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COM 1000

Introduction à la communication

Examen maison 3
40 points - 40 %

Série B

 Complétez les informations dans l’encadré d’identification ci-dessous.


 Inscrivez vos réponses directement dans ce fichier, dans les
emplacements prévus à cet effet.
 Sauvegardez votre travail de la façon suivante :
COM1000_Examen3_Nom_Prenom
 Utilisez le Dépôt des travaux accessible sur le portail MaTÉLUQ pour
faire parvenir votre examen à la personne responsable de votre
encadrement.

Prénom :
Nom :
Date :
Numéro d’étudiant :
Trimestre :

1
Cet examen permet de vérifier si vous avez atteint les objectifs de la troisième partie
du cours, intitulée « La communication organisationnelle ».

Consignes
 L’examen maison doit se faire individuellement. Vous devez le retourner dix
jours après son téléchargement, à la personne responsable de votre encadrement
en utilisant l’outil de dépôt des travaux disponible sur votre portail Ma TÉLUQ.
 L’examen maison 3 compte pour 40 % de la note finale : 25 points sont alloués
aux questions à réponse courte; la question à développement compte pour 15
points.
 Pour les questions à réponse courte, limitez votre réponse à un paragraphe de 6 à
12 lignes.
 Il est fortement recommandé de référencer vos réponses selon le modèle auteur-
date : nom (de l’auteur), année, numéro de page. Exemple : (Wilson, 2006, 15).
 Normalement, vous devez répondre dans vos propres mots. Si vous citez un
document, mettez le passage cité entre guillemets (« »), suivi de la référence.
 Des points fractionnés seront accordés pour les questions à réponse courte
(exemple : 1,5/2).
 Sauvegardez votre travail de cette façon : COM1000_Examen3_Nom_Prenom
Exemple : COM1000_Examen3_Bergeron_Gilles
 Assurez-vous de conserver une copie de votre examen.

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Questions à réponse courte (25 points)

1. À quelle vision communicationnelle d’une entreprise correspond la représentation


d’une organisation sous forme d’organigramme ? (2 points)

Votre réponse :

La vision à laquelle la vision communicationnelle correspond est la structure formelle


selon l’école dite classique « l’organisation est considérée comme une structure formelle
et rigide dont la représentation la plus fidèle est l’organigramme ».

2. Frederick Taylor et Henri Fayol s’intéressaient tous les deux à améliorer l’efficacité
des organisations, mais selon des approches différentes. Selon vous, est-ce que ce sont les
solutions proposées par l’analyste Taylor ou celles de l’analyste Fayol qui démontrent un
intérêt pour une vision « communicationnelle » d’une organisation ? (2 points)

Votre réponse :

Les solutions propose par Frederick Taylor démontrent plus un intérêt pour une vision
communicationnelle.

3. Dans la mesure où l’on est capable de décrire les relations qu’un système entretient
avec son environnement, il est possible de parler de son degré _________. (Un mot
seulement.) (2 points)

Votre réponse :

On parle de son degré de SATISFACTIONS

4. Est-ce selon le paradigme de l’École des relations humaines ou celui de la Théorie des
systèmes que se prête davantage à l’analyse le cas exprimé par l’énoncé suivant : « Le
comportement indiscipliné de M. Beauchamp (vice-président à la recherche) ne peut
qu’encourir la censure » ? Expliquez. (2 points)

Votre réponse :

La théorie des systèmes.


Dans la théorie de système on parle de processus qui implique des règles en
organisations, des règles (qu’ils soient formels ou informels) restent des limites fixe à ne
pas franchir en organisation et qui peuvent parfois mener à des conflits.

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5. Quel type de flux de messages (communication) tend à valoriser la représentation
d’une organisation sous forme d’organigramme ? (2 points)

Votre réponse :
Les messages verbaux : parlés ou écrits
Les messages non verbaux : messages gestuels, physique, environnementaux ou
expression faciale
Les messages échangés entre deux membres : communication organisationnelle dyadique
Les messages circulant dans un même groupe

6. De point de vue de la recherche sur les organisations, il est inutile d’examiner


l’enchevêtrement des réseaux de communications formelles et informelles. Oui ou non ?
Expliquez. (2 points)

Votre réponse :

Oui, il est inutile d’examiner l’enchevêtrement des réseaux de communications formelles


et informelles. Selon le livre d’introduction a la communication on ne doit pas trop les
séparée ou les opposes on devrait plutôt voir entre eux des relations interdépendances. Ils
ont une grande influence les uns sur les autres.

7. Contrairement à l’approche fonctionnaliste, qui envisage l’organisation comme


système à la recherche d’un équilibre, l’approche interprétative envisage l’organisation
sous son aspect (2 points)

Votre réponse :

8. Selon l’approche fonctionnaliste, le même comportement peut avoir des significations


différentes. Oui ou non ? Expliquez. (2 points)

Votre réponse :
Oui selon l’approche fonctionnaliste le même comportement peut avoir des significations
différentes . Tout dépend des valeurs de la personne qui le fait ou la personne qui le subit.

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9. Selon l’approche interprétative, la signification d’un comportement est toujours unique
et se dégage une fois qu’on est capable de décoder les valeurs et mœurs d’une
organisation. Oui ou non ? Expliquez. (2 points)

Votre réponse :
Oui, la signification d’un comportement est toujours unique et se dégage une fois qu’on
est capable de décoder les valeurs et mœurs d’une organisation.
La signification d’un comportement est toujours unique parce qu’une personne peut se
conformer à un rôle, l’adopter un comportement mais la signification reste
l’interprétation de chacun selon ses valeurs.

10. Comparez les approches fonctionnaliste et interprétative relativement à


l’interprétation qu’elles donnent au phénomène du changement organisationnel.
(2 points)

Votre réponse :

11. Selon l’approche interprétative, les messages qui circulent dans une organisation
présentent un tableau riche de significations qui reflètent la réalité subjective de
l’organisation. Il découle de ce constat que l’analyse du phénomène communication
présente certaines difficultés méthodiques. Dans vos propres mots, nommez le problème
méthodique ainsi que la manière dont l’approche interprétative le résout. (2 points)

Votre réponse :

La problématique, dans cette approche interprétative c’est que les messages ont pour but
de montrer leur signification dès le premier coup chose au lieu de seulement donner des
signes ou indices.
La méthode. Apporté par l’approche interprétative pour résoudre c’est la méthode
d’Observations, la participation et a familiarisation en conclusion ils étudient
l’organisation partant de plusieurs donnés qu’ils confirment, reformulent et ensuite une
vérification dans d’autres système.

12. Imaginez la situation d’une organisation hypothétique où les communications


n’amèneraient jamais à la « convergence symbolique ». Selon l’approche interprétative,
quel serait le résultat ? (3 points)

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Votre réponse :
Une organisation ou les communications n’amèneraient jamais à la convergence
symbolique, selon l’approche interprétative et selon mon manuel ( Introduction à la
Communication , On n’aura jamais d’entente dans cette organisation voire même une
faillite.
Selon l’approche interprétative la convergence symbolique sert à interpréter les objets,
situations. Dans ce cas plusieurs interprétation mèneront l’organisation a des conflits
puisque l’interprétation sera propre à chacun des membres.

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Question à développement (15 points)

ANALYSE DU CAS « TRADUQUAL » SELON TROIS APPROCHES ABORDÉES


DANS LA TROISIÈME PARTIE DU COURS

Rappel

En troisième partie, nous avons retracé l’évolution de la théorie des organisations. Cette
mise en revue a fait ressortir l’importance des communications interne et externe pour le
fonctionnement d’une organisation et, ultimement, pour son rendement. De ce constat en
découle un autre : toute tentative de « modeler » le fonctionnement des organisations doit
accorder une place centrale aux communications – c’est-à-dire aux flux de messages, aux
réseaux formels et informels d’échange d’information, et aux dimensions symbolique et
culturelle des communications. Qu’on l’appréhende du point de vue du contrôle (Taylor,
Fayol, l’approche fonctionnaliste) ou de la construction du sens (l’approche
interprétative), force est de constater que la communication se présente comme un
élément clé à la compréhension de la réalité organisationnelle.

Rappelons des auteurs et des approches que vous avez étudiés en troisième partie :
Danielle Charron (Taylor, Fayol, l’École des relations humaines), Mary Jo Hatch (Taylor,
Fayol, Weber, Bertalanffy, Boulding, Weick, le post-modernisme), Danielle Charron
(l’approche fonctionnaliste), Henry Mintzberg (l’organisation comme système de flux),
Danielle Charron (l’approche interprétative) et Linda Rouleau (l’analyse symbolique :
analyse de la culture et analyse interprétative). En plus de démontrer la diversité des
théorisations, la séquence des lectures prouve l’avancement de la pensée
organisationnelle et, surtout, une appréciation de plus en plus nuancée et sophistiquée de
la dimension communicationnelle des organisations.

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La présentation du cas TRADUQUAL

L’entreprise TraduQual est une PME québécoise spécialisée dans la traduction de livres
pour le marché de masse. Son personnel compte 30 membres réguliers, dont 25 sont
traducteurs et traductrices et 5 employées de bureau. L’entreprise appartient entièrement
à M. Raymond Boisvenue qui l’a fondé dix ans plus tôt, alors qu’il avait cinq employés.
Cette entreprise est reconnue pour la qualité de ses traductions et, effectivement, la
qualité est sa marque de commerce. Depuis les débuts, M. Boisvenue recrute des
traducteurs et des traductrices en leur promettant qu’ils auront le temps et les ressources
nécessaires à la réalisation de traductions de qualité. « La qualité avant tout » est en
quelque sorte le slogan implicite qui a toujours animé l’entreprise. Le personnel est fier
d’être associé à une entreprise reconnue pour la qualité de ses réalisations, au point où il
accepte régulièrement d’effectuer des heures supplémentaires dans le but de respecter les
délais tout en assurant la qualité.

Depuis un an, en raison de la conjoncture économique, M. Boisvenue est obligé de


négocier , « à la baisse » les contrats avec ses clients, les maisons d’édition. Il est à noter
que M. Boisvenue considère l’entreprise qu’il a bâtie comme une famille. Il connaît tous
les employés puisque c’est lui qui les a recrutés. Quoique les revenus soient moindres, il
y a suffisamment de travail pour ne pas effectuer de congédiement. M. Boisvenue se
félicite d’ailleurs de ne pas avoir eu à y recourir. Cependant, la diminution des revenus
modifie le calcul financier, de sorte que les membres du personnel doivent travailler plus
« efficacement ». Bien que l’entreprise soit moins rentable pour le moment,
M. Boisvenue compte sur un retour à la normale de l’économie.

Face à cette nouvelle réalité, M. Boisvenue décide de surveiller de plus près le travail de
son personnel. Il utilise donc la messagerie par courriel pour mieux « gérer » leurs
travaux. Par cette voie, il questionne ces traducteurs et traductrices, entre autres sur les
délais. Et surtout, il les pousse à accélérer leur travail en étant moins « perfectionnistes ».
Puisqu’il s’agit d’un homme de nature timide qui redoute les rencontres en groupe, il
trouve la gestion par courriel tout à fait convenable. Au besoin, il rencontre l’employé ou
l’employée dans son bureau, pour un échange face à face.

Après quelques mois, on constate un changement dans l’atmosphère de l’entreprise. On


dirait qu’elle est devenue moins « familiale ». Plus précisément, les traducteurs et
traductrices se plaignent d’une confusion concernant les attentes du propriétaire. Mais
plus profondément, le sentiment d’attache à l’entreprise et à sa mission est compromis.
De son côté, M. Boisvenue constate que son personnel se sert de toutes sortes de
prétextes pour éviter de travailler des heures supplémentaires.

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Question

Dans un travail d’environ quatre pages, analysez le cas de l’entreprise TraduQual du


point de vue des approches suivantes : l’école classique, l’approche fonctionnaliste et
l’approche interprétative. C’est-à-dire qu’il vous faut, à partir de chaque approche,
formuler un diagnostic du problème et en proposer une solution. N’oubliez pas
d’indiquer à la fin de votre analyse l’approche que vous considérez comme la plus apte à
nous éclairer sur la nature du problème rencontré par l’entreprise TraduQual.

Votre réponse :

Selon Adam Smith, la division du travail permet une croissance économique et ainsi a

comme résultat une hausse de la productivité. Celui-ci considéré comme le père de

l’économie, a mis en place la théorie de la main invisible. « Les maîtres mots en sont «

concurrence » et « marché libre » : la course à la satisfaction de l’intérêt personnel met en

effet tout le monde en compétition » . La pression exercée sur le personnel, permet une

constante amélioration de leurs propres gains et productivités, sert à raviver la

concurrence.

De son côté Frederick Taylor met de l’avant quatre principes de direction scientifique

afin d’éviter des malentendus sur l’organisation

- L’appropriation réelle du travail par le dirigeant

- Sélection scientifique des employés « L’homme qu’il faut à la place qu’il faut»

- Faire connaître aux ouvriers qui ont été choisis et formés scientifiquement la science du

travail telle qu’elle a été délimitée par les dirigeants

- Division presque égale du travail entre l’ouvrier et la direction

La communication en entreprise est cruciale afin d’éviter des malentendus et ainsi d’avoir

une bonne relation entre dirigeants et ouvriers et ce, dans le but d’optimiser la

productivité et la rentabilité.
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Pour Fayol, il met de l’avant six opérations effectuées en entreprise :

- « Les opérations techniques (production, fabrication et transformation) - Les opérations

commerciales (achats, ventes et échanges)

- Les opérations financières (recherche et gérance des capitaux)

- Les opérations de sécurité (protection des biens et des personnes)

- Les opérations de comptabilité (inventaire, bilan, statistique et prix de revient)

- Les opérations administratives (prévoyance, organisations, commandement,

coordination et contrôle) »

L’école des relations humaines et les dimensions relationnelles de la communication

« L’école des relations humaines se présente comme un immense effort de connaissance

du groupe pour mieux le connaître et mieux rationaliser sa conduite » . De cette façon, il

faut considérer l’individu et le groupe comme un tout.

La théorie de la motivation a été créée par le théoricien A. H. Maslow. Avec son

approche humaniste, il a élaboré une pyramide des besoins afin de hiérarchiser ceux-ci. «

Dans l’ordre : besoins organiques, de sécurité d’appartenance que Maslow lie souvent à

l’estime de réalisation de soi. À l’aide de cette approche, cela permet de motiver

l’individu en donnant un sentiment d’appartenance.

De son côté, Douglas Mc Gregor, cherche à créer une théorie de direction. Celle-ci est

basée sur la théorie X décrivant l’individu qui n’aime pas travailler et à l’opposé la

théorie Y.

Sa théorie des motivations a atténué les changements des conditions de travail afin de

miser sur ceux de l’organisation du travail.

L’approche systémique et la communication adaptée à son environnement

Afin d’analyser les liens entre l’organisation et son environnement, il est important de
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diviser les différents secteurs : social, culturel, juridique, politique, économique,

technologique et physique. « L’environnement influence les résultats de l’organisation en

lui imposant des contraintes et en exigeant qu’elle s’adapte pour survivre. »

La théorie de la dépendance aux ressources est basée sur la dépendance des organisations

par rapport à leur environnement. Du même point de vue, la théorie de l’écologie des

populations dépend de l’environnement. « Toutefois, la théorie de la dépendance aux

ressources se place du point de vue de l’organisation tandis que l’écologie des

populations occupe la perspective inverse, en observant les organisations à partir de

l’environnement. » .

Finalement, « il faut d’abord isoler l’organisation de l’environnement que vous souhaitez

étudier. Vous pourrez ensuite identifier les rapports qui lient cette organisation aux autres

entités avec lesquelles elle interagit ou qui peuvent influencer ces relations à travers la

concurrence, la régulation ou la pression sociale.

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