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Différentes notions
● Contrôle de gestion : Fonction quotidienne dont le but est le pilotage (Calcul des coûts, budget..)
● Audit : Fonction périodique (Voir définition ci-dessous).
● Contrôle interne : L’ensemble des procédures et règles mises en œuvre par l’entreprise pour le bon
déroulement de ses activités (Règles formelles, informelles, orales, écrites).
🡺 Vise la production de l’information comptable et financière.
Historique
Audit -> Latin -> Audire -> Ecouter -> Auditoire, auditorium, nerf auditif…
Audit d’aujourd’hui -> Origine Etats Unis -> Audit = Contrôler, surveiller, inspecter, vérifier.
Audit : Il est considéré comme une solution pour remédier à l’asymétrie d’information, réduire le décalage d’infos.
🡺 La nécessité de réduire l’asymétrie d’informations explique le pourquoi de l’audit.
Définition de l’audit
🡺 L’audit est l’examen d’un objet par un professionnel indépendant en vue de donner une opinion
concernant la conformité à un référentiel.
🡺 L’exactitude de l’info : Assurance plus ou moins élevée de l’auditeur. (Jamais la certitude est absolue).
Qualifications de l’audit
1) Qualification en fonction de l’objectif de mission :
● Audit légal : Audit imposé par la loi, audit de certification (à travers le commissariat aux comptes).
● Audit financier et comptable : Vérification des états de synthèse pour assurer la régularité, la sincérité et
l’image fidèle.
🡺 SA : 1 commissaire aux comptes ;
🡺 SA qui fait appel à l’épargne : 2 commissaires aux comptes ;
🡺 Sociétés d’investissement, banques, assurances, sociétés d’épargne : 2 commissaires aux comptes ;
🡺 SARL : Aucun commissaire aux comptes (sauf si le CA dépasse les 50MDHS) ;
🡺 SNC : 1 ou plusieurs commissaires aux comptes (à leur choix) (Si le CA dépasse 50MDHS -> Obligatoire)
● Audit de conformité : Mission accomplie par une personne (interne ou externe) à l’entité pour déterminer si
l’entité agit en accord avec les procédures, la réglementation, établi par une autorité interne ou externe pour
donner une opinion sur les éléments citées ci-avant.
La rémunération est faite par l’organe qui veille sur le respect de la réglementation.
Ex : Audit de conformité sociale (Améliorer l’image de marque).
● Audit opérationnel : Audit de performance : Examen systématique et méthodique et une évaluation des
opérations de l’entité qui est conduit dans le but d’améliorer l’efficacité et l’efficience de l’entité.
● Audit de gestion : A pour objet de juger la pertinence des opérations vécues par l’entreprise et la qualité des
dirigeants.
● Audit social : Audit de la paie, audit des RH, audit des déclarations sociales...
● Audit environnemental : Audit des effets des activités de l’entreprise sur son environnement.
Etude de Cas
🡺 L’audit ne doit pas être rattaché aux RH, sinon il va créer un conflit d’intérêts (Il doit toujours être attaché
au top management).
🡺 L’auditeur doit être indépendant. Dans ce cas, il n’est pas indépendant car il existe des possibilités
d’évolution (Donc l’auditeur va tenter de plaire et par conséquent de fausser l’audit).
🡺 L’auditeur interne ne doit jamais participer à la mission de certification. En revanche, l’auditeur externe
peut se baser sur le travail de l’auditeur interne.
🡺 La mission de l’expert-comptable : Etablir les comptes et les vérifier (Détecter l’anomalie).
🡺 Même si l’expert-comptable est en même temps le commissaire aux comptes, il doit assurer la séparation
entre ces deux tâches, s’il est en mission d’expertise, il ne doit surtout pas certifier les comptes.
Ex : Banque
1) Risque de crédit, de marché, de liquidité, risque opérationnel.
2) Mettre en place un système de contrôle interne.
3) Démarche de l’audit pour éliminer les différents risques.
Assertions
Def : Il s’agit des critères qui permettent de vérifier la régularité, la sincérité et l’image fidèle des comptes.
🡺 En cas de non vérification d’une assertion, on peut parler de l’existence d’une anomalie.
2ème famille : Les assertions concernant les soldes des comptes en fin de période :
1) L’existence : Les actifs, les passifs et les fonds propres existent.
2) Droits et obligations : L’entreprise détient au contrôle les créances et les dettes (Droit sur les créances et obligations
sur les dettes).
3) L’exhaustivité : Toutes les opérations sont comptabilisées et enregistrées.
4) Valorisation et affectation : Les actifs, les passifs et les fonds propres sont portés dans les états de synthèse par leur
bonne valeur comptable. De plus, leur affectation doit être affectée de façon appropriée.
3ème famille : Les assertions concernant la présentation et les informations fournies dans les états de synthèse :
1) Survenance, droits et obligations : Toutes les informations enregistrées dans les états de synthèse se rapportent à
l’entité.
2) L’exhaustivité : Toutes les opérations sont comptabilisées et enregistrées.
3) Classification et compréhension : Tous les évènements enregistrés dans les états de synthèse sont décrits de façon
écrite, claire, lisible et présentés de manière pertinente.
4) Exactitude et valorisation : Toutes les informations dans les états de synthèse sont sincères et inscrites pour leurs
montants corrects.
🡺 Exemple d’un risque inhérent interne : Décision d’internationalisation. (Solution = Veille et intelligence éco)
🡺 Exemple d’un risque inhérent externe : Changement de réglementation. (Solution par exemple : Lobbying)
Caractère significatif :
« L’information est significative si son omission, ou son inexactitude, peut influencer les décisions économiques que prennent
les utilisateurs sur la base des états de synthèse. L’importance relative dépend de la taille de l'élément ou de l'erreur, jugée
dans les circonstances particulières de son omission ou de son inexactitude ».
Seuil de signification :
« Montant au-delà duquel les décisions économiques ou le jugement fondé sur les comptes sont susceptible d’être
influencés ».
🡺 Les comptes inférieurs à ce seuil ne présentent pas un risque.
🡺 L’auditeur se base sur l’entreprise : Son activité, son processus de production, l’analyse de son environnement, les
critères privilégiés par les actionnaires (Par ex le CA) pour déterminer ce seuil.
Risques d’audit
Risque lié à l’entité -> Risques d’anomalies significatives -> Risques inhérents + Risques liés au contrôle interne (Voir
ci-dessus).
Risque lié à l’auditeur -> Risque de non détection -> Car l’auditeur fait l’appel à l’échantillonnage, au sondage etc.
1) Relation inverse entre le risque de non détection et les autres risques.
Exemple : si les autres risques sont élevés, le niveau de risque de non détection est déterminé comme faible (Car
l’auditeur doit mettre en œuvre plus de techniques etc).
2) Relation inverse entre le risque de non détection et les contrôles à mettre en œuvre.
Exemple : plus le niveau de ce risque est faible, plus les contrôles à engager par l’auditeur sont importants.
Risques d’anomalies Evaluation par l’auditeur du risque lié au contrôle
significatives Elevé Moyen Faible
Evaluation par Elevé Minimum Faible Moyen
l’auditeur du Moyen Faible Moyen Elevé
risque inhérent Faible Moyen Elevé Maximum
Eléments probants
Définition : Ce sont les informations collectées par l’auditeur pour parvenir à des conclusions sur lesquelles il va fonder son
opinion (Informations concernant les états de synthèses, les factures, la comptabilité, les dirigeants cadres et collaborateurs,
les contrats, les documents, les feuilles de travail…).
Nature de ces éléments :
● Doivent être suffisants et appropriés.
● Peuvent être interne ou externe (externe plus fiable : Par exemple demander à la banque des infos sur l’entité).
● Peuvent être obtenus directement par l’auditeur ou fournis par l’entité (direct plus fiable).
● Peuvent être sous forme écrite ou verbale (écrite plus fiables : Traçabilité).
● Peuvent être uni source ou multi-sources (multi plus fiable : Infos auprès de la direction, des fournisseurs etc).
🡺 C’est une déclaration obtenue auprès d’un tiers adressée directement à l’auditeur comptable et financier.
🡺 Exemples :
🡺 De même, il existe aussi l’inspection des enregistrements ou documents qui visent à examiner les enregistrements
ou documents à la fois internes ou externes, sous format papier ou électronique.
🡺 Elle permet de valider l’assertion de l’existence mais ne valide pas celle des droits ou obligations (Est-ce que ces
actifs nous appartient ou pas).
🡺 Exemple : En terme de quantité, on doit opter pour l’inspection physique.
5) Observation physique :
🡺 Technique qui consiste à examiner un processus ou la façon dont une procédure est exécutée par d’autres
personnes.
🡺 Exemple : Pour contrôler la procédure d’inventaire, on doit opter pour l’observation physique.
Cas : Inventaire
A savoir sur l’inventaire
🡺 C’est une obligation sur le plan légal et fiscal ;
🡺 L’obligation porte sur la durée : 12 mois entre deux inventaires (31/12 pour des raisons de
simplicité) ;
🡺 Aucune quantité ne doit être exclue du comptage (même le stock non significatif) ;
Démarche de l’inventaire
1) Avant l’inventaire :
🡺 Le responsable de l’inventaire :
● Il doit élaborer la procédure. Dans la procédure, on doit mentionner le choix des dates ainsi que les
heures de commencement. Le responsable de l’inventaire élabore cette procédure de manière
écrite.
● Le responsable de l’inventaire constitue les équipes de comptage en faisant appel à la participation
de tous les services de l’entreprise.
🡺 Le magasinier joue un rôle essentiel :
● Il doit ordonner et regrouper les articles appartenant à la même famille.
● Il doit identifier les stocks (Etiquettes, casiers…) ;
● Il doit référencer et codifier les articles ;
● Il doit isoler les stocks qui n’appartiennent pas à l’entreprise ;
● Il doit préparer les zones de stockage (Fiche signalétique).
🡺 Le chef d’inventaire :
● Il doit faire une réunion avec les équipes de comptage (Expliquer la procédure) ;
● Il doit leur fixer la durée de réalisation de l’inventaire (En prenant en considération la taille, qté..) ;
● Il doit établir le planning d’inventaire ;
● Il doit définir les techniques de comptage (Ex : Balayage) ;
● Il doit déterminer l’unité commerciale (Kg, litre, tonne, bouteilles…) ;
● Il doit finalement arrêter les fiches de stocks.
🡺 L’auditeur :
● Il doit s’assurer de l’existence ou non de la procédure d’inventaire ;
● Il doit collecter les informations par rapport à la nature du stock, quantité et valeur.
2) Pendant l’inventaire :
🡺 Le responsable de l’inventaire :
● Il doit s’assurer que tous les mouvements sont arrêtés (Aucune entrée ni sortie) ;
● Il doit superviser les équipes de comptage ;
● Il doit veiller au respect de la procédure, du délai de réalisation de l’inventaire.
🡺 Les équipes de comptage :
● Veillent à appliquer et respecter la procédure et la tenue exacte des feuilles d’inventaire.
🡺 L’auditeur :
● Il doit s’assurer que la procédure est exécutée parfaitement par les équipes de comptage (Analyser
les écarts, relever les articles à déprécier..) ;
● Il doit contrôler la valorisation physique du stock ;
● Il doit analyser les écarts d’inventaire ;
● Il doit examiner la provision pour dépréciation des stocks ;
● Il doit faire une inspection physique des stocks par sondage.
3) Après l’inventaire :
🡺 Le responsable de l’inventaire :
● Il doit centraliser les fiches se stocks ;
● Il doit superviser le traitement de données ;
● Il doit faire un rapprochement entre le stock physique et le stock comptable ;
● Il doit sortir avec des écarts et procéder au redressement nécessaire ;
● Il doit élaborer un rapport sur l’inventaire physique.
🡺 L’auditeur :
● Il doit avoir des informations concernant les écarts (Justifiés ou pas) ;
● Il doit comparer les feuilles d’inventaire.
6) Contrôle arithmétique :
🡺 Consiste à réaliser une vérification arithmétique de l’exactitude des documents justificatifs ou d’enregistrement
comptable (Parfois utilisé par ordinateur).
7) Réexécution :
🡺 La réexécution par l’auditeur est l’exécution des procédures de contrôle qui sont à l’origine exécutées au sein de
l’entreprise en tant que partie intégrante du contrôle interne (Soit de façon manuelle ou assisté par ordinateur).
8) L’entretien :
🡺 Consiste à mettre votre interlocuteur à l’aise…
9) Outils informatiques :
🡺 Logiciel de traitement de dossier (Ex : Audit Soft) ;
Objectifs :
1- Maîtrise des opérations ;
2- Production d’une information comptable et financière fiable et intègre ;
3- Protection du patrimoine de l’entreprise : Contre les fraudes, les détournements…
4- La séparation des tâches ;
NB : Un point fort correspond à une procédure existante qui par sa présence couvre totalement ou partiellement un risque
potentiel et par conséquent il permet de réduire le risque d’anomalies, d’erreurs, de fraudes …
5- Faiblesses
Système d’information :
Quels risques ?
1- Risque lié à l’information : Risque de perte d’information ou de mauvais fonctionnement du système.
2- Risque de non-conformité des pratiques réalisées par l’entreprise vis-à-vis des exigences de la réglementation :
Par exemple la protection des données personnelles.
3- Risque de continuité d’exploitation : Cas de destruction (Incendie, explosion) ; Cas de blocage (Momentané ou
total).
4- Risque juridique : Risque fiscal (Ne plus bénéficier de la déductibilité des charges) -> lié à l’archivage.
5- Risque de perte de maîtrise des coûts.
Finalisation de la mission :
1) Evènements postérieurs à l’entreprise :
● Evoqués dans la norme 3560 : Un évènement postérieur est un évènement identifié par le commissaire aux comptes
entre la date de clôture de l’exercice et la date d’approbation des comptes qui doivent faire l’objet soit d’un traitement
comptable soit d’une communication ou information à l’organe appelée à statuer sur les comptes de la société (Date
d’approbation des comptes).
● Il faut distinguer entre la date des états de synthèse, la date d’arrêté des états de synthèse, la date du rapport de
l’auditeur (signature) et la date de publication des états de synthèse.
1er scénario : Evènement survenu jusqu’à la date du rapport de l’auditeur
● L’auditeur doit s’assurer que ces évènements sont corrigés (Ex : incendie, grève etc.)
2ème scénario : Evènement survenu après la date du rapport mais avant la date de publication des états de
synthèse
● L’auditeur doit vérifier si ces faits sont significatifs et s’ils vont impacter son opinion.
3ème scénario : Fait découvert après la date de publication des états de synthèse
● Si la direction corrige les états de synthèse, l’auditeur doit s’assurer que toutes les personnes en possession des états
de synthèse sont informées et émet un nouveau rapport sur les états de synthèse corrigés.
● Si la direction refuse de corriger les informations et d’informer les tiers, l’auditeur communiquera à l’entité qu’il
prendra les mesures nécessaires pour éviter que les tiers utilisent ce rapport.
2) Questionnaire de fin de mission
● Tableau de bord sur la finalisation de la mission (c’est l’auditeur lui-même qui remplit le questionnaire).
3) Déclaration de la direction
● Norme 3580 : La direction reconnait sa responsabilité en matière d’établissement et de présentation des états
financiers.
4) Synthèse de la mission
● Exprimer son opinion détaillée et justifiée.
● Respecter une certaine nomenclature.
Emission du rapport :
1- L’auditeur peut certifier les comptes sans réserve ;
2- L’auditeur peut certifier avec réserve soit pour désaccord soit pour limitation ;
3- L’auditeur peut refuser de certifier les comptes ;
4- Il peut être impossible de certifier (Limitation ou incertitudes multiples).
5) Bouclage du dossier
6) Communication avec le gouvernement d’entreprise
7) Rédaction des rapports
8) Examen des comptes annuels
🡺 Il faut s’assurer de la non compensation des soldes débiteurs et créditeurs et que tous les écarts sont analysés.
Comptes concernés :
● 1486 : Fournisseurs d’immobilisation ;
● 341 : Clients-débiteurs ;
● 3941 : PPD des clients ;
● 441 : Fournisseurs ;
● 611-612-613 : Achats ;
● 7197 : Transfert de charges d’exploitation.
Cycle Vente/Clients
Démarche :
🡺 Même démarche ☺.
Intervenants :
Administration ventes ; Facturation ; Comptabilité ; Approbation-crédit ; Expédition ; Service commercial.
Evaluation du contrôle interne :
● Acceptation et traitement des commandes ;
● Émission et enregistrement des factures ;
● Suivi des comptes clients.
● Sont décrites à ce stade, à partir des principaux risques potentiels liés au cycle examiné, les mesures de contrôle
interne mises en place usuellement dans l’entreprise et les assertions d’audit concernées.
Cycle Immobilisations
🡺 L’auditeur doit vérifier la prise de connaissance des règles comptables applicables.
🡺 Pour les entreprises qui appliquent la réglementation comptable internationale, s’intéresser à l’IFRS (IAS 36, IAS
16, IAS 38, IAS 40, IAS 17, IAS 23, IFRS n°5).
Intervenants :
Service utilisateur de l’actif immobilisé ; Direction financière générale ; Service Achat et Réception ; Service technique ; Service
comptabilité ; Service trésorerie.
Principales phases
1- Etude et décision d’investissement (Etablir la liste des investissements à réaliser+ montant + autoriser l’investissement
en fonction du budget alloué.
Techniques utilisées :
🡺 Les mêmes que dans les autres cycles ☺
Comptes concernés :
● 21-22-23 : Immobilisations en non-valeur, incorporelles et corporelles
● 1486 : Fournisseurs d’immobilisation ;
● 131 : Subvention d’investissement ;
● 1351 : Provision pour amortissement dérogatoire ;
● 6132 : Redevance crédit-bail ;
● 6133 : Entretien et réparation ;
● 651 : VNC ;
● 751 : Produit de cession ;
● 619 : Dotations aux amortissements ; Production immobilisée.
2- Calculer les revues analytiques : Procédures analytiques.
3- Cadrage entre la balance générale et la balance auxiliaire.
4- Contrôle de l’existence de la propriété.
Comptes Taux Amortissement
5- Faire une distinction entre les charges et les immobilisations (S’assurer que les charges d’entretien et de
maintenance n’incluent pas des dépenses à caractère immobilisable.
Cycle personnel
Prise de connaissance :
1- Demander la liste du personnel (Nom, prénom, matricule, date de naissance, date d’embauche, n°CNSS, position
et salaire ;
2- Les journaux de paie des 12 derniers mois, les bulletins de paie des 12 derniers mois ;
3- Les cartes de pointage des heures individuelles ;
4- Le livre des congés payés ;
5- Les rapports d’inspection de travail des 12 derniers mois ;
6- Le dossier des élections des délégués avec la direction ;
7- Les documents du système de réclamation ;
8- Le registre des accidents de travail ;
9- Les grèves au sein de l’entreprise ;
10- Les conventions collectives.
11- Les personnes licenciées, les indemnités, PVs auprès du tribunal…
Principaux intervenants :
● Service personnel, production, paie, comptabilité, trésorerie.
Phases :
1- Respect de la réglementation ;
2- Embauche et suivi du personnel ;
3- Saisie du temps de travail ;
4- Etablissement de la paie ;
5- Enregistrement de la paie ;
6- Paiement des salaires ;
7- Calcul des provisions.