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UNIVERSITE CATHOLIQUE D’AFRIQUE CENTRALE

INSTITUT CATHOLIQUE DE YAOUNDE

FACULTE DE SCIENCES SOCIALES ET DE GESTION

MASTER BANQUES ET FINANCES II

FINANCEMENT DU COMMERCE INTERNATIONAL


THEME 2 :
Au regard de la lecture des RUU600, faites une étude comparée entre le CREDOC et la
lettre de crédit stand by.
Indiquez les préférences d’utilisation pour un importateur et pour un exportateur
camerounais.

MEMBRES DU GROUPE 5 :

ABDOUL RAOUF ADAMOU MATI


BADAWE TABOULI Désiré
BIMEME OBAM Arthur
EKAE François Kevin
EKOUMOU Gaëlle
Jean Pierre ABEGA IKONG
MEBOM NGAMANA André
NWAHA II Eric Noel (chef)
Sous la supervision de :
M. MVOGO Bernard

SOMMAIRE
Année académique : 2021-2022
INTRODUCTION...............................................................................................................................3
I. PRESENTATION ET FONCTIONNEMENT DU CREDIT DOCUMENTAIRE ET DE LA
LETTRE DE CREDIT STANDBY....................................................................................................4
1. Le crédit documentaire...........................................................................................................4
2. La lettre de crédit standby......................................................................................................5
II. ETUDE COMPARATIVE ENTRE LE CREDOC ET LA LETTRE DE CREDIT
STANBY...............................................................................................................................................6
1. Avantages et inconvénients du CREDOC..............................................................................6
2. Les avantages et les inconvénients de la lettre de crédit standby.........................................7
3. Similitude et dissemblance entre le CREDOC et la LCSB...................................................8
III. PREFERENCE D’UTILISATION POUR UN EXPORTATEUR ET UN
IMPORTATEUR CAMEROUNAIS..................................................................................................8
1. Cas de l’importateur................................................................................................................9
2. Cas de l’exportateur................................................................................................................9
CONCLUSION..................................................................................................................................11
WEBOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE......................................................................................12

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Rédigé par les membres du groupe 5
INTRODUCTION

Le financement du commerce extérieur découle de plusieurs engagements commerciaux entre


importateur et exportateur. Entre autres engagements, les modalités de paiement constituent
une étape des plus délicates dans la finalisation des transactions entre les deux parties. Parmi
les instruments utilisés pour s’assurer le bon paiement des transactions à l’international nous
avons le crédit documentaire et la lettre de crédit Stand-by. Les modalités et conditions
régissant ces deux instruments sont établies dans ce qui est connu comme les Règles et
Usances Uniformes relatives aux crédits documentaires on parle de RUU 600 depuis 2007. Si
ces deux instruments prouvent un engagement de paiement souscrit par la banque d’un
acheteur vis-à-vis du vendeur, ils présentent chacun des divergences et donc une préférence
d’utilisation pour l’une ou l’autre des parties. Nous pouvons donc nous poser la question de
savoir dans le cas d’un importateur et d’un exportateur Camerounais par exemple, quel serait
l’instrument le plus adapté ?

Cette interrogation nous impose de présenter d’abord le Credoc et la lettre de crédit Stand-by
(I) dans leur fonctionnement en particulier ensuite nous ferons une analyse comparative de
ces deux instruments (II) en nous appuyant sur les avantages et inconvénients mais aussi sur
quelques points de similitude enfin nous analyserons à partir de ces avantages et/ou
inconvénients la préférence d’utilisation pour un importateur et un exportateur Camerounais
(III).

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Rédigé par les membres du groupe 5
I. PRESENTATION ET FONCTIONNEMENT DU CREDIT
DOCUMENTAIRE ET DE LA LETTRE DE CREDIT STANDBY
1. Le crédit documentaire
 Définition

Le crédit documentaire est un moyen de paiement à disposition des professionnels. Il permet


de sécuriser les transactions à l’international. Sous condition de fiabilité des banques
intervenant à l’opération, il fait également figure de garantie bancaire, et protège non
seulement le vendeur mais aussi le client. Le crédit documentaire fait intervenir quatre parties
qui sont :

 Le donneur d’ordre : il s’agit du client acheteur, c’est à sa demande qu’est initiée


l’opération
 La banque émettrice : sur demande de l’acheteur, la banque procède à l’ouverture du
Credoc.
 La banque du vendeur : ce 3eme intermédiaire, également banque vérificatrice, reçoit
les sommes de la banque émettrice pour le compte de l’exportateur.
 Le vendeur : l’exportateur est le bénéficiaire final du paiement

 Fonctionnement du crédit documentaire

Le groupe de mots crédit documentaire vient du mot italien crédito qui signifie ‘’j’ai foi
en toi, je te crois, je te fais confiance’’ et de document ; nous allons partir du postulat que
nous faisons confiance a des documents qui vont déclencher les paiements. En effet, si
nous prenons le cas du commerce international, dans le cadre du crédit documentaire nous
avons un donneur d’ordre (importateur) qui demande à sa banque d’émettre en faveur du
vendeur (exportateur) un crédit documentaire qui prévaut que la banque émettrice
s’engage de payer la facture au vendeur quoi qu’il advienne.

L’opération se déroule en plusieurs étapes dans les conditions de formalisme strict :

 L’acheteur importateur et le vendeur exportateur se mettent d’accord sur le


principe et la modalité du crédit documentaire comme moyen de paiement de la
commande. Cet accord fait l’objet d’une clause au sein du contrat commercial

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Rédigé par les membres du groupe 5
 L’acheteur formule auprès de sa banque une demande d’ouverture de crédit
documentaire dans les conditions telles que mentionnées au contrat. Les
instructions incluent notamment la mention précise des documents exigé par
l’acheteur au vendeur. La banque procède aux vérifications nécessaires et la
solvabilité de l’acheteur.
 Le Credoc est transmit par la banque de l’acheteur à celle du vendeur. Cette
dernière vérifie à son tour la validité et la conformité de l’opération. Le vendeur
est notifié de l’opération en sa faveur.
 L’exportateur remplit ses engagements contractuels qui sont entre autre :
fabrication, expéditions des produits… il s’assure de disposer des documents
exigé par l’acheteur, puis les présenter à sa banque qui la transmettra à son tour à
la banque de l’acheteur
 Sur présentation des documents, la banque de l’acheteur paye la banque du
vendeur. Les fonds sont transférés au bénéfice du vendeur

2. La lettre de crédit standby


 Définition

Engagement de paiement irrévocable mais conditionnel donné par la banque émettrice en faveur d’un
bénéficiaire dans le cas où le donneur d’ordre n’aurait pas rempli ses obligations (dans le cas présent
obligations de paiement). Bien que basé sur le contrat, la LCSB est indépendante du contrat et de la
marchandise. Garantie bancaire, visant à protéger le bénéficiaire, elle n’a pas vocation à être réalisée.
Sa mise en jeu reflète le non-respect par le débiteur (l’acheteur) de ses obligations de paiement à
échéance. Son schéma est similaire à celui du Credoc. Elle est soumise aux RUU 600 (règles et
usances uniformes relatives aux crédits documentaires ou plus rarement aux RPIS 98). La LCSB peut
être non confirmée ou confirmée. Notons que la LCSB peut aussi être utilisée comme garantie de
marché

Egalement appelé SBLC (stand-by letter of crédit) c’est une garantie bancaire qui vise à protéger le
bénéficiaire

 Fonctionnement de la lettre de crédit standby

Elle est faite par l’importateur qui met en confiance son fournisseur en ce sens que, en cas de
défaillance de paiement, sa banque se substituera à lui pour régler sa facture, à condition de
présenter les documents (facture, document de transport ou certificat d’analyse) comme

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Rédigé par les membres du groupe 5
preuve d’existence de la créance. La banque du donneur d’ordre en prenant un risque sur la
solvabilité du client s’engage pour le compte de ce dernier à payer irrévocablement le
bénéficiaire.

II. ETUDE COMPARATIVE ENTRE LE CREDOC ET LA LETTRE DE


CREDIT STANBY
1. Avantages et inconvénients du CREDOC

 Optique de l’exportateur

Avantages Inconvénients

- Il permet de maitriser le risque de non paiement sur - Un Crédit documentaire seulement non confirmé
les transactions de l’exportateur. n’engage nullement la banque notificatrice en cas
- L’expédition ne s’effectue que lorsqu’il y a de non paiement (d’où risque à charge de
engagement de la banque émettrice. l’exportateur).
- Il y a un engagement ferme de la banque
- Risque de change au cas où la facturation est
confirmatrice (dans le cadre d’un CREDOC
établit en devise.
irrévocable et confirmé).
- Règlement assuré par la banque confirmatrice dès - Formalisme rigoureux.
remises des documents conforme.
- Il peut expédier la marchandise en ayant la certitude
d’être payer dans les délais prévu.
- Rapidité du paiement.

 Optique de l’importateur : le donneur d’ordre

Avantages Inconvénients

- Le CREDOC permet de sécuriser les paiements à - Financement de l’opération dés la demande


l’internationale. d’ouverture du Crédit documentaire auprès de la
- Il s’assure au travers des documents de la Banque émettrice.
conformité, quantité, qualité, du prix de la

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Rédigé par les membres du groupe 5
marchandise expédiée. - Couts assez élevé.
- Il ne paie l’exportateur que si celui-ci a satisfait ses - Lourdeur d’utilisation.
obligations. - Risque de change au cas où la facturation est en
- Il assure à l’importateur des payer uniquement si les devises.
documents sont en conformité avec les termes du
crédit et des RUU.
- L’interprétation des documents du crédit
documentaire se fait selon l’application des R500
reconnue dans le monde entier.
- Il met l’exportateur en confiance en faisant
intervenir la banque, tiers neutre et de notoriété
mondiale, qui se chargera des règlements et de la
signature du premier ordre sera reconnu par la
banque de l’exportateur.
- Si le crédit documentaire est révocable, souscrit à
aucun engagement ferme vis-à-vis du bénéficiaire,
car il peut amender ou révoquer le crédit
documentaire sans que le bénéficiaire soit avertit au
préalable. (la révocation est toutefois impossible
lorsque le Crédit documentaire a été réalisé).

2. Les avantages et les inconvénients de la lettre de crédit standby

 Optique de l’exportateur

Avantages Inconvénients

- Mise en place simplifiée (exemple : une fois par an - Gestion documentaire réduite et risques de réserves
pour couvrir un courant d’affaires annuel) documentaires limités
- Garantie de paiement à 100 % contrairement à
- Pas opérationnelle avec tous les pays du monde
l’assurance-crédit (quotité garantie rarement
supérieure à 90 %) - Perte de contrôle de la marchandise (inconvénients

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Rédigé par les membres du groupe 5
- Adaptée aux exportations de biens d’équipement pour la banque émettrice)
légers ou dans le cadre de relation donneur d’ordre
- Nécessité de rassurer le client par attestation
façonnier ou dans le cadre de flux commerciaux
d’inspection, garantie de bonne fin selon le niveau
réguliers
de confiance entre l’acheteur et le vendeur
- Coûts à la charge du donneur d’ordre (l’acheteur
étranger) - Plus de difficultés pour le bénéficiaire d’obtenir un
- Coûts de gestion externes minimisés (paiements préfinancement sur LCSB, plus facile avec un
directs par transfert : les coûts sont appliqués à crédit documentaire.
l’encours au lieu du chiffre d’affaires global)

 Optique de l’importateur : donneur d’ordre

Avantages Inconvénients

- Plus de souplesse pour modifier la commande - Pas opérationnelle avec tous les pays du monde
- Coût plus faible à l’usage - Risque que le fournisseur ne respecte pas certains
- Réception des documents plus rapidement et donc aspects du contrat
disponibilité de la marchandise
- Meilleure relation avec son fournisseur

3. Similitude et dissemblance entre le CREDOC et la LCSB

Les crédits documentaires sont un type de lettres de crédit qui sont des mécanismes de
paiement internationaux qui sont tous deux assez similaires les uns aux autres. Les lettres de
crédit (qu'elles soient documentaires ou non) garantissent le paiement et sont donc plus
adaptées à une utilisation lorsque les deux parties sont inconnues. La différence entre les
deux réside dans les exigences strictes en matière de documentation et de présentation à la
livraison. Les crédits documentaires nécessitent une stricte conformité et une documentation
correcte qui doit être présentée au moment de la livraison des marchandises; à défaut qui peut
entraîner le rejet de la marchandise. Lors de l'utilisation d'une lettre de crédit stand-by, une
demande de paiement sera suffisante, et une telle demande peut être faite avec ou sans
présentation de la documentation.

Hormis le fait que le CREDOC et le LCSB sont régis par les RUU600, ils présentent le même
schéma explicatif.

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Rédigé par les membres du groupe 5
III. PREFERENCE D’UTILISATION POUR UN EXPORTATEUR ET UN
IMPORTATEUR CAMEROUNAIS

La lettre de crédit stand-by est une pratique plutôt nouvelle et presque pas souvent utilisée ou
demandée par les clients de banques au Cameroun. Dans ce contexte donc il serait difficile
d’établir une étude objective sur les préférences d’utilisation pour les exportateurs et
importateurs camerounais. De nos différentes recherches, il ressort que le crédit documentaire
est la méthode la plus utilisée dans le commerce international. Il présente donc un intérêt
particulier pour les professionnels du commerce. Si nous devions donc fonder notre analyse
sur ce constat nous dirions que les exportateurs et importateurs camerounais préfèrent
l’utilisation de du crédit documentaire, ses mécanismes et ses avantages à ceux de la lettre de
crédit stand-by. Cependant pour enrichir notre devoir il serait intéressant de ne pas se baser
uniquement sur une approche empirique mais aussi aborder la question d’un point de point
rationnel ( en pesant les avantages et les inconvénients) premièrement en se mettant dans la
posture de l’importateur camerounais et ensuite dans celle de l’exportateur.

1. Cas de l’importateur

Un importateur est une personne ou une institution qui introduit dans le territoire national des
marchandises ou des services. À travers ce commerce un échange s’effectue entre l’acheteur
et le vendeur, l’acheteur s’attend à recevoir la marchandise et le vendeur à percevoir une
somme d’argent en contrepartie de la marchandise livrée. De façon rationnelle on s’attendra
alors à ce que l’importateur choisisse l’outil qui lui permette de s’assurer que la marchandise
commandée soit livrée conformément aux modalités convenues au préalable dans le contrat et
les différents documents commerciaux (facture par exemple). Pour ce faire il choisira donc le
crédit documentaire car bien que basé sur le contrat, la LCSB est indépendante du contrat et
de la marchandise. De ce fait même si la LCSB offre plusse souplesse à l’importateur pour
modifier la commande ce dernier cours aussi le risque que le fournisseur ne respecte pas
certains aspects du contrat et peut par conséquent se retrouver avec de la marchandise non
conformes aux clauses préalablement établies.

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Rédigé par les membres du groupe 5
En conclusion disons que le crédit documentaire pour l’importateur, c’est une garantie de la
réalisation de l’opération commerciale dans des conditions optimales et initialement prévues
tel que dans le contrat. En d’autres termes, il apparaît comme le moyen de paiement le plus
adéquat car il permet de préserver les intérêts de l’acheteur notamment en garantissant ou en
donnant l’assurance à ce dernier que l’exportateur livrera la marchandise comme convenu.

2. Cas de l’exportateur

L'exportation est l'action de vendre à l'étranger une partie de la production de biens ou de


services d'un ensemble économique, pays ou région. À travers les échanges, le vendeur
espère percevoir la somme d’argent équivalent à la marchandise qu’il aura vendu. Le choix
rationnel de l’exportateur devra donc se porter sur le moyen qui lui permettra de sécuriser et
recevoir effectivement terme des opérations les fruits de la vente. Son choix se fera donc dans
le cadre de notre analyse entre la lettre de crédit stand-by et le crédit documentaire. Déjà
notons que tout comme la LCSB, le crédit documentaire garantit également à l'exportateur
qu’il recevra son paiement et qu’à partir du moment où le crédit a été émis, le paiement ne
dépend plus des conditions financières de l’acheteur. Ils offrent donc une grande sécurité à
l’exportateur, pour déterminer les préférences d’utilisation nous ne nous attarderons pas
seulement à la sécurité mais à d’autres facteurs tels que principalement :

 Le coût de l’opération dans la mesure où l’exportateur est sensé privilégier la méthode


diminuera au moins le montant qu’il recevra
 La vitesse d’exécution et les procédures
Mais plutôt dans les conditions d’octroi (procédures), les conditions de banques
(commissions par exemple)

Concernant les coûts qui peuvent être générés notons que :


Pour un crédit documentaire, la banque émettrice exige généralement : La banque
notificatrice exige des commissions :

• Une commission de notification s’élevant très souvent à 0,1% par an

• Une commission de confirmation qui représente environ 0,25% par trimestre

• Une commission de levée de documents de 0,15% en moyenne

• Une commission de paiement qui correspond à environ 0,15%

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Rédigé par les membres du groupe 5
De base, les commissions de la banque émettrice sont financées par l’acheteur, tandis que
celles de la banque notificatricconditions1ées par le vendeur. Toutefois, les deux partis
peuvent se mettre d’accord sur d’autres conditions.

Concernant la lettre de crédit stand-by, la commission exigée par la banque émettrice varie en
moyenne de 0,5% à 2% par an. Pour la banque notificatrice, la commission est généralement
inférieure à 1%. En cas de déclenchement de la SBLC, la banque émettrice va exiger à son
client le remboursement du paiement avec des frais supplémentaires, ou sous forme de crédit
avec intérêts. On constate donc que le CREDOC génère plus de frais pour l’exportateur que
LCSB. Ce dernier serait donc plus avantageux pour le vendeur car les coûts sont à la charge
du donneur d’ordre.

Concernant les procédures, elles sont assez  fastidieuses dans le cadre du CREDOC . Afin
de respecter les clauses et délais, elle exige une certaine rigueur. Un formalisme à ne pas
minimiser dans les affaires courantes. Par contre la LCSB est assez facile à mettre en place et
la gestion documentaire réduite.

En somme la LCSB est une garantie bancaire, visant à protéger le bénéficiaire, elle cadre
mieux avec les intérêts de ce dernier et permet de le rassurer tout comme le CREDOC mais
se démarque par sa facilité à être mise en place et l’économie de fonds pouvant être réalisée
par l’exportateur.

CONCLUSION

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Rédigé par les membres du groupe 5
Parvenus au terme de notre devoir, il était question pour nous de faire une étude comparative
entre le CREDOC et la lettre de crédit stand by mais également de mettre en lumière les
préférences d’utilisation pour un importateur et un exportateur camerounais. De ce fait, de
manière rigoureuse, nous disons que le CREDOC et la lettre de crédit stand by présentent une
ambivalence et une similitude assez distinguées. Il en ressort donc que le CREDOC se
distingue de la lettre de crédit stand-by de par son fonctionnement, ainsi donc contrairement
au Credoc qui doit se réaliser, LCSB a pour vocation à ne pas se réaliser. Mais aussi ces deux
instruments utilisés dans le commerce international régis par les RUU600 présentent le même
schéma explicatif. Ainsi, à travers les avantages et les inconvénients tant dans l’optique de
l’exportateur que celui de l’importateur, tous les deux intérêts à utiliser les deux moyens
selon leurs objectifs même si le crédit documentaire semble plus adapté et au vu de la rareté
d’utilisation de la lettre de crédit stand-by en Afrique.

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Rédigé par les membres du groupe 5
WEBOGRAPHIE ET BIBLIOGRAPHIE

https://www.etrepaye.fr/la-lettre-de-credit-standby-c8-r820.php

https://cours-bts-ci.fr/lettre-de-credit-stand-by/

https://www.lecomptoirfinancier.com/fr/international/54-lettre_de_credit_stand_by/

https://international.groupecreditagricole.com/fr/solutions/solution/201,lettre-de-credit-
standby

https://banqueentreprise.bnpparibas/fr/international/vos-operations-documentaires/
lettre-de-credit-standby-garantie-bancaire-internationale

https://www.etrepaye.fr/le-credit-documentaire-c8-r810.php

Règles et Usances Uniformes relatives de l’ICC relatives aux crédits documentaires de


2007 (RUU600)

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Rédigé par les membres du groupe 5

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