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Remerciement

Je tiens de remercier toutes les personnes qui contribue en


succès de mon stage et qui m’ont aidé lors de la rédaction de
ce rapport.
Je tiens de remercier vivement mon maitre de stage Mr.
NOUAJI Mahmoud gérant du cabinet GMAC pour son accueil
le temps passe ensemble et le partage de son expertise au
quotidien.
Grâce aussi à sa confiance j’ai pu m’accomplir totalement
mes missions.je remercie également toute l’équipe du
cabinet pour leur accueil leurs esprit d’équipe qui m’ont
beaucoup aidé de comprendre les problématiques de marche
de capitaux.
Enfin, je tiens de remercier toutes les personnes qui m’ont
conseillé et relu lors de la rédaction de ce rapport de stage.

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Introduction générale
Du 09/01/2020 au 05/02/2020 1 moi j’ai effectué un stage au
sein de cabinet de comptabilité situe a Montplaisir. Au cours
de ce stage j’ai pu m’intéresser au marche des capitaux.
Le stage est un moyen que des instituts supérieurs permet à
l’étudiant de s’intégrer dans la vie professionnelle en vue
d’avoir une idée générale sur le fonctionnement de cabinet
de comptabilité.
A ce niveau l’objectif des instituts supérieurs des études
technologiques permet à l’étudiant d’enrichir ses
connaissances et de s’adapter a l’environnement du marche d
emploi.
En effet mon stage m a permis de s’intégrer au sein de la vie
professionnelle et d’élargir mes connaissances.
Finalement l’objectif de ce stage est de faire une intervention
pratique qui me permet d’appliquer mes connaissances
scientifiques et technique relatives au domaine de
comptabilité.

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Sommaire
Table de matière
Introduction générale
Chapitre : présentation générale de cabinet
Introduction
Présentation de cabinet
Carte métier
Conclusion
Chapitre 2: Etude cas
Partie 1 partie teorique
Marche financiere
Action
Obligation
Marche monétaire
Marche interbancaire
Marche des titres de créances negociable
Bons de tresorie
Billet de tresorir
Certificats de depot
Emprunt obligataire
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Partie2 partie pratique
Conclusion

Chapitre1 : présentation de cabinet


I. Introduction

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Dans ce chapitre, nous allons présenter en premier lieu
le cabinet dans laquelle nous avons effectue notre stage
en deuxième lieu, on va identifier la carte métier.

II. Présentation de cabinet


Je commence tout d’abord par la présentation des lieux
de mon stage que j’ai effectué.
La société Global Management et Accounting Consulting
« GMAC » est une société a responsabilité limitée « SARL
» inscrite au tableau de l’Ordre des Experts Comptables
de Tunis depuis mars 2017, son capital est fixé à
10.000DT et divisé en 1000 parts sociales de 10DT
chacune dont 90% est détenu par Mr NOUAJI Mahmoud
qui est le gérant de la société, Son siège social est fixé à
bureau A54. 11 – Avenue – Abderrahmane Azzem
Montplaisir. Elle a pour objet l’exercice de la profession
d’Expert-Comptable telle qu’elle est définie par les
textes Législatifs et réglementaires, elle fournit,
principalement, des services dans les domaines
Suivants : Audit Financier et services annexes : Audit
interne, conseil, Audit juridique et Fiscal, Externalisation
de la fonction comptable et financière.
III. Carte de métier
1. Gérant associée (expert-comptable)

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L’Expert-comptable accomplie plusieurs missions diversifiés
outre que les missions principales. Ces missions sont d’ordre
social, fiscal, juridique, gestion, évaluation et de conseil :
o Social : Etablissement des fiches de paie et des
déclarations sociales.
o Juridique : Assurer le secrétariat juridique des
sociétés tels que les statuts de l’entreprise, les
formalités de dissolution ou les assemblées
générales.
o Fiscal : Etablissement des déclarations fiscales et
assistance : telles que les déclarations mensuels,
l’impôt sur les sociétés. La mise en place d’outils
de gestion : tels que, le calcul du seuil de
rentabilité, le plan de financement, et mettre en
place des outils de pilotage (tableaux de bord.).
o Conseil : En gestion de patrimoine ; à l’export ;
dans le domaine du développement durable…
o Evaluation : Evaluations d’entreprise cas de
cessions, succession,
o Transmissions

Pour le secteur public, L’expert-comptable est appelé


réviseur légal des comptes et conformément à l’article 13 de
loi 89-9 4 du 1 er Février 1989 qu’elle stipule que « les
comptes des établissements publiques n’ayant pas un

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caractère administratif et des sociétés dont le capitale et
entièrement détenue par l’Etat sont soumis a une révision
effectuée par un membre de l’OECT selon les conditions et les
modalités fixe par décret fixant les conditions et les modalités
de la révision des comptes des établissements publiques à
caractère industrielle et commerciale et des sociétés dont le
capitale et totalement détenu par l’Etat ».
Ainsi, le terme « reviseurs des comptes » n’est-il pas réservé
aux contrôleurs des comptes des établissements publiques
n’ayant pas un caractère administratif et des sociétés dont le
capital et entièrement détenu par l’Etat.
De ce fait, L’expert-comptable peut également intervenir
avec des missions d’audit dans le secteur public. Il définira les
obligations du marché public, et examinera le domaine
d’action qui devra être parfait avec son statut.

2. Département assistance et conseil


Définition
Il effectue, les missions de base de la comptabilité : saisie et
contrôle des factures et les notes de frais, tenue des livres
d'achat et de vente, rapprochement bancaire… l'aide
comptable peut aussi être amené à réaliser des tâches plus
sensibles comme les fiches de paie.

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Ses principales missions consistent à :
• Effectuer les opérations de gestion
• Participer à la vérification des comptes de l’entreprise
• Rédiger les documents de comptable
• Aider à préparer le bilan de l’entreprise
• Gérer la comptabilité des clients
• Enregistrer les flux financiers : entrées et sorties d’argent
• Effectuer la transmission des éléments comptables à
l’expert-comptable une fois par mois.
• Effectuer un rapport mensuel
• Faire le suivi du courrier administratif de la société

3. Département audit
Dans ce qui suit, nous présentons premièrement, les
définitions, les types, les objectifs, et les fondements de
l’audit financier et deuxièmement, on va présenter la
démarche de l’audit.
Définition
Les professionnels ont donné une définition générale qui peut
s’appliquer à tout type d’audit :« l’audit est l’examen
professionnel d’une information, en vue d’exprimer sur cette

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information une opinion responsable et indépendante, par
référence à un critère de qualité cette opinion doit accroître
l’utilité de l’information ».
De cette définition on tire les enseignements suivants. Dans
un premier temps, l’audit est un examen professionnel : En
effet l’auditeur utilise une méthode de travail (une démarche)
et met en œuvre des techniques et des outils (techniques
d’audit et supports de travail). Dans un deuxième temps,
l’audit porte sur des informations : La notion d’information
doit être prise dans un sens très large (informations
historiques ou prévisionnelles, quantitatives ou qualitatives).
En fin, l’audit est l’expression d’une opinion responsable et
indépendante.
L’opinion de l’auditeur est une opinion responsable car elle
engage sa responsabilité.
L’opinion de l’auditeur est également indépendante tant à
l’égard de l’émetteur de l’information qu’à l’égard des
récepteurs.
Au sens large, l’audit désigne « l’étude critique de documents
et d’autres preuves en vue de déterminer l’authenticité et
l’exactitude d’un registre ou d’une assertion, ou pour évaluer
la conformité à des lignes de conduite ou à des clauses
contractuelles ».

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A travers cette définition, le mot audit implique la vérification
de la correspondance entre un existant et un référentiel
préétabli. Dans la pratique, Il y a plusieurs types d’audit à
savoir L’audit financier, l’audit opérationnel et l’audit
logistique.
L’audit financier peut être définir comme « l’ensemble de
travaux menés, selon une démarche (processus) précise, par
un professionnel compétent et indépendant, conformément
à des normes professionnelles, et conduisant à exprimer une
opinion motivée sur la régularité et la sincérité d’informations
financières ».
En outre, il peut être définir comme : « un processus par
lequel un professionnel compétent et indépendant réunit et
évalue des éléments probants relatifs à des informations
financières émanant d’une entité économique, en vue de
déterminer leur degré de concordance avec des critères
établis et de le présenter dans un rapport.
Les différents types de l’audit

 L’audit contractuel : réalisé à la demande d’une entité


pour des fins qui sont définies dans la convention (lettre
de mission) avec l’auditeur.
 A révision légale : réalisée dans le cadre du décret n° 87
- 529 du 01/04/1987 fixant les conditions et les

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modalités de la révision des comptes des E. P. I. C. et des
sociétés dont le capital est totalement détenu par l’Etat.
 L’audit légal : appelé aussi commissariat aux comptes
prescrit par le code des sociétés. En effet, lorsqu’il s’agit
d’une obligation légale mettant à la charge de certaines
entreprises la nécessité de se soumettre à un audit, et
on parle dans ce cas d’audit légal.

Si à l’origine, l’audit s’est limité à l’aspect financier de l’entité,


il s’est étendu progressivement à l’ensemble des activités de
celle-ci, d’où la naissance de l’audit opérationnel voire même
de l’audit de direction.
• L’audit financier : qui s’applique à un ensemble de
données financières c’est à dire les états financiers de
l’entité.
• L’audit opérationnel : est l’examen systématique des
activités d’une entité en fonction de ses finalités et de ses
objectifs, en vue d’évaluer les réalisations (en identifiant
notamment les pratiques non économiques, improductives et
non efficaces) et de faire des recommandations
d’amélioration. Les objectifs quantifiés figurent normalement
dans les plans et budgets. L’examen peut porter sur des
politiques, des procédures, des résultats etc. Cet examen est
effectué par l’auditeur sous l’angle de la régularité (ou de

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conformité) et des principes d’économie, d’efficience
(productivité) et d’efficacité.
• L’audit de direction : Vu son caractère récent, et la
pratique qui en est fait l’audit de direction appelé aussi audit
de management n’a’ pas fait l’objet de définition précise par
les auteurs.
Objectif de l’audit
L’audit financier a pour objectif d’exprimer une opinion sur la
régularité, la sincérité et l’image fidèle des comptes d’une
entreprise ou d’un groupe d’entreprises.
Il constitue un élément essentiel du dispositif de sécurité
associé à la communication et à ’utilisation de l’information
financière.
L’audit vise à exprimer une opinion sur la qualité des
principales informations fournie.
Cette qualité s’apprécier par rapport à des critères précis. Les
critères retenus sont la régularité et la sincérité d’où découle
la fidélité de l’image donnée.
Ces notions doivent être complétées par des notions
d’exactitude et de seuils de signification.
o La régularité : C’est la conformité à la
réglementation ou, en son absence, aux principes
généralement admis. La réglementation se
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compose des textes législatifs ou réglementaires
mais aussi des règles fixées par la jurisprudence et
des normes élaborés par des organisations
professionnelles compétentes.
o La sincérité : Le plan comptable précise que c’est
l’application des règles et procédures en fonction
de la connaissance que les responsables de
comptes doivent, normalement avoir de la réalité
et de l’importance des opérations, évènements et
situations.
o L’image fidèle : Elle sert de référence lors de
l’établissement des comptes annuels. Ainsi, dans le
respect des règles comptables, cette image fidèle se
matérialise par des informations supplémentaires
comprises dans l’annexe donnant aux différents
destinataires des comptes annuels des
renseignements complémentaires au bilan et au
compte de résultat.
Démarche de l’audit
Dans une démarche d’audit on constate deux phases
principales qui sont :
Une phase préliminaire appelée aussi phase avant pré-
acceptation. Une phase importante qu’elle contient les
trois phases de l’audit proprement dit. Et bien

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évidement, la dernière phase est le rapport et l’opinion
de l’audit.
Les étapes préalables l’acceptation de la mission
Un auditeur pressenti pour une mission d’audit doit,
préalablement à l’acceptation de ses fonctions, assurer
de
 Son indépendance
 Sa compétence pour mener à bien la mission
proposée.
Il doit, en outre, recueillir des informations de base de source
interne et externe à la société pour être en mesure :
 D’avoir une première appréciation de l’intégrité
morale des managers.
 D’identifier les circonstances spéciales et les risques
inhabituels.
 De déterminer sa capacité à appliquer les diligences
normales.
Planification de la mission
La planification a donc pour objet de fournir des
précisions sur l’orientation générale de la mission et de
donner des instructions à l’équipe intervenante sur le
dossier. Elle se fait en trois étapes : la prise de
connaissance générale de l’entreprise, le plan d’audit et
la programmation.
La prise de connaissance générale
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La prise de connaissance générale a pour objet d’avoir
une compréhension d’ensemble de la société et de son
environnement. Dans ce sens, l’ISA 315 nous enseigne
que l’auditeur doit acquérir une compréhension
suffisante de l’entité et de son environnement, y
compris de son contrôle interne, pour pouvoir apprécier
les risques d’inexactitudes significatives dans les états
financiers par suite de fraudes ou d’erreurs, et pour
concevoir et mettre en œuvre ses autres procédés
d’audit.
La prise de connaissance est effectuée notamment par le
biais de :
• Entretient avec les responsables.
• Exploitation de la documentation interne de l’entité
(manuel de procédures, organigrammes, notes de
services, budgets, rapports de l’audit interne…)
• Étude de documents externes sur l’entreprise et sur
son secteur d’activité (statistiques, revues spécialisées,
ouvrages professionnels…
• Revue analytique globale
• Consultation des dossiers et des rapports d’audit
des exercices précédents
• Consultation des dossiers et des rapports de
l’ancien auditeur en cas où il s’agit d’un premier audit.

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Des éclaircissements peuvent être demandés au
prédécesseur en cas de besoin
• Visite des lieux.
 Plan d’audit
Ayant acquis une connaissance générale de l’entité et de
son environnement, le réviseur doit maintenant rédiger
le plan d’audit. Ce document constitue le plan de route
du réviseur.
Lors de sa mission. Il décrit la nature, l’étendue et le
calendrier des travaux d’audit.
Le plan d’audit est destiné à être lu par tous les
intervenants afin qu’ils puissent effectuer leurs travaux
en ayant à l’esprit les caractéristiques de l’entité et le
contexte dans lequel elle évolue ainsi que les objectifs et
la stratégie de l’audit.
 Programmation
La mise en œuvre de la stratégie d’audit se fait à l’aide des
programmes de travail qui sont généralement établis par
cycle (Achats/Fournisseurs, Ventes/Clients, Paie/Personnel…).

L’utilité des programmes de travail réside dans le fait qu’ils


constituent un guide incontournable pour les auditeurs de
terrain. À ce titre, ils devraient être élaborés avec le niveau
de détail approprié.

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 Contrôle des comptes
Le contrôle des comptes est la troisième phase de l’audit de
terrain, celle durant laquelle les équipes effectuent les tests
et contrôles substantifs jugés nécessaires. Lors de cette
phase, l’encadrement des travaux des auditeurs de terrain est
assuré par les programmes élaborés lors ; de la planification.
En effet, même s’il est supposé devoir s’adapter aux
situations rencontrées, le cadre représenté par le programme
de travail est tel qu’il constitue nécessairement une référence
structurante de chaque auditeur. Les étapes d’un programme
de travail d’audit consistent en la réalisation successive de
procédures destinées à recueillir des éléments probants
suffisants et adéquats. Cette collecte d’éléments probants est
effectuée au moyen de procédures d’audit. Celles-ci peuvent
être divisées en six catégories principales. Aucune preuve
n’étant irréfutable a priori, c’est leur combinaison et leur
recoupement qui va produire une démarche d’audit de
qualité.
 La vérification physique consiste à s’assurer de
l’existence des actifs qui sont inscrits dans les comptes.
Cela revient par exemple à retrouver dans l’usine une
machine figurant dans les comptes d’immobilisations ou
à contrôler des stocks.
 La vérification sur document consiste à valider les
mouvements ou les soldes des comptes à partir des
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pièces comptables qui les justifient. On peut ainsi valider
un mouvement de compte d’achat par la recherche de la
facture fournisseur correspondante.
 Les confirmations directes, ou circularisations, consistent
à obtenir de tire extérieure à l’entreprise la confirmation
d’informations. Il s’agit par exemple de demander à un
fournisseur de confirmer le montant des factures qui lui
sont dues à la clôture ou d’écrire aux avocats de
l’entreprise pour leur demander leur évaluation des
éventuels litiges avec des tiers.
 Les demandes d’explication auprès de la direction ou de
toute autre personne habilité permettent de juger du
caractère raisonnable des options de comptabilisation
prises entreprise. Ces explications doivent faire l’objet
d’une évaluation critique de la part d’auditeur
 Les calculs, vérifications arithmétiques, recoupements et
rapprochements de documents entre eux consistent, par
exemple, à contrôler un calcul d’amortissement, à
recadrer un compte de trésorerie avec le relevé bancaire
correspondant ou à vérifier la concordance entre la
comptabilité générale et la comptabilité analytique.
 L’examen analytique

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CHAPITRE 2

Etude cas : marche des capitaux

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Partie 1 : partie théorique
Définition :
Les marche des capitaux permettent la rencontre entre les
agents économiques ayant un excè de capacite et les agents
ayant des besoins de financement. Il se subdivisent en deux
compartiments le marché financière et le marché monétaire.
I. Marche financière
Définition
Marche de capitaux à long terme ou se confrontent des
capacités et des besoins de financement ayant des maturités
diffèrent instrument privilégiés action et obligation.
1. Les actions
Lorsqu’une entreprise propose au marché financière d
acquière une partie de son capital de forme d’action les
investisseurs deviennent actionnaire dans l’entreprise.
Les raisons :

 Ouverture de capital
 Augmentation de capital
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 Privatisation
Les actionnaires servent reconnaitre plusieurs droits :

 Information
 Convocation et vote au AG
 Dividendes
 Revendre au prix du marché sur la marche
secondaire.
Formule mathématique

Valeur de l’action(p)
P=d+bf/1+k
Avec
K= taux de rendement exige par actionnaire
Pf=prix de l’action fin de période
P0=prix de l’action début de la période
2. Les obligations
Définition
Les obligations concernent les plus grandes entreprises
collectivité Etats ; ils sont des dettes, il s’agit de titre de
créance négociable et nominale donne le droit a son titulaire
de percevoir une rémunération annuel appelé
coupons=intérêt. Les investisseurs propriétaires de ce titre de

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créance ont le droit de revendre des obligations au prix du
marché sur le marché secondaire.
Les différents types d’obligation :

 Obligation à taux variable : c’est- à -dire varie pendant la


durée de vie de l’obligation.
 Obligation au coupon unique : aucun coupon n est verse
 Obligation convertible : donne la possibilité de convertir
les obligations en nombre spécifie d’action et nombre
déterminé à l’avance.
 Obligation à bon de souscription
 Obligation remboursable en action
Formule mathématique

C= VN*taux de coupon
Avec
VN= valeur nominale au valeur fiscal (c’est la base de calcul
du coupon autrement dit l’intérêt a verser chaque période)
Valeur de remboursement= VR.
3. emprunt obligataire
L’emprunt obligataire est une forme de financement a
l’attention d’un Etat ,d’une banque, d’une entreprise ou
d’une organisation gouvernementale.

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L’emprunteur, émet des obligations que des investisseurs
achètent un intérêt est verse périodiquement, tandis que le
capital sera remboursé à une date prévue.Le recours a
l’emprunt obligataire permet de se financer en dehors du
circuit bancaire classique. Il est notamment utilisé lorsque les
conditions octroyées par les banques sont difficiles à
satisfaire.Un emprunt obligataire peut offrir une
rémunération à taux fixe ou à taux variable étant donné que
le capital ne sera remboursé qu’en fin de prêt, le taux
d’intérêt s’applique sur la totalité de l’emprunt.
L’emprunteur détermine le montant dont il a besoin puis le
divise par le nombre d’obligations prévues plus il y a d
obligations moins l investissementnt minium sera élevée.
I. Marche monétaire
Définition
Marche de capitaux a court ou moyen terme permet de
combler les besoins de l Etat mais aussi des entreprises grâce
aux placement liquides.
1) Marche interbancaire
Définition
Le marché interbancaire est le marché ou les banque prêtent
et empruntent des liquidités à très court terme, sans création

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de titres en contrepartie la durée la plus fréquente est le jour
le jour.
Les prêts et emprunts garantis par des titres sont connus sous
le terme pension.
La pension : consiste a un transfert simultané entre deux
parties de titre contre une certaine somme d’argent avec
l’engagement des deux parties de procéder au transfert
inverse a une date ultérieure.
2) Marche des titres de créances négociable
Définition
Marche des titres de créances négociable est un marché ou
les établissements de crédit empruntent par la création des
certificats de dépôt, ou bons de société de financement et les
entreprises par la création de billet de trésorerie ; ce sont des
titres de durée courts ou moyennes.
a) Certificatifs de dépôt
Définition
Les certificats de dépôt sont des titres de créances
nominatifs, négociable par transfert de compte en compte
émis par banque d’une durée Maximum 5ans. Ces titres sont
représentatifs de dépôt effectués auprès des établissement
de crédit .Ces certificats permet aux banques de se procurer
des liquidités et les aide à maintenir le rôle d’intermédiation.
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b) Billets de trésorerie
Définition
Les billets de trésorerie sont émis par l entreprise pour un
montant nominal représentant un multiple de cinquante
mille dinars .
Les billets de trésorerie offrent une rémunération à taux fixe
déterminée lors de l’émission et peuvent comporter des
prime de remboursement.
c) Bons du trésor
Définition
L’Etat intervient sur le marché interbancaire pour trouver une
partie des capitaux nécessaire aux besoins de financement
des administrations publiques à travers des bons du trésor.
• Bons de trésorier à court terme
Sont des titres de marche monétaire émis par l’Etat pour un
nominal de 10.000dt et pour des durées de 13.26.52
semaines.
Pour les bons dont la durée est inférieure ou égale à une
année les intérêts sont egales a la souscription et calcules
selon la formule suivante :
I=(CTN /(36000+tn))
Avec

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I = montant des intérêts
C=valeur nominale du bon trésor
T= taux d’intérêt
N= nombre de jour exact allant de la date d’émission a la date
d’échéance l’une de ces deux dates étant incluse dans le
décompte.
• Bons du trésor à long terme
Caractéristique
Nominal 1000Dt (montant unitaire de chaque bon) durée
2ans et plus. Taux d’intérêt fixe, les intérêts sont payables
annuellement à terme échu.
Pour les bons dont la durée est supérieure à une année, les
intérêts sont règles annuellement à terme échu sur la base
d’une année de 360 jours en appliquant la formule suivante :
I= ( ctn/360)
Avec
I= montant des intérêts
C= valeurs nominales du bon du trésore
N= nombre de jours exact allant de la date d’émission a la
date d’échéance l’une de ces deux dates étant incluse dans le
décompte.

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gerant associe

departement departement departement


assistance et taxes Audit
conseil
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