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Séminaire AUDIT avec OUEST CONSEIL

L’audit se définit comme une mission d’opinons confiée à un professionnel


« indépendant » (un auditeur interne ou externe) utilisant une méthodologie
spécifique et justifiant un niveau de diligences acceptable par rapport à des normes

- Indépendant
- Méthodologie spécifique
- Diligences
- Normes

L’audit est une expertise par une personnes compétentes et impartiale permettant de
porter un jugement sur une organisation, une procédure ou une opération
quelconque de l’entité.

Il s’attache notamment à détecter les anomalies et les risques dans les organismes
et secteurs d’activité qu’il examine.

L’audit permet de faire le point sur l’existant (état des lieux) afin de dégager les
points faibles. Cela permettra ensuite de mener des actions adéquates qui auront
pour objectif de corriger les écart et dysfonctionnement constants.

Les audits internes sont réalisés par, ou au nom de l’organisme lui-même pour des
raisons internes et peuvent constituer la base d’une auto déclaration de conformé.

Les audits externes sont réalisés par des organismes externes indépendant.

Le domaine le plus connu est l’audit comptable et financier : examen de la validité


des états financiers émis par une E visant à vérifier leur sincérité, leur régularité, leur
conformité et leur aptitude refléter leur image fidèle.

L’audit des systèmes d’informations est aussi très répandu.

Difficultés rencontrées par l’auditeur interne :


- Manque
- Monotonie des tâches
- Sa perception par les autres métiers dans l’entreprise

Avantages de l’auditeur interne :


- Bonne connaissance de l’entreprise
- Compétences diverses
- Progression rapide
- Compétences reconnues et appréciées de la direction
Difficultés rencontrées par l’auditeur externe :
- Non présent toute l’année et donc moins investi sur le long terme
- Perçu comme un étranger

Avantages de l’auditeur externe :


- Absence de conflit avec les collègues
- Expériences diverses dans plusieurs entreprises
- Relationnel
- Liberté et autonomie

Environnement de contrôle :
- Culture du CI
- Fonctions du Contrôle audit et de ses comités
- Méthodes de délégations de pouvoir et de responsabilité
- Compétences

Évaluation du risque :
- Définition d’objectif
- Identification d’évènements
- Évaluation du risque
- Réponse aux risques

Activité de contrôle :
- Normes
- Procédures
- Contrôles opérationnels

Information et communications :
- Systèmes d’information
- Échange d’information au sein de l’organisation sur la gestion et le contrôle
des opérationnels

Pilotage / Supervision :
- « Contrôle » du contrôle interne

Les acteurs du contrôle interne sont :


- La direction est responsable de la définition, de la, mise en œuvre et de la
supervision du dispositif de contrôle interne.
- Les organes de contrôle déterminent le profil de risques de la société,
surveillent et guident la direction et sont assistés si besoin de comités
spécialisés.
- L’ensemble des collaborateurs qui concourent au bon fonctionnement du
dispositif. La direction financière étant responsable de l’animation de
l’ensemble du dispositif contribuant à la réalisation de l’objectif « fiabilité de
l’information financière » et responsable de la communication financière.
- Les acteurs externes tels que l’expert-comptable ou des sous-traitants.

Les grandes limites du contrôle interne :


- Comportement des dirigent
- Le coût de la mise en place

La place du commissaire aux comptes dans le contrôle interne :


- Diligences dans le cadre de la certification légale
- - le CAC n’analyse que le contrôle interne comptable et financier
- - Plus précisément, analyse des éléments de contrôle interne qui contribuent
à prévenir le risque d’anomalies significatives.

Ne donne pas son avis personnel sur la qualité du contrôle interne et pas
d’immixtion dans la gestion.

Jour 2 :

Une image fidèle du résultat des opérations de l’exercice, situation financière et du


patrimoine

La mission générale confiée par une entité à un CAC comprend :


- La régularité, la sincérité et l’image fidèle
- Vérification spécifique de la sincérité et de la concordance avec les comptes
annuels et des comptes consolidés
- Prévention des difficultés
- La révélation au procureur de la république des faits délicieux

Différenciation des professions

Commissaire au compte  un spécialiste de l’audit légal fondé sur l’appréciation des


risques, la qualité du contrôle interne, la validation des données comptables et des
informations produites.
Il exerce une mission d’opinion : suite à son audit, il exprime une opinion motivée en
certifiant que les comptes sont « réguliers et sincères et qu’ils donnent une image
fidèle » 
Il peut effectuer d’autres prestations d’audit légal

Le commissaire aux comptes ainsi que leurs collaborateurs sont astreints au secret
professionnel pour les faits, actes et renseignement dont ils ont pu avoir
connaissance à raison de leur fonction
Cependant, le secret pro ne fait pas obstacle à la révélation au procureur de la
république de faits délictueux dont le commissaire aux comptes a eu connaissance

Le H3C reconnait trois catégories de service fournis par le CAC :


- Certification des comptes
- Les SACC (regroupent dont l’ensemble des services susceptibles d’être
fournis par un CAC, en dehors de la certification des comptes
- Les autres SACC
Les SACC : détermination des services susceptibles d’être confiés au CAC :
- Principes applicables à la fourniture de services par la CAC
- Services interdits
- Services susceptibles d’être confiés au CAC

Situation à risques et mesures de sauvegarde :


- Risques liés à la perte d’indépendance
- Risques liés à l’appartenance à un réseau
- Risque d’auto révision
- Mesures de sauvegarde

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