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RAPPORT DE STAGE

L’an 2023 le 15 février, nous avons été envoyé au centre des services fiscaux de Pikine, pour un stage
d’imprégnation avec les objectifs suivants:
- nous permettre d'avoir un aperçu global de l'organisation et du fonctionnement de
l'administration au niveau central :
- nous permettre de confronter nos connaissances théoriques avec « les réalités du terrain » ;
- nous initier à nos futures tâches : fonction de conception, de coordination, de contrôle,
d'impulsion et d'exécution de l'action administrative.

De ce jour au 31 mars 2023, suivant l’organigramme de M Moussa NGOM, Chef de centre, nous
avons ,tour à tour, fait les différents services du centre dont les missions et activités constituent
l’objet de ce présent rapport organisé autour de deux grands points à savoir : les découvertes (I) et
les remarques ( -II)

I-Les Découvertes

Les découvertes ont été faites par service. A chaque service ses activités particulières , sa typologie
d’actes.

Le Secrétariat du Centre.
Le secrétariat du centre a principalement pour mission majeure la gestion du courrier et du
personnel.
Le courrier en question porte essentiellement sur :
- les demandes de code fiscal ( COFI)
- les déclarations d’existence
- les redémarrages d’activités
- les certificats de non imposition
- les certificats d’imposition
- les demandes de transfert
- les demandes de remboursement
- les demandes de dégrèvement
- les demandes de quitus fiscal
pour ces demandes ou actes, il a été constaté que le secrétariat reçoit les courriers ; émet des
bordereaux pour courrier ( courrier arrivée et courrier départ) et se charge de la transmission.

La gestion du personnel touche les aspects relatifs à la régularité, au congé, à la carrière et à


l’évaluation des agents.
Nous avons eu à parcourir tous ces types d’actes à travers le chrono et avons eu l’occasion de
participer à la mise à jour du registre numérique dédié à
la gestion du personnel.

Le bureau des formalités

Le bureau des formalités est un maillon essentiel de la chaîne fiscale. C’est une sorte d’organe
distributeur, d’appui aux contribuables et d’orientation. Le quotidien de ce bureau est
considérablement dominé par la réception et la délivrance des déclarations fiscales .
La réception, après vérification, est sanctionnée par une décharge, formalité requise avant le
paiement au niveau du trésor public ou au bureau de recouvrement du centre.
Notre passage dans ce bureau a constitué une occasion pour confronter les connaissances acquises à
l’école et la pratique des services. C’est le lieu de préciser que la terminologie utilisée à l’école, dans
certains cas, diffère de celle du terrain. Par exemple, les termes BRS, VRS, RAS Salaire, RAS Tiers,
état 1024 n’existent nullement dans la théorie écolière.
Par ailleurs, ce passage a facilité une relecture synoptique des différents types d’impôts ( impôts
d’Etat / impôts locaux), les échéances fiscales .. et la pratique des impôts synthétiques en
démarcation des régimes du réel.
Enfin, la journée passée au bureau des formalités a permis d’avoir un aperçu sur les atouts de « Mon
espace Perso » MEP qui demeure une application Web de la DGID permettant à l’usager d’avoir un
accès direct à son dossier fiscal, de consulter ses différents comptes d’impot , de déclarer ses impôts
et taxes , et d’avoir une communication directe avec son agent fiscal.
Nos échanges avec les professionnels du bureau ont débouché sur des exercices pratiques qui
consistaient à prendre en charge des contribuables venus pour des préoccupations différentes.

Bureau des Domaines.

Le séjour au bureau des domaines a corroboré les appréhensions que nous avions sur la matière
domaniale : une matière hétérogène aux contours fascinants.
Notre premier contact avec le service a été matérialisé par une interview avec le receveur des
domaines . L’entretien a été soldé par des mises en garde sur les enjeux et perspectives de
l’administration des domaines dans leur globalité et des orientations relatives à la carrière.
En outre, notre abord avec le chrono a constitué de prétexte pour effleurer la typologie des actes
traités au niveau du bureau. Au titre de ces actes, nous avons :
-La demande de bail ;
-L’attestation attribution de parcelles : pv de vérification ;
-La demande de morcellement ;
- Autorisation de céder le droit au bail ;
-Demande de vérification de permis d’occuper ;
-Transmission d’actes administratifs ;
- Bail établi sur diverses parcelles de terrain du lotissement administratif du TF ;
- Cessation de droit au bail ;
-Demande de titre foncier ;
- Demande de cession définitive ;
-Demande de régularisation par voie de bail ;
-Réception avis du CCOD ;
-Rectification d’erreurs matérielles par voie d’avenant. ;
- Demande de confirmation d’avis de CCOD ;
-Demande de cession gratuite ;
-Demande d’autorisation d’affecter en hypothèque le droit au bail ;
- Résiliation de bail ;
- Autorisation de céder ;
- Réquisition demande / demande de morcellement
- Demande de vérification de permis d’occuper ;
- Attestation de permis d’occuper.

La deuxième phase a porté sur un tour aux archives du bureau. Cette visite a permis de passer en
revue les titres d’occupation ( bail, permis d’occuper, autorisation d’occuper, droit de superficie) et
de revenir sur leurs implications juridiques. Cette occasion a servi de moyen aux spécialistes ( agents
du bureau) de :
Revenir sur l’historique du bureau, sa réorganisation , le nombre de titre casé , le volume du
contentieux ( surtout entre héritiers) ;
De faire un exposé sur les opérations dont le domaine national fait objet telles que les
désaffectations et les opérations de libération des emprises .
Cette immersion dans l’environnement domanial a permis, aussi, de donner un meilleur contenu aux
termes qui suivent : lotissement, délimitation, affectation , attribution, restructuration.

La troisième étape ( phase la plus importante en termes de crédits horaires) a été consacré aux
études des procédures en vue de l’obtention de titre ou d’acte afférent à l’utilisation des domaines et
à l’examen de dossiers présentés par les usagers.
À notre qualité d’apprenant , nous avons eu l’opportunité de mettre l’accent sur les linéaments de la
procédure relative à l’obtention du bail , à la régularisation par voie de bail ..
En nous mettant à l’œuvre , nous avons pu instruire des dossiers, faire des conclusions et prendre
des actes qui s’imposaient , sous la supervision de nos maîtres.
Nos contacts avec les usagers et les échanges avec les spécialistes ont suffisamment montré que les
cas d’école foisonnent le quotidien du bureau des domaines. De telles découvertes attestent la
complexité du métier de l’agent des domaines. L’adage selon lequel ” un dossier domanial ne meurt
jamais ” s’est confirmé.

Exemple de cas d’école : deux parties distinctes, présentant les mêmes documents, ont demandé la
transformation en titre foncier d’un même permis d’occupation. Un examen minutieux a permis de
voir que les jugements d’hérédité n’étaient pas conformes et que la pièce d’identité de l’ancien
bénéficiaire du permis a été falsifiée par l’une des parties. En effet, la comparaison entre l’année de
naissance mentionnée sur la copie de la pièce du bénéficiaire et l’année du titre d’occupation en
question, a révélé six (6) ans d’écart. Autrement dit, le bénéficiaire a obtenu son autorisation
d’occupation à l’âge de six ans.

Cet exemple pratique et les autres cas rencontrés nous ont poussé à conclure que la vigilance et la
mémoire sont des piliers non négligeables dans l’exercice du métier en question.

Au bureau du Cadastre.
Le cadastre est le bras technique des domaines et de la conservation foncière.. Du moins , c’est la
première vérité à laquelle nous sommes confronté au sein du bureau.
Constitué d’un secrétariat, d’un bureau archive, d’ingénieurs géomètres , d’ingénieurs topographes,
de geomaticiens , le cadastre reste un plier incontournable dans la gestion de l’état civil des
composantes domaniales.
La mission cadastrale épouse cinq ( 5) dimensions ci-après exposés.
Une dimension fiscale
{- enquête et évaluation en termes de propriété bâtie ( valeur locative)
{- correction de superficie en application des coefficients de correction.
{ - collecte de données internes ( nouveaux contribuables)

Une dimension juridique


-immatriculation de bornage morcellement
- appui à la DSCOS dans le cadre du règlement des litiges
- bornage de morcellement
- bornage d’immatriculation

Une dimension technique


- densification du réseau GEO-DESI
- tenue du plan cadastral
- opérations topographiques sur la base d’un référentiel

Une dimension administrative


- traitement de dossier
- autorisation de construire
- assistance apportée aux autres bureaux.

Une dimension documentaire


- assistance au promoteur
- projets de l’Etat
- assistance aux géomètres
- reconstitution de dossiers perdus

Dans le cadre de son service directement rendu aux usagers, le bureau du cadastre traite deux types
de demandes concernant le NICAD et la Matrice cadastrale.

Au final, nos descentes effectuées sur le terrain en compagnie de DSCOS ont permis de rencontrer
deux cas d’école .
Le premier cas portait sur l’identification du véritable propriétaire d’une parcelle sise à Keur Massar
faisant objet de prétentions entre deux parties. L’une , dépositaire d’un acte de vente propriétaire
s’estimait propriétaire tandis que l’autre , titulaire d’un bail , prétendait être le propriétaire légal. Les
vérifications effectuées par les services de la police foncière ont conclu que la position de la parcelle
et son numéro correspondaient aux données sur le bail.
Le second cas se rapportait à un empiètement de plusieurs constructions sur un titre foncier
appartenant à autrui.
Qui plus est, les réponses à nos interrogations ont permis de mettre le point sur la procédure du
lotissement et le mode de règlements des litiges concernant la Direction de la Surveillance et du
Contrôle de l’Occupation des Sols. L’utilité des services du cadastre s’est confirmé dans ses rapports
avec le bureau de la conservation.

Au bureau de la conservation

Tous les actes , après les baux, sont du domaine de la conservation. C’est par cette approche que
nous avons fait immersion au sein du bureau de la conservation . Le conservateur est gardien de la
propriété et des droits fonciers. Son équipe est organisée autour des fonctions suivantes : accueil et
réception, secrétariat, enregistrement, comptabilité, consignation, vérification suivi d’inscription au
livre foncier, archivage.
Les tâches au cœur de la mission de la conservation s’appliquent aux demandes de droits réels, aux
actes notariés et à certains actes administratifs( mutation, morcellement). Les deux premières
catégories occupent le volume le plus important.
Au titre des actes notariés, nous listons : les mutations de propriétés à titre onéreux ; les mutations à
titre gratuit ; les ouvertures de crédit avec affectation hypothécaire ; radiation d’hypothèque, acte
extra judiciaire .
Entre autres actes, nous pouvons mettre l’accent sur les prenotations , les commandements valant
saisie réelle , l’hypothèque forcée .

Concrètement, nous avons été confronté à l’analyse des actes et à la liquidation des droits( réels et
fixes) suivant les taux en vigueur et les réalités de la formalité fusionnée. Dans la foulée, nous avons
pratiqué le quittancement avec ses démembrements ( règlement, provision, dépense), la tenue des
registres (des oppositions, du livre foncier, des dépôts) , la consignation des actes intermédiaires, la
vérification du livre foncier et l’inscription des actes. C’est le lieu de signaler que l’obtention d’un
titre foncier ne vaut pas propriété définitif. Il a été aussi question de distinguer le certificat
d’inscription du dossier de titre foncier et de mettre en exergue les rapports entre les services du
bureau de la conservation, des domaines, du cadastre.
Dans le même ordre, nous nous sommes entretenu avec le chef de bureau et ses collaborateurs .
Les exposés des uns et des autres ont facilité une meilleure compréhension des conséquences
juridiques tirées des actes du conservateur et de l’étendue de sa responsabilité.
La prise en charge du dossier foncier- formé par le bordereau analytique , les actes et documents
justificatifs des inscriptions et des mentions – a bouclé notre formation dans ledit bureau.

Au bureau du recouvrement
Mise à part le bureau du chef ,le recouvrement est organisé autour de l’organigramme qui suit :
- le secrétariat en charge du suivi du courrier et de la confection de bordereaux récapitulatifs
des chèques ;
- le bureau d’enregistrement en charge de donner date aux actes soumis à l’enregistrement
par le code général des impôts ;
- le bureau des prises en charge des titres de perception ( continuité de l’assiette ) ;
- les caisses dédiées aux opérations courantes et déclarations.
- le bureau es redevances domaniales relatives aux baux.

La pratique du recouvrement a permis de joindre la réalité fiscale au réalisme fiscal. Les réalités
du terrain, les catégories de contribuables et les objectifs du bureau combinés ont permis de voir
,en filigrane, la diligence ,les techniques, les prérogatives , les subtilités et les efforts que
requiert le métier du recouvreur.

Au bureau de la fiscalité.
Le bureau de la fiscalité, appelé encore BGCSC , est naturellement dédié à l’assiette. Couvrant
une population fiscale de 17 950 contribuables, il œuvre, en dépit de ses missions primaires,
pour l’élargissement de l’assiette afin d’atteindre les performances assignées au centre. Notre
encadrement -assuré par le chef de bureau et ses collaborateurs-a permis de mettre l’accent sur
les opérations courantes, le contrôle sur pièces et/ ou la vérification, et le contentieux .

Les opérations courantes – le régime de l’impot au Sénégal étant déclaratif – se résument à la


gestion et suivi des dossiers des contribuables déjà immatriculés, les rappels périodiques et la
notification de pv au besoin. .
En effet, l'amélioration de la qualité des services à l'usager passe, entre autres, par la
multiplication des voies d'accès à l'Administration fiscale en faisant recours notamment
aux technologies de l'information et de la communication. Les télé-procédures offrent aux
usagers la possibilité d'effectuer certaines formalités en ligne et de réaliser ainsi des gains
sur le temps et sur les coûts financiers des déplacements. Cette nécessité est bien prise en
compte.

Le contrôle sur pièces, souvent opéré sur la base des recoupements, des états financiers
visés ou sur les déclarations et documents fournis par les contribuables, constitue , pour le
bureau, un levier important dans le processus de recherche de nouveaux contribuables.

Le recensement aussi , sous la coordination du chef de bureau et de son collaborateur ,


contribue subséquemment aux atteintes des objectifs en ce qui concerne les impôts locaux
et l’impot sur le revenu..
Notre séjour au bloc fiscal ne s’est pas limité à un regard jeté sur les missions et les
relations entre l’administration fiscale et les assujettis. Il a été marqué par différents
exercices. A ce propos, nous avons procédé à

à l’immatriculation des contribuables dans le réseau SIGTAS,

à la création de comptes d’impôts

à l’examen de déclaration d’existence

à l’examen des demandes de COFI et de Quitus fiscal

à l’examen des déclarations

à la codification des déclarations

Aux notifications des taxations d’office

A l’examen des réponses des contribuables

Aux confirmations

Au montage des Titres de Perception.

La gestion de la population fiscale précédemment évoquée est assurée suivant les


dispositions de la Note de Service portant création et répartition d’Unités de Gestion
Fiscale ci-jointe.
En un mot, notre imprégnation au sein des différents services du centre est saupoudrée de
découvertes pouvant faire l’objet de longs développements. Parallèlement, l’organisation et le
fonctionnement des services ont suscité des remarques auprès des observateurs que nous sommes :

II . Remarques

L’essentiel étant dit à travers les lignes précédentes, il s’agira , ici , de mentionner sommairement nos
observations en passant du général au particulier.

A- Remarques générales .
Elles sont organisés autour de ce que nous appelons forces (A ) et faiblesses( B)
1- Forces générales
A notre qualité de stagiaire , nous avons pu constater que le centre des services fiscaux de Pikine est
pourvu d’atouts qui lui offrent des garanties permettant de répondre aux exigences de performance,
de croissance… . Cette image, traduite sous le vocable de force, repose sur :
- un système de management louable ( le travail en équipe est la règle. La galvanisation des
collaborateurs est bien assurée par les chefs à la tête des bureaux) ;
- des agents qualifiés, dynamiques et ouverts au partage ;
- rapports paisibles entre usagers et agents ( accueil réconfortant) ;
- des collaborateurs soucieux de l’atteinte des objectifs du Top management ;
- un service de qualité approuvé par les témoins ;
- une transparence apparente dans la gestion des dossiers ;.
Toutefois , pour une meilleure performance, la correction de certaines faiblesses notées est
impérative.

2- Faiblesses générales
La marche vers une administration performante pourrait être ralentie par :
- l’effectif du personnel très insuffisant dans certains bureaux ( domaine et cadastre)
- un réseau internet très défectueux ;
- l’absence de certaines fonctionnalités dans le réseau SIGTAS qui pourraient intéresser les
bureaux de la fiscalité et du recouvrement ;
- le défaut de fournitures bureautiques de base ( armoires, ordinateurs de dernière
génération, imprimante, scanner puissant) ;
- une logistique quasi absente pour assurer le déplacement des agents du cadastre et ceux du
recensement.
- forte dépendance numérique .
À côté de nos remarques générales, nous avons pu déceler des forces et des faiblesses particulières
propres aux réalités des bureaux.

B- Remarques particulières.

Ces quelques particularités tournent aussi autour des forces et faiblesses.

1- Forces particulières.

Particulièrement , nous avons constater :

~Des pas remarquables vers l’indépendance numérique posés par le bureau de la conservation à
travers la mise en place d’une application aux fins de sauvegarder l’information, de la rendre
disponible en un clic et d’archiver le livre foncier.
Des efforts personnels consentis au service du rayonnement du bureau de la conservation fournis par
le chef de bureau et ses collaborateurs

L’archivage organisé et la maîtrise notoire des questions domaniales par les collaborateurs du
receveur des domaines et l’apport considérable relatif aux préoccupations des usagers.

L’efficacité dans la gestion du fichier de traitement des dossiers, par le management du bureau fiscal,
à travers la maîtrise des délais et la tenue régulière des statistiques

Cependant, des faiblesses particulières sont aussi à corriger.

B – Faiblesses particulières :
- Lenteurs dans le service rendu aux usagers aux bureaux des domaines et de la fiscalité
- Cloisonnement handicapant des chefs d’ UGF de la fiscalité ( répercussions sur l’efficacité du
service en cas d’absence de l’agent responsable ou d’urgence déclarée. )
- éparpillement des sources physiques d’ informations au bureau des formalités, à la caisse, et
au bloc fiscal.

À la lumière du bilan , nous concluons que le stage est d’une importance capitale et a répondu à ses
objectifs grâce au dynamisme et à la rigueur des équipes trouvées sur place. Nos découvertes et
renseignements reçus ont davantage corroboré la nécessité( souhaitée) d’allier la théorie et la
pratique pour la formation des élèves que nous sommes. En retour, sans aucune prétention ,nous
recommandons :
- un meilleur accompagnement services des domaines par un appui technique considérable tel que
l’acquisition d’un scanner puissant pour l’archivage numérique des dossiers ;
- des efforts allant dans le sens d’accompagner des bureaux utilisateurs du réseau SIGTAS vers une
indépendance en termes de réseau informatique et d’outils techniques plus performants.
Et invitons tout le monde à épouser la formule qui suit : l’implication de tous pour une
administration fiscale performante et rayonnante.

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