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ü L’adhocratie : une structure organisationnelle difficilement classable en raison de la forte incertitude de l’environnement, la présence
d’une communication informelle, d’une coordination basée sur l’ajustement mutuel ainsi que des agents hautement spécialisés.
ü L’intrapreneuriat : Développer des pratiques et comportements « entrepreneuriaux » à l’intérieur d’une grande entreprise, tels que le
changement et l’innovation, grâce à la réactivité, la rapidité et la capacité à créer de nouvelles richesses.
ü L’extrapreneuriat : la capacité de créer une entreprise par un salarié à partir des actifs tangibles et intangibles de son entreprise
d’accueil. Ce dernier bénéficie alors souvent d’un suivi de son ancien employeur.
III- LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATÉGIE
• Types de changement
• Changement stratégique et Changement organisationnel
• Changement incrémental* et Changement radical*(selon lʼampleur du changement)
III- LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATÉGIE
A) faisant partie des stratégies génériques définies par Michael Porter (1982). B) qui consiste à vendre qui consiste à vendre un produit semblable à ses concurrents,
mais en petite quantité. C) qui consiste à se focaliser sur un segment de marché peu étendu.
A) vise à proposer des produits moins chers que ceux de la concurrence. B) est notamment suivie par la firme automobile Dacia. C) peut être adoptée avec succès
par différentes entreprises d’un même secteur.
A) cherche à modifier de façon significative les règles du jeu concurrentiel d’un secteur d’activité. B) est mise en œuvre par une entreprise proposant aux
consommateurs une nouvelle offre inédite, susceptible de créer, transformer ou bien détruire un marché. C) repose nécessairement sur une innovation produit.
A) il ne faudrait pas suivre les règles du marché, mais transformer celui-ci pour mieux le contrôler. B) Les entreprises devraient régulièrement transformer leur
offre, leurs structures et leurs manières de faire. C) Les stratégies de rupture ne sont adaptées qu’aux start-ups.
QCM
PLUSIEURS RÉPONSES SONT POSSIBLES !
5. Les entreprises anciennes et de grande taille :
A) Sont les plus adaptées à la mise en œuvre de stratégies de rupture. B) devraient laisser les start-up opérer la rupture
et s’y intéresser ensuite pour la transformer en un marché de masse. C) sont davantage ancrées dans un sentier de
dépendance pouvant conduire à un incrémentalisme stratégique.
6. La stratégie délibéré :
A) correspond à l’orientation formulée et/ou planifiée par les managers. B) ne correspond pas toujours à la stratégie
réalisée. C) ne découle pas d’un plan défini au préalable, mais se développe petit à petit.
7. La planification stratégique :
A) a pour but la détermination des objectifs de l’entreprise à long terme, ainsi que la manière utilisée par l’entreprise pour
atteindre ces objectifs. B) est notamment approuvée par Mintzberg qui la considère déterminante pour le succès de
l’entreprise. C) est un processus obéissant à des étapes séquentielles.
8. L’avantage concurrentiel d’une entreprise :
A) désigne l’offre spécifique de l’entreprise, qui lui permet de se démarquer de ses concurrents. B) est acquis une fois
pour toutes. C) peut résulter d’une stratégie de domination par les coûts.
QCM
PLUSIEURS RÉPONSES SONT POSSIBLES !
9. Parmi les stratégies de diversification, on peut notamment distinguer :
A) les stratégies de diversification horizontale, dans le cas d’un nouveau DAS périphérique au cœur de métier de
l’entreprise. B). les stratégies de diversification verticale : on parlera également d’intégration. Le DAS nouvellement
acquis est situé en amont (avant) ou en aval (après) du cœur de métier initial, au sein de la filière de production. C)
les stratégies de diversification conglomérale, lorsqu’un grand groupe rachète ses concurrents.
10. Les stratégies de spécialisation :
A) consistent pour l’entreprise à se séparer des domaines d’activités stratégiques qu’elle ne maîtrise pas, ou qui ne
sont pas rentables. B) permettent à l’entreprise de se recentrer sur son cœur de métier. C) ont pour but de
maîtriser l’intégralité d’une filière de production complète pour s’assurer des sources d’approvisionnement.
11. L’école sociotechnique a mis en évidence :
A. La nécessité d’une division du travail aussi poussée que possible. B. Les tensions entre la dimension technique et
la dimension sociale de l’organisation. C. Le fait qu’un contrôle étroit de la hiérarchie améliore l’efficacité de
l’organisation. D. L’opposition irréductible entre les buts de l’organisation et ceux de ses membres.
VRAI / FAUX
COURS 1