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Intro:
Le XIIIe siècle connu sous le nom du siècle des lumières, prône la liberté
d’expression, d’opinion , la tolérance, la diffusion des savoirs pour tous et lutte
contre l’ignorance et le fanatisme. En 1789, le peuple se révolte, pour faire entendre
sa volonté de liberté et d’égalité et gagne le combat en mettent au monde LA
DECLARATION DES DROITS DE LA FEMME DE L’HOMME ET DU CITOYEN.
Cependant, ce texte ne convainc pas olympe de gouges qui considère que la femme
est complètement oubliée au profit de l’homme, le sexe masculin. Ainsi Olympe de
gouges décide de rédiger une nouvelle déclaration, LA DECLARATION DES DROITS
DE LA FEMME ET DE LA CITOYENNE. Elle entend bien déclarer et non remplacer. Le
texte que nous allons étudier est le préambule ainsi que quatre articles de la
déclaration.
Elle emploie du lexique juridique/ législative qui se trouve dans tout le préambule et
qui signale sa visée officiels.
Le préambule débute par une requête ce qui ancre encore la démarche dans
l’actualité immédiate . De Gouges se fait porte parole des femmes en réclament le
droit de légiférer.
L’énumération de termes féminins L.7 renvoient à des liens familiaux , dans plusieurs
buts, elle sert en premier lieu à mettre l’accent sur leur statut de dépendance actuelle
face aux hommes « elles sont les mères, les filles, les sœurs d’un homme. Ensuite à
relever leur poids numérique «elles sont aussi les représentantes de la nation L.8
L’acmé : L.13 à L.16 Les femmes pense donc à réclamer «les droits naturels,
inaliénables et sacrés de la femme. Trois adjectifs insiste sur la requête ces droits sont
«naturels donc fondamentaux, inaliénables c’est a dire éternels et inviolables ET
enfin sacrés donc invincible d’un ordre divin.
L’Apodose III L.16 à28 Ier la déclaration doit fixer par la loi les droits et les devoirs de
chacun. «Tous les membres du corps social» L.17 à18 renforce le ton sollenel et
juridique. Le parallélisme L.20 à21 accentue l’égalité des droits des deux sexes. Ces
nouveaux droits doivent aboutir « au maintien de la constitution, des bonnes mœurs
et au bonheur de tous »
Cette énumération précise qu’il s’agit d’obtenir un équilibre non seulement juridique
car la constitution sera fixé une bonne fois pour toutes, mais aussi moral par le
maintien de bonne mœurs et également civilisationnel donc le bonheur de tous.
Elle use donc d'un lexique juridique pour montrer le caractère officiel de sa demande.
• Mais elle utilise aussi les moyens de la persuasion en condamnant le mépris dont
les femmes sont injustement l'objet, elles qui mérite tout autant que les hommes