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Les disciplines juridique relève tantôt du droit privé tantôt du droit public

Théoriquement le droit fiscal est une discipline du droit public il se défini comme la branche du droit
public qui règle les droits de fisc et leurs prérogatives d’exercices .

L’appatenance du droit fiscal au droit public se justifie à un double point de vu .

- Au regard de la pénalité de l’impôt le droit fiscal est une discipline de droit public .en raison
des relations étroites existant entre l’impôt et l’Etat en effet l’impôt est non seulement une
source de financement du budget de l’État mais aussi un instrument de sa politique
économique et social. ( il y’a pas d’Etat sans l’impôt l’impôt c’est l’argent de l’Etat on
construit le pays avec )

- au regard des techniques utiliser


le droit fiscal relève du droit public en raison de l’importance des pouvoirs accordé à
l’administration fiscale dans ces relations avec les contribuables. ( ce que on doit savoir ici
c’esy que le droit fiscal confer à l’administration des prérogatives de puissance publique car
elle agité pour l’intérêt générale donc il faut lui donner des moyens nécessaires )
Bien que représenté par le droit public le droit fiscal reste influencé par le droit privé en effet
le droit fiscal ne saurait ignorer le droit civil et le droit commercial qui registre les activités
économiques des personnes physiques et morales. On pourrai donc conclure que le droit
fiscal est dans la pratique une discipline transversale. ( les entreprises sont assujettis à l’impôt
c’est pourquoi)

Ces sources relèves de l’ordre interne et de l’ordre externe .


-Au plan interne il repose sur la constitution, la loi , le règlement, la juriste prudence les
principes généraux du droit et la doctrine administrative. Cette dernière est la plus
abondante, elle est constitué de l’ensemble des commentaires et interprétation que
l’administration fiscale produit en vu de l’application des textes fiscaux. La doctrine
administrative n’est pas à confondre avec la tolérance fiscale celle-ci est une dérogation
administrative à une règle expresse ou tacite de l source législative ou administrative prise
par voie d’instruction au profit d’une catégorie de contribuable par exemple en côte d’ivoire
l’impôt foncier sur les propriétés bâties n’est pas perçu sur les contribuables. ( impôt foncier
c’est l’impôt perçu sur les biens immeubles. Donc il y’a impôt sur le patrimoine foncier des
propriété bâti ( ma maison que j’ai construire) et non bâti ( un terrain sans construction et il
y’a l’impôt sur le revenu foncier ( maison à louer) ) en côte d’ivoire l’impôt foncier n’est pas
perçu sur les constructions modernes situés dans les villages ( en CI la doctrine est en
abondance à cause de son caractère hermétique du droit fiscal) elle n’est pas non plus à
confondre avec rescrit fiscale celui-ci est la réponse donné par l’administration à la
préoccupation d’un contribuable au sujet de l’application d’une règle fiscale.
( Dans la tolérance fiscale c’est le contrôleur qui demande à l’administration …dans le rescr
fiscal c’est le contribuable sur un sujet donné seulement sur le sujet donne . ( et la tolérance
fiscale c’est une mesure dérogatoire qui déroge aux principes administratif elle est initié par
le droit fiscal.)

Les sources externes quand à elle se compose des conventions fiscales internationales et des
normes communautaires. Les conventions fiscales international Sont des accords conclus en
matière de fiscalité internationale, les dites convention peuvent revêtir les caractères
bilatérale ou multilatéral .
En matière communautaire il est fait allusion aux règles directives relatives à l’harmonisation
de la fiscalité dans les pays membres de l’UEMOA.

PREMIÈRE PARTIE : LA THÉORIE GÉNÉRALE DE L’IMPÔT

La théorie générale de l’impôt est un aspect de la science fiscale, si la science fiscale étudies
problème juridique , économique, sociaux et politiques relatif à l’impôt , la théorie générale
de l’impôt quant à elle saisi le fait fiscal en lui-même pour l’expliquer et le faire comprendre
c’est à juste titre qu’elle défini le concept d’impôt , analyse des éléments constitutifs, procède
aux classifications des différents types d’impôt examine les caractéristiques de chacun d’eux
pour aboutir à la notion du système fiscal ( TGI nous amène savoir ce qui est l’impôt )

CHAPITRE 1 : L’IMPÔT , OBJET DU DROIT FISCAL. ( objectif principal de tout le cours c’est
l’impôt )

L’impôt est au cœur du droit fiscal en ce qu’il constitue l’objet de son étude pour mieux
cerner la notion d’impôt il convient dans un premier temps d’exposer ses fondements bien
avant de le définir puis dans un second temps de distinguer l’impôt des autres prélèvements
obligatoires pour éviter toute confusion .

SECTION 1 : LES FONDEMENTS ET DÉFINITION DE L’IMPÔT

PARAGRAPHE 1 : LES FONDEMENTS

il faut comprendre par fondement les justification de l’impôt bien que nombreux les
fondements de l’impôt peuvent être rangés en deux catégories avec d’un côté les
fondements anciens et de l’autre les fondements modernes . ( le mot fondements renvoie au
justification différents de fondements juridique qui ramène au texte sur lequel il repose

A) Les fondements anciens

Par le passé l’impôt était considéré comme un tribut imposé aux vaincus d’une guerre ou
comme une offrande offerte aux dieux à partir du 16 ème siècle avec le développement
de l’Etat l’impôt fut considéré comme une sorte de prime d’assurance rémunérant la
sécurité procuré par l’Etat aux citoyens pour certains auteurs l’impôt était prix de tous le
service rendus par l’Etat.

B) Fondements moderne

Les fondements moderne de l’impôt repose sur la souveraineté de l’Etat et de


consentement des contribuables le fondement régalien de l’impôt est retenu par la
plupart des fiscaliste. Pour ces derniers pouvoir fiscal et pouvoir politique sont de paire.
Le pouvoir fiscal à toujours été un aspect essentiel de la souveraineté de l’Etat .En ce sens
que l’impôt est établie unilatéralement et met en jeu le pouvoir de contraintes de l’Etat .
( il y’a un lien entre la politique et le pouvoir fiscal le droit fiscale est un de ses aspects
ainsi ‘Etat peu convaincre à payer l’impôt : la souveraineté et le consentement de L
l’impôt . )( l’impôt est l’expression unilatéral c’est-à-dire qu’il émane de la volonté de
l’Etat seul )

Quant au consentement à l’impôt il explique l’idée que le peuple souverain autorise la


levé de l’impôt soit directement soit par l’intermédiaire de ses représentants c’est-à-dire
le parlement

( arrêt fiscale proposé après ça va en conseil des ministres et le parlement après cela
devient une loi donc l’impôt est une loi ….le pouvoir financier en grande Bretagne….le
consentement de l’impôt différents du consentement à l’impôt le premier c’est le faite
d’adhérer au fait fiscal en tant que bon citoyen le deuxième est celui qui est donné par le
peuple ou par ses représentants)

C’est le fisc qui à élaborer le projet et là soumis au parlement en ce moment il est


l’œuvre du pouvoir exécutif en suite Le vote du parlement confère à ce texte une valeur
de loi .

Après ça il appartient à l’argent de l’applique aux contribuables

PARAGRAPHE 2 : la définition de l’impôt .

La définition de l’impot n’est pas l’œuvre du législateur encore moins du juge elle est
l’œuvre de la doctrine c’est-à-dire des auteurs ( dans notre système juridique c’est pas la
loi qui définit l’impôt mais plutôt la doctrine.

A) La définition classique et c’ses limites

La définition proposé par le professeur Gaston JEZE à longtemps été utilisé pour saisir l’impôt pour
cet auteur l’impôt est : << une prestation pécuniaire requise des particuliers par voie d’autorité à titre
définitif et sans contrepartie en vu de la couverture des charges publiques >>

À y voir de près cette définition contient de nombreuses insuffisance.

- Elle est évasive sur la nature du contribuable le mot particulier ne nous renseigne pas
suffisamment sur le contribuable s’agit-il d’une personne physique ou une personne morale
ou des deux à la fois ?
- -En outre la définition ne fait pas mention de la notion de justice fiscale ce qui pourrait laisser
penser que pour cet auteur tout les contribuables étaient tenus de verser le même montant
d’impôt .

( l’égalité voudrais que tout le monde paye l’impôt mais la justice voudrait que chacun paie
son montant selon son revenu )
-Enfin elle résume la fonction de l’impôt au financement du budget de l’État c’est-à-dire à la
couverture des charges. C’est tout le sens de sa célèbre phrase il ya des charges il faut les couvrir.

La prise en compte de toutes ces critiques à permis de construire la définition moderne de


l’impôt .

B) Une définition moderne plus complète

Lucien Mehl et Pierre Beltrame sont les auteurs de la définition moderne cette définition est à la
vérité la version améliorée de la précédente définition pour ces auteurs : << l’impot est une
prestation pécuniaire requise des personnes physiques ou morales de droit privé voir de droit public
d’après leur faculté contributive par voie d’autorité à titre définitif et sans contrepartie déterminer en
vu de la couverture des dépenses publiques ou à des fin d’intervention de la puissance publique>>.

Cette définition ce veux plus précise sur la nature des contribuables ces derniers peuvent être des
personnes physiques comme des personnes morales de droit privé et même de droit public

( le prof dit et même les droit public parceque normalement elle doivent pas payer l’impôt mais dans
cette définition on précise qu’elles doivent payer donc il s’agit des personnes qui exerce une activité
industrielle et commerciale )

les personnes morales du droit public dont il s’agit sont celles qui exercent une activité industrielle et
commerciale.

En outre elles mettent l’accent sur la recherche de la justice fiscale en précisant que les contribuables
doivent s’acquitter de l’impôt d’après leur faculté contributive c’est-à-dire en tenant compte du
niveau de leur revenu et de la valeur de leur patrimoine.

Enfin elle révèle que la fonction de l’impôt n’est pas uniquement financiers mais elle est aussi non
financière la fonction non financière est perceptible tant au plan social qu’économique .

Au plan social l’impôt est un instrument de redistribution en ce sens que les sommes collectés sont
affectés par l’Etat à la réalisation de dépense sociale destinée à améliorer le sort des citoyens
économiquement faible. ( payer moins cher pour se soigner l’État à subventionner )

Au plan économique l’impôt participe à la régularisation des grande équilibres en luttant contre
l’inflation et en stimulant l’activité économique par la mise en œuvre de mesure d’incitation fiscale à
l’effet d’attirer des investisseurs. ( la redistribution de l’impôt veux dire l’Etat investi dans le social
pour le profit de la population. Ainsi l’Etat fait du social , l’ETA utilise l’impôt pour attirer les
investisseurs , si les prix on augmenté L’Etat utilise des moyens pour baisser les prix ..) les caractères :
un caractère pécuniaire : l’impôt est payer en argent.

l’impôt à un caractère obligatoire, en ce sens qu’il est prélevé par voir d’autorité ( de façon unilatéral)
par l’administration sous le fondement des prérogatives de puissance publique qui sont les tiennes.

caractère définitif cela signifie que l’impôt est une ressource définitive pour les collectivités publiques
( l’Etat l’établissement public et les collectivités territoriales qui en bénéficient) ,

l’impôt n’admet de contrepartie immédiate : juridiquement il ne constitue pas le prix d’un service
rendu ce caractère interdit le contribuable de contester l’impôt.

Enfin la contrepartie fait ressortir la conception purement financière de l’impôt.


Section 2 : l’impôt et les autres prélèvements obligatoires

Théorie discipline du droit public

Pratique discipline de droit privé

Il a pour objet l’impôt

La définition de l’impôt viens de la doctrine

Une définition donné par un auteur et repris par deux autres pour manque de clarté

Des éléments sortent de cette définition

- La nature impôt : prestations pécuniaire ( est payé en argent)


- La nature des contribuables : personne morale et personne physique
- Les caractères de l’impôt : définitif sa’s contrepartie direct par voie d’autorité … les
fonctions de l’impot sont : financiers et non financière
- Financière : revenu économique pour l’ETAt

Les prélèvements obligatoires sont des sommes que les personnes physiques et morales sont tenus
de verser au collectivités sans qu’elles aient préalablement donner leurs accords.

l’impôt est un prélèvement obligatoire cependant tous les prélèvements obligatoires ne sont pas des
impôts il convient donc de distinguer l’impôt prélèvement obligatoire à titre principal des autres
prélèvements obligatoires.

- PARAGRAPHE 1 : L’IMPÔT ET TAXE

Bien que l’impot et la taxe soient très proches on peut tout de même les distinguer

A) DEUX PRÉLÈVEMENTS TRÈS PROCHE

L’ impôt et la taxe sont tout deux des prélèvements obligatoires institué par la loi conformément à
l’article 101 de la constitution du 08 novembre 2016 qui précise que : << la loi fixe les règles
concernant le taux et les modalités de regroupement des impositions ( la taxe ) de toute nature>>

En outre il doivent tous les deux faire l’objet d’une autorisation annuelle donné par l aloi de finances
avant d’être recouvré ( c’est tirer du principe de manuellité budgétaire qui signifie que le budget est
voté pour une année et exécuté pour une année)

Ils sont tout deux perçu au profit des personnes publiques c’est-à-dire l’Etat les collectivités
territoriales et les établissements publics administratif

Enfin ils sont tout les deux soumis au même régime juridique, les règles applicables aux contentieux
de l’impôt le sont également pour les contentieux portés sur la taxe . ( Le contentieux c’est le petit
chemin entre le contribuable et l’administration il y’a le cont de l’assiette qui est le cont de
l’introduction , il ya le cont de recoubrem, le cont de l’annulation , le cont de la responsabilité)

Les règles qui s’applique sur le contentieux portant sur l’impôt et la taxe

B) Deux relèvement tout de même distinct

L’impôt et la taxe peuvent être distingués sur deux points

Les premiers critères de distinction est la qualification légal c’est à dire le nom donné par le
législateur à ses prélèvements ( si le législateur dit tu es impôt c’est que tu est impôt si on t’appelle
taxe c’est que tu es taxe )

Ce critère n’est pas fiable parceque le législateur qualifie certains impôts de taxe , l taxe sur la valeur
ajoutée en est l’exemple type . Parceque dans sont mécanisme c’est la valeur ajoutée qui est taxée

Le second et le véritable critère de distinction se trouve dans leur fondement, La taxe est une somme
perçu lors de la fourniture d’un service prescrit par l’administration à l’usager il y’a dont l’existence
de contrepartie direct c’est celui qui utilise le service qui paie la taxe, c’est l’exemple des droit
d’inscription payé par les étudiants dans les universités publiques. Toutefois il arrive que la taxe soit
perçu pour un service simplement offert même si l’usager ne recours pas à ce service c’est l’exemple
de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères en revanche l’impôt est perçu quant à lui sans une
contrepartie direct c’est-à-dire immédiate , ( ici se situe la distinction véritable donc quand
l’administration de rend un service ce que tu paie c’est ça qui est là taxe …. L’impôt le contribuable ne
paye pas pour bénéficier des services c’est pourquoi l’impôt n’admet de contrepartie direct.)

- PARAGRAPHE 2 : L’IMPÔT ET TAXE PARAFISCALE, redevance et les autres cotisations


A) L’IMPÔT ET LA TAXE PARAFISCALE.

Les taxes parafiscale sont par définition des prélèvements perçu dans un intérêt économique ou
social au profit d’une personne morale de droit public ou privé autre que l’Etat les collectivités
territoriales et les établissements publics administratif .

La taxe parafiscale diffère de l’impôt sur les points suivants :

- Du point de vu de la spécialité de la finalité la taxe parafiscale poursuit un intérêt


économique et sociale.
- Du point de vu des bénéficiaires ce sont les établissements publics à caractère industriel et
commercial ( EPIC) , les sociétés d’Etat et dans certains cas les sociétés à participation
financière publique qui sont concernant par la taxes parafiscale
- Du point de vu du régime juridique la taxe parafiscale est de source législative, elle peut
également relever de la compétence du pouvoir réglementaire en outre l’assiette des règles
de liquidation et de recouvrement des taxes parafiscale, leur durée, leur taux sont fixés par
décret toutefois leur perception doit être autorisée par la loi de finance . ( Distinction au
niveau du régime juridique la TP est fixé par le législatif ou le l’ordonnance , l’ordonnance
avant sa ratification à une valeur règlementaire après sa ratification l’ordonnance devient loi.
L’impôt est loi le TP à cause du fait qu’ellepeut émané d’une ordonnance ce ça là distinction)

B) Impôt REDEVANCE

La redevance est perçu à l’occasion d’un service rendu sont montant est équivalent à la valeur du
service rendu elle se distingue de L’impôt sur deux points :

- Premièrement la redevance admet l’existence d’une contrepartie direct tandis que l’impôt
‘admet de contrepartie direct.
- Deuxièmement la redevance relève de la compétence du gouvernement et sa perception
n’est pas soumise à l’autorisation d’une loi de finance . L’impôt est quant à lui institué par la
loi et sa perception est autorisé par la loi de finance.

NB : la redevance est très proche de la taxe comme la taxe, la redevance est perçu à
l’occasion d’un service rendu contrairement à la taxe, le montant de la redevance est
équivalent à la valeur du service rendu c’est cette équivalence qui constitue le critère de
distinction le plus déterminant . ( Pont péage est une redevance c’est pourquoi ces selon le
type de voiture qu’on paie Ainsi la taxe le prix payé est inférieure au service rendu)

C) L’impôt et les cotisations sociales.

Les cotisations sociales sont des apports des personnes protégées ou de leur employeur à des
institutions octroyant des prestations sociales en vu d’acquérir et de maintenir le droit à ces
prestations.

L’institution des cotisations sociales relève en grande partie de la loi, notamment des principes
relatifs aux règles d’assiettes et de recouvrement et la détermination des assujettis à l’obligation de
cotisé, au principe fondamentaux de la sécurité sociale, le taux et les modalités d’application des
cotisations sociales relève du pouvoir réglementaire. En outre les cotisations sont affectés
exclusivement aux financements des régimes de sécurité sociale.

Les cotisation sociale comporte une contrepartie direct au contraire de l’impôt .

( L’impôt est le principal prélèvement obligatoire c’est pourquoi on le distingue des autres
prélèvements obligatoires donc il faut les distinguer des autres )

CHAPITRE 2 : LA CLASSIFICATION DE L’IMPÔT ( typologie)

( Il n’existe pas un impôt unique même si il y’a plusieurs type d’impôt qu’on peut ranger en trois
grand groupe qui sont cl administratif, cl économique, cl technique)
Il n’existe pas d’impôt unique mais plutôt une pluralité d’impôt. Ces différentes types d’impôts
peuvent faire l’ objet d’une une triple classification : classification administrative, économique et
technique

SECTION 1 : LA CLASSIFICATION ADMINISTRATIVE

C’est la classification retenue par l’administration en l’occurrence la direction regionale du trésor et


de la comptabilité publique ( l’administration fiscal on parle seulement de la DGI pourtant c’est pas la
seule direction régionale il y’aussi celle du trésor, …et son principal rôle c’est le recouvrement qui
consiste percevoir les recettes)

Elle conduit à distinguer d’une part les impôts intérieur des impôts extérieurs et d’autre part les
impôts d’Etat des impôts locaux.

PARAGRAPHE 1 : LES IMPÔTS INTÉRIEUR ET LES IMPÔTS EXTÉRIEUR.

Le critère sur lequel repose la distinction entre ces deux catégories est le lieu de leur perception

Les impôts intérieur sont ceux qui sont perçus à l’intérieur du territoire national, il sont composés des
impôts directs, des impôts indirects, des droit d’enregistrement et des droits de timbre ( il est perçu
directement par le contribuable c’est un impôt directe qui sont les plus nombreux)

(Il y’a également les impôts indirects qui font intervenir une tiers personne exemple la TVA et ici c’est
le vendeur qui va verser l’impôt même si c’est moi qui paie il y’a aussi les droits d’ebregistrement ex
je crée mon entreprise les premiers impôt versé sont des droit d’enregistrement, si on te donne une
maison pour que cette maison soit on ton nom du doit payer un droit d’enregistrement , il y’a aussi le
droit de timbre qui sont aussi des timbre )

Les impôts extérieurs désignent quant à eux les droits de douane encore appelé fiscalité de
porte( frontière) , ce sont des prélèvements fiscaux effectués sur les marchandises et les biens qui
franchissent la frontière pour entrer en côte d’ivoire ( droit d’entrée) et ceux qui sortent de la côte
d’ivoire ( droit de sortir ) .

PARAGRAPHE 2 : LES IMPÔTS D’ÉTAT ET LES IMPÔTS LOCAUX.

La distinction entre ces deux types d’impôt repose sur la collectivité bénéficiaire de l’impôt, les
impôts d’État sont ceux qui assures le financement du budget de l’État , en côte d’ivoire les impôts
qui contribuent de façon significatif au budget de l’État Sont l’impôt sur les bénéfices industriels et
commerciaux et la taxe sur le valeur ajoutée.

En revanche les impôts locaux sont ceux qui financent le budget des collectivités territoriales et des
districts autonome. ( Ici en côte d’ivoire les collectivités territoriales sont uniquement collectivité
territoriale et les district le collectivité publique on un budget on une personnalité donc il ont droit à
un budget)

SECTION 2 : LA CLASSIFICATION ÉCONOMIQUE

Elle tient compte de la nature économique de la matière imposable lié au moment de l’imposition
suivant cette classification on distingue l’impôt sur le revenu, l’impôt sur le capital,et l’impôt sur la
dépense.

L’impôt sur le revenu est une charge fiscale qui pèse sur le contribuable au moment de l’entré d’un
bien dans sont patrimoine il frappe donc là richesse en voie d’acquisition il est perçu sur les revenus
du contribuable ( le revenu du travail, les bénéfices industriels et commerciaux, les bénéfices non
commerciaux, les loyers des immeubles) ( l’impôt sur le revenu c’est celui qui frappe le revenu du
contribuable le revenu est le bénéfice recueillir par une entreprise par exemple il paye un impôt, les
notaires et husier il payent aussi des impôts aussi le loyer d’une maison on paye aussi un impôt
foncier)

L’impôt sur le capital est celui qui pèse sur un bien consolidé dans le patrimoine du contribuable les
impôts sur le capital portent sur le patrimoine mobilier exemple : les actions. Soit lors de ses
mutation soit du simple fait de sa détention il frappe également les biens immeubles. ( L’impôt sur le
capital frappe le patrimoine j’ai une maison cela fait partie de mon patrimoine donc je paie un impôt
foncier il suffit que je détiennent le bien, ce bien là soit je l’ai vendu il y’a aussi un impôt qui est le
droit d’enregistrement)

L’impôt sur la dépense est celui qui frappe un bien au moment de sa sortie du patrimoine il s’agit d’un
impôt qui est payé chaque fois qu’il y’a une dépense c’est le cas de la TVA ( donc là TVA est un impôt
sur la dépense chaque fois que nous achetons ou nous vendons on paye la TVA et c’est 18% )

SECTION 3 CLASSIFICATION TECHNIQUE.

Elle repose sur la prise en compte des mécanismes et la modalité administrative de taxation il s’agit
aussi des classifications les plus anciennes et les plus connus.

PARAGRAPHE 1 : IMPOT DIRECT ET IMPÔT INDIRECT

La distinction impôt direct et impôt indirect est fondé sur deux critères : celui de l’incidence ‘dune
part et celui du fait générateur et du rôle d’autre part .

L’incidence de l’impôt est le fait d’atteindre une personne ou une série de personnes déterminée
l’incidence vise exclusivement la personne qui paie l’impôt. Suivant ce critère les impôts qui sont à la
charge des contribuables sont appelés impôt direct tandis que ceux dont le fardeau peut être reporté
par les contribuables sur les tiers sont appelés impôt indirect ( quand c’est indirect c’est une tiers
personne qui paie cela à ma place ex le vendeur )
Le fait générateur est l’acte , l’événement l’opération la situation dont la survenance donne naissance
à l’obligation fiscal à la charge du contribuable.

quant au rôle elle est la liste sur laquelle figure les bases d’imposition et le recensement de
l’ensemble des contribuables et le montant dû par chaque contribuable ( fuxr et à mesure que les
contribuables vont déclarer leur bien ..avev les informations qui prélevé c’est en fonction de cela
qu’on dit ce lui là il doit)

Partant de ce qui précède l’impôt directe est celui qui atteint de façon périodique des situations ayant
un certain caractère de permanence et donc l’établissement se fait sur une liste de contribuable
appelé le rôle. ( J’ai ma maison le locataire me pre’d des loyers de janvier jusqu’au 31 décembre
l’impôt que je vais payer en 2024 sont ceux de l’année 2023 , acheter une voiture au Ghana entant
sur le territoire Ghanéen le fait générateur ne s’est pas encore produit mais une fois sur le territoire
ivoirien le fait générateur se déclenche )

L’impôt indirect au contraire vise des évènements ( transaction mutation de propriété) dont le
caractère occasionnel et imprévisible rend impossible toute tentation d’enrôlement .

Paragraphe 2 : impôt réel et impôt personnel

La distinction impôt réel impôt personnel repose sur ceux sur quoi porte l’impôt.

L’impôt réel est celui qui porte sur un élément lié à la situation objective sans considération
personnelle de sont détenteur ex : l’impôt foncier ( il porte sur un bien sûr une chose et non l’identité
de la personne)

L’impôt personnel est celui qui atteint la personne et notamment l’ensemble de la capacité
contributive de redevable en tenant compte de sa situation et de ses charges de famille ( celui qui est
marié paiera moins d’impôts que celui qui n’est pas marié ainsi l’impôt personnel prend en compte
ma situation familiale et tout..)

PARAGRAPHE : IMPÔT PROPOSITIONNEL ET IMPÔT PROGRESSIF

Le critère de distinction entre ces deux types d’impôt est le taux d’imposition ( le taux s’exprime
toujours en pourcentage, chaque impôt à son taux donc là distinction entre les deux impôt est dans le
taux )

L’impôt propositionnel soumet la matière imposable à un taux constant

tandis que l’impôt progressif applique un taux croissant en fonction de la matière imposable

( Pro : c’est constant l’autre est changé et il est plus lourd )

CHAPITRE 3 : LES OPÉRATIONS D’ÉTABLISSEMENT D’IMPÔT .


( c’est fait sur la base 3 opération principale qui suivre 3 Étapes qui est le processus, le processus
n’est pas la procédure les 3 Etapes sont l’assiette le recouvrement l’assiette

L’assiette c’est l’opération qui consiste à rechercher la matière itière imposable ce qui va supporter
l’impôt ici ce sont les agents qui vont vers les contribuables c’est ce qu’on appelle le recensement

Il détermine la base d’imposition pour savoir combien du va payer le TVA ex c’est le chiffre d’affaires
hors taxe ,

Après c’est la liquidation qui signifie le calcul mais dans la pratique il consiste à affecter à la base
d’imposition un taux .

Le recouvrement perçoit l’impôt . Le contrôle fiscal et le mécanisme qui permet de lutter contre la
fraude.)

L’établissement de l’impôt suis un processus c’est le processus fiscal il se compose de plusieurs


opérations qui sont pour les unes des opérations administratives et pour les autres notamment le
recouvrement une opération comptable .

SECTION 1 : LES OPÉRATIONS ADMINISTRATIVE D’ÉTABLISSEMENTS DE L’IMPÔT : L’ASSIETTE ET LA


LIQUIDATION.

PARAGRAPHE 1 : L’OPERATION D’ASSIETTE

L’assiette est l’opération administrative qui consiste à rechercher la matière imposable ( personne,
activités susceptibles de supposer l’impôt ) et a déterminer les base d’imposition.

A) UNE OPÉRATION CONSISTANT À RECHERCHER LA MATIÈRE IMPOSABLE.

La matière imposable est un élément où un ensemble d’élément ayant une valeur économique à
partir de laquelle est déterminé la base d’imposition ( j’ai mon entreprise c’est valeur imposable la
base d’imposition c’est le bénéfice nettes que j’ai réalisé )

C’est l’inducteur de la ressource ou de l’opération à atteindre pour la rechercher ou l’identifier


l’administration fiscal utilise deux techniques à savoir le recensement et la déclaration fiscale
d’existence. ( Le fait de dire tell chose ou Tell chose m’appartient ) .

La technique de recensement consiste pour les agents de l’administration fiscal à déporté sur le
terrain pour rechercher matière imposable la déclaration fiscale d’existence consiste à laisser le soin
au contribuable d’apporter à l’administration fiscal les éléments qui vont supporter l’impôt . La loi
impose aux entreprises qui commence leur activités de déclaré leur existence.

B) UNE OPÉRATION CONSISTANT À ÉVALUER LES PLBASE D’IMPOSITION


Par d’imposition ou de cassation il faut entendre la quantité d’éléments imposable il peut s’agir : du
bénéfice annuel, du salaire mensuel des loyers…ect

Quatre procédés permettent de l’évaluer

1) L’ÉVALUATION PARL LA TECHNIQUE DE LA DÉCLARATION CONTRÔLÉ.

La déclaration contrôlé dite évaluation réel fait appel à une dose de confiance fiscus …

En effet c’est ce dernier qui fournit tout les éléments de l’imposition qu’il va supporter. ( Ceux devant
lesquels au déclare le patrimoine c’est haute autorité de prévoyance. C’est différent ici , ce qui nous
intéresse ici ce sont les éléments du patrimoine pas de savoir combien de biens tu as ) la
généralisation de cette méthode s’explique par le fait que le contribuable connaît mieux que
quiconque les éléments de sa situation fiscale n’empêche que l’administration exerce sur les dites
déclaration un contrôle pour s’assurer de leur sincérité.

2) LA TECHNIQUE DE L’ÉVALUATION ADMINISTRATIVE

L’évaluation administrative est celle qui opéré unilatéralement par l’administration ,par l’application
de régles et techniques appropriées variant selon les catégories d’impôt on a recours à cette
methdabs les hypothèses suivantes :

- Lorsque le contribuable n’est pas en mesure de calculer le montant de l’impôt .


- Lorsque le contribuable n’a pas fait de déclaration.
- Lorsqu’on veut sanctionner le contribuable.

L’évaluation administrative un procédé approximatif le risque d’arbitraire est d’autant plus grand
qu’en cas de contestation la charge de la preuve pèse sur le contribuable .

( L’évaluation adm est Une évaluation qui est fait à sens unique le contribuable ne contribue pas le
fisc calcul le montant que tu dois payer , ainsi l’administration adm n’a pas de problème mais c’est le
contribuable qui apporte les preuves , ainsi si tu refuse de collaborer avec l’administration elle va
exercé sa puissance publique.)

La redevance est une contribution obligatoire, il ya certains qui sont institutions par la loi et d’autres
par les règlements

Sa prestation est soumise à une loi de finance ce qui n’est pas le cas de la redevance …

Limpo direct et indirect.

Distinction : on se base sur 2 critères

Incidence : lorsqu’il directement supporté par le contribuable


Le fait générateur : impôt foncier impôt annuel le fait générateur intervient à chaque 31 de l’année
pour voir ce que tu vas payer l’année prochaine.

L’impôt directe le fait occasionnel se fait de façon imprévue.

Voie de rôle Impôt directe ..

3) L’évaluation par la technique du forfait.

Le forfait est une méthode qui consiste à déterminer une base d’imposition rapproché et simplifier
ou directement le montant de l’impôt cette méthode est avantageuse pour le contribuable
parcequ’elle simplifie ses opérations fiscale et ne le soumet pas au régime du réel .

Le forfait peut être individuel collectif ou légal,

Le forfait individuel ou conventionnel est établi et discuté pour chaque contribuable sur la base d’une
déclaration souscrite par ce dernier ( il est conventionnelle c’est parceque c’est un accord entre lui et
l’administration ) ( le contribuable peut calculer le montant de l’impôt qu’il doit payer ,
deuxièmement c’est par lui qui calcule réellement car les règle ‘s de calcule sont déjà imposé)

Le forfait collectif concerne une catégorie de contribuable, il se rapproche de l’évaluation


administrative en ce sens que très souvent aucune formalité ni déclaration n’est exigée du
contribuable ( dans ce cas le contribuable ne contribue en rien Ainsi la loi détermine le montant
d’impôt qu’il doit payer l’administration agir unilatéralement)

Le forfait légal suppose que l’impôt ou certaines des éléments qui servent à l’établi soit fixé
forfaitairement et de manière indiscutable par la loi ( ici c’est pas l’administration mais c’est la loi à
cause du principe de liberté d’impôt )

4) La technique de l’évaluation indiciaire ( on se fonde sur des indices pour voir combien de
biens tu possèdes) q

Elle consiste à fixé automatiquement la valeur de la matière imposable en se référant à un signe ou à


une valeur commune , elle se fonde sur les signes extérieurs de richesse ou des indices choisi et fixé
par le législateur

( CDI –( il n’arrive pas calculer l’assiette de l’impôt ( il n’arrive pas à évaluer sa base d’imposition) )

Paragraphe 2 : la liquidation de l’impot ( l’opération de l’impôt )

La liquidation ou calcul de l’impôt dû consiste à appliquer à la base d’imposition un ensemble de


règles qui forme le tarif de l’impôt . L’élément essentiel du tarif est le taux. Lorsqu’il y’a plusieurs taux
on parle de barème. Le taux de l’impôt n’intervient pas lorsque le montant de celui-ci est
forfaitairement déterminé ( liquidation veux dire calculer)
SECTION 2 : L’OPÉRATION COMPTABLE D’ÉTABLISSEMENT DE L’IMPÔT : LE RECOUVREMENT

Le recouvrement s’entend de l’ensemble des opérations effectuées par les comptables publics en vu
d’obtenir le payement de l’impôt .

L’impôt est payable en numéraire, par chèque, par virement bancaire ou par voie électronique y
compris les procédés par téléphonies mobile. ( L’opération comptable est un e opération du
comptable public) ( le comptable paye l’impôt l’administration fiscale perçoit l’impôt ou recouvre
l’impôt faut pas confondre ( l’impôt à bine valeur pécuniaire donc il doit être évalué en argent mais
cet argent peut revêtir plusieurs formes comme en haut là bas )

PARAGRAPHE 1 : LES DIVERSES MODALITÉS DE RECOUVREMENT.

A) LE RECOUVREMENT AMIABLE ET LE RECOUVREMENT FORCÉ.

Le recouvrement est dit amiable lorsqu’ il se déroule dans un contexte non conflictuel entre le
contribuable et l’administration fiscale c’est la situation dans laquelle le contribuable qui reçoit un
avis d’imposition ne fait pas d’obstacle à s’acquitter de sa dette fiscale dans les délais qui lui sont
imparti par la loi .

En revanche le recouvrement forcé est celui qui se résout au moyen de la contrainte des poursuites
sont effectuées par des agents de l’administration fiscale pour contraindre le contribuable au
paiement de l’impôt . Les moyens utilisés sont :

-La saisi immobilière ;

-La saisi mobilière ;

- L’avis à tiers détenteur ; ( le cas du locataire qu’on force à payer directement à l’administration )

-La fermeture d’établissement et

-L’interdiction d’exercer

B) B- le recouvrement spontané et le recouvrement par retenue à la source

Il y’a recouvrement spontané ou au comptant lorsque le contribuable liquide lui-même l’impôt dont il
est redevable . Il verse au trésor public. Dans le recouvrement par retenue à la source il revient au
tiers de liquider puis de verser au trésor public le montant de l’impôt dont est redevable le
contribuable.

PARAGRAPHE 2 : Les obstacles au recouvrement ou la fuite ite devant l’impôt

A) La manifestation de la fuite devant l’impôt


La fuite devant l’impôt se manifeste de 3 manières à travers la fraude , l’évaluation et la résistance à
l’impôt

1) La fraude fiscale

La fraude fiscale est une violation direct et volontaire de la li fiscale c’est une délit et par conséquent
est constituée d’un éléments matériel et d’un éléments intentionnel .

Les actes caractérisant l’élément matériel sont énumérés à l’article 171 du livre de procédure fiscale.

Il s’agit de l’omission volontaire dz faire sa déclaration dans les délais précis ;

De la dissimulation d’une partie des sommes assujettis à l’impôt ;

De l’organisation de son insolvabilité. ;

Des obstacles au recouvrement de l’impôt ;

Des agissements frauduleux en tout genre.

L’élément intentionnel constitué de l’intention frauduleuse des agissements doit être prouvé

( La fraude est une violation direct de la loi fiscale dans l’évasion fraude sans toutefois sans violé la loi
( au plan interne ex : si l’ETA voit que l’orange mâche beaucoup en côte d’ivoire ils vont augmenter
l’impôt dessus mais si la population voit ça ils vont décider de ne plus consommer cela et vont
consommer la banane. évasion internationale ici tu décides de ne plus investir dans ton pays mais
dans un pays où l’impôt est moyennement prélevé)

( Optimisation fiscale mesure employés par le contribuable pour diminuer ses charges fiscales ex :
s’éloigner de la grande ville pour payer moins d’impôts )

2) L’évasion fiscale

L’évasion consiste pour le contribuable à réussir à éludé ( évité) sans toutefois violé la loi fiscale il
convient de distinguer l’évasion fiscale interne de l’évasion fiscale internationale.

Au plan interne elle consiste pour le contribuable tout en restant sous la souveraineté fiscale
nationale à essayer d’échapper à l’imposition en profitant des failles du système fiscal.

Au plan international le contribuable peut faire passer son bien ou sa personne sur un territoire
étranger pour échapper à l’imposition en raison du caractère territorial de la souveraineté fiscale

3) La résistance de l’impôt

La résistance à l’impôt à lieu lorsque le contribuable par voie de fait menace ou manœuvre concerté
organise ou tente d’organiser le refus collectif de l’impôt.

( La facture normalisé est institué en 2005 à cette époque il ya un Arabe il commencé à montant les
commerçants pour leur dire de ne pas prendre les factures normalisé ainsi il effectue une résistance
de l’impôt il à été rapatrié)

( les pouvoir di droit fiscal, exclusivité de pouvoir les PV public applique ses loi sur toutes l’étendue du
territoire l’économie : elle n’es sont pas soumis aux règles étrangères )
B) LES MOYENS DE LUTTE CONTRE LA FUITE DEVANT L’IMPÔT

La lutte contre le refus de payer l’impôt a une double porté à savoir le rétablissement de la l’égalité et
de la justice fiscale. Les moyens utilisés a cet effet sont :

Le contrôle fiscal ; ( le contribuable à la liberté de déclarer ses bien ce qu’il oubli ces que l’Effectue un
contrôle après sa déclaration ainsi l’Etat hérité de pouvoir important pour rechercher la preuve en cas
de preuve aussi la loi permet de faire des contrôles approfondis )

La prévention et répression ;

1) Le contrôle fiscal

Dans le système fiscal de type déclaratif comme le notre, le contrôle exercé par l’administration
fiscale sur les déclarations du contribuable est accru, en ce sens que d’importants moyen lui sont
dévolu néanmoins pour éviter que l’administration n’abuse de ses pouvoirs le législateur à jugé bon
de protège le contribuable .

a) D’importants moyens dévolu à l’administration

- Les moyens d’investigation sont ceux utilisés par l’administration pour réunir les éléments de
preuve des infractions qui accablent le contribuable ce sont :

Le droit de communication

les demandes de justification

la droit de visite et

droit d’enquête

Le droit de communication, est là droit reconnu à l’administration de prendre connaissance de tout


document, de recueillir des informations et renseignements détenu par des personnes physiques ou
morales dans le cadre de l’exercice d’une activité donné. L’’exercice du droit de communication peut
se faire sur place ( le fisc fisc dit moi-même jetais là bas et si la banque dit tu as de l’argentsur ton
compte tu est dans un cas de fraude ce qui est pour l’administration un droit est un devoir pour
l’organisme(banque) ) ou par correspondance .

Le demandes de justification sont des explications que l’administration demande au contribuable au


sujet de sa situation ou de ses charges de famille ou lorsqu’il apparaît une disproportion entre les
revenus déclarés d’une part la situation patrimoniale , la situation de trésorerie et les éléments du
train de vie des membres de son foyer de l’autre
Ses explications peuvent être demandée verbalement par écrit ou de manière électronique.

Lorsqu’elles sont faits par écrit les demandes doivent expliquer clairement les points à clarifier et
ceux dans un délai 30.

Lorsque le contribuable s’abstient de répondre à cette demande l’administration arrête d’office les
base d’imposition sans qu’il soit nécessaire d’adresser une mise en demeure.

Si les réponses du contribuable sont jugés évasives l’administration lui adresse en ce moment une
mise en demeure qui l’oblige à compléter la réponse dans un délai de 15 jours .

L’administration fiscale s’occupe de l’assiette et de liquidation et comptable public s’occupe du


recouvrement le comptable fait le payement de la dépense mais le payement de l’impôt .

Le régime forfetaire s’oppose au régime du réel.

Dans le réel c’est selon le revenu..mais le forfait est évalué de façon approstimativement ….

Le droit de visite ( perquisition en matière pénale) c’est le droit reconnu aux agents de
l’administration fiscale d’effectuer des visites en tout lieu même privé où les pièces, documents et
marchandises, ou produits se rapportant à une infraction sont susceptibles d’être détenu et procédé
à leur saisie. Or mis les cas de flagrance l’exercice du droit de visite dans un domicile privé doit être
autorisée par une ordonnance ainsi susceptible de recours du président du tribunal dans le ressort
duquel sont situés les locaux à visiter celle-ci doit intervenir dans un délai de 48 h en l’absence de
devis l’administration fiscale est de droit autorisé à effectuer la visite celle ne peut commencer avant
6h ni après 21 h , dans les lieux ouvert au public elle peut commencer pendant heures d’ouverture
de l’établissement.

Elle est effectué en présence de l’occupant des lieu ou de son représentant.

En cas d’impossibilité l’officier de police judiciaire requière deux témoins choisi en dehors des
personnes relevant de son autorité ou de celle de l’administration fiscale. ( Il s’agit pour les agents de
se déplacer pour aller dans les lieux privé ou public pour saisir des marchandises des documents pour
office de preuve avant toute saisie il faut saisir le tribunal d’abord le tribunal compétent est celui du
ressort duquel se trouve le domicile à visiter si les juges dans les 48 ne se prononce pas les agents de
l’administration peuvent aller sur le terrain…et ce droit s’exerce entre 6h et 21h il ne doit pas s’exerce
avant ou au-delà et l’argent doit toujours se faire accompagner d’un agent de police judiciaire icu o
vient pas pour constater mais pour saisir)

Le droit d’enquête c’est le droit reconnu aux agents de l’administration fiscal de se rendre dans les
locaux à usage professionnel aux heures de travail pour rechercher les manquement aux règles de
facturation auxquelles sont soumis les assujettis aux taxes indirect et au règles de tenue de
comptabilité et de déclaration auxquelles sont soumis l’ensemble des contribuables . ( Se droit est
très stricte car ils concernent seulement les commerçants qui délivre des factures normalisés ici on
vient Pour constater )

- Les moyens de vérification


Les moyens de vérification ou de contrôle font dispose l’administration sont au nombre de 3 :

La vérification de comptabilité ;

Le contrôle sur pièce ;

La vérification approfondie de la situation fiscale d’ensemble des personnes physiques .

La vérification de comptabilité peut être défini comme la possibilité qu’a l’administration de s’assurer
de la sincérité des déclarations souscrite par des contribuables en les comparant avec sa comptabilité
elle a lieu sur place c’est-à-dire dans les locaux de l’entreprise pendant les jours ouvrables et aux
heures de travail elle peu porter sur un impôt ou un groupe d’impôt ou sur l’ensemble de la situation
fiscale du contribuable. ( il s’agit ici pour les agents de se déplacer pour aller dans l’entreprise pour
faire une comparaison des déclarations fait par le contribuable et ce qui se trouve dans sa
comptabilité, aussi elle peut porté sur un impôt ou plusieurs….donc on vient vérifier la comptabilité
de l’entreprise .

Le contrôle sur pièce fait partie des tâches quotidienne des agents des services d’assiette de recevoir
les déclarations des contribuables dont il gère les dossiers fiscaux , il consiste pour ces agents à partir
de leur bureau de procéder à des examens critiques de déclaration à l’aide des renseignements et
documents figurant aux dossiers des contribuables . ( Ce sont les agents de service d’assiette qui font
ça )

La vérification approfondie de la situation fiscale d’ensemble des personnes physiques est le contrôle
qui est exercé au regard de l’impôt général sur le revenu il consiste à vérifier la cohérence entre d’une
part les revenus déclarés et d’autre part la situation patrimoniale, la situation de trésorerie, et les
éléments du train de vie des membres du foyer fiscal ( foyer fiscale :les personnes qui sont à la charge
du contribuable peu importe que ça soit ses enfants ou pas ) ( c’est un contrôle sur pièce car il se fait
à partir des locaux fiscal c’est contrôle qui se fait sur l’impôt général sur le revenu)

( Quand l’administration fiscale à faire le contrôle peut importe le contrôle le contribuable bénéficie
du principe du contradictoire)

b) Les garanties du contribuable ( droit du contribuable, protection du contribuable)

Pour prévenir d’éventuels abus de l’administration eu égard à ses pouvoirs étendus le


législateur a pris des garantissant la protection du contribuable, les garanties accordées à se
dernier sont perceptibles avant pendant et après le contrôle.

- Avant le contrôle , la protection du contribuable qui a lieu avant le contrôle se traduit par la
remise ou l’envoi au contribuable d’un abus de vérification au moins 15 jours avant
l’engagement se la procédure ceci pour l’informer de l’éminence d’un contrôle mais aussi
pour l’inviter à prendre toute les dispositions nécessaires au bon déroulement de l’opération
w l’avis de comporter obligatoirement : la période de vérification, l’objet de vérification,
l’assistance d’un conseil , la date et l’heure de la première intervention sur place .

- Pendant le contrôle ce stade le contribuable doit s’assurer que les règles relatives au lieu du
contrôle à l’emploi des documents et à la durée du contrôle soient respectés.

Relativement au lieu , il varie selon la nature du contrôle.Pour ce qui est de la vérification de


comptabilité le contrôle peut avoir lieu chez le contribuable où au siège social de l’entreprise
dans le soucis de respecter la vie privée du contribuable le contrôle à lieu de préférence dans
les locaux de l’entreprise .

S’agissant de la vérification approfondie de la situation fiscale d’ensemble le contrôle à lieu


Dans les locaux de l’administration précisément au bureau du vérificateur.

Relativement à la question de l’emport des documents par le vérificateur le principe consacré


en la matière est celui de l’interdiction opposé à ce dernier toutefois l’emport de ces
documents est possible à condition que le contribuable donne sont autorisation et que la dite
autorisation soit justifié par des questions de commodité. ( Pendant le contrôle la loi interdit
au fisc d’emporter les documents.. toutefois il peut emporter le document si le contribuable
lui donne accompagné par des questions de commodité ( ex : bon va avec parceque ici il ya
pas assez de place)

Relativement à la durée du contrôle le législateur a pris le soin de la limité afin que le


contrôle ne soit pas préjudiciable au activité du contribuable ( pour éviter un abus de
contrôle)

Après contrôle A l’issu ( la fin ) le contrôleur est tenu de notifier au contribuable le résultat de
son contrôle en l’absence ou pas de redressement ( quand il découvert des irrégularités dans
sa comptabilité tout ce que tu devais payer en temps normal du doit payer ) le non respect de
cette exigence affecté la régularité de la procédure.

En cas de contestation de résultat, le contribuable dispose de voie de recours non


contentieux ou contentieux.

Le recours non contentieux a pour particularité de ne pas être exercé devant le juge c’est un
recours qui est exercé principalement devant l’administration il est fait sous forme d’un
recours gracieux c’est-à-dire d’un recours porté par le contribuable devant l’administration
fiscale en vu de solliciter son intelligence à propos d’une impositions régulièrement établie
contre laquelle il ne lève d’ailleurs pas de contestation ( il fait le recours gracieux parceque il
reconnaît que le contrôle est propre et il demande à l’autorité de revoir son cas )

L’administration peu user soit par voie de remise soit par voie de transaction pour accorder
sin indulgence.

La remise ou modération est un acte unilatéral d’abandon de créance pur et simple ou


conditionnel consenti par un créancier en l’occurrence l’Etat à son débiteur le contribuable et
partant sur tout ou partie de la créance fiscale.
La transaction est une convention par laquelle l’administration et le contribuable mettent fin
à une contestation moyennant des concessions réciproques : le contribuable s’engage d’une
part à respecter le point de vu de l’administration sur une imposition qu’elle réclame et
l’administration s’engageant d’autre part à réduire le montant des pénalités
encourus. ( Quand il fait le recours gracieux le fisc répond soit par la remise ou la transaction
ainsi le fisc peut laisser tomber ou peut lui dire faut payer la moitié de ce que tu dois ici c’est
le fisc qui apprécie et te donne sa réponse c’est alors un acte unilatéral, aussi le fisc peut
retirer les pénalités et payer le droit ça c’est le cas de la transaction on laisse les tomber les
pénalités mais tu va payer les droits ici on parle s’arrangement donc les deux parties vont se
voir

( En fiscalité il 4 type de contentieux : C d’imosition on te dot de payer un montant que tu ne devais


pas payer .

Le contentieux sur le recouvrement forcé en non amiable :

Le contentieux de l’annulation : recours pour excès de pouvoir les actes administratifs peuvent être
annulé

Le contentieux de la responsabilité : l’administration a commis une faute de service .

( Le contentieux fiscal est calqué sur le contentieux administratif,)

2) LA PRÉVENTION

Le moyen de prévention beaucoup utiliser par l’administration fiscal ivoirien est la sensibilisation.
Plusieurs techniques sont utilisés pour sensibiliser le contribuable au civisme fiscale on peut citer
entre autres : les support musicaux , la réalisation de télé film w la confection des dépliants

3) LA RÉPRESSION

Elle s’exprime à travers les sanctions prises à l’encontre des contribuables indélicats il peut s’agir de
sanction fiscale ( majoration d’impôts ) ou des sanctions pénales ( prison )

DEUXIÈMEME PARTIE : LE SYSTÈME FISCAL IVOIRIEN ( le soir du 28 novembre 202

La notion du système fiscal se prête à une double définition.

Au sens large le système fiscal désigne un ensemble plus ou moins cohérent d’institutions de règles et
de pratique fiscal au sens restreint, il désigne l’ensemble des impôts institué par ‘es pouvoir public
d’un État donné en raison du principe de la souveraineté fiscale Les État sont libres d’instituteur sur
leur territoire les impôts de le choix . Dans le cadre de cette étude nous verrons successivement les
régimes d’imposition et la structure de la fiscalité ivoirienne .
CHAPITRE 1 : LES RÉGIMES D’IMPOSITION

Les régimes d’imposition désigne l’ensemble des règles déterminants les modalités de calcul de
l’impôt .

En côte d’ivoire les régimes d’imposition on été réformés depuis l’entrée en vigueur de l’annexe
fiscale 2021 au motif que les régimes précédents n’étaient plu favorable au petite et moyenne
entreprise et et qu’ils faciliterait la fraude et l’évasion fiscale.

( Les règles peuvent varier d’un État à un autre le critère sur lequel on se base pour déterminer le
régime d’imposition est chiffre d’affaires

Par le passé on avait 4 régime d’imposition

-La taxes forfaitaire des petites et moyennes entreprises

-Impôt synthétique

-Régime du réel( réel simplifié d’imposition et le régime normal d’imposition )

Mais le législateur en 2020 à refomer le régime d’imposition au motif que elle était acquaique

Désormais il vont faire un régime qu’on appelle le régime de l’entreprenant les entreprises assujettis à
se régime il ya 2 impôt à l’intérieur 1 appelle la taxe communale de l’entreprenant et l’autre la taxe
d’État de l’entreprenant

Pour être assujetti au régime d’imposition simplifier au-delà de 200 millions

Et le régime d’imposition normal au-delà de 500 mille

SECTION 1 : LES NOUVEAUX RÉGIMES INSTITUÉS

La réforme opéré en 2021 à conduire à la suppression de la taxe forfaitaire des petits commerçants et
artisans à laquelle étaient assujettis les contribuables qui réalisaient un chiffre d’affaires qui était
inférieur à 5 millions de francs TTC , et l’impôt synthétique auquel étaient soumis les personnes
physiques ou morales ayant un chiffre d’affaires compris entre 5 millions et 50 millions de francs TTC (
toute taxe comprise) .

Ces régimes on été remplacé par le régime de l’entreprenant et celui de l’impôt des micros
entreprises .

PARAGRAPHE 1 : LE RÉGIME DE L’ENTREPRENANT


Il regroupe les entreprises dont le chiffre d’affaires TTC n’excède pas 50 millions de francs CFA les
entreprises assujettis à ce régime. Relève pour certaines de la taxe communale de l’entreprenant et
pour les autre de la taxe d’Etat de l’entreprenant .

A) La taxe communale de l’entreprenant

Les entreprises relevant de la taxe communale de l’entreprenant sont celles qui réalise un chiffre
d’affaires n’excédant pas 5 millions de francs CFA TTC.

La taxe communale de l’entreprenant est déterminé par l’application d’un taux de 2 ou de 2,5 % de
chiffres d’affaires selon qu’il s’agit d’activité de commerce ou d’autres types d’activités y compris les
prestations de services .

Pour les commerçants artisans et façonnier exerçant une activité en étalage dans les rue ou sur les
marchés et qui réalise un chiffre d’affaires annuel inférieur à un million 200 mille le conseils municipal
de leur localité peut les autorisé à acquitter une taxe journalière.

Calcule Dame loa exerce une activité commerciale dont le CAttc est de : 3000.000

TAF ( travail à faire )

Déterminer le régime d’imposition de dame Loa ( très important)

Liquidé l’impôt du par Dam loa

Elle est soumise au régime de l’entreprenant

Liquidons le CATtC

TCE= CATTC x 2%

AN 3000.000 X 2%

TCE = 60 000

La taxe communale de l’entreprenant est libératoire de la patente . Les taxes communal de la


contribution a la charge des employeurs de l’impôt sur les traitements et les salaires. ( La taxe
communale est libératoire c’est-à-dire elle ne paye plus la patente )

B) La taxe d’Etat de l’entreprenant

Assujettis à cette taxe sont celles qui on établit un chiffre d’affaires annuel ou qui on déclarer un
chiffre d’affaires provisionnel qui est établi entre 5 millions 1 et 50 millions de francs TTC

Lorsque le chiffre d’affaires de ces personnes s’abaisse en dessous du seuil de 50 millions pendant
trois d’exercice consécutifs ces dernières ne sont plus soumise à la TEE . ( Si après 3 années
consécutives tu es en dessous du seuil de 50 millions tu rétrograde et la taxe communale de
l’entreprenant)

Pour les contribuables qui commence ou cesse leur activité en cours d’année leur CA sont ajusté au
prorata du temps d’exploitation . ( Son chiffre d’affaires est compris pour le temps restant)

Pour calcule de cet impôt il est appliqué le taux de 5 % de chiffres d’affaires ( tout ce qui est
prestation de service) . Lorsqu’il s’agit d’une entreprise commerciale c’est le taux de 4 % qui est
appliqué au chiffre d’affaires .

Lorsqu’un contribuable exploite simultanément dans une même localité ou dans des localités
différents plusieurs établissements, boutique, magasin, atelier , chantier et autre lieu d’exercice d’une
activité chacun d’entre eux est considéré comme une entreprise ou exploitation distinct faisant l’objet
d’une imposition séparé , dès lors que le chiffre d’affaires Total réalisé au titre de l’ensembles
d’activités réalisé ne placent pas de plein droit le contribuable au régime de la micros entreprises.

Notons pour finir que la TAA se substitue à la patente à l’impôt BIC et a la TVA

TEE = CAttc x 5 % ou 4% .

Chaque établissement est assujettie

Un fois que tu dépasse 50 millions tu es assujettis au régime des micros entreprises

.Dame loi est propriétaire de plusieurs établissements situé dans sa commune d’Adjamé

Un magasin de commercialisation de riz local . CAttc = 15 million

Un atelier de réparation de moto . CAttc = 10 million

La première des chose à faire pour savoir à quel impôt il s’agit on va faire 15 + 10 million

1) Déterminons le régime : TEE


2) Liquidation :

TEE magasin

TEE = cAttc x 4% = 15 000 000 x 4%

TEE= 600000

TEE atelier

TEE = CAttc x 5% = 10 000 000 x5%

TEE= 500 000


Le chiffre d’affaires est l’ensemble des recettes bruite ( le chiffre d’affaires hors taxe il faut le convertir
en chiffres d’affaires TTC= CAttc x 1, 18

PARAGRAPHE 2 : LZ RÉGIME DE L’IMPOSITION DES MICROS ENTREPRISES

Il est applicable aux entreprises dont le chiffre d’affaires TTC est compris entre 50 millions 1 et 200
millions pour l’application de l’impôt il est fait application de taux de 6 % au chiffre d’affaires par les
entreprises avec une possibilité pour elle de se faire suivre par un cabinet d’expert comptable…pour
les adhérents des centres gestion agréé le taux de l’impôt est fixé à 4% .

SECTION 2 : LES RÉGIME RÉAMÉNAGER DU RÉEL D’IMPOSITION

Les régimes du réel n’ont pas été supprimés ils ont été reconduits avec un réaménagement apporté à
la taille des entreprises assujettis à ces entreprises c’est-à-dire au régime simplifié d’imposition ( RSI)
et au régime normal d’imposition .

PARAGRAPHE 1 : LE RÉAMÉNAGEMENT DU REGIME SIMPLIFIER D’IMPOSITION

Par le passé le RSI s’appliquait aux entreprises qui avait un chiffre d’affaires compris entre 50 millions
et 150 millions de francs TTC pour les activités commerciales et entre 25 millions et 75 millions de
francs CFA TTC pour les prestations de services.

Aujourd’hui les personnes physiques ou morales assujettis à ce régime sont celles qui réalise un
chiffre d’affaires compris entre 200 million 1 et 500 millions de francs TTC

PARAGRAPHE 2 : LE RÉAMÉNAGEMENT DU RÉGIME NORMAL D’IMPOSITION

Par le passé le RNI s’appliquait aux entreprises qui avait un chiffre d’affaires qui excédait 150 millions
de francs TTC pour les entreprises commerciales et 75 millions de francs TTC pour les prestations de
services.

Aujourd’hui les entreprises assujettis à ce régime sont celles qui réalise un chiffre d’affaires et excède
500 million de francs TTC .

CHAPITRE 2 : LA STRUCTURE DE LA FISCALITÉ INVOIRIENNE

Le système fiscal de la CI est composé de plusieurs impôts suivant la classification retenue par le code
général des impôts on distingue :

Les impôts directs


Les impôts indirects

Les droit d’enregistrement et les droits de timbre . ( Ce sont les trois livre s )

SECTION 1 : LES IMPÔTS DIRECTS

Ils sont constitués d’une part des impôts sur le revenu et d’autre par de bien d’autres impôts.

PARAGRAPHE 1 : LES IMPÔTS SUR LE REVENU

Il existe plusieurs types de revenu chaque catégorie de revenu ou cédule est imposée séparément
après tous ces revenus sont assujettis dans le cas des personnes physiques à l’impôt général sur le
revenu. ( C’est une impôt payé seulement par les personnes physiques)

A) LES DIFFÉRENTS IMPÔTS CELLULAIRE

1) L’impôt sur les bénéfices industriels et commerciaux et les bénéfices agricoles ( IBCA
mais de façon courante appelle ça IBIC )

( Quand on étudie un impôt on cherche à savoir le champs d’application c’est-à-dire qui paye
quoi parceque chacun à son champs d’application exonération c’est le dispensation c’est-à-
dire on dit tu ne paye pas tel ou tél impôt l’exonération peut être Total ou partiel , elle peut
être temporaire ou permanente ensuite après avoir déterminer le champs on va déterminer
maintenant les modalités d’application c’est-à-dire comment je vais calculer : on va chercher
la base d’imposition et le taux .)

a) Le champs d’application

L’impôt BIC frappe les entreprises individuelles ou les sociétés ayant une activité commerciale
( achète et vent ) , ou industrielle ( fabrication) artisanale et même agricole .

b) Les modalités d’application


Il convient de déterminer successivement la base d’imposition et le taux d’imposition .
( Notons que chaque impôt à son tôt )
La base d’imposition de l’impôt BIC est de bénéfice nettes encore appelé résultat fiscal quant
au taux d’imposition il est fixé à 25 % aussi bien pour les personnes physiques que pour les
personnes morales d’où la formule.
IBIC Bénéfice net ( Bnet ) x 25 %.
Bénéfice net ne sont pas les bénéfices brutes ( à la fin va calculer tout les entré( produits )et
les sorties)
Bénéfice comptable = produits -charge ( P-C) ( la loi dit c’est le bénéfice net qui doit être
imposé et non le bénéfice comptable. ( J’ai acheter tel 1000 f tel 1000 tel 1000 j’ai revendu à
5000 et mon bénéfice est 2000 non c’est pas ça qui imposé car les chaussures et les habits de
ces enfants ne doivent pas être parti des charges de l’entreprise donc il vont te demander de
ramener l’argent de chaussures et d’habit pour que le bénéfice fasse 3000 .)

Exemple j’ai une entreprise acheter lebois à 1000f acheter les pointes à 1000 f ça ce sont mes
charges j’ai vendu j’ai 5000 f les 500 f c’est le produit donc je fais 5000 – 2000 il reste 3000
c’est le bénéfice comptable mais la loi dit c’est pas ce bénéfice là qui doit être imposé mais le
bénéfice net j’ai acheter le bois à 1000 f les points à 1000 j’ai acheter la tenue de mon enfant
à 500 et ses chaussures à 500 ce qui fait 3000 f le comptable va dire j’ai fais une dépense de
3000 f mon bénéfice est de 2000 mais la loi dit la dépense de chaussures et ténu de mon fils
n’entre pas dans les dépenses de l’entreprise donc la loi va dire de ramener l’argent des
dépenses faites sur l’enfant pour que tout fasse 3000.

Donc Bnet = ou RF = RC + R( réintégration ) – D ( deduction


( Le bénéfice comptable et le résultat comptable c’est la même chose )
BC = P-C ( donc ça arrange l’ETA quand les bénéfices est de 3000 ) ( le plus important c’est
que la base d’imposition c’est le bénéfice net et non le bénéfice comptable )

( IBIC Bénéfice net ( Bnet ) x 25 %. Je fais ça le résultat que je trouve n’est mas le vrai résultat
ce qui nous intéresse c’est le bénéfice réel qui est l’impôt minimum forfaitaire)

2) L’impôt minimum forfaitaire

L’iNF est exigible dans l’un des cas suivants :


Si le montant de l’impôt sur les bénéfices de l’exercice est inférieure à l’impôt minimum
forfaitaire du dite exercice.

Si le montant cumulé des impôts et taxes dû au type de l’exercice , or impôt de tiers , est
inférieure au montant maximum de l’impôt des micros entreprises déterminé sur la base du
seuil supérieur du chiffres d’affaires du régime des micros entreprises.

( Pour déterminer IBCi réel il faut l’împot minimum…pour trouver l’impôt après ça 2 cas si le
résultat est inférieure..,…)

Le taux de l’INF est de 0,5 % du chiffre d’affaires TTC pour les entreprises assujettis au régime
du réel d’imposition avec un minimum de perception de 3 millions et maximum de
perception de 35 millions uniquement pour les entreprises assujettis au réel Normal
d’imposition .

IMF = CATTC x taux de 0,5%

( Quand je fais le calcul l’IMF que je trouve est minimum…donc si je trouve imf 2500 000 donc
on dit si je n’est rien donné du tout du tout c’est 3 millions l’impôt IBIC s’applique seulement
aux entreprises assujettis au régime simplifié et régime normal c’est-à-dire régime du réel)
pour être assujetti il faut avoir un chiffre d’affaires qui te place de lié régime du réel )
(chiffres d’affaires inférieur à 200 millions tu paye l’impôt sur les micros entreprises
Donc si après calcul je 40 millions alors je vais payer 35 million .
Perception Maximal.

Minimum de perception c’est le 2 maximum c’est pour le régime normal.

Tosseta a une entreprise

Au cours de l’année N-1 elle réalisé un CA de = 350 millions f


Bénéfice C = 20 million
Bénéfice net ou fiscal = 25 million

1) Détermine le régime d’imposition de l’entreprise .


2) Liquidé l’lBIC

1) Il est assujettie au chiffre d’affaires simplifier d’imposition car sa son chiffre d’affaires est dans
l’intervalle 200 millions 1 et 500 millions.

2) IBIC = Bnet × 25 %

An IBCI = 25 million x 25%


IBIC = 6250 mille
Cherchons l’IBIC réel
IMF= CATTC X 0,5 %
= 350 millions x 0,5%
IMF théorique= 1750 000

Cherchons l’IMF réel


En vertu de la règle minimum de perception on paie 3 millions

Comparaison
IBIC théorique > IMF réel ( R)

= > IBCI théorique= IBCI

3) L’IMPÔT sur les bénéfices non commerciaux.

A) LE CHANT D’APPLICATION .

L’IBNC frappenles bénéfice réalisé par les profession non commerciales, les profession
libérale( avocat notaire..) les titulaires de charge, les sociétés étrangères n’ayant pas
d’installation professionnelle en côte d’ivoire et qui perçoivent des rémunérations en raison
des prestations de services de toute nature fourni ou utilisé en CI .

B) Les modalités d’application


L’impôt est établi chaque année en raison des bénéfice net établi chaque année le taux d’imposition
est de 25 % l’IMF quant à lui s’élève à 5% des recettes bruites TTC de l’exercice .

4) Les impôts sur les salaires.

Il deux type d’impôt sur les salaires :

4.1 ) l’impôt sur les traitements et salaires ( ceux qui travaillent payent cet info et c’est un
impôt recouvrir à bla source)

4.2 ) la contribution employeur ( ça concerne les expatriés )

5) Les impôts sur les revenus mobiliers et des créances

5.1) l’impôt sur les revenus des valeurs mobilières ( concerne les impôts qui font créé une procédure
dans la société chaque à sa part à la vous allez partager les bénéfices en fonction des contributions de
chacun)

5.2) l’impôt sur les revenus de créance

B) L’IMPÔT GÉNÉRAL SUR LE REVENU

PARAGRAPHE 2 : LES AUTRES IMPÔTS DIRECT.

A) LES IMPÔTS FONCIER

1) L’impôt sur le revenu foncier

Il frappe les biens immeubles qui sont battis c’est-à-dire les maisons les usines….ect qui
produisent un revenu par leurs propriétaires la base d’imposition de cet impôt est la
valeur locative annuelle le taux d’imposition de cet impôt est de 3% pour les ménages et
4 % pour les entreprises . Formule= valeur locative annuelle x 3 % ou 4%

Monsieur Loa est propriétaire d’une villa située dans la commune de Cocody
Loyer mensuel : 500 mille

Liquidé l’impôt sur le revenu foncier dû par Loa ( quand la Maison est mise en location on paye
l’impôt sur le revenu foncier)
1) IRF = VLA x 3%

Déterminons la VLA

VLA= loyer mensuel x 12

VLA = 500 mille x 12

= 6 millions

IRF = 6 millions x 3% ….

2) L’impôt sur le patrimoine foncier des propriété bâti

Il partage le même champ d’application que l’impôt sur le revenu foncier sa particularité est qu’il
frappe les bien ou immeuble qui ne fond pas des revenus.

Sa base d’imposition est là valeur locative annuelle c’est-à-dire le montant que le propriétaire aurait
reçu s’il avait mit sa maison en location.

Son taux est de 9 % pour les ménages et de 11% pour les entreprises.

Lorsque le propriétaire habite lui-même sa maison le taux est réduit à 3% pour le ménage et 4% pour
les entreprises.

NB : lorsqu’un propriétaire met donc sa maison en location il payera à la fois l’impôt sur le revenu
foncier et l’impôt sur le patrimoine foncier des propriété bâti.

M. Loa est propriétaire de 2 villas d’égales valeur .

Il habite la première villa avec sa famille

La deuxième villa es mise en location

Loyer mensuel : 500 mille.

Liquidez l’impôt foncier sur la maison habité par loi .

Liquidé l’impôt foncier sur la maison en location.

Impôt foncier sur la maison habité

IPFPB= VLA X3 %

Déterminons VLA

VLA = loyer mensuel x,12

500 mille ( on s’est référer à l’autre maison ) × 12


VLA = 6 millions

Fpfpb= 6 millions × 3%

Fpfpb = 180 mille

Impôt foncier sur la propriété mise en location

IRF = VLA x 3%

6 millions x 3%

IRF = 180 mille

Calculons …..

………….

3) L’IMPÔT SUR LE PATRIMOINE FONCIER DES PROPRIÉTÉ NON BÂTI

Il frappe les terrains urbain ou en voie d’hubanisation est les terrains destiné à l’etablissement de
maison, d’occupation d’usine et de fabrique.

Sa base d’imposition est là valeur vénale.

Le taux d’imposition est fixé à 1,5 %

Formule Isur patrimoine foncier des propriété non bâti= vvx 1,5%

V v = superficie x prix / m2

Monsieur Loa est propriétaire du terrain d’une superficie de 800 m2 situé dans la commune de Yop
dans la dite commune le m2 de terrain est fixé à 5000 f

Liquidé l’impôt sur le patrimoine foncier des propriété non bâti dû par Loa

Ipfpnb= VV x 1,5%

VV = superficie x prix / m2

= 800 m² x 5000 f

= 4 million

Ipfpnb = 4 million x 1,5 %

Ipfpnb= 60 000
B) LA PATENTE ET LA LICENCE .

1) La patente

Elle est payé par toute personne physique ou morale, ivoirienne ou étrangères qui existe une activité
en côte d’ivoire elle est composé du droit sur le chiffre d’affaires et du droit sur la valeur locative.

Formule : Patente= VCA ( droit sur le chiffre d’affaires) + DVL ( droit sur la valeur locative)

Le droit sur le chiffre d’affaires est obtrnu en affectant le taux de 0,5 % du chiffre d’affaires hors taxe
de l’année précédente.

Le taux de 0, 5 % est porté a à 0,7% pour certaines entreprises spécifiques telle que les entreprises de
téléphonie mobile et les entreprises de ramassage d’ordure .

Formule : DCA = CATTC + ( n-1 année précédente) x 0,5 ( le taux des entreprises de droit commun) ou
0,7 .

Le droit sur le chiffre d’affaires ne saurait être inférieure à 300 mille francs ( minimum de perception)

Il existe un maximum de perception qui varie en fonction du chiffre d’affaires .

- Lorsque le chiffre d’affaires hors taxe réalisé est inférieure à 200 millions le maximum de perception
de droit sur le chiffre d’affaires est de 350 miles .

-Lorsque le chiffre d’affaires est situé dans l’intervalle de 200 millions à 500 millions le maximum de
perception du droit sur le chiffre d’affaires est 700 mille francs.

- lorsque le chiffre d’affaires hors taxe se situe dans l’intervalle de 4 500 millions 1 à un 1 milliards, le
maximum de perception de droit sur le chiffre d’affaires est de 1 millions 300 mille .

- lorsque chiffre d’affaires est supérieur à 1millird les montants maximum du droit sur le chiffre
d’affaires est 3 millions

Pour les entreprises auxquelles on affecte le taux de 0, 6 % il y’a pas de maximum de perception en
plus elles sont exemptés de droit sur la valeur locative.

Le droit sur la valeur locative s’obtient en affectant un taux de 18, 5 % à la valeur locative annuelle du
local professionnel si celui-ci est situé dans le périmètre Communal.

Lorsqu’il est situé en dehors le taux applicable est 16 % . Il est à noté que le droit sur la valeur locative
ne serait être inférieure au tiers du droit sur le chiffre d’affaire .

SECTION 2 : LES IMPÔTS INDIRECT.

Les taxes sur le chiffre d’affaire : la TVA , TOB ( taxe sur les opérations bancaires) ,

les autres impôts indirects : la taxe de consommation sur les produits pétroliers, la taxe sur la
complicité, la taxe sur les contrats d’assurance .
SECTION 3 : LES DROITS D’ENREGISTRELENT ET DE TIMPBRE

LES droit d’enregistrement , droit de mutation a titre gratuit

Droit d’enregistrement et droit mutation à titre onéreux

Les droits afférant aux acte de la vie des entreprises

Dame loa est propriétaire d’un salon de luxe situé dans la commune de Cocody

Au cour ‘s de l’année N-1 = 200 millions

Local professionnel ( où elle travaille là le Salon) = 500 mille ( loyer )

Liquidé la patente.

Patente = DCA + DVL

Calcul du DCA

DCA = CATTC ( n-1) x 0,5 %

DCA = 200 millions x 0,5%

DCAt= 1 million

PCAR= 700 mille

Calculons DVL

DVL = VLA x 18,5

Le loyer est de 500 mille comlz c’est annuel ( 500 × 12 = 6 millions)

6 millions x 18 , 5 %

DVLt = 1,110 000

( Si dans l’exercice on vous donne un chiffre d’affaires et TTC du le convertir en hors taxe)

DCA 200.million x 0,5

( Dans une commune c’est toujours 5% )

Selon la règle Tca doit être inferieur au tiers donc on vérifie on prend le tiers de TVA pour en faire le
TVA numérique)

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