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III.

LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATÉGIE


(RAPPEL)

B/ La structure de lʼorganisation, variable fondamentale du déploiement stratégique

B-1 La structure de lʼorganisation

Les composantes et les caractéristiques d’une structure (travaux de Mintzberg)

B-2 Les déterminants de la structure

Les variables internes et externes de l’école de la contingence

B-3 Les formes traditionnelles de structures


§ La structure fonctionnelle
§ La structure divisionnelle
§ La structure matricielle
III. LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATÉGIE
B-3 LES FORMES TRADITIONNELLES DE STRUCTURES
(SUITE)
Les formes structurelles dans la réalité (p.99)

§ Lʼinévitable hybridation des formes pures

§ Les arrangements institutionnels : le cas des « réseaux »

§ Le concept dʼ « adhocratie » et les nouvelles formes structurelles :

ü L’adhocratie : une structure organisationnelle difficilement classable en raison de la forte incertitude de l’environnement, la présence
d’une communication informelle, d’une coordination basée sur l’ajustement mutuel ainsi que des agents hautement spécialisés.

ü L’intrapreneuriat : Développer des pratiques et comportements « entrepreneuriaux » à l’intérieur d’une grande entreprise, tels que le
changement et l’innovation, grâce à la réactivité, la rapidité et la capacité à créer de nouvelles richesses.

ü L’extrapreneuriat : la capacité de créer une entreprise par un salarié à partir des actifs tangibles et intangibles de son entreprise
d’accueil. Ce dernier bénéficie alors souvent d’un suivi de son ancien employeur.
III- LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATÉGIE

C. 1 LES ADAPTATIONS : CHANGEMENT STRATÉGIQUE ET


STRUCTUREL
• Pourquoi changer?
• Un problème de performance
• Un problème dʼimage
• Un problème technologique
• Lʼadaptation à de nouvelles normes
• Une dérive stratégique*
• Une saisie dʼopportunité

• Types de changement
• Changement stratégique et Changement organisationnel
• Changement incrémental* et Changement radical*(selon lʼampleur du changement)
III- LA MISE EN ŒUVRE DE LA STRATÉGIE

C.2 LE PILOTAGE DU CHANGEMENT


QCM
PLUSIEURS RÉPONSES SONT POSSIBLES !
1. Une « stratégie de niche » est une stratégie :

A) faisant partie des stratégies génériques définies par Michael Porter (1982). B) qui consiste à vendre qui consiste à vendre un produit semblable à ses concurrents,
mais en petite quantité. C) qui consiste à se focaliser sur un segment de marché peu étendu.

2. La stratégie de domination par les coûts :

A) vise à proposer des produits moins chers que ceux de la concurrence. B) est notamment suivie par la firme automobile Dacia. C) peut être adoptée avec succès
par différentes entreprises d’un même secteur.

3. Une stratégie de rupture :

A) cherche à modifier de façon significative les règles du jeu concurrentiel d’un secteur d’activité. B) est mise en œuvre par une entreprise proposant aux
consommateurs une nouvelle offre inédite, susceptible de créer, transformer ou bien détruire un marché. C) repose nécessairement sur une innovation produit.

4. Pour Hamel et Prahalad (1990) :

A) il ne faudrait pas suivre les règles du marché, mais transformer celui-ci pour mieux le contrôler. B) Les entreprises devraient régulièrement transformer leur
offre, leurs structures et leurs manières de faire. C) Les stratégies de rupture ne sont adaptées qu’aux start-ups.
QCM
PLUSIEURS RÉPONSES SONT POSSIBLES !
5. Les entreprises anciennes et de grande taille :
A) Sont les plus adaptées à la mise en œuvre de stratégies de rupture. B) devraient laisser les start-up opérer la rupture
et s’y intéresser ensuite pour la transformer en un marché de masse. C) sont davantage ancrées dans un sentier de
dépendance pouvant conduire à un incrémentalisme stratégique.
6. La stratégie délibéré :
A) correspond à l’orientation formulée et/ou planifiée par les managers. B) ne correspond pas toujours à la stratégie
réalisée. C) ne découle pas d’un plan défini au préalable, mais se développe petit à petit.
7. La planification stratégique :
A) a pour but la détermination des objectifs de l’entreprise à long terme, ainsi que la manière utilisée par l’entreprise pour
atteindre ces objectifs. B) est notamment approuvée par Mintzberg qui la considère déterminante pour le succès de
l’entreprise. C) est un processus obéissant à des étapes séquentielles.
8. L’avantage concurrentiel d’une entreprise :
A) désigne l’offre spécifique de l’entreprise, qui lui permet de se démarquer de ses concurrents. B) est acquis une fois
pour toutes. C) peut résulter d’une stratégie de domination par les coûts.
QCM
PLUSIEURS RÉPONSES SONT POSSIBLES !
9. Parmi les stratégies de diversification, on peut notamment distinguer :
A) les stratégies de diversification horizontale, dans le cas d’un nouveau DAS périphérique au cœur de métier de
l’entreprise. B). les stratégies de diversification verticale : on parlera également d’intégration. Le DAS nouvellement
acquis est situé en amont (avant) ou en aval (après) du cœur de métier initial, au sein de la filière de production. C)
les stratégies de diversification conglomérale, lorsqu’un grand groupe rachète ses concurrents.
10. Les stratégies de spécialisation :
A) consistent pour l’entreprise à se séparer des domaines d’activités stratégiques qu’elle ne maîtrise pas, ou qui ne
sont pas rentables. B) permettent à l’entreprise de se recentrer sur son cœur de métier. C) ont pour but de
maîtriser l’intégralité d’une filière de production complète pour s’assurer des sources d’approvisionnement.
11. L’école sociotechnique a mis en évidence :
A. La nécessité d’une division du travail aussi poussée que possible. B. Les tensions entre la dimension technique et
la dimension sociale de l’organisation. C. Le fait qu’un contrôle étroit de la hiérarchie améliore l’efficacité de
l’organisation. D. L’opposition irréductible entre les buts de l’organisation et ceux de ses membres.
VRAI / FAUX
COURS 1

1. Pour Taylor, administrer c’est prévoir, organiser, commander, coordonner et contrôler.


2. Il existe un parallèle entre l’art et le management
3. Direction d’entreprise et gouvernement d’entreprise sont des notions équivalentes
4. Il existe un parallèle entre un chef d’orchestre et un manager
5. Une entreprise dirigée par des managers professionnels est à l’abri des difficultés.
6. Les parties prenantes de l’organisation sont les individus ou groupes d’individus qui peuvent affecter ou être
affectés par la réalisation des objectifs de l’organisation.
7. La notion de gouvernance d’entreprise désigne l’ensemble des décisions prises par les dirigeants de l’entreprise.
8. Les coûts de coordination poussent à l’externalisation.
9. Les coûts de transaction comprennent les coûts de coordination.
10. La relation d’agence désigne un contrat dans lequel une personne, appelée principal, emploie les services d’une
autre personne, dénommée agent, pour accomplir en son nom une tâche quelconque.

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