Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
MUSCLE RESPIIII
µASTHMEEEEE
Constipation : selles ne progressant pas suffisamment rapidement dans le côlon, se traduisant par
moins de 3 selles par semaine. On parle de constipation lorsqu'on présente au moins 2 critères de
ROME III (classification internationale caractérisant les troubles intestinaux):
moins de 3/semaine
effort à l'évacuation
selles dures ou grumeleuses
sensation d'évacuation incomplète
sensation de blocage anorectal
nécessité de manœuvre manuelle
Lithiase urinaire : les mesures diététiques concernant les boissons et l’alimentation. Les mauvaises
habitudes alimentaires représentent une cause majeure dans la formation des calculs calciques,
oxaliques et uriques.
Boissons: 2 litres par jour, répartis sur la journée et la nuit + 2 verres de jus d’oranges pressés
recommandé. Boire en quantité suffisante dilue les urines et diminue le risque de former des
calculs. Eviter : le thé trop fort, les boissons sucrées ou salées, le lait et la bière.
Calcium: 800 à 1000 mg par jour. Si le patient boit 2 L d’eau pauvre en calcium (- de 20mg/L,
Volvic) il doit consommer 800mg de calcium sous forme produits laitiers, s’il boit de l’eau
riche en calcium (400mg/L, Hépar) il devra réduire sa consommation de produits laitiers.
Protéines: Pas plus de 150 g de viande ou poisson
Sel: l’excès de sel augmente la natriurèse ce qui favorise l’excrétion de calcium dans les
urines. Ne jamais ajouter de sel à table
Oxalate: Eviter les aliments riches en oxalate: chocolat, cacao et cacahuètes
Acide urique: Eviter la charcuterie, les abats et le gibier
Sucres: Eviter les sucreries, les bonbons, les pâtisseries et les sodas
Révision 2.8
Maintenir une activité physique régulière, éviter l’excès de calories, varier l’alimentation et
consommer des fibres (fruits et légumes) sont des règles simples, qui doivent être respectées à vie
pour réduire le risque de récidives. Ces règles diététiques réduisent également le risque d’HTA, de
diabète et d’obésité.
3. L’ECG
TACHYCARDIE SINUSALE
Définition : Enregistrement graphique des variations de l’activité électrique du cœur grâce à des
électrodes cutanées.
L’objectif de l’examen vise à surveiller le fonctionnement du cœur, son rythme et les conductions
entre les différentes parties.
Matériel : électrocardiographe enregistreur avec câbles conducteurs. Les électrodes sont soit pré-
gélifiées à UU soit à usage multiple avec leurs lanières en caoutchouc et gel conducteur soit en
ceinture d’ECG. Il faut papier enregistreur, compresses non stériles, savon liquide, ciseaux si besoin.
Emplacement des électrodes : 1/3 inferieur des membres et face interne des poignets et des
chevilles.
V3 à égale distance de V2 et V4
V4 sur la ligne verticale médio claviculaire
V5 sur la ligne axillaire antérieure gauche (à mi chemin de V4 et V6)
V6 au niveau du cinquième espace intercostal gauche sur la ligne axillaire moyenne gauche à
la même hauteur que V4.
Exploration :
aVR=bras droit
aVL=bras gauche
Réalisation : Se laver les mains, Connecter les électrodes à l’appareil au moyen de fils spécifiques,
Diriger les câbles rattachés aux membres inférieurs vers leur racine, S’assurer que l’aiguille est
immobile et bien située au milieu du papier avant de débuter. Étalonnage, Presser le bouton de
calibrage qui déclenche l’arrivée d’un courant étalon d’1mV et se traduit par une déflexion d’1 cm de
hauteur avec des angles droits nets, Vitesse de déroulement de papier à 25mm/s, Ligne isoélectrique
sur le milieu du papier millimétré. Imprimer les différentes courbes, demander au patient de respirer
superficiellement, enregistrer chaque dérivations pendant environ 6 secondes, annoter qi besoin
chaque dérivation. En fin de tracé, désadapter les fils électriques des électrodes et ôter ces dernières,
Essuyer le gel avec une compresse, Aider le patient, Débrancher le cordon secteur de l’appareil,
Annoter l’électrocardiogramme, Jeter les électrodes si usage unique sinon les décontaminer et les
laver ainsi que câbles et attaches. Nettoyer l’appareil, Réapprovisionner l’appareil en papier si besoin
et le remettre en charge si batterie, Lavage des mains, Signaler toute anomalie, Noter sur le dossier
du patient.
L’onde P = dépolarisation des oreillettes, elle traduit l’activité du nœud de Keith et Flack
Conclusion :
Révision 2.8
Définition : Maladie caractérisée par la formation d’un ou plusieurs calculs dans la voie urinaire
constitué de substances cristallines.
Physiopathologie : sursaturation de l’urine par un sel lithogène (qui produit des calculs).
Cristallisation (passe à l’état de cristal), nucléation (agrégation), croissance du calcul, obstruction de
la voie excrétrice.
b. Facteurs de risque
Facteurs alimentaires :
o Tous les déséquilibres alimentaires
o Diminution de la consommation de fibres
o Diurèse insuffisante
Facteurs médicamenteux
Infection urinaire à germe possédant uréase
Calculs sur corps étrangers
Facteurs familiaux
Aigue :
douleur lombaire
à début aigu et brutal
évolue par crise,
unilatérale
irradie typiquement selon le trajet de l'uretère vers les organes génitaux externes, le flanc
et/ou la fosse iliaque
pas de position antalgique
qui réagit bien au traitement médical.
Exacerbation lors de la prise de boissons
Hématurie
Révision 2.8
Insuffisance rénale
Anurie lithiasique
Interrogatoire du patient :
Autres crises
Terrain goutteux
Immobilisation prolongée
Habitude alimentaire
Maladie avec ostéolyse
Traitement cytolytique
Abus de calcium, vitamine D, diurétique
Antécédant familiaux : maladie lithiasique, urique, cystinique
Compliquée :
Diagnostic Traitement
Colique néphrétique simple Ttt ambulatoire de 1ere intention (5à7j):
AINS
Antalgique simple (paracétamol)
Révision 2.8
Antispasmodique (phloroglucinol)
Restriction hydrique tant que persistance
des douleurs (< 500ml/j)
Tamisage des urines
Si calculs d’acide urique= dissolution par
alcalinisation des urines
Hospit si échec
Lithiase calcique Aucune dissolution possible
But des traitements : prévenir une récidive,
éviter la sursaturation en sels minéraux.
Boissons pauvres en calcium
Lithiase urique Alcalinisation des urines par apport en
bicarbonates : dissolution du calcul en 1
mois environ.
Traitement + régime
Lithiase phospho-ammoniaco-magnesienne Calcul formé au cours d’IU à germe
uréasique en pH alcalin
Suppression des boissons alcalines,
sterilisation des urines par ATB
Acidification des urines
Ablation chirurgicale du calcul
Lithiase cystinique Regime pauvre en méthionine (viande,
poisson, œufs, fromage), precurseur de la
cystéine
Alcalinisation des urines
Diurèse de 3-4 L/j
Administration de a D-pennicillamine
(TROLOVOL ou CAPTOPRIL).
Principes préventifs :
5. Les occlusions
Définition :
L’occlusion intestinale aiguë est un syndrome définit par l’arrêt du transit intestinal normal. C’est une
urgence médico-chirurgicale qui peut mettre en jeu le pronostic vital immédiat. Nécessite toujours
une hospitalisation. La décision thérapeutique reste complexe car la clinique est très variable selon le
siège et le mécanisme.
Physiopathologie :
Occlusion par obstruction : accumulation des liquides et air en amont de l’obstruction. La distension
pariétale (en amont de l’obstruction) entraine une souffrance pariétale se manifestant par un
œdème, une exsudation aggravant la distension pouvant évoluer en nécrose tardive (ischémie).
Occlusion par étranglement : strangulation ischémique aigue entrainant une souffrance rapide de la
paroi entrainant une nécrose et une perforation.
Occlusion fonctionnelle :
o Troubles ioniques
o Infection localisée ou généralisée intra-péritonéale
o Paralysie médicamenteuse (neuroleptiques) ou post opératoire
o Anomalie de la motricité (myopathie, hirschprung)
Occlusion mécanique :
o Obstruction
Intraluminale
Pariétale
extra luminale
o Etranglement
Volvulus
Invagination
Bride post-opératoire
L’étranglement herniaire
Douleur
Vomissement (alimentaire, bilieux, fécaloïde) précoce quand obstacle haut.
Révision 2.8
Arrêt du transit : arrêt des gaz plus fiable. (nécessaire et suffisant). Précoce quand occlusion
basse.
Météorisme : excepté des occlusions hautes. Existe des météorismes diffus et discrets.
Contracture dans les cas très évolués (perforation).
Signes généraux absents au départ mais plus tard, permettent d’apprécier le retentissement général
de l’occlusion :
Pouls
Température
TA
Diurèse (quantifier les urines).
Signes radiologiques :
Signes de stases liquidienne : niveaux hydro-aériques. Sur le côlon les niveaux sont périphériques,
plus haut que large avec des haustrations (bosselures de la paroi du côlon). Sur le grêle ils sont
centraux, nombreux, plus large que haut avec des valvules.
c. Les complications
Générales :
Choc hypovolémique
Choc toxi-infectieux
Hémorragie digestive
Locales :
Nécrose
Perforation
6. L’AVC
Les AVC sont caractérisés par la survenue brutale d’un déficit neurologique focal. C’est une
pathologie fréquente et potentiellement grave qui constitue une urgence médicale et, parfois,
chirurgicale.
Facteurs de risque :
Non modifiable :
Modifiable :
hypertension artérielle
cardiopathies
tabagisme
diabète
hypercholestérolémie
contraception oestroprogestative
obésité
infections
augmentation de l’hématocrite
hyperhomocystéinémie
La causes des AVC ischémiques sont due à une thrombose cérébrale due à la présence d’une plaque
d’athérome au niveau de la paroi de l’artère. On parle alors d’athérosclérose. L’AVC peut également
être du à un caillot provenant de la circulation sanguine bloquant alors la circulation cérébrale. On
parle alors d’embolie cérébrale.
La cause des AIT est l’obstruction d’une artère cérébrale temporaire. Le caillot se résorbe en
quelques minutes et n’engendre pas de séquelle.
AVC ischémique (ou infarctus cérébral) correspond à l’arrêt de la circulation sanguine artérielle
cérébrale ce qui stoppe l’apport sanguin en O2 et en glucose engendrant une hypoxie, une
Révision 2.8
souffrance du parenchyme cérébral conduisant à une nécrose, une mort neuronale. La zone centrale,
où la nécrose s’installe, sera responsable des séquelles neurologiques ; la zone périphérique dite
zone de pénombre, présente des perturbations tissulaires réversibles si le début sanguin cérébral est
rétabli rapidement (premières heures). Cette zone est la cible des traitements d’urgence de
l’ischémie. Il y a deux mécanismes de l’ischémie : thrombotique ou thromboembolique=> occlusion
artérielle ou hémodynamique=> chute de la pression cérébrale sans occlusion, à l’occasion d’un
effondrement de la PA régionale ou systémique.
Hémianopsie latérale homonyme = déficit d’un hémichamp visuel de même coté (gauche ou droite)
Dysmétrie = exagération de l’amplitude du mouvement qui dépasse son but mais qui conserve sa
direction
Diplopie binoculaire = vision double d’un objet quand les deux yeux ouverts
e. CAT devant un infarctus cérébral : savoir énoncer les traitements, les surveillances et
soins
f. Sémiologies des AVC hémorragiques, nommer les étiologies, les traitements et prévention
Définition et physiopathologie
Définition : C’est une tumeur bénigne au sein de la prostate ( appelé aussi hypertrophie bénigne de la
prostate) est une tumeur bénigne très fréquente qui touche à des degrés divers la presque totalité
des hommes le plus souvent après 50 ans
Révision 2.8
La vessie de lutte est caractérisée par une hypertrophie détrusorienne puis l’apparition de
trabéculations et de diverticules vésicaux. Au stade ultime lorsque la vessie est distendue et non
fonctionnelle, elle est responsable d’une rétention chronique avec miction par regorgement. Une
insuffisance rénale chronique obstructive liée au reflux et à la dilatation bilatérale des cavités
pyélocalicielles peut alors apparaître.
Hypertrophie du détrusor.
Diverticules vésicaux.
Examens recommandés
Examens recommandés
Interrogatoire du patient :
La pollakiurie ( signe le plus fréquent, essentiellement nocturne, qui peut devenir intense et
entraîner une gêne considérable).
L’impériosité mictionnelle
Examen physique + TR ( toucher réctal)+ Analyse d’urines + PSA ( Antigène prostatique spécifique) .
La clinique
La pollakiurie.
. Le plus fréquent
. Essentiellement nocturne
La dysurie.
Hématurie.
. Pas rare.
. Initiale (urétrale).
Infection.
. Très fréquente
Les complications
Les complications
Infection urinaire
Hématurie
Révision 2.8
Lithiase vésicale
Rétention vésicale incomplète: miction par engorgement. Insuffisance rénale due à la dilatation
des voies urinaires supérieures.
Principe du traitement médical et différences entre les traitements chirurgicaux Patients peu
symptomatiques= Régles hygiéno diététique.
a.
Principe du traitement médical et différences entre les traitements chirurgicaux
Chirurgie:
C’est la technique la plus utilisée, s’effectue en moins d’1 heure qui traite les prostates jusqu'à
50g en rachianesthésie ou AG.
La chirurgie s’effectue sous AG pour les prostates > à 60g. Il s'effectue par incision sus
a. La définition et physiopathologie
b. Facteurs de risque
c. Clinique
d. Complications
e. La reperfusion coronaire et les techniques
Révision 2.8
1.
complications mécaniques :
Insuffisance mitrale aigüe sur rupture de pilier => OAP aigue
Rupture septum interventriculaire => défaillance cardiaque
suraiguë
Rupture de la paroi myocardique => choc, tamponnade, arrêt
cardiaque
Reperfusion et les Reperfusion coronaire précoce à la phase aiguë de l’IDM contribue +++
techniques au pronostic vital des patients : TIME IS MUSCLE = EFFICACITÉ
OPTIMALE DANS LES 3H
coopération entre médecins urgentistes et cardiologues afin de mettre
en œuvre des stratégies communes de prise en charge
Thrombolyse : ténectéplase (metalyse)
Coronarographie : dilatation par angioplastie, pose de stents
Exploration endovasculaire :
Permet désobstruction coronaire
Permet le traitement d’autres lésions coronaires
Dilatation = Angioplastie
Pose endoprothèses = stents « classiques » ou « actifs »
Inconvénients:
Disponibilité du cardiologue et de la salle de KT
Délai pour arriver en salle de KT
Thrombolyse ou angioplastie si douleur thoracique < 3 heures
Angioplastie si DT > 3 heures
Si DT > 12 heures : traitement médical.
BPCO
Révision 2.8
Définition : Maladie resp chroni définit par obstruction permanente et progressive aerienne. Le tbl
vent obstructif est défini par un rapport VEMS/CVF inf à 70% après administration d’un
bronchodilatateur.
Facteurs de risques : tabac (80 à 90%), pollution, tabac in utéro, et génétique : déficit en alpha-
1antitrypsine, emphysème précoce et grave
Physiopatho :
Clinique : dyspnée, initialement à l’effort, toux matinale, expectoration (toux productive), rale
bronchique, diminution du murmure vésiculaire, expiration lèvres pincées, distanciation thoracique
(en tonneaux)
Paraclinique :
rx pulm,
scanner thoracique,
nfs (recherche polyglobulie (aug Hb)) recherche anémie,
BNP recherche une atteinte cardiaque,
CRP recherche d’infection,
dosage alpha-1 anti trypsine (si jamais fumé et inf à 45 ans),
gaz du sang recherche d’hypoxémie ou hypercapnie ou acidose respiratoire, et une
évaluation cardiaque : ECG, ETT (echo trans thoracique)
Causes de dyspnée : jamais anodin, ne jamais banaliser, causes respiratoire (BPCO, ASTHME…)
causes cardiaques (embolie pulmonaire, insuffisance cardiaque…) causes neuro (AVC, guillain barré),
causes métabolique (anémie, décompensation de diabète)
Ttt : sevrage tabagique (eval sur dépendance physique, motivation, état psychologique)=> substitut
nicotinique, accupuncture… bronchodilatateurs (anticholinergique, beta 2 agoniste),
corticostéroïdes. Oxygénothérapie => si PaO2 > 55mmHg, VNI si PcO2 > 55mmHg
Dépistage :
Prevention :
Révision 2.8
Correspond à une aug des symptômes respi. Elle accélère le déclin de la fonction respiratoire
Clinique : dyspnéique, sueur, confus, cyanose, signe de lutte respiratoire (tirage intercostal, lèvres
pincées…), patient assis crispé
Mise en condition : déchocage, position assise, scope (TA, FR, saturation), 2 VVP, O2)
Recherche de facteurs : infection respi, OAP, embolie pulmonaire, autres (pneumothorax, ttt à visé
sédative, post op, pic pollution…)
Paraclinique : nfs, crp, iono, cret, gazo, ecbc, ecg, rx thorax, angioscanner
Si acidose respi Ph < 7,35=> correction hypercapnie et donc pH par VNI (ventilation non invasive)
Conclusion : maladie pulm frequente chronique, diag se fait sur EFR, classiffication gold pour ttt
Physiopathologie : le foie se situe dans la région thoraco-abdominale. Son rôle est d’épurer le sang
veineux venant des organes digestifs. La vésicule biliaire est un organe réservoir qui contient la bile
produite par le foie. Les canaux hépatiques droit et gauche, naissant du foie, se réunissent pour
former le canal hépatique commun. Il est rejoins par le canal cystique, provenant de la vésicule
biliaire pour former ensuite le canal biliaire commun ou canal cholédoque. Le canal de WIRSUNG
(canal pancréatique) s’abouche au cholédoque pour former l’ampoule de WATER(l’ampoule
hépatopancréatique) se terminant par le sphincter d’ODDI. Celui-ci se dilate pour déverser les sucs
pancréatique et la bile dans le duodénum. La lithiase se forme dans la vésicule biliaire en cas de stase
provoquant une cristallisation. Plusieurs hypothèses pour la formation de calculs : VB paresseuse qui
se vide mal provoquant alors une stase biliaire se cristallisant et formant du sable puis des calculs. Le
calcul peut ainsi migrer et obstruer les canaux en entrainant des coliques hépatiques, une
cholécystite, une angiocholite ou une pancréatite. La lithogénèse aboutit à la formation de 4 types de
calculs : de cholestérol pure, pigmentaires, de carbonate de calcium ou de calculs mélangés. Les
calculs se divisent en 4 catégories : micro (3mm), petits (3 à 5mm), moyens (15 à 20mm) et grands ( >
20mm).
le diabète sucré
COLIQUE HEPATIQUE
DEFINITION crise douloureuse (hypocondre droit) due à l’obstruction transitoire du canal
cystique ou du canal cholédoque par un calcul
DIAGNOSTIC En cas d’absence d’hyperthermie :
bilan NFS (recherche d’hyperleucocytose= infection)
CRP (recherche d’inflammation si élevée)
BH
PARACLINIQUE Forme la plus simple mais symptomatique: bilan normal, imagerie montrant
des calculs mais sans épaississement de la paroi de la VB ni dilatation de la
voie biliaire
CHOLECYSTITE AIGUE
DEFINITION inflammation aigue de la vésicule biliaire par calcul obstructif. Elle représente une
modalité évolutive chez environ 2/3 des patients porteur de lithiase biliaire
symptomatique ou non.
DIAGNOSTIC bilan NFS (recherche d’hyperleucocytose= infection)
CRP (recherche d’inflammation si élevée)
BH
fièvre
grosse vésicule tendue à la palpation
COMPLICATIONS Angiocholite
PANCREATITE AIGUE
DEFINITION Obstruction transitoire ou non au niveau du sphincter d’ODDI empêchant le
canal de Wirsung de se vider.
DIAGNOSTIC bilan NFS (recherche d’hyperleucocytose= infection)
CRP (recherche d’inflammation si élevée)
BH
Lipasémie
Imagerie pas indispensable avant les 48h suivant l’apparition des douleurs car
les lésions seront visibles qu’après ce délai. On recherchera alors une
inflammation, un épanchement, une coulé de nécrose.
Révision 2.8
CLINIQUE douleur
PARACLINIQUE lipase augmenté (enzymes digestives sécrétées par les cellules du pancréas)
(normes : 13 – 60 UI/L)