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TP Biologie 1 : Molécules

H2O​ : solvant de la vie

Gr. Polaires ­> molécule a caractère HYDROPHILE.


­> Molécule soluble dans l eau
Gr. Non­polaires ­> molécule a caractère HYDROPHOBE.
­> Molécule soluble dans solvants apolaires.

Glucide​ : molécule organique composée de C, H et O.

Formule : (CH2O) n

Solubilité des ≠ glucides (Glucose, Amidon, Cellulose)

­ Glucose : soluble a température ambiante, c’est un monomère.


­ Amidon: pas soluble à température ambiante, mais bien après chauffage. C’est un polymère
de glucose avec des liaisons α1­4.
­ Cellulose: Il n’est soluble ni à température ambiante, ni après chauffage. C’est un polymère
de glucose avec des liaisons β1­4.

Monomère : Soluble dans l’eau a froid. (Sucre en solution dans la cellule)

Polymère : + compacte, ­ soluble. (Amidon + glycogène : stockage ; Cellulose : paroi


végétale)
Mise en évidence des polysaccharides par KI3

L’iode forme à froid avec les polysaccharides un complexe dont la couleur varie en fonction
de la longueur de la chaîne glucidique : bleu, puis violet, mauve, rose et incolore (coloration
jaune du réactif) avec des molécules de longueurs décroissantes.

H20 : jaune clair = Iode diluée


Mauve : chaine de longueur moyenne ­> Dextrine
Jaune : chaine courte –> Maltose
Bleu foncé : chaine longue ­> Amidon

Lipides :

= Famille de molécules organiques hydrophobes. Les lipides contiennent des liaisons non
polaires entre le carbone et l’hydrogène (très énergétiques).

3 groupes :
­ Triglycérides : 3 AG + 1 GLYCEROL (liaison ester)
­ phospholipides : 2 AG / 1 GR. PHOSPHATE (lié a une molécule organique)
­ Stéroïdes
Acide gras : molécules hydrogénocarbonées donc le dernier C porte un gr. Carboxylique.

En milieu basique, les acides gras perdent un proton : COOH ­> COO­ (hydrophile).

Solubilité de l’huile dans différent solvant

­ soluble dans les solvants apolaire ex : alcool a longue chaine ou éther (Propanol).
­ peu soluble dans les solvants faiblement polaires ex : alcool a chaine courte (méthanol,
éthanol).
­ insoluble dans l’eau.

Protéine :​ Acides aminés = monomères universel des protéines. 2


acides aminés se lient par liaison PEPTIDIQUE.

Les acides aminés sont tous +/­ solubles.


Milieu acide : NH2 ­> NH3+ (COOH reste COOH)
Milieu basique : COOH ­> COO­ (NH2 reste NH2)
Point isoélectrique : quand la somme des charges + = la somme des charges ­.

Tp Biologie 2 : Osmose et perméabilité membranaire

Diffusion des membranes :

Membrane à perméabilité sélective/ différentielle : perméable a l’eau et a certaines molécules


suivant ses propriétés.
Membrane semi­perméable : perméable a l’eau uniquement.

Osmose : phénomène de diffusion de l’eau lorsque l’équilibre des concentrations des


molécules ne peut se faire au travers d’une membrane.

Définitions :

Osmolarité: ​concentration molaire volumique totale de soluté exprimée en moles de soluté


(particules dissoutes = molécules entières ou ions dissociés) par litre de solution.

1 mole d’Urée <=> 1 osmole. 1 mole de NaCl <=> 2 osmole car NaCl = Na+ + Cl­

Pression osmotique: ​Pression qu’il faut appliquer pour empêcher la diffusion du solvant d’un
compartiment vers un autre contenant une solution plus concentrée en molécules non
diffusibles au travers d’une membrane séparant ces deux compartiments. La pression
osmotique est proportionnelle à la concentration en particules non diffusibles.

Echanges au travers d’une membrane a dialyse

L’iode diffuse mais pas l’amidon

L’iode colore l’amidon

Le volume dans la solution d’amidon


augmente même si ce n’est pas visible.
Membranes biologiques

= Membrane a perméabilité sélective.

L’osmolarité du milieu interne des cellules vivante est constant : 0,31 OSM de molécules non
diffusibles.

Isotonique : équilibre
Hypotonique : eau entre, cellule gonfle ­> éclate
Hypertonique : eau sort, cellule se racrapote ­> Plasmolyse
ATTENTION : chez les végétaux, leur paroi les protège contre le milieu hypotonique.

Plasmodesme = traversée cytoplasmique

Diffusion lente :
Tableau récapitulatif :
Tp Biologie 3 : Energétique cellulaire : photosynthèse et respiration.
Métabolisme = ensemble des transformations moléculaires et des transferts d'énergie qui se
déroulent de manière ininterrompue dans la cellule ou l'organisme vivant.

CATABOLISME = ensemble de réactions enzymatiques de dégradation de grosses molécules


en petites molécules. Ces réactions libèrent de l’énergie dont une partie est mise en réserve
lors de la phosphorylation de l' ADP en ATP. Cette énergie servira à assurer les différentes
fonctions de la cellule.
Exemple: respiration cellulaire

ANABOLISME (biosynthèse) = ensemble de réactions enzymatiques de de grosses


molécules à partir de précurseurs simples. Ces réactions nécessitent un apport d’énergie
fournie par l’hydrolyse de l’ATP.
Exemple : Photosynthèse

Respiration cellulaire :
1) Glycolyse : CYTOSOL
2) Cycle de Krebs : MATRICE DE MITOCHONDRIE
3) Phosphorylation oxydative : MEMBRANE INTERNE DE MITOCHONDRIE
­> processus commun aux animaux et aux végétaux

Photosynthèse :
1) phase clair (photosystèmes + chaines de transport d’e): DANS THYLAKOIDES
2) phase sombre (cycle de Calvin): DANS STROMA
Processus uniquement chez les végétaux !!!!!
Dégagement et absorption d’O2
­ Indigo carmin : indicateur d’oxydo­réduction
Ici : BLEU : oxydé, INCOLORE = réduit
­> oxydé uniquement AVEC cabomba et EN présence de lumière !
­ Pyrogallate de sodium : absorbe l’O2.
­> AVEC pyrogallate : faible germination (pas de phosphorylation oxydative), SANS
pyrogallate : Germination.

Consommation/ Absorption d’eau


­ Bleu de bromothymol : indicateur de PH
Ici : JAUNE qd il est en solution acide, BLEU quand il est en solution basique
- ​> uniquement en solution basique AVEC cabomba et EN présence de lumière !
Résumé :
Mise en évidence de la photolyse de l’eau
DPIP = accepteur d’électron
Ici : BLEU quand oxydé, INCOLORE quand réduit
­> SANS chloroplaste : toujours oxydé, AVEC chloroplaste : le DPIP se substitue au NADP+
et est donc réduit (en présence de lumière), a l’obscurité il est partiellement oxydé.

Mise en évidence des produits de la photosynthèse


Expérience = mettre un cache sur une feuille et la placer 48h a l’obscurité ensuite on le met
dans la lumière pendant 7h puis on extrait la chlorophylle et enfin on l’incube dans du KI.
­> La partie qui était cachée n’est pas colorée par le KI !
Ce qu’il se passe c est que la partie a l’obscurité ne fait pas la photosynthèse et ne synthétise
donc pas d’amidon.

TP Biologie 7 : Le triton (partie 1)

Triton : classe des amphibiens, larves = aquatiques, adultes = aquatiques et terrestres.

Organisation anatomique de la région dorsale :

Chorde = axe continu qui s’étend sous le SNC, depuis l’arrière de l’encéphale jusqu’à
l’extrémité postérieure du corps. Entouré de tissu conjonctif fibreux (il entoure aussi le tube
neural).
Vertèbre = 1 anneau cartilagineux, un corps vertébral, une arcade neurale (formée par
basidorsaux et neurépine) qui protège la moelle épinière.
Système nerveux :
Ampoule neurale ­> cerveau
Tube neural ­> moelle épinière
Canal neural ­> canal épendymère
Neuroblastes ­> neurones : corps cellulaires au centre de la moelle = substance GRISE,
prolongements = substance BLANCHE.
Faisceaux de fibres nerveuses motrice quittent la moelle ­> racines nerveuses ventrales des
nerfs spinaux.

Muscles longitudinaux :
Myotomes ­> longues fibres musculaires striées (fusion de myoblastes)

Coupe transversale d’une larve de triton :

La région dorsale est occupée au centre par la chorde (surmontée par le SN protégé par
l’arcade neurale) et latéralement pas les muscles longitudinaux.
Dans la moelle épinière, il y a le canal épendymère, la substance grise (au centre) et la
substance blanche (en périphérie). Latéralement, en dehors de la moelle, la coupe peu passer
par un ganglion spinal (entre musculature longitudinale et enveloppe conjonctive).
Dans la substance grise, on voit les noyaux ovoïdes pourvu d’un ou deux nucléoles.
Dans la région intermédiaire antérieure (sous la chorde), on observe l’aorte en position
médiane, entourée des veines cardinales postérieures et des reins.
Dans la région intermédiaire postérieure, on distingue 2 vaisseaux sanguins : l’artère caudale
et sous celle­ci, la veine caudale.
La peau se compose d’un épiderme pluristratifié.
TP Biologie 7 : Le triton (partie 2)

Information de base :
La larve de triton présente des fentes branchiales analogues a celles des poissons mais NON
fonctionnelle. Elle possède 3 paires d’expansions branchiales externes servant aux échanges
respiratoires. Elle possède un appareil pulmonaire NON fonctionnel, composé d’une trachée,
d’où partent 2 sacs pulmonaires.
Cœur : 3 cavités en forme de S où le sang ­> branchies ­> tête et arrière du corps (via aorte).
Puis ramené vers l avant par les veines cardinales postérieures.
Métamorphoses : remaniements de la région branchiale, du cœur et des vaisseaux +
disparition des branchies externes. Respiration ­> pulmo cutanée.

Système uro­génital :

La différenciation des gononéphrotomes donne naissance a 2 paries d’ébauches rénales : 1


antérieure = pronéphros et 1 postérieure = mésonéphros.
Dans la région moyenne, les gononéphrotomes régressent.
Chaque ébauche rénale est formée d’un ensemble de néphron = dispositif filtrant le sang, le
corpuscule rénal suivi d’un tube urinifère contourné ­> canal collecteur.
Néphron ressemble a paire de néphridie mais qui débute par une paroi en forme de coupe = la
capsule.
Quelques néphrons constituent le pronéphros, mais la majorité constitue le mésonéphros et
forment une paire d’organes qui seront les reins de l adulte.
Au stade larvaire, les gonades sont encore à l’état d’ébauche.

Coupes transversales et longitudinales de larves de triton :

Dans le « plafond » de la cavité péritonéale, en dehors de celle ci, et sous la chorde, se


trouvent :
­ le pronéphros antérieure
­ le mésonéphros dans la région moyenne et postérieure
­ les corpuscules rénaux
La région ventrale est occupée par la cavité péritonéale qui contient divers organes.
Œsophage : revêtement épithélial formé de cellules glandulaires a mucus et de cellules ciliées.
Poumons : de part et d’autre de l’œsophage
Foie : plus ventralement
Trachée : sous l’œsophage et plus ventralement se situe le cœur.
Estomac : occupe presque toute la cavité péritonéale. Dorsalement : poumons et rate.
Latéralement : foie.
Notion d’histologie :
Tissus épithéliaux ​:
2 types : de revêtement et glandulaires.
­ épithélium de revêtement : recouvrent la surface du corps ou tapissent les cavités
internes. Reposent toujours sur du tissu conjonctif, il y adhère par une mince
membrane basale. Ne renferment jamais de vaisseau. Reçoivent nutriments et oxygène
via tissus conjonctifs voisins. Constitués d’une seule ou de plusieurs assises de
cellules.
­ Epithélium glandulaires : élaborent des produits de sécrétion que l’on observe en
surface ou enfoncés dans le tissu conjonctif sous­jacent.

Tissus conjonctifs ​:
= tissus qui sont tous dérivés du mésenchyme embryonnaire.
= toujours constitué de 3 élément : 1) cellules de forme irrégulière et non accolées, 2) fibres
extracellulaires, 3) matrice homogène.
= réalisent la connexion entre organes ou entre tissus d’un même organe.
= élément de soutien mécanique ou de charpente.
= imbibés de liquide interstitiel (milieu intérieur du corps)
= support des vaisseau et des nerfs.

Tissus musculaires ​:
Possèdent une contractilité exceptionnelle, assez puissante pour déplacer non seulement la
cellule, mais aussi les éléments voisins.
La contraction se produit toujours au niveau des structures différenciées : les myofibrilles.
2 types : muscles lisses – autour des organes végétatif (tube digestif)
Muscles striés locomoteurs dont les longues cellules plurinucléés renferment des
myofibrilles striées.

Tissus nerveux ​:
Spécialisés dans la propagation de l influx nerveux (région sensibles ­> centre nerveux et
centre nerveux ­> organes effecteurs).
Corps cellulaires = péricaryons (cytoplasme riche en ribosomes) ont un aspect granuleux et
gris, localisés dans les centre nerveux. Possèdent des prolongements = dendrites ou axones.
Plusieurs prolongements = nerfs.
Cellules nerveuses accompagnées par un tissu de soutien propre = névroglie.

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