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Diplôme en gestion des organisations

de santé publiques et privées

INTÉGRER L'ACTIVITÉ

Élève : Javiera Celedon Ching

Février 2020

Scénario choisi :
La commune d'Alto Hospicio manque d'installations de soins secondaires et
tertiaires, ce qui constitue un problème de santé majeur, qui surcharge l'hôpital
d'Iquique, et la population doit voyager en moyenne 50 minutes (13,8 km) pour
accéder à des soins spécialisés. Elle ne dispose pas d'un centre de diagnostic et
de traitement (CDT) ni d'un centre de référence sanitaire (CRS), qui sont tous deux
des centres ambulatoires, ni d'un hôpital qui contribuerait à décongestionner
l'hôpital d'Iquique, améliorant ainsi l'éventail des services offerts à la commune.

1.- Avec les données fournies dans l'activité, nous pouvons estimer que la
population de l'Alto Hospicio correspond à 32,8% de la population de la région de
Tarapacá, avec une croissance de 115% au cours des 15 dernières années,
dépassant la moyenne nationale. Les informations de base montrent que le taux
de dépendance est élevé (48 personnes sur 100 sont inactives au travail), ce qui
va de pair avec le taux élevé d'abandon scolaire, la vulnérabilité, la violence et la
pauvreté. En plus d'une population âgée croissante.

En ce qui concerne le système de santé prédominant dans la commune, il est


possible d'observer que 45,72% des habitants sont inscrits au Fonds national de
santé, section A, contre 27% dans la région, ce qui est dû aux raisons décrites ci-
dessus (vulnérabilité et pauvreté dans la commune), raison pour laquelle près de
80% des utilisateurs sont pris en charge dans les institutions publiques de la
commune, soit leur CESFAM ou CECOSF respectif, car ils n'ont pas les moyens
nécessaires pour payer pour des soins privés.Pour cette raison, près de 80% des
usagers sont pris en charge dans les institutions publiques de la commune, soit
leur CESFAM ou CECOSF respectif, car ils n'ont pas les moyens nécessaires pour
payer des soins privés.

L'un des principaux obstacles à l'accès à des soins secondaires ou tertiaires de


qualité dans la commune est qu'elle ne dispose pas d'un hôpital qui offre ce
service, sinon ils doivent attendre environ 50 minutes ou plus pour un transfert
d'urgence, étant donné que le protocole de transfert des patients consiste en un
service d'urgence de soins primaires de la commune d'Alto Hospicio, qui évalue et
assiste d'abord le patient, et c'est ce personnel qui évalue et demande des soins
secondaires, un moment vital étant donné que 31% des patients de la région
meurent de ces pathologies.Il s'agit d'un moment vital si l'on considère que 31 %
des patients de la région meurent de pathologies cardiovasculaires (accidents
vasculaires cérébraux, crises cardiaques), en raison du manque de spécialistes
professionnels et des délais d'attente.

L'un des meilleurs scénarios au niveau régional est que la commune d'Alto
Hospicio dispose d'un centre de soins secondaires ou tertiaires, afin de couvrir les
pathologies en augmentation dans la région de Tarapacá, telles que les maladies
cardiovasculaires et respiratoires, les maladies néoplasiques et les taux élevés de
VIH/SIDA (l'une des communes présentant la plus forte augmentation, supérieure
à la moyenne nationale) ; décongestionner l'hôpital d'Iquique, réduire les listes
d'attente dues aux références des centres de soins secondaires ou tertiaires, et
réduire les listes d'attente pour les références effectuées par les centres de soins
secondaires.Désengorger l'hôpital Iquique, réduire les listes d'attente dues aux
références des centres de soins primaires, qui ne sont pas en mesure d'assurer la
couverture de pathologies plus complexes nécessitant des soins spécialisés.

2.- a) Le service en tant que produit: la commune d'Alto Hospicio, étant une
commune vulnérable avec des taux de pauvreté élevés, devrait offrir des services
tels que les urgences, l'hospitalisation (médecine adulte), les services pédiatriques
(23,36% de la population est âgée de 0 à 14 ans, étant donné qu'il s'agit d'une
commune jeune). Un service d'oncologie, de gynécologie et de traitement des
maladies très complexes.

Les services d'urgence, d'hospitalisation, de gynécologie et d'oncologie sont des


services dont le district d'Alto Hospicio a besoin pour fournir des soins opportuns
aux patients, en évitant le transfert vers le district d'Iquique, qui prend environ 50
minutes ou plus.

Service en tant que processus : le processus de mise en œuvre de ce service


doit passer par les soins d'urgence et l'évaluation en vue de l'admission dans des
services d'hospitalisation. En ce qui concerne les soins spécialisés, ils seront
fournis par le biais de références inter-consultations qui seront générées dans les
CESFAM et CECOSF respectifs ou dans d'autres centres de santé compétents de
la commune.

b) - La mission est le motif ou la raison d'être d'une organisation, d'une entreprise


ou d'une institution. Ce motif est axé sur le présent, c'est-à-dire qu'il s'agit de
l'activité qui justifie ce que le groupe ou l'individu fait à un moment donné.
"Collaborer pour améliorer la santé et la qualité de vie des habitants de la
commune d'Alto Hospicio, en offrant des services de santé opportuns, avec le
patient au centre de l'attention, et des professionnels hautement qualifiés.

La vision à long terme de l'organisation sur ce qu'elle attend de son avenir, une
attente idéale de ce qu'elle espère voir se produire. La vision doit être réaliste mais
peut être ambitieuse. Elle a pour fonction de guider et de motiver le groupe à
poursuivre le travail. "Diriger un système d'assainissement dans la commune d'Alto
Hospicio, afin d'assurer sa durabilité, en promouvant l'innovation et en incorporant
les nouvelles technologies disponibles. Être reconnu comme une référence
nationale, du point de vue de la qualité des soins.

c) - Autorisation sanitaire expresse "Centre de soins fermé".

1. Soumettre la demande : l'autorité sanitaire dispose de 30 jours ouvrables à


compter de la date d'introduction de la demande pour prendre une décision.
L'organisme doit se conformer aux exigences structurelles et
organisationnelles (ressources humaines, installations matérielles,
équipement, organisation et manuels de base), appliquées par la DS 58 de
la norme technique de base.
2. Vérification et octroi du certificat de démonstration : soumettre la demande
au service de santé en y joignant les informations générales suivantes :

a.- Localisation et nom de l'établissement

b.- Individualisation du propriétaire ou de son représentant, s'il s'agit d'une


personne morale.

c.- Instruments prouvant la propriété du bien ou le droit de l'utiliser.

d.- Objectif et domaine d'action dans lequel l'activité de l'établissement sera


développée.

e.- Croquis du bâtiment, indiquant la répartition fonctionnelle.

f.- Copie du plan d'installation de l'électricité, de l'eau potable et du gaz, approuvé


par l'autorité compétente.

g.- Individualisation du chirurgien qui assurera la direction technique de


l'établissement, et acceptation écrite du professionnel.

h.- Indication des professionnels, techniciens et autres personnels qui feront partie
de son personnel permanent.

i.- Description de l'équipement et de l'installation à fournir.

Selon les informations fournies, le SEREMI vérifie et accorde la résolution dans un


délai maximum de 30 jours.

3. Auto-évaluation NTB et plan réglementaire : Auto-évaluation par le


prestataire de sa conformité à l'annexe 1 du DS58 de la NTB et plan
d'amélioration.
Accréditation dans le domaine de la santé.

1.- Phase de planification et de mise en œuvre de la qualité : cette phase peut


durer de 2 à 5 ans, au cours desquels le prestataire commence à préparer les
normes de qualité correspondantes.

Étape de la procédure d'accréditation : la demande d'accréditation est soumise à la


Surintendance de la santé, où les informations de base soumises par le prestataire
sont analysées d'un point de vue juridique et technique. Lorsque l'évaluation sur
place est effectuée, ce processus dure 5 mois.

2.1.- Demande d'accréditation : La demande doit être faite via le web et en


personne, en présentant les informations suivantes : Demande d'accréditation
signée par le représentant légal, rapport d'auto-évaluation, portefeuille de services,
dossier technique actualisé, organigramme de l'institution, plans de l'établissement
et résolutions sanitaires. Délai maximum de 10 jours ouvrables.

2.2 Évaluation sur place : l'entité dispose d'un délai de 30 jours ouvrables pour
publier un rapport d'accréditation, dans lequel les organes de contrôle analysent
les informations fournies et les comparent au cours de leur visite sur place.

2.3 Résolution du processus : un résumé du processus et de ses évaluations sera


publié sur le site web pendant 5 jours. Par la suite, il prépare un rapport décrivant
le contexte pour générer une résolution d'exemption.

3.-

a) - Ressources humaines

Personnel médical général et spécialisé


Chimiste pharmaceutique salarié
Dentistes salariés

Le personnel soignant, les techniciens et les auxiliaires médicaux :


- Nutritionniste
- Infirmières
- Sages-femmes
- Technologues médicaux
- Techniciens paramédicaux, techniciens supérieurs.

Personnel administratif

- Informaticiens
- Compteur
- Ingénieurs
- Secrétaire
- Conducteurs
- Assistant de nettoyage
- Agents de sécurité

ORGANISATION
CONTRÔLE DE GESTION
CONSEILS ET DÉVELOPPEMENT
TECHNIQUES INSTITUTIONNEL

CONSEIL
CONSULTATIF

COMITÉS ADRESSE
CONSULTATIFS

SOUS-
SOUS-DIRECTION SOUS-DIRECTION SOUS- SOUS-DIRECTION SOUS- SOUS-
DIRECTION DE
DE LA GESTION DE LA GESTION DIRECTION DE LA GESTION DIRECTION DE DIRECTION DE
LA GESTION DES
ADMINISTRATIVE DES RESSOURCES DE LA CLINIQUE SOINS LA GESTION DES LA GESTION
RESSOURCES
HUMAINES GESTION FERMÉS SOINS CLINIQUE
HUMAINES
OPÉRATIO AMBULATOIRE

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