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INTRODUCTION GENERALE :

le terme d’entrepreneuriat qu’on trouve aujourd’hui par tous , considérer


comme le levier de tous développement économique et social , par ce que
tous développent économique et social passer d’abord par l’esprit
entrepreneurial , ainsi l’entrepreneuriat dérive de mot entrepreneur qui va se
diffuser dans la littérature à partir du 18 siècle par les théoriciens classiques
comme J.B Say et Schumpeter , le terme d’entrepreneuriat aujourd’hui au
cœur de l’actualité grâce notamment à la médiatisation et la politique public .

1. Équation économique ou l’équation entrepreneurial :

D’après le théoricien classique J.B Say l’entrepreneur= incertitude + le risque +


innovation.

L’entrepreneur c’est la personne qui pendre le risque dans un environnement


marqué par l’incertitude, c'est-à-dire qu’on ne sait pas est ce que l’action va
mener, est ce que le projet va réussi, c’est une incertitude totale concerne le
projet et comme solution on a l’innovation ce qui distingue un entrepreneur
d’un autre entrepreneur. Selon Schumpeter l’entrepreneur est un innovateur
qui créé un produit nouveau, une méthode nouvelle c'est-à-dire l’innovation
liée à la créativité et aussi à l’amélioration des produits déjà existant.

Donc l’innovation c’est le facteur qui permet de maitressé le risque et affronter


l’incertitude de l’environnement, ce qui fait de donner plus de chance de
réussite d’un projet.

2. le terme entrepreneuriat recouvre d’abord deux acceptations différentes


mais elles sont complémentaire : Une large l’autre plus stricte .
a) la première l’esprit d’entreprendre : c’est une vision plus large , elle associe
l’entrepreneuriat à l’esprit d’entreprendre , lorsque en parle sur l’esprit
d’entreprendre ce dépasse l’esprit marchande on parle pas seulement sur la
création des entreprises ou bien la création de l’activité économique mais
l’esprit d’entreprendre c’est un état d’esprit, une mentalité, un ensemble
d’idées, une façon de penser, associés à la prise d’initiative et à l’action qui
peut conduire un individu passif à prendre des initiatives, à relever des défis et
à devenir acteur de son propre avenir personnel et professionnel , c'est-à-dire
un ensemble des valeurs associés à la prise de risque, la responsabilité,
l’initiative , et a la créativité, alors que ces valeurs sont nécessaires dans notre
vie professionnelle lorsque c’est un ensemble des valeurs indispensable pour
un individu pour crée son avenir.
b) La Deuxième l’esprit d’entreprise : c’est une vision très stricte, limité
l’entrepreneuriat dans la sphère économique ou bien marchande, c'est-à-dire
la création des entreprises.
 L’entrepreneuriat, à travers de l’esprit d’entreprise, se décline en situations
très diversifiées :
Création exnihilo : créer l’entreprise à partir de rien (ni rachat de fonds de
commerce, ni reprise d’entreprise ou activité, ni création de filiale ou
franchise), créer une entreprise indépendante exerçant une activité nouvelle.
Reprise d’entreprise : reprendre une entreprise qui existe déjà soit par héritage
soit acquérir une entreprise déjà existe .
Développement d’entreprises existantes : ce que on appele l’intrapreneuriat,
c'est-à-dire entreprendre à interviens de l’entreprise qui déjà existé
(développement d’un produit par un salarie à l’intérieur de l’entreprise) .
l’entrepreneuriat sociale : c’est de développer les activités créatrice de valeur
économique et social mais on donne la propriété au sociale , ainsi pour les
produits vendre on cherche seulement de récupérer le montant de
l’investissement .
3. Enjeux de l’entrepreneuriat :

Qu’est-ce que on cherche à atteindre à travers du développement de cet esprit


entrepreneurial ?

a) Croissance et innovation : aujourd’hui développement passé d’abord par


l’entreprenariat qui caractérise par l’innovation comme le facteur clé de la
compétitivité soit par entreprise soit par l’Etat ce qui permet de distinguer une
paye développer d’une autre paye sous développer.
b) Création d’emplois et insertion sociale : les politiques publics sont favorisés et
facilite la création des entreprises qui se traduire par la création des nouveaux
emploi et d’assures l’insertion sociale.
c) Renouvellement du parc d’entreprises et dynamisation des entreprises
existantes : le cycle de vie des entreprise passé par plusieurs étapes, qui exige
encouragement deux étapes essentielle lancement (création des entreprises)
et la disparition des entreprises
d) Développer l’esprit d’entreprise dans les entreprises et les institutions.
e) Entrepreneuriat et développement économique : le modèle GEM (Global
Entrepreneurship Monitor)
Étudie le phénomène entrepreneurial au niveau international : faire le lien
entre l’entrepreneuriat et croissance économique.
Objectif :

 Mesurer les différences dans le niveau d’activité entrepreneuriale entre les


différents pays

 Découvrir les facteurs déterminants les niveaux nationaux d’activité


entrepreneuriale

 Identifier les politiques qui contribuent à améliorer le niveau national d’activité


entrepreneurial

On a toujours le besoin de connaitre le niveau de classement d’activité


entrepreneurial qui fournit des idées sur la situation des facteurs au niveau des
pays (règlementaire, financier, social), ce qui facilite l’amélioration des activités
entrepreneurial au niveau national. Ainsi les pays son repartir en 3 catégorie
Les économies fondées sur les facteurs : dépose d’un facteur de production
soit une ressource naturelle soit un travail sur le marché et exploiter ce facteur
pour crée une nouvelle activité, Les économies fondées sur l’efficience :
utilisation efficace des moyens disponible (le Maroc inscrit dans cette catégorie
, Les économies fondées sur l’innovation : on parle sur les payes développer
qui sont classes au niveau mondial. La base de ce classement c’est de démontré
qu’il y a une relation entre la croissance économique et l’entrepreneuriat, c'est-
à-dire l’entrepreneuriat c’est un vecteur essentiel de la croissance économique,
qui basé sur l’encouragement de l’innovation.

 Le principal indicateur utilisé est le TAE (taux d’activité entrepreneuriale)


qui mesure la part des 18-64 ans qui sont des entrepreneurs naissants ou qui
sont à la tête d’une jeune entreprise (moins de 42 mois).

4. Entrepreneuriat et création d’entreprise au Maroc : quelques défaillances :


 Indigence (faiblesse) de la culture entrepreneuriale au Maroc : au Maroc il y a
toujours l’éducation d’assistance c'est-à-dire en éduque nous enfants sur
l’assistance par les autres ni pas basé sur le travail collectif entre les gens, il
n’arrivant pas à produire leur propre personnalité qui se basé sur l’initiative, la
responsabilité, la créativité. Ainsi un élément très important c’est la culture
d’échec, l’échec n’est pas valseuses car au niveau de l’entrepreneuriat l’échec
est toujours présent puisque l’entrepreneur c’est une personne qui prise le
risque mais par l’innovation on maitrise le risque qui se traduit par la réussite
de projet.

 Faiblesse des dispositifs et structures d’accompagnement à la création


d’entreprise : à ce point on peut parler sur le contexte par ce que vous pouvez
disposes des compétences, des idées de la créativité mais le contexte n’a pas
favorable qui se traduit l’échec de projet. En plus la faiblesse accompagnement
après la création des entrepris.

 Lourdeur administrative : car on constate que la majorité des organismes


concentrés dans l’axe Casablanca -Kenitra, et cela peut créer des disparités
régionales importantes dans ce domaine. Aussi avec l’approche très
bureaucratique et leurs dysfonctionnements majeurs qui ont impactés
négativement leur performance dans la création des entreprises.

 Difficulté d’accéder au financement : car les banques exigent des garanties


contrepartie de financement.

 Faible durabilité des entreprise créées : taux de moralité des entreprises très
élevé.

Chapitre I : Les conceptions de l’entrepreneuriat : éléments


de définition
 L’entrepreneuriat est une discipline assez récente dans le corpus scientifique.
C’est-à-dire pense comme un champ disciplinaire qu’est autonome.

 L’entrepreneuriat est interdisciplinaire c'est-à-dire regroupe déférents


disciplines (Eco. Gestion)
 Fayolle et Verstraete (« Paradigmes et Entrepreneuriat », Revue de
l’entrepreneuriat,2005) ils essayant de trouve une solution par rapport à la
définition de l’entrepreneuriat à travers certaine paradigmes, qui signifie un
ensemble des d’hypothèses théorique par un courant de pensé.
I. Paradigme de l’opportunité d’affaires

C’est l’approche qui peut regrouper tous les autres paradigmes, c’est le
paradigme fédérateur et le plus récente , qui propose de définir le processus
entrepreneuriale comme la détection, l’évaluation et l’exploitation
d’opportunité. De ce fait on ne peut pas s’engager dans l’action entreprenariat
sans d’abord détecte une opportunité cette opportunité doit être évalue et
intégré dans un contexte pour savoir les ressources nécessaire qui termine par
d’exploitation (création de entreprise ) .

 Une opportunité est « une situation future jugée désirable (avec les parties
prenante) et faisable (possible de la réalisation). Une opportunité c’est à la
base d’une idée transformée avec le temps par l’entrepreneur. Ainsi il y a
plusieurs sources de l’idée expérience antérieure, vie personnelle, vie
économique, idée d’autrui, les réseaux qui facilité la transformation de
l’information et l’accès aux autres idées, Brainstorming entre groupe lorsque il
y a un problème chacun proposé une idée de comment peut les résoudre afin
de choisir les meilleurs idée.

 Aujourd’hui on a deux concepts de l’entrepreneuriat, l’entreprenariat de


nécessité qui se base sur les politiques publiques à travers les problèmes de
chômage, par contre l’entrepreneuriat d’opportunité se base sur les
motivations. Ces derniers qui créé la valeur, généralement on dit que
l’opportunité = idée + créativité l’entrepreneurial. Qui respect la réalité socio-
économie par exemple la religion. L’opportunité en relation avec le temps et
l’idée qui créé la valeur en plus le marché. Alors les formes de l’opportunité
trois à savoir la nature de la valeur créé (marchande ou non marchande),
l’intensité du changement, le degré de légitimité.
 Deux conceptions de la notion d’opportunités : objective et constructiviste

 Conception objective : les opportunités existent indépendamment des


entrepreneurs qui les découvrent. C’est-à-dire que l’opportunité il est accoté
de nous, il nous reste seulement à découvrir. Alors le rôle de l’entrepreneur
c’est de la détecte de la trouver avant les autres ni crée rien grâce a sont
vigilance entrepreneurial (qualité, les compétences de l’entrepreneur)

 Conception constructiviste : l’opportunité entrepreneuriale se construit au


cours du processus de création de l’activité. C’est-à-dire l’entrepreneur crée
l’opportunité qui n’existe pas en avant grâce à innovation .

 Poursuite d’opportunité
 Contribuer au déséquilibre des marchés (Schumpeter)
 Contribuer à l’équilibre des marchés (I. Kirzner)
 Les fenêtres d’opportunités
Facteurs susceptibles d’influencer l’ouverture ou la fermeture d’une fenêtre
d’opportunité :
a) Les événements : (lorsque on intègre des événements nationales et
internationales : Coupe d’Afrique, COP 22, Coupe du Monde, etc.)
b) Tendances sociologiques : (lorsqu’il s’agit de répondre aux besoins non
satisfaits dans une région …)
c) Les tendances démographiques (lorsqu’elle vise une partie de la population :
les femmes, les enfants, les vieux, etc.) ; prendre la population.
d) Les règlements (Elle correspond à la loi et aux interdictions faites par la
réglementation) ; sac plastique .
e) Les technologies (lorsque qu’elle intègre des nouvelles technologies)
inspiration de technologies .
f) Les contextes concurrentiels :(ça correspond au degré de la concurrence)
g) Les évolutions politico-économiques (elle est liée à la stabilité ou l’instabilité
politique et aux différents indicateurs macroéconomique tels que l’inflation, le
chômage, etc.).
II. Paradigme de l’émergence organisationnelle

le fondateur de ce paradigme de pensé c’est un américain appelé Gartner qui


considère l’entrepreneuriat ou l’action entrepreneurial a chaque ce traduira
par émergence d’une organisation , est donc un entrepreneur c’est celui qui
créé l’organisation cette organisation marchandes , ainsi pour Gartner
distingue l’entrepreneur de non entrepreneur par la détection, l’évaluation,
l’exploitation c’est la création d’une nouvelle organisation , on peut conclure Ce
paradigme est largement corrélé au paradigme de l’opportunité. C’est-à-dire la
création d’organisation ne présent que la mise en application d’une
opportunité.

 Les différentes logiques conduisant à la création d’entreprise (Bruyat, 1994)

 PMIsation juridique : est le transfert à une structure juridique indépendante


d’une activité préexistant dans l’entreprise.une entreprise mère qui transfère
une activité existante d’une de ces filiales à une autre.
 Croissance interne : une entreprise qui charge une de ses filiales de développer
une nouvelle activité.
 Franchise : est un système de commercialisation de produit, services ou
technologies reposant sur une collaboration entre deux entreprises
juridiquement et financièrement indépendantes l’une de l’autre : « le
franchiseur »et « le franchisé ».

-le droit d’utiliser sa marque ou son savoir-faire.

-le droit de commercialiser des produits ou services conformément aux


directives Prévues dans le contrat.

-le franchiseur reste propriétaire de la marque et du savoir-faire.


 Création ex nihilo : créer l’entreprise à partir de rien (ni rachat de fonds de
commerce, ni reprise d’entreprise ou activité, ni création de filiale ou
franchise), créer une entreprise indépendante exerçant une activité nouvelle.
 Essaimage : créer une entreprise quand on est encore salarié et avec l’aide de
son entreprise les grandes entreprises proposent des mesures destinées à
accompagner leurs salariés dans des créations d’entreprises.

III. Paradigme de l’innovation

Le fondateur de ce paradigme Schumpeter qu’est lié l’entrepreneuriat a


l’innovation, par Schumpeter un entrepreneur c’est un innovateur, c’est celui
qui va apporter une nouvelle manière de production, commercialisation,
distribution, organisation de travail, l’innovation n’est pas liée seulement à la
technologie par exemple l’innovation sociale micro crédit. Il faudrait connaitre
la déférence entre l’invention (développement de connaissance nouvelle) et
l’innovation (renouvellement de connaissance sur un marché) aussi il faut
savoir qu’il y a deux types d’innovation rupture (s’agit de crée un rupture avec
des idée déférents) et incrémental (c’est une innovation qui permettre
d’améliorer ce qui existe déjà).

IV. Paradigme de la création de valeur

Pour Bruyat l’entreprenariat est une manifestation et c’est une représentation


d’une relation dialogique entre acteur (sujet) et l’objet la création de valeur
(création d’entreprise), qui s’appele une relation de réciprocité la dialogique
individu création de valeur. L’entrepreneur cherche une valeur qui satisfaire ses
acomptes, motivations à travers la création d’une organisation qui va aussi
influence entrepreneur.

En conclusion on peut déduire c’est 4 paradigmes qui sont présenter la


définition d’entreprenariat :

à partir de déférents approche, on doit souligner qu’il y a une liaison


fondamental entre ces paradigmes qui permet d’avoir une vision globale qui se
base sur l’opportunité, donc c’est une approche multi paradigmatique , c'est-à-
dire que l’opportunité représente un concept central fédérateur qui regroupe
tous les autres concepts liée à l’entreprenariat par exemple l’innovation qui va
être à l’origine d’opportunité ainsi l’opportunité applique de trouve des
innovations (=), on peut ajouter que la base de création d’une organisation
c’est l’opportunité, en plus la création de valeur c’est une opportunité déjà
exploité, c’est la raison pour laquelle en dite que l’opportunité se trouve au
milieu de tous les paradigme .

 Les concepts centraux :

 L’entrepreneur: selon les approches, il pourra être le créateur de nouvelles


organisations, le repreneur d’organisations existantes, voir un employé
développant de nouveaux projets au sein de son organisation (intrapreneur)

 Les ressources à mobiliser: celles-ci sont nécessairement limitées et


l’entrepreneur doit les contrôler , sans nécessairement les posséder, pour
atteindre ses objectifs.

 La création de valeur: elle suppose la création de toutes formes de richesse


(argent, indépendance, pouvoir, estime de soi…).

 L’opportunité: notion centrale de l’entrepreneuriat. Celle que l’entrepreneur


cherchera à saisir sera fonction de ses motivations et de ses attentes.
 En conclusion , Le paradigme d’opportunité permet de fédérer l’ensemble des
autres paradigmes, ce qui permet de repérer cinq courants (écoles) qui
traversent le champ de l’entrepreneuriat:(Fayolle 2004)

 les fondateurs de l’école économique c’est Schumpeter et Kirzner , les


fondements de cette école c’est que l’opportunité est réalisé par
l’entrepreneur par la fonction économique c'est-à-dire l’entrepreneur exerce
une activité économique alors pour schumpter l’entrepreneur c’est un
innovateur qui crée le déséquilibre au sein de marche , et pour kirzner
l’entrepreneur c’est la personne qui travail sur les imperfections du marché .
Grâce à c’est deux on doit gérer le développement de l’activité économique et
la croissance.
 l’ecole des traits ou psychologique qui s’intéresse a la personnalité et les
caractères de l’entrepreneur par exemple timide , courageux, prendre l risque…
alors pour cette approche l’entrepreneur c’est un individu née avec des
qualités et caractéristiques qui sont des valeurs génétiques c'est-à-dire il n ya
pas des influences de l’environnement, la culture, la société ,ou l’éducation …
 l’école de décision ou l’école de cognitive alors cette approche s’intéresse sur
comment l’entrepreneur prendre une décision pour évalue une opportunité et
mettre en application .
 l’école de comportement ou de processus le fondateur de cette école c’est
Gartner qui ne mettre pas l’accent sur les qualités comme l’approche des traits
mais sur le comportement de l‘entrepreneur pour détecter les opportunités et
la processus d’émergente organisationnel.
 l’école de l’organisation entrepreneurial cette école s’intéresse seulement sur
la phase de l’émergence organisationnel mais elle mettre l’accent aussi sur les
organisations existants notamment l’entrepreneuriat comme un outil de
l’orientation entrepreneurial qui permet les entreprises existantes d’assurer la
pérennité et la dynamique c’est à dire à travers cette orientation on peut
innover , rendre l’organisation plus performante.
V. L’entrepreneur, acteur central du processus entrepreneurial

1. Typologies d’entrepreneurs :

 Entrepreneur PIC : (pérennité-indépendance-croissance) c.-à-d. des


entrepreneurs indépendants ou artisan dont le besoin de l’autonomie est
dominant, il limite la croissance de son entreprise à ses propres moyens et ses
propres possibilités.
 Entrepreneur CAP : (croissance-autonomie-pérennité) c.-à-d. des
entrepreneurs créateurs d’organisation pour lesquels les besoin de pouvoir est
dominant, ils cherchent les opportunités des affaires et la croissance.

2. Autres types :

 L’entrepreneur innovant : Poursuite d’opportunités qui conduisent à une


nouvelle combinaison entre les moyens et les fins.

 L’entrepreneur arbitragiste : Détection des imperfections du marché

 Entrepreneur Life-style : Poursuite d’une opportunité en accord avec sa


philosophie de la vie.
 L’entrepreneur social : Volonté de privilégier le bien-être en apportant une
contribution à sa communauté ou à la société

 L’entrepreneur institutionnel : Poursuite d’une opportunité qui se traduit par


l’impulsion d’un changement institutionnel.

 L’entrepreneur « mafieux » : Poursuite d’une opportunité fondée sur le


contournement de la loi.

REALISER PAR : TAQQA HAMZA.

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