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A l’attention de Monsieur
Monsieur le président,
- L’identité du stagiaire ;
- Le déroulement du stage ;
Restant à votre disposition pour toute information, veuillez agréer, Monsieur le Président,
l’expression de mon profond respect.
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ATTESTATION D’ENCADREMENT
La présente attestation est délivrée à l'intéressée pour servir et valoir ce que de droit.
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Identité du stagiaire :
Nom : ZAIDI
Prénom : Wafae
Nationalité : Marocaine
Téléphone : 0677-427-029
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Déroulement du stage :
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Travaux effectués :
NOMBRE DE
NATURE DES TRAVAUX NOMBRE D’HEURES
DOSSIERS
4-Travaux juridiques
5- Conseil
6- Séminaires
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Appréciation du maitre de stage :
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Introduction
La trésorerie se situe au carrefour des opérations faites par l’entreprise. La liquidité des
comptes de trésorerie doit être suivie avec rigueur afin de permettre à l’entreprise de faire
face à ses engagements et également pour éviter des encaisses importantes oisives.
Le cycle d'exploitation des entreprises se déroule par une succession du processus Achat-
Production - Vente. Ses différentes étapes conduisent à des mouvements de fonds à travers le
paiement du personnel, des fournisseurs et des prêteurs d'une part et les règlements des clients
d'autre part. Toute entreprise doit disposer en permanence des ressources suffisantes pour
remplir ses engagements financiers (salaires, fournisseurs, charges sociales et fiscales ...). Ces
étapes sont fondamentales pour l'entreprise car elles permettent le dénouement des activités
essentielles de fonctionnement. Ainsi, la trésorerie constitue l'un des éléments essentiels au
sein d'une entreprise.
En plus d’un rôle de «dénouement» des opérations initiées au niveau des autres cycles
d'activités: Achats, Ventes, Personnel , la trésorerie est caractérisée par les dangers de
détournement de fonds favorisés en cas de système de contrôle interne défaillant, de plus les
valeurs en banque ne reflètent généralement pas l’importance des mouvements, d’où l’intérêt
porté à ce cycle , qu’il faut étudier en étroite interaction avec les autres cycles.
Afin d’illustrer les différentes étapes de la démarche d’audit du cycle trésorerie nous allons
présenter régulièrement les tests mis en œuvres dans le cadre d’une mission d’audit de la
société « Alpha » qui s'appuie sur l'expérience pratique retirée lors de mon stage. Pour des
raisons de confidentialité ni le nom de la société ni aucune autre information considérée
comme confidentielle par le cabinet ne figurerait dans ce rapport.
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Introduction
Section 1 : Revue du contrôle interne de la section trésorerie
CONCLUSION
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Section 1 : Revue du contrôle interne de la section trésorerie
La trésorerie est la résultante de tous les flux financiers traversant l'entreprise et c’est aussi le
solde qui découle des encaissements et des décaissements de l'entreprise durant une période
donnée.
• opérations courantes telles que les émissions des chèques, les virements, les opérations
de caisse ;
• Opérations de gestion de portefeuille: ligne de crédit consentie à l'entreprise, opération
de placement à court terme;
• les opérations spécifiques de trésorerie telles que la couverture de change, la gestion
de trésorerie d'un groupe.
Les opérations de trésorerie sont enregistrées dans les comptes de caisses (opérations en
espèces), de banques (opérations bancaires) et dans les comptes de frais ou de produits
financiers (intérêt bancaires débiteurs ou créditeurs).
Ces opérations nécessitent également l'emploi de comptes de liaison (ou compte de virements
internes) qui constatent les transferts de fonds d'un compte de trésorerie à un autre, ou les
chèques remis à l'encaissement non encore positionnés par les banques.
Les objectifs globaux du contrôle interne appliqué au cycle trésorerie sont déterminés comme
suit:
• Les paiements sont faits à des fins autorisées et par un nombre limité de
personnes habilitées à le faire.
• Les encaissements font l’objet d’un suivi.
• Les opérations de trésorerie sont correctement enregistrées.
• Les actifs liquides sont correctement protégés.
• La gestion de trésorerie est optimisée sans faire courir de risques indus à
l’entreprise.
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Ces objectifs globaux sont déclinés en objectifs d’audit :
• À l’ouverture du courrier, les titres de paiement reçus doivent être isolés du reste du
courrier, enregistrés et transmis directement au service trésorerie
• Les titres de paiement reçus doivent être remis en banque quotidiennement.
• Le montant des titres de paiement remis à la banque régulièrement rapprochée du total
enregistré et du total des règlements enregistrés au crédit des comptes clients
• Pour les recettes en espèce, elles doivent être :
- enregistrées sur des pièces de caisse standards et pré-numérotées
- enregistrées au fur et à mesure dans le journal de caisse
- rapprochées des espèces en caisse.
Lorsque les encaissements sont effectués par des représentants, livreurs,…. Ces personnes
sont tenues
Pour les fournisseurs qui envoient des relevés, les règlements émis doivent être rapprochés
des relevés.
1- S’assurer que toutes les recettes enregistrées correspondent à des recettes réelles
Les règlements enregistrés au crédit des comptes clients rapprochés des montants
effectivement encaissés en banque.
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• Immédiatement redébités au compte client
• soumis à un responsable
1- S’assurer que toutes les recettes sont enregistrées dans la bonne période
Les recettes enregistrées par la banque et non par la société, décelées par les rapprochements
de banque, sont enregistrées sur la période.
2- s’assurer que tous les paiements réalisés sont enregistrés sur la bonne période :
La comptabilité vérifie que toutes les pièces de caisse de la période ont été saisies
Les espèces en caisse sont physiquement contrôlées et rapprochées du livre caisse en fin de
période
Les écarts constatés entre les règlements reçus et les factures sont
• Analysés
• Corrigés rapidement
• Soumis à autorisation
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Les règlements en devises sont :
• Signalés à la comptabilité
• Comptabilisées immédiatement
1- S’assurer que toutes les recettes sont correctement imputées totalisées et centralisées
2- S’assurer que toutes les dépenses réalisées sont correctement imputées, totalisées et
centralisées
Une bonne gestion des risques nécessite à la fois une forte culture en matière de risque, un
bon dispositif de contrôle interne et un programme solide couvrant l'ensemble de l'entreprise
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En ce qui concerne le cycle trésorerie, la phase de prise de connaissance se traduit d’une part
par la compréhension du processus des opérations d’encaissements et de décaissements et
d’autre part par l’appréhension des conditions bancaires auxquels est soumise l’entreprise.
Les relations entre l’entreprise et sa banque sont généralement définies dans le cadre
d’accords librement négociés ou subis appelés « conditions de banque ». (Date de valeur,
taux des commissions, plafond facilités de caisse ou des opérations de refinancement, …)
Il est à signaler qu’un lien étroit est à opérer lors du travail sur la trésorerie avec l’examen des
cycles « achats-fournisseurs » (décaissements) et « ventes-clients » (encaissements).
Afin d’illustrer les différentes étapes de la démarche d’audit du cycle trésorerie nous allons
présenter régulièrement les tests mis en œuvres dans le cadre d’une mission d’audit de la
société « Alpha ». Du fait de l’aspect confidentiel des dossiers, l’auditeur est astreint au
secret professionnel, et donc ne doit en aucun cas, divulguer les faits, actes et renseignements
dont il a pu avoir connaissance pendant le déroulement de la mission. C’est pour ces raisons
que nous utiliserons le nom « Alpha » pour identifier l’entreprise ayant fait l’objet d’un audit
financier du module trésorerie et que nous modifierons les montants et soldes des comptes de
trésorerie.
i. La grille de séparation de tâches :
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Objectif : Ressortir les éventuels cumuls de tâches entre les fonctions à caractère
incompatible.
Dtion Commerciale
FONCTIONS
Direction Générale
Sce achat
Resp. ramassage
Dtion Juridique
resp. Trésorerie
Sce trésorerie
Comptabilité
Caissier
Tenue de la caisse √
La prise de connaissance passe également via l’identification des intervenants car plusieurs
fonctions peuvent incomber à un même service.
La société alpha dispose d’une séparation de tâche confortable, il y a une claire distinction
entre la fonction d’enregistrement et la fonction de contrôle.
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ii. Le questionnaire de contrôle interne :
• La caisse dépense ne peut être mouvementée que par des ordres de dépense
présentés au caissier.
• Ces ordres de dépense sont donnés par le service achat, les chefs de
département ou par la Direction Générale.
• Généralement, les montants pouvant transiter par la caisse correspondent à des
petits montants qui ne peuvent pas faire l’objet d’un chèque et donc ne peuvent en
aucun cas être supérieur à 10.000 DH, ce qui élimine le risque fiscal relatif à ce
point ou encore des dépenses ayant un caractère urgent.
La conception du test:
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Choisir à partir du grand livre de la caisse dépense, un certain nombre d’opérations passées
par caisse pour constituer notre échantillon. Ensuite, vérifier l’application de la procédure déjà
relevée.
Vérifier que le montant relevé sur la grand livre correspond effectivement à un bon ou à une
facture, que la dépense est liée à l’exploitation, qu’il existe un ordre de dépense approuvé par
la Direction Générale ou par un chef de département et qu’un cachet « payé » est apposé sur
l’ordre de dépense.
√ :Vérifié conforme ;
┼ : Vérifié non conforme ;
(1) : Vérifier avec pièces justificatives probantes ;
(2) : Dépense liée à l’exploitation ;
(3) : Existence d’un ordre de dépense ;
(4) : Apposition du cachet payé sur l’ordre de dépense.
A leur niveau, les commerciaux tiennent un journal quotidien de vente qui est fait en 2
exemplaires. Ils en gardent une copie et remettent la deuxième au responsable du ramassage,
chaque jour lors de sa tournée, après qu’il ait apposé sa signature qui matérialise son contrôle
et la bonne tenue du journal de vente.
Les commerciaux remettent également au responsable du ramassage les espèces, les chèques
et les autres copies des reçus.
Après avoir terminé sa tournée, le responsable ramassage rentre au siège et conserve l’espèce
et les chèques dans le coffre fort. Le lendemain matin, les recettes de chaque point de vente
sont revérifiées pour les saisir au niveau du système, afin d’arrêter les encaissements de la
veille. Ensuite, tous les fonds seront déposés en banque.
Objectif : S’assurer de :
Points soulevés : Existence d’encaissements par caisse dont le montant dépasse 20.000 DH.
√ : Vérifié conforme;
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3. : Pointé conforme avec total des montants figurant sur les reçus ;
4. : Pointé conforme avec récapitulatif des journées ;
5. : Pointé conforme avec le total versé en banque.
La conception du test :
Il faudrait d’abord obtenir les états de rapprochement bancaire de toutes les banques, établis
par la société au cours de l’exercice, et vérifier que :
N° de Assertions
Libellé
compte
Juin Septembre
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(a) (b) (c) (d) (e) (a) (b) (c) (d) (e)
5141300000 COMPTE 1
5541000000 COMPTE 2
5141400000 COMPTE 3
5141500000 COMPTE 4
5141600000 COMPTE 5
Vérifier que
a) L'ERB existe
b) L'ERB est visé par le responsable
c) Le solde du relevé bancaire est reporté correctement sur l'ERB
d) L'ERB est équilibré
e) Absence de suspens ancien (Antérieur à 6 mois)
Quand bien même tous les indices recueillis seraient favorables, l’auditeur ne pourrait pas
s’en satisfaire. Même en ayant prouvé que les procédures de traitement comptable des
données sont correctes et efficientes, il peut tout au plus présumer que les données comptables
qui en résultent sont correctes. Un certain nombre de vérifications s’imposent donc :
Le principe de circularisation des banques est le même que pour les organismes prêteurs.
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La procédure de confirmation est appliquée à tous les comptes bancaires y compris ceux ayant
des soldes nuls ou sans mouvements.
Pour les comptes fermés au cours de l’exercice, il faut obtenir la confirmation par la(les)
banque(s) de la clôture des comptes courants.
Un tableau de dépouillement des réponses est conçu pour relever les écarts éventuels entre les
soldes confirmés par les banques et ceux relevés.
Il faudra également :
• Contrôler que les habilitations sont correctement mises à jour auprès des
banques (Personnes habilitées à mouvementer les comptes)
• Recenser les engagements hors bilan et contrôler leur mention exhaustive dans
l’annexe.
Pour l’examen des comptes des dettes de financement, les objectifs de contrôle sont les
suivants :
▪ S’assurer que les dettes et emprunts financiers sont exhaustifs et correctement évalués.
▪ S’assurer que les produits et frais financiers concernant les opérations de trésorerie
sont inscrits au compte de résultat
• Validation du déblocage :
Pour valider le déblocage de l’emprunt, nous nous devons de vérifier sur le contrat de crédit la
date de déblocage et le montant débloqué. Ensuite, nous devrons nous enquérir du déblocage
effectif du crédit en le pointant avec l’avis de crédit ou sur relevé bancaire.
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• La vérification de la date de remise des valeurs à l’encaissement et que leur
encaissement effectif apparaît sur les relevés ultérieurs.
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Test de validation des ERB
(1) Solde comptable au niveau de l'Etat de rapprochement correspond à la balance générale au 31/12/N
(2) Solde bancaire au niveau de l'Etat de rapprochement bancaire correspond au relevé bancaire au 31/12/N
Les disponibilités sont converties en dirhams, lors de leur acquisition, au cours de change à la
date de l’opération
Les disponibilités en devises existant à la clôture des comptes sont converties en dirhams sur
la base du dernier cours de change.
Les écarts de conversion constatés à cette occasion sont comptabilisés dans le résultat de
l'exercice :
les écarts de conversion négatifs sont considérés comme des pertes de change
définitivement supportées et sont en conséquence enregistrés au débit du compte 6331
"Pertes de change propres à l'exercice".
les écarts de conversion positifs sont considérés comme des gains de change acquis, et
sont donc enregistrés au crédit du compte 7331 "Gains de change propres à l'exercice".
En effet, les rapprochements bancaires sont faits en devises et les écarts de conversion
calculés à la clôture sont constatés directement en résultat financier.
L’objectif est de :
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Objectifs :
• S’assurer que les opérations transitant par la caisse ont été correctement
comptabilisées.
• S’assurer que le montant figurant à l’actif correspond effectivement au solde en
caisse.
Le solde du compte caisse devra être confronté au PV de contage des espèces en caisse du
31/12/N.
Les titres et valeurs de placement sont des titres financiers que les sociétés acquièrent avec
leurs surplus de trésorerie. Il s'agit pour les sociétés d'obtenir un taux de rentabilité correct sur
le court terme en investissant ce surplus de trésorerie. Les titres ainsi acquis sont inscrits au
bilan à leur prix d'achat dans le compte « Titres et valeurs de placement ».
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correspondantes.
7. Revue analytique :
La revue analytique consiste à faire des comparaisons entre les données résultants des
comptes et des données antérieures et établir des relations entre elles ;
Il est intéressant de voir l’évolution de la trésorerie nette en tant que résultante de la variation
du Fond De Roulement et du Besoin en Fond de Roulement.
Variation en
N N-1 Variation en %
valeur
Financement permanent 8 719 7 653 1 066 14%
Actif immobilisé 2 802 3 166 - 364 -11%
Fond de Roulement 5 916 4 487 1 429 32%
Actif circulant 84 422 78 491 5 931 8%
Passif circulant 79 781 74 298 5 483 7%
Besoin en Fond de Roulement 4 641 4 193 448 11%
Trésorerie active 557 - 557
Trésorerie passive - 425 - 425 -100%
Trésorerie nette 1 276 294 982 334%
La trésorerie nette de la société a connu une augmentation de 982 KMAD par rapport au 31
décembre N-1.
Cela s'explique essentiellement par un effet combiné de :
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• L'augmentation du résultat qui s'établit en N à 1066 KMAD contre 1013 KMAD en
N-1.
• Le report à nouveau de la totalité du résultat positif de l’exercice N.
• Les immobilisations nettes ont baissé de près de 15%, due principalement a des
acquisitions peu significatives (293 KMAD) par rapport à la charge d'amortissement
de l'exercice (672 KMAD)
L'augmentation du besoin en fonds de roulement
Le besoin en fond de roulement est passé de 4 193 KMAD en N-1 à 4 641 KMAD en N soit
une augmentation de l'ordre 448 KMAD (+ 11%).
Cette évolution à la hausse peut être expliquée par l'effet combiné suivant:
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Conclusion
La trésorerie se situe au carrefour des opérations faites par l’entreprise. Les comptes de
trésorerie sont la résultante bilancielle de tous les efforts de l'entreprise et ils constituent très
souvent, un indicateur précoce des difficultés qu'elle peut rencontrer. La trésorerie constitue le
poste le plus liquide de l'actif du bilan et est donc par ricochet une « zone à risque » qui si elle
n'est pas minutieusement suivie (contrôlée) pourrait être la porte ouverte aux décaissements
frauduleux. Des procédures strictes, claires et concises doivent donc être élaborées pour régir
le fonctionnement de la trésorerie dans toute entreprise.
Les entreprises comprennent de plus en plus toute l'importance que revêt un système de
Contrôle Interne efficace dans le monde économique actuel. L'évaluation du contrôle interne
permet d'apprécier notamment la fiabilité du système comptable, de porter un jugement sur
l'ensemble des enregistrements et de détecter les risques d'erreurs et de fraudes. .Les
conclusions tirées de l’évaluation du contrôle interne permettent à l’auditeur de définir
l’étendue des travaux à effectuer au niveau de la phase du contrôle des comptes, les
conclusions des contrôles, quant à elles, permettent de fonder un jugement définitif sur
l’ensemble des informations comptables et financières communiquées dans les états
financiers.
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