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ALEXANDRE Maxime

DIABY Sajou
DIONE Mamadou

Marketing :

Au niveau du marketing, nous avons basé une grande partie de notre stratégie sur la
publicité. En effet, dès la première période nous avons investi 1 880 000 euros dans la
publicité, soit 280 000 euros de plus que chacun de nos concurrents, ce qui représente 8,5%
du montant investi par chacune des quatre autres entreprises. Le montant dédié à la
publicité a augmenté à chaque période car nous avons fait le choix de miser sur le gain de
notoriété afin d’attirer des clients mais surtout de les fidéliser. Notre but étant de vendre
l’intégralité de la production réaliser et donc d’écouler l’intégralité des stocks.
Durant la troisième période nous avons aussi augmenté le montant investi en recherche
qualité toujours dans le but d’augmenter l’indice de notoriété relative même si cela ne nous
a pas permis pour cette période de vendre l’intégralité du stock.

Performance :

En termes de performance nous remarquons une chute de la part de marché entre la


période 1 et la période 3. Elle est passée de 20,88% à 19,82% cela s’explique par notre
investissement tardif en unités de production. En effet, dès la seconde période, nos
concurrents, ont pour la plupart investit dans une cinquième unité de production et donc
ont pu produire et vendre une quantité supérieure à la nôtre. Le fait de maintenir notre
nombre d’unité de production à 4 est un choix qui s’explique par le fait que nous avons
terminé la période 1 avec un résultat déficitaire. Nous avons alors décidé d’essayer
d’augmenter la productivité des ouvriers en augmentant leurs salaires car ils ne sont
parvenus à produire que 77 600 unités en période 1, alors qu’ils sont capables d’en produire
80 000 ; en attendons de devenir bénéficiaire avant d’investir dans une troisième.

Le résultat est donc en perpétuel expansion, nous avons commencé avec une perte de 357
200€ en période 1 et sommes passé à un bénéfice de 356 000 en période 1 puis de 1 798
839€ en période 3. La raison de cette augmentation est liée à la hausse de la productivité
des salariés, elle-même due à l’augmentation de leurs salaires, mais aussi à l’augmentation
du prix de vente.

Trésorerie :

Le solde de la trésorerie est resté positif durant tous les périodes. Le solde de la trésorerie a
augmenté de la période 1 a la période du grâce aux crédit clients de l’année N-1 ainsi que le
montant des ventes réalisées.
On constate cependant une légère baisse en période 3 liée aux nombreux investissements
effectués durant cette période. En effet, nous avons acquis deux unités de production
supplémentaire et augmenté le budget en recherche et qualité. De plus, la trésorerie reste
positive car initialement que on avait de grandes disponibilités (2 000 00) mais aussi au fait
que nos délai clients ne soit que de trente jours.

Production :

Concernant la production, elle ne cesse d’augmenter entre la période une et trois.


Cependant, elle n’a jamais atteint son maximum, c’est-à-dire, nos prévisions.
Cela est dû au fait que nos que nos ouvriers n’était pas assez productif, ce qui explique une
hausse annuelle des salaires de 1000€ en période 2 puis de 1500€ en en période 3. Durant
cette derrière période nous avons aussi augmenté le budget formation de 500€ en le faisant
passer de 4000€ à 4500€ pour chaque ouvrier ; toujours dans le but que nos ouvriers
produisent plus.
Malheureusement, malgré ces hausses, les ouvriers n’ont pas réussi a atteindre leur
productivité maximal et c’est la raison pour laquelle pour les périodes suivantes nous
augmenterons davantage les salaires et budgets formation des salariés.

Politique Commercial

Notre politique commercial est basée sur deux grands piliers : la publicité et des prix de
vente les moins élevés possible. Dans le cadre de la publicité promotionnel en période une
et trois nous avons été l’entreprise qui a le plus investis en promotion. C’est surement ce qui
nous a permis de vendre l’intégralité de nos stocks en période 1 et 2.
En termes de prix, nous sommes le ou l’un des prix les plus bas vis-à-vis de nos concurrents
et cela a aussi eu son impact sur les ventes car c’est seulement durant la période 3, celle où
nous avions un prix moyen que nous n’avons pas réussi a écouler l’intégralité du stock
produit.

Finance :

Au niveau financier, nous n’avons pris aucun emprunt en période 1 car nous n’en éprouvions
pas le besoin : aucun découvert et aucun achat de machine. En deuxième période nous
avions emprunté à court terme 400 000€ par prudence, ce dernier n’a finalement pas servi.
En dernière période, nous avons effectué un emprunt a 2 000 000€ afin de pouvoir acheter 2
nouvelles machines.

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