P illards et guerriers, voleurs et meurtriers, les gnolls leur prochain repas. Ces gnolls sont des fripouilles crasseuses, s’attaquent aux rebuts des autres races : leurs parfaits exemples des horribles conséquences de l’endogamie, rejetés, leurs laissés-pour-compte et leurs individus de l’isolement et du meurtre, des bêtes féroces qui convoitent vulnérables. Les gnolls sont souvent comparés aux hyènes, les territoires stériles qu’ils revendiquent comme leurs. Craints sauf qu’ils doués d’intelligence et de la capacité de marche et détestés, même parmi les autres membres de leur espèce, les bipède. Cette comparaison est à la fois un raccourci véridique gnolls de la montagne Pâle assument parfaitement leur brutalité et un euphémisme fatal. Comme les animaux auxquels ils par la propagation d’un culte sauvage au sein de leur peuple : ressemblent, les gnolls survivent en se nourrissant des déchets l’adoration de la Bête hirsute, Rovagug. des plus forts, s’attaquent aux faibles de manière opportuniste À travers tout Golarion, les gnolls vénèrent généralement et tremblent devant les puissants. Contrairement à ces ignobles Lamashtu, qui se voit souvent attribuer le mérite de leur avoir bêtes, toutefois, les gnolls connaissent la valeur de l’organisation, permis de dépasser le stade de simples bêtes. Dans la région de la l’inévitable caractère meurtrier des attaques qui durent trop montagne Pâle, le roi Charognard – un impitoyable seigneur de longtemps et la puissance de leurs propres tribus. En d’autres guerre ayant fait allégeance à la sanglante religion de Rovagug – termes, les gnolls ne prennent en compte que le nombre de se délecte de la débauche et de la sauvagerie engendrées par la proies et les possibilités d’exploitation. Quant à ceux qui se crainte et la foi de ses sujets. Ainsi, il se réjouit chaque fois qu’ils montrent trop malins pour servir de repas aujourd’hui, ils brandissent les icônes du dieu de la colère et hurlent son nom en pourront toujours constituer le festin du lendemain. se ruant au combat. À mesure que le pouvoir du roi Charognard À l’ombre de la montagne Pâle, la sauvagerie des gnolls grandit, de plus en plus de tribus tombent sous son joug, se prend une nouvelle dimension. Ici, à l’abri des regards, parmi partagent les miettes de son règne sauvage et adoptent les les contreforts poussiéreux et les sombres rochers escarpés, les usages de son dieu fou. La montagne Pâle toute entière résonne hommes-bêtes se rassemblent en bandes de marauds, sales et et tremble à présent de hurlements à vous glacer le sang, mais brutaux, n’ayant apparemment que peu d’aspirations au-delà de personne ne sait si les gnolls des pics d’Airain s’en prendront à 56