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I° DEFINITION:
Inflammation de la vésicule biliaire.
Deux types:
Cholécystite médicale
Cholécystite chirurgicale: la plus fréquente
Cholécystite sur lithiase.
II°CLINQUE:
S.G:
• T°
• Céphalées ;
• asthénie
S.F:
douleur de l’hypochondre droit ; ou épigastrique; qui
irradie vers l’épaule droite, s’accompagne de nausées
et de vomissements
S.P: défense ou sensibilité
III° PARACLINIQUE:
ETG: examen clee
IV° EVOLUTION:
Traitée:chute de T°, disparition des douleurs en quelques jours
non traitée: complications:
Pyocholécyste
Septicémie
Angiocholite
péritonite localisée
péritonite généralisée: perforation dans la cavité
péritonéale
V° TRAITEMENT:
Médical : ATB : amoxicillines protégées
Pendant deux à trois semaines
Chirurgical: si LV: cholécystectomie
LES MYCOSES BUCCALES
I° DEFINITION:
Inflammation de la muqueuse buccale par le candida
albicans.
II°FACTEURS FAVORISANTS:
irritation physique ou chimique (acides,tabac;)
troubles intestinaux
percée des dents
Immunodépression
infection générale
III° CLINIQUE
Pustule avec enduit blanchatre qui touche :
Langue
muqueuse buccale
puis œsophage
trachée et bronches
IV° TRAITEMENT:
Bonne hygiène buccale
Traitement médical:
Anti fongiques à base de NYSTATINE:
mycostatine
AMPHOTERICINE
fungizone
FLUCONAZOL :
diflucan
canaflucan
imidazol
La gastro entérite
I) Introduction
G.E : est une inflammation intestinale secondaire à
une infection touchant la muqueuse de l’intestin et
souvent de l’estomac .
Cette pathologie est due dans la grande majorité des cas
à des virus , ou plus rarement à des bactéries
Très contagieuse la G.E peut déclencher de véritables
épidémies , s évit en hiver (Novembre – Mars).
Son évolution spontanée se fait vers la guérison .
Le virus le plus fréquemment en
cause est le rota virus .
Ce type de G.E dure en général une
semaine parfois 20 jours (Adénovirus)
La G.E touche surtout l’enfant .
II ) La clinique
a. Symptomatologie .
-T° -Nausée
- Diarrhée
- Asthénie -
- Vomissement
- - Douleur abdominale
Ces signes ne sont pas forcément tous
présents ensemble .
Formes cliniques : Sans fièvre
sans vomissement
ou sans diarrhée
L’évolution se fait généralement sur une semaine
en cas de durée plus longue il faut rechercher
d’autres causes que virales
La durée d’incubation :
Virale 12 à 24 heures
Bactériènne : 1 à 12 heures
b. Diagnostic
Le diagnostic est facile devant le tableau
clinique surtout dans un contexte
epidémio
Devant un tableau clinique aucun
examen complémentaire n’est nécessaire
En cas de persistance de symptômes
au-delà d’une semaine ou
symptômes mal supportés on aura
recours :
Ex des selles : coproculture (
recherche d’éventuelle infection
bactérienne )
III ) Le Traitement
Basé sur le repos
Aucun traitement médicamenteux n’est nécessaire dans les
formes bénignes
Si symptomes très génants on peut préscrire :
Des anti-diarhéiques
Anti émétiques
Chez l’enfant : le risque de désydhratation nous pousse à
préscrire les solutés de réhydratation orale systématiquement
La reprise de l’alimentation doit être progressive
Prévention : Mesures d’hygiène :
se laver les mains au savon après passage aux toilettes ou
après avoir été en contact avec une personne atteinte
se laver les fruits et les légumes avant de les consommer
Que manger en cas de G.E ?
- Meme si on n’a pas envie il faut manger : Préféré les prises
fragmentés de plusieurs petits repas au long de la journée
- Les féculents (pates ,riz ) viandes , poissons bien cuits
Carottes sont idéales
Laitage , fromage , yaourt
Les aliments a éviter :
Fruits frais (sauf banane)
Légumes verts (fibres)
Les Colites
I )Introduction :
Etat d’irritation (inflammation) du colon
qui touche le colon dans son ensemble ou
sur une large partie
II) Les causes :Nombreuses
- Colite inféctieuse : inflammation due a une
infection par :
* Les bactéries :
staphylocoque,colibacille,clostridium
bacille tuberculeux ,
entérocoque
sighelle , salmonelle
,vibrion cholérique
* Des virus : variés
* Des champignons dont le plus
fréquemment rencontré : Le candida albicans
après prise d’antibiotiques
* Des parasites : les amibes les lambliases
bilharzie
-Colite toxique : la plus fréquente est due à la
prise prolongée de laxatifs irritants qu’ils soient
de nature chimique (contenant la
phénylephtaline) d’origine végétale
( plantes laxatives )
-Colite post radio thérapie : Les irradiations
abdominales pour cancer génitale (Utérus)
Sanguins ou lymphatiques peuvent induire
Une colite qui survient des mois ou des
années plus tard
-Colite inflammatoire : La RCH est la
maladie de crohn sont des maladies
inflammatoires chroniques de l’intestin
La colite allergique
Les allergies alimentaires sont une cause
possible de colite
Les œufs, le poisson;le lait de vache; les
crustacés;les kiwis sont souvent retrouvés
Par l enquette allergologique
Les intolérances au lactose, au gluten
(maladie coeliaque) ou à divers aliments
plus rarement en cause provoquent une
colite,elles sont dues habituellement à un
défaut génétique sur une enzyme digestive
-Colite fonctionnelle
Ttt symptomatique :
Antalgiques et antispasmodiques en cas de douleur
ATB : si infection
Sondage vésical : adénome de prostate
Ttt étiologique:
En général chirurgical
Le Syndrome Nephrotique
Le Syndrome Nephrotique
I. INTRODUCTION
DEFINTION BIOLOGIQUE
PROTEINURIE DE 24H supérieure à 3g
Protidémie< 60g/l
Albuminémie < 30g/l
Chez l’enfant protéinurie > 50mg/Kg/24h
II . LA CLINIQUE
Syndrome oedemateux:
• Oedème blanc des membres inférieurs,des
paupières,prenant le godet
• Infiltration des séreuses
• Prise de poids
Oligurie
TA normale ou élevée
III. BIOLOGIE :
Protéine de 24h
Électrophorèse des protides urinaires :
Protéinurie sélective
• ECBU
• Protidémie
• Fonction rénale
• ETG
• PBR
NB : quand ils existent une hématurie, une HTA ou une IR on
parle de syndrome Nephrotique impur
IV. ETIOLOGIES :
La recherche de la cause se fait grâces à la PBR
Elle est systématique chez : l’adulte
Enfant en cas SN impur, corticorésistance, corticodépendence et
enfant de - 2ans et +12ans
Le SN peut être secondaire ou primaire
V. EVOLUTION :
• Favorable; disparition de la protéinurie et normalisation de la
fonction rénale .
• Moins favorable : cortico résistance cortico dépendance
• Défavorable : IR terminale
VI. COMPLICATIONS
Infectieuse : pneumonie ou méningite
Thromboemboliques
Dénutrition
Iatrogènes : corticoïdes , diurétiques
VII. TRAITEMENT
Traitement symptomatique :
• RSS
• Diurétiques
• Expansion
• Régime coagulants
• Anti coagulants
• Perfusion d’albumine
• Corticoïdes
Traitement étiologiques
Dans le SN secondaire
LES PYELONEPHRITES
I. INTRODUCTION
Inflammation d’origine microbienne du bassinet et du
parenchyme rénal
A. Biologie :
• NFS
• VS
B. Bactériologie :
• ECBU
• Hémoculture
C. Rx :
• ASP
• ETG
• TDM
IV. COMPLICATIONS :
Graves et engagent le pronostic vital :
• choc septique
• abcès du rein
• phlegmon péri néphrétique
• pyonéphrose
V. TRAITEMENT :
Bi antibiothérapie : céphalosporines ou
fluoroquinolones + aminosides pendant au moins 3
semaines .
LES CYSTITES
I. INTRODUCTION :
Facteurs favorisants :
I. INTRODUCTION :
Pathologie fréquente et grave
Laisse des séquelles
Contamination par voie hématogène, parfois
lymphatique
II. TABLEAU CLINIQUE :
CIRCONCTANCES DE DECOUVERTE :
S. urinaires :
+ cystite
+ dysurie
+ symptomatologie rénale rare (lombalgies)
S. génitaux
+ nodule épididymique
+ fistule scrotale
+ aménorrhée I ou II
+ métrorragies
S. généraux :
+ asthénie, anorexie , amaigrissement
INTERROGATOIRE
EXAMEN BIOLOGIQUE
• BK dans les urines par examen direct ou culture
• NFS
• IDR
• VS
EXAMEN RADIOLOGIQUE
• Rx pulmonaire
• ASP
• UIV
• ETG
• HSG
EXAMEN ENDOSCOPLIQUE
• Cystoscopie
• Coelioscopie
III. TRAITEMENT :
• antibacillaires,
• chirurgie si complication
LES ORCHIEPIDIDYMITES
I. INTRODUCTION
Inflammation du testicule et de l’épididyme, d’origine
infectieuse le plus souvent .
II°ETOLOGIE :
A- INFECTIEUSE :
Gonocoque, concomitante ou fait suite à une gonococcie
urétrale
BK : tableau chronique, nodule épididymaire
Syphilis
Virus oreillons
Bacille typhique
B- AUTRES :
• Traumatisme
• RAA
III. CLINIQUE
Fonction de la cause
O.E infectieuse à germe banal : tableau infectieux
T°.frissons ; céphalées ; douleur et gonflement du
testicule )
O.E d’origine tuberculeuse : nodule ou fistule
IV. EXAMENS COMPLEMENTAIRES
• Guidés par la clinique
• Le diagnostic peut être évident (blennorragie)
• ETG
• Sérologie de la syphilis
• Biopsie
V°COMPLICATION :
Mal traitée : chronicité ; stérilité
VI. TRAITEMENT :
• ATB+AINS
• Anti bacillaires
• Antalgiques
• EXTENCILLINE
LA PROSTATITE
I. INTRODUCTION:
• Infection de la prostate
• Exceptionnelle avant la puberté
• Résulte d’une contamination: urétrale le souvent
Lymphatique ou hématogène
Lors une biopsie ou manœuvre endoscopique
Facteurs favorisants:
• Terrain:diabète; immunodepression
• Obstruction de l’urètre congénitale ou acquise
• A.P
• Calculs vésicaux ou urétraux
• Germes en cause:
Des grammes négatifs: E .COLI KLEBSIELLA
II. CLINIQUE:
La P touche l’homme entre 40-60 ans
+ Symptômes:
• T°et frissons
• Miction impérieuse
• Hématurie terminale
• Myalgies arthralgies
+ Le TR:
Fait le diagnostic: P augmentée de volume,sensible et
douloureuse
+Évolution:
• Souvent favorable sous ATB
• Complications : septicémie;rétention d’urine
,épididymite,pyélonéphrite;prostatite
chronique,abcès de la prostate
III. Traitement:
• Antalgique:aspirine et paracétamol
• Anti inflammatoires
• ATB: durant 4-6 semaines :bi antibiothérapie
LES URETRITES
I.LES URETRITES GONCOCCIQUES :
1) définition :
Ensemble de manifestations anatomocliniques locales,
régionales et générales provoquées chez les deux sexes à
tous les ages par le NEISSERIA GONORRHEE
2) clinique :
A- Chez l’homme :
Incubation de 4-5j
Début brutal par douleur à la miction ( chaude pisse )
Examen : écoulement de pus jaune verdâtre + ou
abondant tuméfaction du méat urétral
Évolution : non traitée; elle s’étend vers l’urètre
postérieure, et la gonocoque s’enkyste et une urétrite
chronique s’installe, on aura aussi une atteinte régionale
avec risque de stérilité
B- Chez la femme :
L’infection n’est pas aigue;minimum de signes
(leucorrhée) ou silencieuse
La chrono cité est dangereuse; source de contamination
et de stérilité (atteinte des trompes de FALLOPE)
3) complications communes aux deux sexes :
- arthrite gonococcique : mono arthrite
- septicémie : rare
4) Traitement :
ATB : pénicillines ( résistance )
CIPRIFLOXACILLINES (SEPCEN.ALFAPROXINE)
I.GENERALITES:
L’IRC résulte d’une détérioration progressive et
irréversible des fonctions endocrine des reins
l’évaluation de la fonction rénale se fait par la mesure
de la clearance de la créatinine.
IRC modérée CC : 30-60ml/mn
IRC sévère CC :10-30ml/mn
IRC terminale CC :-10 ml / mn
II. LES CAUSES
Les glomerulopathies
Primaires ou secondaires (diabète,amylose)
Représentent 45% des causes de L’IRC
Les néphropathies Interstitielles
Secondaires le plus souvent à de uropathties malformatives
chez l’enfant.
Les pyélonéphrites évoluent également vers
L’IRC
Certains médicaments (analgésiques:aspirine et paracétamol)
Les néphropathies heriditaires
Polykytose rénale
IRC d’origine indéterminée:30-40%
III. ASPECTS CLINIQUES:
• Le plus souvent l’IRC est asymptomatique
jusqu’à un stade terminal.
• Signes cliniques:
Atteinte rénale : Protéinurie
• Hématurie
• Leucocyturie
• Polyurie
Atteinte extra rénale:
Cardiaque : HTA dans 80%
Cardiomyopathie urémiques
• hématologique:
• Anémie
Diminution de la phagocytose des PN
Diminution de l’agrégation
plaquettaire(allongement du TS)
Ostéo articulaires:cliniquement
• Douleur osseuse et articulaire
• Rupture tendineuse
• Calcification métastatique
• Fracture chez l’enfant
• Hypocalcémie
• Hyperphosphorémie
• Radiologiquement
• Résorption périostée
• Déminéralisation
neurologique:
• centrale: convultion et AVC
• Périphérique:polynévrites
IV.ASPECTS PARACLINIQUE
Biologie:
Urée
Créatinine
Uricémie
K+
Acidose
Radiologie:
ETG:petits reins en général
V. Traitement
A-aspect préventif:
• Diagnostic et traitement précoces de toute
tuberculose ou ostéomyélite
• Vaccination par le BGG
• Traitement précoce des uropathies
• Correction d’un diabète
B-traitement de l’IRC
1)au stade précoce:
Traiter tous les facteurs aggravants ,alimentation
pauvre en protides 0,8-1g/kg/j,supplément en calcium
;traitement des infections en évitant les médicament
néphrotoxiques(aminosides,furosémide)
2) au stade terminal:
c’est l’épuration extra rénale;hémodialyse quand la
CC est –de10ml/mn ou K+ de 5,5mmol/l ou
acidose:bicarbonate de 14mmol/l ou surcharge
+hydro sodée (OAP;convulsions)
Transplantation rénale
L’insuffisance rénale aigue
I°-INTRODUCTION
Baisse brutale de la F.G en quelques heures ou quelques
jours
Augmentation de l’urée et la créatinine
sanguines
Acidose,hyperkaliémie,hyper hydratation
extra cellulaire
II. ETILOGIES:
La F.G peut résulter de :
hypo perfusion du rein: IRA fonctionnelle
lésion parenchymateuse:IRA organique
obstacle sur la voix urinaire: IRA obstuctive
III. DIAGNOSTIQUE:
1)diagnostique positif :
Augmentation rapide de créatine et l’urée sanguine
Diminution de la diurèse (400CC)
Fonction rénale antérieur normal
Pas d’anémie
2)diagnostique différentiel
Rétention vésicale
Certaines néphropathies chroniques
3)diagnostique du mécanisme:
Repose sur l’interrogation, l’examen clinique,la
biologie;la radiologie
A-IRA obstructive:
Étiologies :obstacle bilatéral ou unilatéral sur rein
unique (lithiase;fibrose pelvienne KC)
Traitement: levée de l’obstacle (montée d’une
sonde;néphrotomie) reprise rapide de la diurèse
B-IRA fonctionnelle
Étiologies:Hypo volémie;hémorragie
déshydratation aigue
Bas débit cardiaque: choc cardiogénique ou IC
chronique
Le diagnostic du caractère fonctionnel repose sur :
Diminution importante de la diurèse sans
l’augmentation de l’urée plasmatique/à la créatinine, les
urines sont concentrées avec rapport UU/UP à10
l’évolution :après Ttt étiologique la fonction rénale devient
normale
Si l’ IRAF se prolonge se transforme en IRA
organique TTT:remplissage vasculaire:sang; plasma:SS si
hypo volémie
IRA organique:
Selon la lésion histologique on a:IRA O par nécorce
tubulaire aigue (NTA) ou nom
IRA O sur NTA:cause la plus fréquente des IRA O
Étiologies sont nombreuses et souvent associées ; état de
choc; hémolyse intra vasculaire (septicémie ; erreur
transfusionnelle; intoxication) ; rhadomyolyse d’origine
traumatique toxique ou infectieuse ; intoxication
médicamenteuse par produit de contraste ou solvants
organiques
IRA O non liée à NTA
Étiologies : néphropathie interstitielle aigue qui sont
en général d’origine infectieuse parfois
médicamenteuse (ampicillines;sulfamides)
Glomérulonéphrite au cours de certaines maladies
générales PR.LUPUS
Par atteinte vasculaire ; micro angiopathie ( diabète )
IV°TRAITEMENT :
1) étiologique :
Correction rapide d’un état de choc
Ttt d’un foyer infectieux
Levée d’un obstacle
Arrêt d’un médicament néphrotoxique
2) symptomatique :
+ Mesures hygiéno-diététique
a) apports adaptés :
• Calorique : 2000-3000
• Azoté : 1g/Kg/j
• Hydro électrolytique: fonction de la diurèse :
400ml+diurèse
Apport réduit K
Apport d’alcalin
b) utilisation des diurétiques est discutée
Contre indiquée en cas IRA obstructive et en cas
d’hypo volémie
+EER: hémodialyse
ENDOCRINOLOGIE
ENDOCRINOLOGIE
I- INTRODUCTION- GENERALITES :
L’endocrinologie : est l’étude des maladies
secondaires à un dysfonctionnement des glandes
(glandes surrénaliennes, tyroïde,…)
Temps
0 15h - 16h
3h
Les hormones secrétés :
Thyréostimuline
TSH
Hypophyse
Glande Thyroïde
Vaisseau
T4 – T3 sanguin
DIABETE INSPIDE
I. DEFINITION
Carence en ADH ( VASOPRESSINE)
Action de l’ADH: réabsorption de l’eau au niveau du rein
II.MANIFESTATIONS CLINIQUES
Soif que le malade ne parvient pas à supporter
Polyurie ( 3- 4 - 5 Litres voire 8- 9 Litres )
III.MANIFESTATIONS PARACLINIQUES
Explorations statiques
Urines : osmolarité diminuée < 280 mmol N : 600 – 800
Densité diminuée < 1005 N : 1005 – 1035
Glucosurie : 0
Pas de calciurie
Explorations dynamiques
Épreuve de la soif : DI ne supporte pas la soif
Épreuve de Na cl: la diurèse ne diminue pas
Épreuve à la nicotine: diurèse reste abondante
Épreuve à la post hypophyse
IV. LE DIAGNOSTIC
Diagnostic positif : polyurie + Test de restriction hydrique
Diagnostic différentiel :
• polyurie osmotique
• Potomanie
• Diabète insipide néphrogènique
V. CAUSE
• Organique:angiome , traumatisme de l’hypophyse ,
méningite
• Diabète insipide idiopathique
EVOLUTION
Gène sociale
Pas de complication notable
TRAITEMENT:
I. Introduction :
– Excès de masse grasse
– Poids idéal : taille (en cm )-100-( taille-150)/q)
– Q :4H q :2,5 F
– IMC :supérieur à 30 kg/m2
II. Clinique
• Formes morphologiques
– Obésité androïde
– Obésité gynoide
• Formes étiologiques :
– constitutionnelle
– endocrinienne
– circonstancielle
III. COMPLICATION s
– cardiovasculaires
– métaboliques
– endocrinienne
– respiratoires
– hépatobiliaires
– rhumatologiques
– risque de cancer
IV. TRAITEMENT :
– régime hypocalorique
– médicaments
– exercice physique
– chirurgie
ANATOMIE PHYSIOLOGIE DE LA THYROIDE
Syndrome thyrotoxique
Nodule thyroidien
Absence d’exophtalmie
2. Para clinique
• T3 et T4 élevés
• TSH diminué
• Scintigraphie : nodule chaud
IV. TRAITEMENT
II.Étiologies
– Hyperplasie des surrénales : maladie de cushing
– Tumeur surrénalienne
– Tumeur de l’hypophyse
– Polymicroadénomatose surrénalienne
– Cushing paranéoplasique
III. Clinique
– Obésité
– Syndrome cutané : aspect érythrosique ; varicosités
– Vergetures : ruptures des fibres élastiques
– Syndrome musculaire : atrophie et fragilité ; parfois
impotence fonctionnelle, quadriceps : signe du tabouret
– Signes cardiovasculaires : HTA
– Signes neuropsychiatriques : mélancolie
– Diabète
– Syndrome génital : homme : impuissance
Femme : signes de virilisation
Troubles de règles
IV. Paraclinique
La radiologie :
– Du squelette : ostéoporose ; tassement vertébral
– Vérification de la turcique
– ASP : calcifications
– Rx pulmonaire
– ETG
– TDM
La biologie :
– Na
– K
– Glycémie
– Dosage hormonal : cortisol et ses dérivés
– ACTH
V. L’évolution
Fonction de la précocité du diagnostic et du traitement
et fonction de l’étiologie.
Nom traitée évolution fatale : 5-6 ans : décès par
infection ; diabète : HTA
VI. Traitement :
– Étiologique : chirurgical
L’INSUFFISANCE SURRENALIENNE LENTE :
MALADIE D’ADDISON
I. Introduction
– Destruction des glandes corticosurrenaliennes avec déficit
en corticostéroïdes ( cortisol)
– Minéralocorticoides ( aldostérones)
II. CIRCONSTANCES DE DÉCOUVERTE
– Asthénie physique surtout
– Mélanodermie
III. Clinique
– Asthénie : constante
– Mélanodermie dans 90% des cas cutanée ou muqueuse
– Amaigrissement dans 90%
– Hypotension dans 80%
– Troubles digestifs : anorexie ; nausées,,,,,
IV. Biologie
– Hypoglycémie
– Hyponartémie : legère
– Hyperkaliémie: modérée Hypercalcémie
– Anémie
V. Diagnostic positif
– Cortisol plasmatique ; dosage à 8h : bas
– ACTH : elevée
– Aldostérone: diminué
VI. Diagnostic étiologique :
– Tuberculose
– Auto-immunité : possibilité de l’existence d’autres maladie
– Autres :
hémorragie
Métastases
Amylose
Infections virales
VII. Traitement :
Substitutif
Hydrocortisone : 20 à 40mg/j en deux ou trois
prise
Fluorocortisone:50 à 100 micro gramme/j
Traitement étiologique
Antibacillaires si tuberculose
• ROLE DE L’INFERMIER DANS LA PRISE EN
CHARGE DE LA MALADIE:
-expliquer au patient sa maladie
-l’inciter à prendre régulièrement ses médicaments
- l’informer sur les complications qu’il coure et du danger en cas
d’interruption du traitement
- Le conseiller de doubler les doses en cas d’infection virale, d’
agression , d’asthenie profonde , intervention chirurgicale
- Lui expliquer que le régime sans sel est dangereux pour
• Sa santé , de même la prise de laxatifs et de diurétiques
• -lui conseiller sur l’importance de la surveillance clinique
• (poids, la TA, la survenue d’une asthénie)
• Et biologique(ionogramme)
L’INSUFFISANCE SURRENALIENNE AIGUE
I. Introduction :
– Urgence médicale vitale
– Diagnostic et traitement doivent être précoces
– Causes : déséquilibre entre besoins et apports en apports
en glucocorticoïdes ; du à un arrêt de traitement, stress,
déshydratation, prise de diurétiques
II.Tableau clinique
SF :
– Fièvre : origine centrale parfois surinfection
– Signes digestifs : nausées , vomissement
– Asthénie
SP
– Hypotension
III. Biologie
– Na sanguin et urinaire si c’est possible
– K : hyperkaliémie dangereuse
– Acidose
– Hypoglycémie
– IR fonctionnelle
IV.Traitement :
• Traitement de la déshydratation
• Traitement par les corticoïdes
• Traitement par les Minéralocorticoides
• LA REHYDRATATION:
apport de l’eau, du sodium; et du glucose :
2 à 3 litres dans les deux premières heures, on préférée G 5%
plus Na Cl : 9g/l la quantité totale à apportée par jour est de
6à8litres
LE TRAITEMENT HORMONAL:
hydrocortisone: soit dose unique: 400mg en IV /J seringue auto
pousseuse , après un bolus de 100mg
soit: 100mg toutes les 6 heures en IM
Absorption moins bonne, bolus de 50 mg en IV
• SURVEILLANCE DU TRAITEMENT:
- clinique: pouls , TA, diurèse, T° , les bases pulmonaires
- paraclinique; ionogramme toutes les 4h, un ECG
- 3-4j retour progressif à la voie orale
L’HYPERPARATHYROÏDIE
I. INTRODUCTION- DÉFINITION :
– Hypersécrétion de la parathormone
– Avec hypercalcémie :+ de 105 mg/ml
– Hyper calciurie
– Hypophosphorémie
– Hyperphosphatiurie
II. LES ÉTIOLOGIES :
A. Hyperparathyroïdie primaire
• Adénome unique : dans 90 % des cas
• Hyperplasie
• Carcinome parathyroïdien
A. Hyperparathyroïdie Secondaire
• IRC
• Déficit en vitamine d soit par :
• Carence d’apport
• Malabsorption intestinale
III. Clinique :
Type de description : hyperparathyroïdie primaire
1. Circonstances de découverte :
– Fréquence : chez la femme
– Signes osseux
– Lithiase rénale
– Découverte fortuite
2. Aspects cliniques :
a. Manifestations rénales : colique néphrétique sur lithiases
multiples ou bilatérales ou récidivantes
b. Signes osseux :
– Douleurs accentuées par la marche siégent au niveau du
rachis lombaire, bassin membres inférieurs
– Fractures osseuses spontanées qui consolident mal
– Tumeur : rare
c. Signes digestifs :
– Anorexie
– Constipation
– Ulcère
– Pancréatite aigue ou chronique
d. Signes neurologiques :
– Céphalées
– Fatigabilité musculaire
e. Signes psychiatriques :
– Anxiété
– Confusion
f. Signes cardiovasculaires :
– Palpitations
– Tachycardie
– HTA
IV. Paraclinique
A. Biologie :
– Calcémie calciurie
– Phosphoremie
– Phosphaturie
– La parathormone
B. La radiologie
• Des reins : ASP ETG UIV :
– Lithiase bilatérale
– Néphrocalcinose
• Des os :
– Déminéralisation
– Géodes
– Fractures
• Autres investigations para cliniques
–ETG du cou
–TDM cervicale
–Scintigraphie ( thallium) : adénome ectopique
V. Le traitement
Médical : mesures hygiéno-diététiques : réhydratation
Supplément en vitamine d
Chirurgical :
Adénectomie
Exérèse des 3 glandes et une subtotale de la 4°
LES HYPOPARATHYROÏDIES
I. DÉFINITION :
– Pathologie rare
– Hypofonctionnement
– Idiopathique le plus souvent
II. LA CLINIQUE :
La tétanie
Hypersensibilité neuromusculaire qui se manifeste par poussées
parfois latente.
A. La crise :
– Prodromes : angoisse ; fourmillement
– Hypertonie musculaire des intercostaux , de la main, les
para vertébraux ; les pieds
B. En dehors de la crise :
On recherche l’hyperexcitabilité par les signes de:
• schvostec
• Trousseau
Les troubles associés :
Neuropsychiatriques :
crise d’épilepsie
Syndrome pseudo tumoral d’hic
Délire
Mélancolie
Trophiques :
• altération des phanères
• Cataracte
• Caries dentaires
III. LA PARACLINIQUE :
1. Métabolisme phosphocalcique :
Sang :
hypocalcémie
Hyperphosphorémie
PTH diminuée
Urines :
• hypocalcémie
• Hypo phosphaturie
1. ECG ; onde T pointue et large QT long
2. EMG : état d’hyperexcitabilité
IV. LES ÉTIOLOGIES
• Hypoparathyroïdies secondaires :
– Chirurgie sur la thyroïde
– Irradiation
• Hypoparathyroïdie auto immune : primaire
V. La traitement
A. Crise de la tétanie
–Injection en IVD de calcium
–Si crise se prolonge perfusion de Ca
B. Traitement de fond
–Apport calcique
–Vit D
L’HYPOPITUITARISME
I. DÉFINITION
• Défécit complet ou partiel d’une ou de plusieurs hormones de
l’ante hypophyse
• Atteinte hypophysaire ou hypothalamique
II. LES ÉTIOLOGIES
• hypophysaires :
– tumorale
– vasculaire : ischemie
– iatrogène
– autres (infection , inflammation)
• hypothalamiques :
– tumorale
– infection inflammation
– idiopathique
III.MANIFESTATION CLINIQUES :
–Type de description : maladie de scheehan
A.Définition
insuffisance ante hypophysaire globale par nécrose ischémique de
l’hypophyse survenant chez la femme après hémorragie du post
partum.
B.Clinique
• Accouchement hémorragique avec collapsus
• Agalactie
• Aménorrhée
• Puis :
•aspect général : pâleur ; dépigmentation , dépilation
–asthénie ; indifférence
–peau squameuse et infiltrée ; bouffissure du visage
–hypoglycémie
C. Examens para cliniques :
– biologie : les différentes h sont diminuées
– radiologie : de la selle turcique permet d’éliminer une
tumeur hypophysaire
IV.DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL
• Entre insuffisance centrale et périphérique
• Insuffisance multi endocrinienne auto immunes
V.LE TRAITEMENT
Substitutif :
• HSHC
– H thyroïdienne
– pilule chez la femme
– androgènes chez l’homme
Étiologique
– ablation de la tumeur
L’HYPERPITUITARISME
I.GÉNÉRALITÉS
sécrétion exagérée d’un seul type d’hormone en général tumeur
sécrétante de la STH
II.MANIFESTATIONS CLINIQUES
Type de description : T sécrétant de la STH
avant la puberté
l’excès de production de la STH entraîne une croissance exagérée
du squelette et des tissus mous ; au dé&but malades physiquement
forts résistants ; plus tard une insuffisance hypophysaire s’installe
compression avec fatigabilité et faiblesse.
Chez l’adulte
Acromégalie : croissance exagérée de la tête des mains et des
pieds obligeant le sujet à augmenter progressivement la taille de
ses gants, des chapeaux et des chaussures ; associées à des signes
d’HIC
III.BILAN PARA CLINIQUE :
–Biologie : dosage de la STH
–RX : crâne profil élargissement de la selle turcique
–TDM
IV.ÉVOLUTION
spontanée se fait vers la destruction du tissu hypophysaire et
l’insuffisance de l’ante hypophyse
V. TRAITEMENT
– chirurgical : ablation de la tumeur
– ou physique :radiothérapie
– et substitutif : corticosurrénale ; de la thyroïde ;
des gonades
LE DIABÈTE SUCRE
I.GÉNÉRALITÉS :
Maladie métabolique
Hyper glycémie chronique secondaire à une insuffisance en
sécrétion et /ou d’action d’insuline
Insuline hormone sécrétée par la pancréas ; seule hormone
hypoglycémiante.
II.ÉLÉMENT DE DIAGNOSTIC
• le diabète peut être symptomatiques :
– polyurie
– polydipsie
– hyper glycémie
– glucoserie
Diagnostic facile
Quand le patient est asymptomatique et les valeurs de la
glycémie sont limites ; se baser sur les critères de l’oms :
diabète est diagnostiqué à partir d’une glycémie
supérieure à 1,26g/1
intolérance au glucose : glycémie entre 1,10 et 1,26 g/1
Classification du diabète : basée sur
– état nutritionnel
– l’age
– présence ou non de la cétose spontanée
En Faveur D’un Diabète Insulinodépendant DID :
– age jeune 30-35 ans
– amaigrissement avec appétit conservé
– cétose spontanée
En Faveur D’un DNID
– age : plus de 40 ans
– état nutritionnel : obésité
– cétose spontanée : absente
Un diabète NID peut évoluer vers un DID
III.ÉTUDE DES DIFFÉRENTS TYPES DE DIABÈTE
A. DID : diabète de type 1
1- DÉFINITION :
C’est un diabète insulino prive ; en l’absence d’insuline ; évolue vers
l’acidocétose.
2- Clinique et para clinique :
Début rapide par des signes d’hyperglycémie :
– Soif
– Polyurie
– Polydipsie
Signes de carence insulinique : Amaigrissement avec appétit
conservé.
La confirmation du diagnostic est apportée par l’hyper glycémie
répétée deux fois.
3- L’évolution :
• Non traité : mortelle par coma acidocétosique
• Traité : de façon adéquate , elle est favorable ; le diabète
s’équilibre, les complications sont évitées.
• Les complications chroniques
De micro angiopathies ( rien , rétine, nerfs) sont plus
fréquentes et plus précoces en cas de déséquilibre
4- Les bases du traitement
– Objectif : corriger l’hyperglycémie
– Moyen : l’insuline
B. DNID : diabète type 2
1. Définition :
• Survient entre 35-40 ans
• Deux sous types de ce diabète :
– Du sujet obèse
– Du sujet de poids normal
2. Clinique et para clinique :
• Début progressif
• Découverte systématique
• A la suite d’une complication ; infectieuse ou dégénérative
• Devant des signes fonctionnels ; polyurie ; plydypsie, soif
• Ou devant des signes généraux : asthénie ; obésité
3. L’évolution :
• Non traité :
– Le diabète reste déséquilibré
– Complications : infectieuses et dégénératives qui sont
fréquentes et précoces en cas de déséquilibre prolongé
• Traité correctement l’évolution est favorable
4. Les bases du traitement :
Le TTT agit à deux niveaux :
Sensibilité à l’insuline
– Corriger l’excès pondéral
– Pratique d’exercices physiques
– Lutte contre les facteurs d’insulino résistance ( infection,,)
– Médicaments ( biguanides : GLUCOPHIGE)
Insulino sécrétion
– Sulfamides : DAONIL
C.ALTÉRATION A LA TOLÉRANCE AU GLUCOSE
1.Définition :
– Tolérance au glucose intermédiaire
– Glycémie à jeune entre 1,10 et 1,26g/l
– GPP dépasse 1,40 et inférieure à 2g/l
2.Gravité :
– Stade initial du DNID
– Incidence faible des complications de micro angiopathies
( rétinienne )
– Risque de macro angiopathies et de mortalité par atteinte
cardiovasculaire est fréquent
3.Le traitement
Objectif : améliorer les anomalies biologiques et éviter ou retarder
l’apparition du diabète patent et des complications
Moyens :
Exercices physiques améliorent la sensibilité à l’insuline la
réduction de la charge pondérale réduit l’insulino résistance
Lutte contre tous les facteurs de risque ( HTA, tabac ;;)
IV. TRAITEMENT DU DIABÈTE TYPE I : DID
1. Insuline
a. Les différentes insulines
– Flacons de 10mlà 100ui/ml ou 40ui/ml
– Insuline non réfrigéré perd son efficacité (-8°)
– La voie IV et IM sont réservées aux situations d’urgence
( action rapide)
– Insuline humaine et insuline bovine
– Insuline d’action rapide ( 1/4h- 1/2h durée : 6-8h)
– Insuline intermédiaire (1-2h durée 12-18h)
– Insuline d’action prolongée ( 1h et ½-3h durée 24h)
b. Complications :
– Hypoglycémie, surdosage en insuline ou alimentation
insuffisante ou activité physique inadaptée
– Allergie et lipodystrophie réactions immunitaires
c. Besoins en insuline :
Fonctions de l’importance de la carence 0,5-1 ui /kg/j
2. Régime et activité physique :
– Régime : apport alimentaire doit être synchronisé avec les
pic d’action de l’insuline
– Activité physique : de même
V. LA TRAITEMENT DU DNID
1. Le régime
• Place importance ; éviter les sucres à absorption rapide
• But du régime est rester ou revenir à un poids normal
• Dans le DNID du sujet obèse : restriction calorique
primordiale
• Dans le diabète de poids normal ; régime normo calorique
• Proportions recommandées comme les non diabétiques : 50-
55% des G ; 30% des L ;15-20% de P
2. Exercices physiques
Pour être efficace :
– Durée : 1h/ séance
– 3 fois / semaine
– Pendant des mois et des années
3. Médicaments anti diabétiques
Quand le régime et l’exercice s’avèrent inefficaces
• Les sulfamides :
– Stimulent la sécrétion de l’insuline
– Effet secondaire : hypoglycémie
– Ex : DAONIL ; DIAMICRON
• Les biguanides :
– Augmentent la sensibilité
– Acidose lactique
– GLUCOPHAGE
• Les inhibiteurs de la glucosidase
– Diminue l’absorption intestinale
– Hyper glycémie pp
– Troubles digestifs
– GLUCOR
*les incrétines
*les inhibiteurs de cotransporteurs sodium glucose
: inhibent la réabsorption du sodium et du glucose
Conduite du traitement
- Commencer par les mesures HD
- Commencer par la metformine à petite dose
- Revoir le malade après trois mois
- Si le malade est équilbré ,continuer le ttt et
revoir le patient tous les trois ou quatre mois
-sinon;ajouter un autre ADO.
- Avec l évolution on peut passer à la
prescription de l insuline.
Surveillance du traitement
- Un malade sous insuline doit faire le contrôle
de sa glycémie capillaire plusieurs fois par
jour.
- Des controlres réguliers doivent être
respectés:
GAJ
HBA1C
CREATININE
-ACIDE URIQUE.
-CHT
-LDL
-HDL
-TG
• -CONTRÔLE ANNUEL:
néphrologue
cardiologue
ophtalmologue
VI.LES COMPLICATONS DU DIABETE
Complications aigues : métaboliques
• Acidocétose
– Hyper glycémie avec cétose et coma
– Carence en insuline
– Réhydratation et insuline
• Hypoglycémie
– Asthénie physique et psychique, vertiges, céphalées,
sueurs ; pâleur et tremblements convulsions et
hémiplégie ; confusion mentale
Traitement : glucosé hypertonique per or ou en IV
• Coma hyper osmolaire :
– Hyperglycémie importante
– Sujet âgé DNID
– Facteurs de déshydratation associés : Troubles digestifs,
fièvre ; absence de sensation de soif
Traitement : insuline + réhydratation
• Acidose lactique :
– Acidose par accumulation de l’AL
– DNID sous biguanides
– Crampes
– Traitement : bicarbonates
Complications chroniques
• Micro angiopathies ;
– Rétine : cécité
– Rein : néphropathie IR
– Nerfs : névrites
– Surviennent 5-10 ans d’évolution
• Macro angiopathies
– Coronaires ; angor et IDMA
– Mi : ischémie et gangrène
– Cerveau : AVC
Complications infectieuses
– Peau , poumon , voies urinaires et génitales