10
I.2. Henri Ford (1863-1947) ................................................................................................. 13
I.2.1. La mise pratique du Taylorisme dans l’organisation Fordiste du travail ................ 13
I.2.2. La démarche de Henri Ford..................................................................................... 14
I.2.3. La logique d’une organisation fordiste du travail ................................................... 14
I.2.4. Avantage et inconvénients (ou limite) du fordisme ................................................ 15
I.3. FAYOL (1861-1925) ......................................................................................................... 15
I.3.1. FAYOL et la gestion administrative ....................................................................... 16
I.3.1.1. Les fonctions de l’entreprise selon FAYOL : ...................................................... 16
I.3.1.2. Les principes de FAYOL ..................................................................................... 17
I.4. Synthèse sur le travail d’étude sur les systèmes d’organisations ....................................... 18
I.4.1. Limites de l’approche de TAYLOR ............................................................................ 18
I.4.2. Motivations de l’homme au travail ......................................................................... 18
1
I.4.3. Lien entre les motivations de l’homme au travail et la conduite des groupes de
travail ................................................................................................................................ 18
SYNTHÉSE .............................................................................................................................. 20
CONCLUSION ........................................................................................................................ 22
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INTRODUCTION
Pendant des millénaires, les techniques de productions ont évolué lentement, mais avec la
révolution industrielle on a constaté une mutation rapide de production. A partie du XXe siècle,
la concurrence entre les entreprises a abouti à une recherche systématique des moyens de
production les plus adaptés aux objectifs poursuivis dans tous les domaines des activités
économiques. Ainsi, plusieurs théoriciens se sont penchés sur la question cruciale de
l’organisation du travail comme TAYLOR, FORD et FAYOL.
I.1.Un système
Un système est un semble d’éléments en interaction dynamique, organisé en fonction d’un but
(Joël De Rosnay, Le macroscope, 1975). Pour parvenir à son but, le système tient compte de
son environnement et régule son fonctionnement en s’adaptant aux changements.
Ainsi un système :
• Poursuit des finalités ;
• Dans un environnement actif et évolutif ;
• En exerçant une activité ;
• En s’organisant et ;
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• En évoluant sans perdre son identité.
I.2. Organisation
L’organisation à la base de l’action collective c’est un système social organisé pour atteindre
des objectifs. Elle se caractérise ainsi par :
• Un ensemble d’individus : participants, acteurs ;
• Un accord, implicite ou explicite, sur un ou plusieurs objectifs partagés par les divers
participants,
• Une division du travail, définissant le rôle de chaque participant
• Une coordination plus ou moins formalisée, qui assure la cohérence des comportements
et donc le respect des objectifs communs en dépit de la division du travail.
Pour parvenir à cet objectif, il faut rechercher scientifiquement les procédés de production les
plus efficaces. C’est pourquoi Taylor divise l’organisation de l’entreprise en quatre parties,
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II.1.2. Les quatre grands principes du taylorisme
a) La division verticale du travail
Elle consiste en une séparation au sein de la fonction de production entre les fonctions
d’exécution et le travail intellectuel de conception, assuré par les ingénieurs du « bureau des
méthodes ». Par la démarche scientifique (étude de poste, décomposition et simplification des
gestes, attribution d’un temps d’exécution à chaque tâche élémentaires), ils déterminent la seule
bonne façon d’effectuer une tache (« the one best way »). Ainsi, Taylor, chargé d’améliorer les
méthodes dans une entreprise minière, va jusqu’à montrer au manœuvre la bonne façon de
charger sa pelle pour atteindre la productivité quotidienne moyenne la plus élevée. Il s’agit
donc de transférer le savoir des ouvriers de métiers des ingénieurs. Ce processus implique un
détour par son intellectualisation et sa codification formelle car ce savoir devra être ensuite
diffusé, non par un long apprentissage auprès des anciens, mais par des instructions adressées
par la hiérarchie à des exécutants formés en quelques heures.
b) La division horizontale
C’est la parcellisation des taches entre opérateurs. A chaque opérateur est attribué une tache
élémentaire, c’est-à-dire la plus simple possible, afin d’automatiser et d’accélérer les gestes. La
division horizontale des taches, menée le plus loin possible, aboutit au travail à la chaine,
innovation de Ford, appliquée à partir de 1913 dans ses usines. Au début du siècle, cependant,
les machines ne réalisent que des opérations simples : l’homme est irremplaçable pour les
manipulations complexes (changer la pièce par exemple). La chaine contraint ainsi l’homme à
adopter le rythme de la machine. Une organisation du mode de production fondée sur un modèle
répétitif de tâches élémentaires simples : le travail étant décomposé selon des tâches faciles et
rapides à exécuter, l’ouvrier est limité dans son travail à la réalisation d’un nombre minimum
de tâches spécialisées.
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d) La coordination du travail au moyen de la hiérarchie fonctionnelle
Le système de la hiérarchie fonctionnelle consiste en une multiplicité de lignes hiérarchiques.
Selon Taylor, l’ouvrier doit avoir autant de chefs spécialisés que l’on peut distinguer de
fonctions différentes impliquées par son travail.
II-2 FAYOL
Ingénieur des mines à l’école de Saint Etienne, FAYOL a fait toute sa carrière aux mines de
COMMENTY dont il apprit la direction générale en 1888 à l’âge de 27 ans après une rapide
ascension, il s’est surtout penché sur les problèmes de l’administration de l’entreprise, et il a
communiqué ses réflexions et son expérience dans le livre inutile Administration Industrielle
et générale parut en 1919.
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• Fonction technique de production : qui a pour rôle de produire, fabriquer et de
transformer ;
• Fonction commerciale : son rôle est d’acheter et de vendre ;
• Fonction financière : consiste à rechercher et à gérer les capitaux de l’entreprise ;
• Fonction de sécurité : elle assure la protection des biens et des biens et des personnes au
sein de l’entreprise ;
• Fonction comptable : son rôle est de traduire les activités de l’entreprise sous forme de
chiffre ;
• Fonction administrative : : son rôle est de contrôler, d’organiser, de commander, de
diriger, de coordonner.
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• Unité de commandement : règle fondamentale qui édicte que, pour une action
quelconque, un agent ne doit recevoir des ordres que d’un seul chef.
• Unité de direction : un seul chef et un seul programme d‘opération visant le même but.
• Subordination de l’intérêt particulier à l’intérêt général.
• Rémunération : la rémunération dépend de l’effort de chacun, elle doit être équitable et
aussi satisfaisante que possible.
• Centralisation : est un fait d’ordre naturel, mais le degré de centralisation et de
décentralisation, est fonction de l’activité et de la qualité du personnel.
• Hiérarchie : la voie hiérarchique est le chemin que suivent, en passant par tous les degrés
de la hiérarchie, les communications qui partent de l’autorité supérieure ou qui lui sont
adressées. Ce chemin est imposé à la fois par le besoin d’une transmission assurée et
par l’unité de commandement. Les passerelles, dans la mesure où elles ont été autorisées
par la hiérarchie, sont parfois recommandées parce que plus simples et plus rapides.
• Ordre matériel et social : « une place pour chaque chose et chaque chose à sa place. Une
place pour chaque personne et chaque personne à sa place ».
• Equité : elle résulte de la combinaison de la bienveillance et de la justice.
• Stabilité du personnel.
• Initiative : « toutes choses égales par ailleurs, un chef qui sait donner de l’initiative à
son personnel est infiniment supérieur à un autre qui ne le sait pas ».
• Union et harmonie du personnel : tout en insistant sur le principe de l’unité de
commandement Fayol recommande d’éviter les démarches de type « diviser pour régner
». Il recommande également d’éviter l’abus des communications écrites.
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• Chaque individu est responsable de tous ceux qui sont placés au-dessous de lui dans
l’organisation.
• Chacun des exécutants ne connaît qu’un seul chef.
• Chaque chef de service n’est responsable que du travail réalisé dans son service et n’a
d’autorité que dans son service.
c. La structure divisionnelle
Les structures divisionnelles sont un modèle d’organisation adopté par les entreprises œuvrant
dans plusieurs domaines d’activité et sur des marchés multiples (locaux et étrangers).
L’entreprise est organisée par divisions, ou centres de profits distincts (activité spécifique, zone
géographique particulière, segment de clientèle). Chaque division est une organisation
autonome, avec ses propres activités, son organigramme, ses ressources et sa propre structure
fonctionnelle. Elle dispose de pouvoirs étendus sur ses produits et marchés.
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c.1. Avantages de cette structure organisationnelle : Autonomie de décision des divisions,
culture commune du produit au sein d’une même division, adaptabilité de la structure, mesure
de la performance de la division facilitée.
Elle repose essentiellement sur le principe hiérarchique d’unicité de la gestion et sur celui du
recours à des organes de conseil composés de spécialistes : les responsables hiérarchiques
bénéficient de l’assistance de conseillers pour des domaines d’activité précis. Les décisions
stratégiques globales étant prises par les directeurs, les responsables fonctionnels sont là pour
y contribuer et l’optimiser selon la spécialité liée au service de chacun.
Une structure hiérarchique et fonctionnelle s’organise, ainsi, autour d’une ligne de gestion et
de pouvoir décisionnel (directeurs opérationnels), et une ligne de conseil et d’assistance
(directeurs fonctionnels).
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d.2. Inconvénients de cette structure organisationnelle : peut créer des conflits de direction
entre les fonctions de direction assumées dans la line vs celles assumées par le staff
La structure matricielle organise les activités de l’entreprise (ou des projets) par croisement de
spécialisations. Elle permet à certains managers de combiner deux types de responsabilités au
sein de l’organisation : une responsabilité opérationnelle (exemple : un produit) et une
responsabilité fonctionnelle ou géographique (exemple : un pays). Autres combinaisons
possibles : Fonction & Produit, Technologie & Produit, Fonction & Projet…
La structure matricielle est adaptée aux entreprises diversifiées qui fonctionnent souvent en
mode projet et qui souhaitent que les divisions de leur organisation collaborent davantage entre
elles. Elle convient également aux entreprises internationalisées en facilitant une approche
globale et une adaptation locale.
e.1. Avantages de cette structure organisationnelle : développer des activités innovantes avec
une coordination optimale entre les diverses fonctions qui y sont liées et une expertise assurée
par chaque service fonctionnel. La diffusion des connaissances est favorisée, ainsi que le mode
projet. Les partages d’expérience sont facilités.
Exemple : Boeing a été la 1ère entreprise, il y a plus de 40 ans, à adopter une structure
matricielle. Ses unités appartiennent à la fois à leur branche de spécialité (ailes, systèmes de
guidage…) et à leur département de programme (par type d’avion : 737, 757, 767…).
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en cause du principe de hiérarchie peut faire surgir de nombreux conflits entre managers et
péjorer ainsi la mise en œuvre de la stratégie.
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difficulté, la clientèle solvable se tournant vers des modèles plus adaptés à ses besoins propres
et exprimant mieux son statut social.
Il y a cent ans, Henry Ford inventait un modèle d'organisation qui permettra d'associer
production et consommation de masse. Le nom d'Henry Ford est attaché au travail à la chaîne.
C'est lui qui a installé la première production de masse standardisée d'un bien durable complexe
- l'automobile -, par des ouvriers relativement bien payés. "Five dollars a Day" (cinq dollars la
journée) ce n'est pas rien en cette année 1914, alors que les concurrents paient moitié moins,
même si cela ne permettait pas encore de s'offrir cette fameuse Ford T standardisée ! La
rationalisation de l'industrie de montage automobile fit la fortune de Ford, mais aussi, bien au-
delà de l'entreprise, la fortune d'un mot : le fordisme. Un terme qui désigne aussi bien des
méthodes de production que l'équilibre macroéconomique atteint pendant les Trente Glorieuses
et théorisé par les économistes relationnistes. Si Ford ne se serait pas identifié à ce fordisme-là,
on lui reconnaît en revanche aisément la paternité du couple production de
masse/consommation de masse, qui a fait merveille pendant un siècle dans l'automobile, de la
sortie de la première Ford T jusqu'à nos jours. Malgré les multiples transformations de ce
modèle de production qui ont pu remettre en cause tel ou tel aspect du "système Ford
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produit qu’en une seule version de manière à simplifier au maximum le processus de
production et à bénéficier d’économies d’échelles importante (la Ford T n’était produite
qu’en une seule couler par exemple, le noir).
➢ Le travail à la chaîne : l’organisation du mode de production repose sur un mode de
production en continu, dans lequel les différentes tâches élémentaires se succèdent les
unes après autres et ou le produit fini circule d’un atelier à l’autre. Ce type
d’organisation sera matérialisé dans l’espace par la mise en place d’une chaîne de
fabrication.
Par ailleurs, ce mode de production se traduit par l’existence de salaires supérieurs à la moyenne
pour les salariés concernés ce qui permet :
• D’améliorer la motivation du personnel (fondée essentiellement sur le salaire.
• De fournir aux salariés un revenu suffisant pour acquérir ce nouveau bien de
consommation de masse.
La généralisation des principes tayloristes et de l’organisation fordiste du travail s’est traduite
par la réalisation de gains de productivités très importants qui ont eu pour conséquence un
formidable développement économique caractérisé par l’émergence d’une production et d’une
consommation de masse. Ceci explique en partie la croissance économique des années d’après-
guerre appelée en économie les « trente glorieuses ».
Mais, à partir des années 70, ce modèle de développement semble rencontrer des limites
importantes qui vont avoir pour conséquence remise en cause des principes même du taylorisme
et de l’organisation du travail à la chaîne.
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ascension, il s’est surtout penché sur les problèmes de l’administration de l’entreprise, et il a
communiqué ses réflexions et son expérience dans le livre inutile Administration Industrielle et
générale parut en 1919.
Fayol (1841-1925) identifie 6 fonctions dans l’entreprise :
• Fonction technique de production ;
• Fonction commerciale ;
• Fonction financière ;
• Fonction de sécurité ;
• Fonction comptable ;
• Fonction administrative ;
• 5 tâches importantes du dirigeant :
• Prévoir ;
• Organise ;
• Commander ;
• Coordonner ;
• Contrôler.
I.3.1. FAYOL et la gestion administrative
I.3.1.1. Les fonctions de l’entreprise selon FAYOL :
Dans son ouvrage « Administration industrielle et générale » (1920), FAYOL analyse et classe
les activités de l’entreprise en six groupes de fonctions :
FONCTION ACTIVITÉS
Technique Produire, transformer
Commerciale Acheter, vendre
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administrative ». Ce sont les capacités morales et intellectuelles du chef qui lui permettent de
régler avec efficacité les activités des autres fonctions en tenant compte d’un certain nombre
de principes.
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• Union et harmonie du personnel : tout en insistant sur le principe de l’unité de
commandement Fayol recommande d’éviter les démarches de type « diviser pour régner
». Il recommande également d’éviter l’abus des communications écrites.
FAYOL a ainsi été le premier à élaborer une « théorie de l’organisation » à l’intention des
dirigeants. Ses travaux et ceux de TAYLOR sont complémentaires bien qu’ils divergent sur le
principe de l’unité de commandement.
I.4.3. Lien entre les motivations de l’homme au travail et la conduite des groupes de travail
Ce lien s’exprime par le fait que l’harmonie ou le désordre qui peut régner dans un groupe
dépend de la prise en compte ou non des motivations de chacun des membres du groupe. En
effet, pour l’harmonie et le bon fonctionnement du groupe, le chef du groupe doit concilier les
motivations de chacun avec les objectifs de l’entreprise ; il doit accorder de l’importance à ses
subordonnés et au travail effectué par ces derniers afin de réaliser leur besoin de considération ;
le chef doit féliciter, par des primes et autres, le travailleur lorsqu’il a bien fait son travail ; en
agissant ainsi le chef pousse ses subordonnés à donner le meilleur d’eux-mêmes, dans le cas
contraire, le groupe ne pourrait fonctionner de façon harmonieuse. TAYLOR c’est le travail
dans l’industrie et FAYLOR le travail dans l’entreprise.
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SYNTHÉSE
THEORÈME AVANTAGES LIMITATION
• Hausse de productivité • Le contrôle sur le
• Hausse de bénéfice personnel
• Hausse des salaires • L’apparition de
• A permis de faire travailler grèves,
efficacement des gens sans • L’augmentation de
formation qui venaient de l’absentéisme et du
différents pays turn-over reflètent
• La maîtrise des temps le refus de l’OST
opératoires • Multiplication des
• La maîtrise des méthodes de accidents de travail
travail • Défaut de
A chaque tâche le meilleur homme fabrication dû au
travail sous
pression de
l’ouvrier
TAYLOR TAYLORISME • Stress permanent
chez les employés
dû aux exigences
de l’employeur
• La méthode est
jugée contre-
productives et se
mesurer en coûts :
retouches, retour
des produits
FORD FORDISME
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• diversité des conseils de la part • risques de conflits,
de différents spécialistes, de dilution des
meilleure qualité d’exécution pouvoirs et de
des tâches, même les plus manque de
pointues. traçabilité des
erreurs.
• Autonomie de décision des • peut créer des
divisions, culture commune du conflits de direction
produit au sein d’une même entre les fonctions
division, adaptabilité de la de direction
structure, mesure de la assumées dans la
performance de la division line vs celles
facilitée assumées par le
staff.
• développer des activités : risque de conflits et de
innovantes avec une problèmes de
FAYOL coordination optimale entre les communication et
FAYOLISME
diverses fonctions qui y sont inadaptabilité pour les
liées et une expertise assurée par grandes entreprises dont
chaque service fonctionnel. La les activités sont
diffusion des connaissances est décentralisées. Les circuits
favorisée, ainsi que le mode de décision peuvent
projet. Les partages devenir très longs. Sans
d’expérience sont facilitées. unité de commandement, il
devient parfois difficile de
trancher ou d’obtenir un
compromis. La remise en
cause du principe de
hiérarchie peut faire surgir
de nombreux conflits entre
managers et péjorer ainsi la
mise en œuvre de la
stratégie.
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CONCLUSION
La théorie des organisations a vu le jour grâce aux travaux de l'ingénieur Frederick Winslow
Taylor avec l'organisation scientifique du travail, et l'apport des autres ingénieurs et penseurs
se souciant du travail rentable et bénéfique aussi bien pour l'employeur que pour les salariés à
l'instar d'Henri Fayol.
Taylor a concentré ses études sur la partie technique du travail, dans les ateliers, en donnant aux
ouvriers les principes à suivre pour augmenter la productivité et effectuer un travail dans son
délai.
Par contre, Fayol se sert plus de son expérience et se centre sur le métier de dirigeant pour
affirmer que la productivité dépend de l'organisation hiérarchique ou du management. Ainsi, il
définit six fonctions et 14 principes au niveau de la fonction administrative à respecter pour
avoir une production de qualité.
Partant de cette constatation, nous avons proposé une forme de gouvernance de l'institution de
recherche dans le domaine de la Mécanique (Energétique et l'ingénieur). Au niveau de la
gouvernance nous dirons que c'est un moyen de gérer une entreprise avec beaucoup de rigueur
car sans une bonne gouvernance, une organisation n'arrivera pas à assurer sa survie et même
l'atteinte de ses objectifs.
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