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Enregistré initialement comme location, ce contrat est retraité en fin d’exercice. Le SYSCOA
traite cette opération comme une acquisition d’immobilisation assortie d’un emprunt de même
montant et ceci par application du principe de la prééminence de la réalité sur l’apparence
juridique.
Du point de vue comptable, nous pouvons distinguer chez le preneur (entreprise) les étapes
suivantes :
Le bien acquis par un emprunt de crédit-bail est enregistré au débit d’un compte
d’immobilisation pour sa valeur dans le contrat ou pour sa valeur d’entrée en contrepartie de
la dette au crédit.
Pour un contrat de crédit-bail souscrit le 01/04/N, avec des versements de début de période de
n annuités, on a :
Pour un contrat de crédit-bail souscrit le 01/04/N, avec des versements de fin de période de n
annuités, on a :
• Pour le cas des versements de fin de période par exemple avec un dépôt de
garantie à la souscription remboursable en fin de contrat
Vo = G + a [1- (1+i)-n/i] - R (1+i)-n
NB :
• Si le dépôt de garantie a été effectué à la 2ème année, on aura dans la formule : G (1+i)-2
- R (1+i)-8
La SA. SOS souscrit un contrat de crédit-bail le 30/09/N pour l’obtention d’un matériel
industriel dont la durée normale d’utilisation est de 5 ans. La valeur de ce matériel est
indiquée dans le contrat soit 30 000 000.
TAF :
1°) Sachant que le taux réel de ce contrat est compris entre 14% et 15,5%, déterminer ce taux
(arrondir le taux au centième près)
NB :
• En cas de versements de début de période, il n’y a pas d’intérêts pour la première ligne
du tableau et dans ce cas Amortissement = annuité
Pour notre application, l’intérêt couru de chaque exercice couvre la période allant du
30/09 au 31/12, soit 3 mois.
• Le prix de la levée de l’option de rachat est considéré comme une dernière redevance
ou annuité.
La société POPOTA a signé un contrat de location avec Burkina bail dont les conditions sont
les suivantes :
• Redevances annuelles 3 150 000 HT, payables par chèque bancaire le 01/05 de
chaque année sur 5 ans
TAF : après avoir déterminé le taux d’intérêt de l’emprunt équivalent, présenter le tableau
d’amortissement de l’emprunt.
Remarque :
• Les intérêts courus ici sont calculés du 01/05 au 31/12 de chaque année soit sur 8
mois.
Les intérêts courus (partie des intérêts d’un exercice N qui sera payée en N+1) et non
échus sur le montant de la dette restante, seront ensuite régularisés.
• Retraitement de la redevance
NB : Au 1er janvier de chaque année, l’écriture de régularisation constatée sur les intérêts
courus au 31/12 passé est contrepassée de la façon suivante :
• Si l’option de rachat est levée, il convient d’enregistrer le paiement du prix P qui est la
dernière annuité ou dernière redevance du contrat de crédit-bail de façon qu’après
retraitement de cette dernière redevance, l’emprunt équivalent (compte 173) soit soldé.
NB : pour le cas des versements de fin de période où le prix P de la levée de l’option est
considéré comme un dernier remboursement de l’emprunt on a :
• Dans le cas où, il y a non levée de l’option (cas assez rare en raison du caractère
indicatif du montant des prix de rachat) à la date prévue pour la levée, il faut
constater :
Toute transaction à terme faite en monnaies étrangères peut entraîner des fluctuations du fait
de l’évolution des cours.
• le cas des biens tels que les immobilisations, les titres et les stocks ;
• les disponibilités.
• Au jour de l’acquisition
Le bien entre dans l’entreprise sur la base du cours du jour de son acquisition.
(2) La TVA est uniquement calculée sur les frais dont les montants HT ont été précisés
(3) Ce compte enregistre le montant dû au fournisseur étranger qui est généralement le prix
d’achat du bien libellé en monnaie étrangère
(4) Il enregistre l’ensemble des frais d’achat TTC autres que les droits de douane
(5) Il enregistre le montant TTC des droits de douane si entretemps le montant HT a été
précisé.
NB : En cas d’existence des frais non liés à l’acquisition du bien, leurs écritures de règlement
et d’immobilisation sont constatées par la suite. Ces frais concernent notamment les
honoraires du notaire, les frais d’acte et du contentieux, les droits de mutation, les droits de
timbre,…
Cette opération de règlement fait intervenir un gain ou une perte de change pour l’entreprise.
L’entreprise règle un montant inférieur au montant qu’elle doit à son fournisseur étranger.
L’entreprise règle un montant supérieur au montant qu’elle doit à son fournisseur étranger.
(2) C’est la différence positive (gain) ou négative (perte) entre le (1) et le (3)
APPLICATION
La société SOBECO Internationale achète à crédit le 02/01/19 une machine industrielle
auprès d’un fournisseur sud-africain à 300 000 rands (cours du jour : 1 rand = 100 Fcfa). Les
frais accessoires d’achat HT s’élèvent à 10 000 000 Fcfa réglés.
Le 09/03/19, la société règle 2/3 de sa dette fournisseur (cours du jour : 1 rand = 105 Fcfa).
Le 05/04/19, elle solde sa dette (1 rand = 99 Fcfa).
Tous les règlements sont effectués par chèque bancaire.
TAF : Passer les écritures de la date d’acquisition à la date du 05/04/19.
La dette existante au 31/12 du fournisseur étranger (solde du compte 481) évaluée au cours
d’acquisition est comparée à cette même dette évaluée au cours d’inventaire. La différence est
l’écart de conversion constaté.
La dette existante à cette date d’inventaire évaluée au cours d’inventaire sera supérieure à
celle évaluée au cours initial. Ceci dégage donc un écart de conversion actif (perte probable
de change) qui est constaté comme suit :
En cas d’existence d’écart de conversion actif, une provision pour perte de change de même
montant est à constater simultanément de la façon suivante :
La dette existante à cette date d’inventaire évaluée au cours d’inventaire sera inférieure à celle
évaluée au cours initial. Ceci dégage donc un écart de conversion passif (gain latent de
change) qui est constaté comme suit :
NB : Pour le cas des biens non amortissables, une provision pour dépréciation est constatée
suite à la dépréciation des biens.
APPLICATION
L’entreprise CFC International achète le 01/04/N un véhicule TOYOTA soit 3 000 000 de
yens (cours du jour : 1 yen = 4,9 Fcfa).
Le 15/06/N, règlement des 3 / 4 par chèque bancaire (cours du jour : 1 yen = 5 Fcfa)
TAF : Passer les écritures nécessaires du 01/04/N au 01/01/N+1, sachant que le cours au
31/12/N est de : 1 yen = 5,3 Fcfa ou 1 yen = 4,65 Fcfa et que le matériel est amortissable
sur 5 ans linéairement.
Nous avons deux catégories de titres à savoir les titres du long terme et ceux du court terme.
• Les titres de participation : ce sont des titres qui permettent à l’entreprise d’exercer
une influence sur la société émettrice et d’en assurer le contrôle. Ce sont des titres
dont la valeur d’acquisition représente au moins 10% du capital social de la société
émettrice.
• Les titres immobilisés : ce sont des titres de long terme qui ne permettent pas à
l’entreprise une ingérence dans la gestion de la société émettrice.
Ils regroupent notamment les titres de placement communément appelés Valeurs Mobilières
de Placement (VMP). Ce sont des titres négociables et cessibles à très brève échéance.
Les titres de participation et les titres immobilisés font leur entrée au patrimoine de la société
à leur coût d’acquisition (prix d’achat + frais d’acquisition). Alors que les titres de placement
sont enregistrés au prix d’achat, leurs frais d’achat étant comptabilisés dans un compte de
charges 6311 Frais sur titres.
Pour le traitement comptable des titres libellés en monnaies étrangères on observe les étapes
suivantes :
Le règlement se fait au cours du jour du règlement. Ce cours est comparé au cours initial (celui du jour
de l’acquisition). La différence constitue un gain ou une perte de change.
L’entreprise règle un montant inférieur au montant qu’elle doit à son créancier étranger.
L’entreprise règle un montant supérieur au montant qu’elle doit à son créancier étranger.
472 Versements restant à effectuer sur titres (1)
676 Perte de change (2)
5.. Compte de trésorerie (3)
(règlement)
(1) Il enregistre le nombre de devises réglées et converties au cours du jour de l’acquisition
(2) C’est la différence positive (gain) ou négative (perte) entre le (1) et le (3)
(3) Il enregistre le nombre de devises réglées et converties au cours du jour du règlement.
- A l’inventaire
La dette existante au 31/12 du créancier étranger (solde du compte 472) évaluée au cours
d’acquisition est comparée à cette même dette évaluée au cours d’inventaire. La différence est
l’écart de conversion constaté.
En cas d’existence d’un écart de conversion actif (perte probable de change), on constate une
provision pour perte de change à hauteur du montant de l’écart de conversion actif.
Dans ce cas on compare la valeur d’acquisition totale des titres à leur valeur actuelle au cours
d’inventaire.
Il y a dépréciation, c'est-à-dire une provision à constituer, si le cours à l’acquisition est
supérieur au cours d’inventaire.
Cette provision pour dépréciation des titres est comptabilisée comme suit :
APPLICATION
Dans le cas de transactions financières, il s’agit d’un cours au comptant à la date de versement
des fonds, quelle que soit par ailleurs la date à laquelle le prêteur a eu la disposition des
devises étrangères et la date à laquelle l’emprunteur a effectivement reçu les fonds.
Le droit comptable stipule en son article 56 que lorsque des pertes probables sont attachées à
des opérations de prêts ou d’emprunts affectant deux ou plusieurs exercices, l’entreprise doit
procéder à l’étalement de ces pertes sur la durée restant à courir jusqu’au terme des
remboursements ou des décaissements à venir prévus au contrat.
L’écart de conversion constaté étant un élément d’actif, il existe donc une provision pour
perte de change à déterminer de la façon suivante :
Avec D la durée de l’emprunt et n la durée déjà courue par l’emprunt jusqu’au 31/12 de
l’année d’inventaire concernée.
APPLICATION
La société FASOIL a emprunté le 01/07/18 une somme de 100 000 Euros auprès de la
banque européenne EUROBANK, remboursable en 5 annuités constantes au taux d’intérêt
annuel de 15% (cours du jour : 1 Euro = 655,80 Fcfa).
Dans le cas d’une transaction commerciale avec l’étranger, une analyse correcte de
l’opération doit permettre de mesurer, d’une part la partie liée à cette transaction (achat,
vente…) dans les mêmes conditions que celles d’une transaction faite dans l’UEMOA et
d’autre part la partie liée à la politique financière appliquée en matière de change.
En cas d’achat de marchandises à crédit avec un fournisseur étranger, le compte 401 qui a
enregistré la dette envers ce fournisseur étranger est traité au même titre que le 481
Fournisseur d’investissement vu à la section précédente.
(achat de marchandises)
(1) Il enregistre le prix d’achat libellé en monnaies étrangères et les droits de douane et le transport
(2) C’est le montant de la TVA récupérable calculée sur les frais accessoires d’achat dont le montant
HT a été précisé
(4) Il enregistre la fraction réglée de la dette envers le fournisseur étranger et les frais accessoires
d’achat TTC qui sont généralement réglés au comptant.
NB : En cas d’existence de frais non liés à l’achat comme les honoraires du notaire, les frais
d’acte et du contentieux, les droits d’enregistrement (droits de timbre, droits de mutation,…),
leur règlement se fait par la suite suivi de leur immobilisation.
APPLICATION
La société AMIOS réalise des opérations d’achats de marchandises avec la
société CHUNG, une société japonaise installée au Japon. Pour le mois de mars
2020 on a :
Le compte 411 Client pour des ventes à crédit effectuées avec des partenaires
étrangers, s’analyse de la même manière que le compte 401, sauf ici il s’agit
d’une créance et non d’une dette.
APPLICATION
Une société de la place a réalisé des opérations suivantes avec des partenaires
canadiens :
1°) Vente de marchandises : 2 500 dollars canadiens (cours du jour : 1 CAD =
425 Fcfa). La moitié a été encaissée en espèces.
2°) Ventes de marchandises : 1 500 dollars dont le 1/4 réglé par chèque bancaire
(1 CAD = 428 Fcfa)
4°) Règlement du solde de l’opération 2°) par chèque bancaire (1 CAD = 432
Fcfa).
02/01/20 : Stock initial : 40 000 T évaluées à 97,5 dollars la tonne (1 dollar = 509
Fcfa)
09/10/20 : Achats de sucre 60 000 tonnes à 96 dollars la tonne (1 dollar = 538 Fcfa)
L’entreprise utilise la méthode du PEPS ou FIFO pour évaluer ses sorties de stocks.
TAF : Evaluer le stock en fin de période et régulariser au 31/12/20 dans les cas
suivants :
1°) le cours du dollar au 31/12/20 est 522 Fcfa
3°) Répondre aux mêmes questions précédentes dans le cas où le CMUP est calculé
sur la durée moyenne de stockage des cartons de sucre.
1- Principe
2- Application
Le 15/12/20, la société encaisse une somme de 825 dollars américains de la part d’un
client. A cette date le dollar vaut 528 FCFA.
Au 31/12/20, date de clôture de l’exercice, les 825 dollars figurent toujours dans la
caisse de l’entreprise. Le cours du dollar au 31/12/20 est de 532 FCFA.
A cet effet, suite à l’échange des 825 dollars, l’entreprise doit constater
immédiatement le gain de change qui s’élève à 825 (532 – 528) soit 3 300 FCFA de la
manière suivante :
Le raisonnement aurait été le même dans le cas d’une baisse des cours et l’entreprise
aurait constaté immédiatement la perte de change.
DOSSIER 1
Tous les montants ont été réglés par chèque bancaire sauf celui du fournisseur
américain dont le règlement est prévu pour le 01/02/N+1.
Le matériel est amortissable selon le dégressif sur 8 ans (amortissement économique)
et le cours du dollar en FCFA s’affiche comme suit :
TAF : Après avoir déterminé la valeur d’acquisition du matériel, passer toutes les
écritures nécessaires du 01/10/N au 01/02/N+1.
DOSSIER 3
Une société a signé le 01/04/N avec une banque britannique un contrat pour l’emprunt
d’une somme de 400 000 livres sterling, remboursable sur 5 ans au taux de 6,5%. La
somme mise à la disposition de la société le même jour est transférée au pays résident
puis inscrite sur le compte de la société le 05/04/N après prélèvement d’une
commission de 50 000 FCFA.
DOSSIER 4
Le cours de l’Euro au 01/04/N est de 690 FCFA. L’exercice de la société SFI s’achève
chaque 31/12.
TAF : Examiner la situation et enregistrer les opérations concernant cet emprunt des
exercices N à N+2, sachant qu’à titre indicatif :
C. Comptabilisation
1. A la clôture de chaque exercice en cours d'exécution du contrat.
Le montant du chiffre d'affaires est exprimé en clôture d'exercice en fonction du
degré d'avancement des travaux. Il est enregistré au débit du compte "475
Créances sur travaux non encore facturables" et au crédit du compte "702
vente de produits finis".
Le coût de production des travaux réalisés ne doit pas être porté dans les stocks
de produits ou travaux. Ces derniers étant considérés comme vendus.
2. A l'achèvement des travaux
Lors de la facturation le produit global de l'entreprise est enregistré au crédit du
compte 702 puis il est procédé à la contre passation des écritures qui ont été
constatées dans les comptes 475 et 702 au titre du contrat des exercices
précédents.
APPLICATION
Une entreprise s'est engagée à un contrat à fournir un ouvrage à un client. Le
contrat signé en juillet 19N prévoit la livraison du bien en mai/19N+2.
Les principales étapes de réalisation de l'ouvrage sont les suivantes :
- 15/07/19N : Signature du contrat :
Prix de vente révisable 1 200 000 F HTVA
Coût de revient estimé 950 000 F.
- 31/12/19N : Clôture de l'exercice :
Coût de production de l'encours = 323 000.
- 25/06/19N+1 : Acompte versé par le client 500 000
- 31/12/19N+1 : Clôture de l'exercice.
Coût de production de l'encours 817 000 F HTVA.
Restimation du prix de vente 1 300 000
Restimation du coût de revient 1 100 000
- 15/05/19N+2 : livraison et facturation de l'ouvrage
Prix facturé 1 380 000
Coût de revient définitif 1 150 000 HTVA.
TAF : Comptabiliser les opérations par l'application de la méthode de
l'avancement.
B. Comptabilisation
1. Au cours des exercices d'exécution autres que celui de la phase terminale.
→ Aucun chiffre d'affaires n'est enregistré dans les comptes de la
classe 7
→ Les charges sont enregistrées dans les comptes de la classe 6
→ En fin d'exercice, les charges sont neutralisées par le biais du
compte 73 "variation des stocks"
→ Les acomptes reçus des clients sont enregistrés dans le compte
4191 "clients, avances et acomptes reçus"
→ En cas de dépréciation sur la partie du contrat exécuté, l'entreprise
constate la diminution des encours.
→ S'il existe un risque des pertes à la terminaison du contrat global,
une provision financière pour risques et charges est constituée 193
" Provision pour perte sur marché à achèvement futur".
2. A l'exercice de terminaison
→ Le chiffre d'affaires total est enregistré dans les produits en
contrepartie du compte client correspondant.
→ Les charges de l'exercice sont enregistrées par nature dans les
comptes de la classe 6.
→ Le coût de production des encours des exercices précédents est
annulé par inscription au débit du compte 73 " Variation des
stocks"
→ Les sommes reçues des clients sont virées au crédit du compte
client concerné.
→ Les éventuelles provisions précédemment constituées sont reprises.
3. Schéma d'écritures
a. Lors de l’exercice d'exécution
6. Charges concernées
445 TVA récupérable
401 Fournisseurs
(engagement des dépenses)
401 Fournisseurs
521 Banque
(paiement des dépenses)
521 Banque
4191 Clients avance et acomptes reçus
(encaissement d'avance)
34 ou Travaux en cours
35 Services en cours
734 Variation des travaux en cours
ou Variation stock de services en cours
735 (neutralisation des charges)
CAS DE SYNTHESE
La société KABACORO est une SA spécialisée dans la fabrication de prototypes des
pièces automobiles. Le délai moyen d’exécution de ces contrats est de 16 à 22 mois.
Un prototype lui est commandé en avril N, sa livraison est prévue en septembre N+1.
Les éléments chiffrés concernant cette commande sont les suivants :
Coût total de production estimé par les services d’études 2 700 000
Coût de production engagé à la clôture de l’exercice N 1 620 000
Prix de vente prévu 3 600 000
Le coût total prévisionnel a été correctement estimé par les services d’études. En fin
septembre N+1, le prototype est facturé au client au prix de vente prévu soit 3 600 000
HT (TVA 18%)
TAF : enregistrer toutes les écritures concernant la fabrication et la vente de ce
prototype durant les exercices N et N+1 en utilisant successivement les différentes
méthodes préconisées par le système comptable OHADA, pour le traitement
comptable des contrats pluri exercices.