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Pas un pouvoir Le pouvoir occupe une place importante. Pour définir le DS, on l’utilise :
« pouvoir attribuer au sujet de droit par le DO »
Le mot pouvoir : renvoie à la potestas : la puissance
Le mot pouvoir : dans le langage juridique : sens restreint ; en droit « le pouvoir est
l’aptitude à agir valablement dans un intérêt au moins partiellement distinct du siens » : le
droit implique l’empiétement sur la sphère juridique d’autrui. Ex : Les organes de l’Etat ont
des pouvoirs qui sont pour leurs intérêt mais aussi pour la collectivité. L’autorité parentale
est aussi un pouvoir qui marche de la même manière.
Le DS ne peut pas être un pouvoir car c’est la défense d’un intérêt individuelle.
B – Ce qu’est le DS
Auteurs ont trouvé des théories :
1ère théorie : doctrine classique : mené par Savigny : il considère que le DS n’est que la
reconnaissance du pouvoir de volonté des individus = volonté individuelle, elle accorde de la
force à la volonté de chacun : Exemple le droit de mx sur my d’exiger le paiement : est la
reconnaissance de la force de mx qui s’impose sur my.
Critiques : Tout résumer à la volonté ne suffit pas. Les personnes incapables d’exprimer leur
volonté ne peuvent pas avoir de DS : les handicapés, les personnes en coma, les enfants.
2ème théorie : doctrine moderne : : menée par Ihering : Intérêt juridiquement protéger :
défend l’idée que le DS est un avantage matériel ou moral conforme aux valeurs sociales
d’une certaine époque. Le DS correspond à la reconnaissance par le DO des besoins, et
désirs de chaque individu.
3ème théorie : doctrine contemporaine : mené par Motulsky : relation entre DO et DS :
« faculté pour l’individu de déclencher l’impérative contenue à la rdd ». Le DS est
l’autorisation accorder par le DO pour un individu de faire appel au contenu d’une rdd. Ex :
selon Motulsky, le droit de mx sur my revient à dire que le DO autorise mx à utiliser le
contenu de l’article 1217 du code civil.
Article 1217 : en cas d’une inexécution d’une obligation contractuelle, le créancier peut
saisir le juge pour obtenir l’exécution forcée pour payer le prix de vente de son meuble
Le DS est un intérêt individuelle exprimé par le biais d’une volonté, et juridiquement
reconnue et protéger par le DO.
II. La summa divisio des droits subjectifs : personne et chose
Les DS sont les droits civils dont chacun est titulaire. Mais le droit civil France à était inspiré
par les philosophies révolutionnaires.
Code civil : débat à l’origine du code tourne autour des idéologies politique de l’époque. La
vision d’ensemble du droit civil est une vision « anthropocentré ». Le droit civil est un droit
individualiste. L’homme est au cœur des visions juridiques : classification et règle orientés
vers l’individu.
Le droit civil se forme grâce au monde qui l’entoure : 2 rapports
- Rapport avec les autres hommes :
- Rapport avec les choses :
Est née la summa divisio : tout ce qui n’est pas personne est donc chose, inversement.
L’animal est considéré comme une chose.
En 1804 il y avait que 3 livres au sein du code civil :
Livre Ier : des personnes : rapport entre les individus : porte sur les personnes
Livre IIème : porte sur les biens et la modification de la propriété : porte sur les choses
Livre IIIème : porte toujours sur les différentes manières d’acquérir la propriété : relation
entre les personnes et les choses
Livre IV : porte sur les suretés : les garanties : ex, le cautionnement : réforme de 2006 à
rajoute ce livre : sous distinction : suretés personnelles (garanties sur les personnes) et
réelles (garanties sur les choses)
Livre V : porte sur les dispositions applicables à Mayotte : 2002 : jusqu’en 2001, Mayotte
était indépendante, appartenait au territoire français mais était indépendante, elle était
gouvernée par son propre droit. Mais ce droit était coutumier. On parle de statut personnel :
Statut personnel : règle spécifique à une catégorie de personne en fonction de
l’appartenance ethnique.
La loi du 11 juillet 2001 : Mayotte est devenue une collectivité départementale. Le droit
national français s’applique au territoire de Mayotte.
Section 2 – La classification des DS
Le droit privé à décider de partir de la jonction : entre personne et chose pour créer une
classification du DS.
Distinction entre droit patrimoniaux et extrapatrimoniaux.
La notion du patrimoine et son sens est important pour comprendre la distinction
I. Les droits patrimoniaux
Correspond à tout les DS qui rentre dans les droits patrimoniaux
A. Le patrimoine
Patrimoine : droit privé :
Doctrine majoritaire: Universalité de droit comprenant l’ensemble des biens et
obligations d’une personne présent et à venir, l’actif répondant du passif. Dans le
patrimoine d’une personne : tous les biens d’une personne (actif du patrimoine) et
toutes les dettes d’une personne (passif du patrimoine) qui sont réunis d’une manière
abstraite et intemporelle. L’actif et le passif du patrimoine doivent se « répondre ».
Théories sur le rôle de la nature du patrimoine :
Doctrine classique : émanation de la personnalité : La personne était responsable de ces
dettes et engagement sur son propre corps jusqu’à la RF. Lorsqu’une personne ne payait
pas ses dettes, le créancier était autorisé par le droit de faire son débiteur son exclave.
L’abolition de l’esclavage, et la protection de la dignité humaine a fait supprimer ce droit.
Comment payer les dettes sans passer par ce moyen ?
On déplace le siège de la responsabilité du corps humain aux biens de propriétés. Si la
dette non payée = saisir des biens.
La responsabilité est passé de la personne à la chose : cela passe donc par le patrimoine.
Le patrimoine est une émanation de la personnalité : elle est la projection de la
personne dans ses rapports juridiques. Le patrimoine est un attribut de la personnalité
juridique.
19ème siècle : Théorie du patrimoine par : Aubry et Rau : théorie fondée sur 3 principes :
- Seules les personnes ont un patrimoine : les personnes n’ont pas de personnalité
morale, ne peuvent avoir de patrimoine. Ex : les indivisions : héritage d’un château.
En 1804 : la mort civile : la perte de la personnalité juridique : pour les criminels, mais
aussi la femme Mariée. Ces personnes n’ont pas besoin de biens et de contracter des
dettes.
- Chaque personne n’a qu’un seul patrimoine : avant il était impossible d’obtenir
plusieurs patrimoines :
- 1ère exception: le principe d’unicité du patrimoineétait utilisé. Depuis les années 80 :
principe avec exception : en 1985, la loi a créé les sociétés unipersonnelles. Elles
permettent à une seule personne de créer une E, qui lui permet de séparer son
patrimoine professionnel à son patrimoine personnel, la même pour les dettes.
- 2ème exception : la fiducie : le fiduciaire a tous ses biens à lui, et les biens confiés en
gestion : titulaire du même patrimoine sur la même période.
Les universalités de droit permettent de créer la relation entre les biens et les
dettes. Dettes non payés : le créancier se sert sur l’actif du patrimoine pour payer ce
que l’endetteur n’a pas fait.
- Les droits réels : droit qui s’attache aux choses : res veut dire « chose »
1 Les droits personnelles
Droits personnels : Pouvoir d’une personne (créancier) d’exiger d’une autre personne (le
débiteur) l’accomplissement d’une prestation quelconque. On parle de droit personnel, car
c’est le droit d’UNE personne contre Une autre personne.
La doctrine adégager plusieurs catégories de droit personnelles : 3 catégories :
- Les obligations de faire : accomplir une action positive
- Les obligations de ne pas faire : abstenir
- Les obligations de donner : transfert de propriété d’un bien
- A DISPARU EN 2016 : 10 février 2016 (ordonance) distinction selon l’objet. On
distingue les obligations selon les sources légales ou conventionnelles.
- Ex : Obligation d’assitance (loi) contrat de vente : livrer la chose pour le
vendeur/payer le prix pour l’acheteur (contrat)
Les règles sont différentes, mais se ressemblent toutes car obligation. Elle sont
imposés par la LOI et le CONTRAT.
Droits réels : Les pouvoirs exercés directement par une personne sur une chose (un
bien)
- Mobilité : Un meuble est la chose qui peut être déplacer (ordinateur par ex) : appelé
« meuble meublant » et immeuble (appartement, les terrains constructibles,
l’arbre,) : on parle d’immeuble bâti qui ne peut pas être déplacer (article 516 du code
civil). Les règles ne sont pas les mêmes en matière de preuve, en procès, en matière
fiscal. TVA pour les meubles et taxe foncière pour les immeubles.
- Immeuble par nature : ne peuvent pas être déplacés. Les immeubles par nature sont
immobiles
- Immeuble par destination : meubles qui sont accrochés intellectuellement à un
immeuble. : un bien meuble dans un immeuble est considérer comme un immeuble
Bien attaché à perpétuelle demeure : sont devenues des immeubles par destination
- Aritlce 527 du code civil : distinction meuble par nature et meuble par destination
de la loi :
- Les meubles par détermination de la loi : choses considérés comme des meubles,
mais peut pas être déplacé car elles n’ont pas d’existence concrète. Ex : Une action
en justice, un brevet d’invention, les droits de propriétaires littéraires et artistiques.
3ème catégorie : distinction corporelle et incorporelle des choses : aujourd’hui des objets
n’existent pas dans la réalité concrète
- Biens incorporels : biens qui ne peuvent pas être touchés = propriétaire de ces
objets, mais rentre dans les catégories meubles et immeubles.
- Biens corporel : droit d’agir en justice pour défendre la propriété d’un immeuble.
Article 544 définit la propriété comme « le droit de jouir et disposer les choses de
la manière la plus absolue pourvue que l’on ne fasse pas un usage prohibé par les
lois ou par les règlements.
Jouir d’une chose : pouvoir l’utiliser, faire un usage particulier, mais aussi pouvoir ne
pas l’utiliser
Disposer d’une chose : le propriétaire peut vendre, donner, ou détruire la chose si il
le souhaite.
Division en 3 pas très précise : On est aussi propriétaire des choses qui
s’incorporent à la propriété : propriétaire du sol, du ciel, du sous-sol dans le terrain.
Droit de construire le plus haut et bas possible. Les trésors dans les terrains ont la
propriété de la personne qui a ce terrain.
Quand le droit de propriété est perpétuel, on ne peut pas le perdre par non usage.
La prescription extinctive ne s’applique pas au droit de propriété
NE SE PRESCRIT JAMAIS
1ère exception : La prescription acquisitive (Usucapion) : lorsqu’une personne qui n’est pas
propriétaire utilise une chose, n’exerce pas pendant un certain temps, il devient
propriétaire. Lorsqu’une personne utilise un immeuble pendant 30 ans, il devient
immédiatement propriétaire.
2nde exception : l’expropriation pour cause d’utilité public : dans certains cas, l’Etat ou
l’administration a besoin d’un terrain ou d’un bout pour réaliser des travaux d’intérêt
général, l’Etat indemnise le propriétaire en prenant « de force » la propriété.
- Usus et fructus = usufruit : achat d’un appartement au centre de Paris. Les parents
vont donner l’usufruit à l’enfant. Les revenus de la location sont des fruits du bien,
l’usufruitier (l’enfant) a le droit au fruit et au loyer (donc le revenu)
- Il est possible de réduire la propriété du propriétaire lors de son usage, de grever son
droit par un autre droit : appelé les servitudes : Elle s’applique qu’aux immeubles :
c’est une charge établie sur un immeuble pour l’usage et l’utilité d’un autre
immeuble appartenant à un autre propriétaire. Ex : Mx et My sont voisins : seule Mx
peut accéder à la voie publique, mais My pour sortir dans la voie publique doit passer
dans la propriété de Mx, on créer une servitude pour laisser passer My.
- Si c’est une obligation, c’est un droit personnel. Mais vu que c’est une servitude et
pas une obligation, c’est un droit réel. Si mX vend son terrain aMz, Mz sera tenu de
la servtidue et devra laisser My passer sur son terrain. Si c’était un droit personnel,
au moment de la vente, Mz ne sera pas tenu de la servitude.
- Ils sont l’accessoire d’un droit personnel. Ce sont tous les droits, suretés réelles. Le
droit n’existe qu’en considération d’une créance, et donc un droit personnel
- Suretés réelles : droit qu’on acquis sur un bien en garantie d’une créance. Ex : Lors
d’un prêt à la banque, on peut proposer une sureté réelle. Emprunteur propriétaire
d’un immeuble, la banque aura un droit réel sur l’immeuble qu’elle pourra exercer si
la créance n’est pas payer (hypothèque). Si la créance n’existe pas, pas d’hypothèque
- Il existe en réalité une 3ème catégorie de droit patrimoniaux qui est discutée :
Au décès de la personne, on peut faire le don aussi, mais on peut aussi refuser de le
faire.
4 : Dernier point (ne concerne pas les 3 alinéas) : protection du corps humain après la
mort :
Le droit organise : article 16-1-1 : dispose que le respect au corps humain ne cesse pas avec
la mort, y compris les cendres de celles qui a donné lieu de crémation doit être traiter avec
respect, dignité, et décence. Le corps humain apparait comme un objet ici, au moment du
décès, le corps humain passe de la personne à la chose, mais le corps humain n’est pas une
chose appropriée. C’est une « chose sacré et hors commerce. »
Cette disposition fait naitre des DO : tout le monde est autorisé de régler les funérailles de
notre vivant. C’est un droit qui prend effet après la mort : le droit de régler les funérailles
découle de l’article.
Décret 18 mai 1976 : léguer son corps à la science est autoriser
B. Les droits au-delà du corps
Droit de la personnalité touchant l’eh, mais concerne pas le corps humain, correspond aux
droits civils contenus dans la DDHC de 1789, ou dans le préambule de la C de 1946.
Ex : droit de vote, droit à la santé, droit à la retraite
Article 12 : droit de la personnalité de la déclaration universelle des droits de l’h : « nul ne
serait l’objet d’immiscions arbitraire dans sa vie privée, sa famille, son domicile, ou sa
correspondance, ni d’atteinte à son honneur et à sa réputation » « toute personne a le droit
à la protection de la loi contre de tel immiscions ou de tel atteinte »
- Droit au respect de la vie privée :
Protéger par l’article 12, et article 8 de la CEDH, article 9 du code civil.
Attribuer au sujet de droit une sphère d’intimité par laquelle nul ne peut s’immiscer sans
autorisation. Le législateur n’a pas déterminé le périmètre de la vie privée. La jurisprudence
s’en charge.
Le domicile, la vie sentimentale et conjugale, la vie familiale, l’intimité corporelle, la santé,
les loisirs, l’utilisation d’internet, et certains aspects de la pratique religieuse.
La CEDH et la Cour de cassation ajoutent : activités professionnelles et commerciales.
2 octobre 2011 : chambre sociale : cour de cass : le salarié a le droit même au temps, et au
lieu de travail au respect de l’intimité de sa vie privée ». L’employeur ne peut pas regarder
les emails, pas le droit de filmer ses salariés.
Exceptions :
1 : possible de porter atteinte à la vie privée avec l’autorisation de la personneù
2 : ‘’ ‘’ lorsque la liberté d’expression ou d’information sont en cause : quand l’info
rechercher ou révéler est en relation avec un évènement public, d’actualité, et d’intérêt
général
3 : fonction spéciale occuper par une personne : famille royale
Autoriser, mais principe de proportionnalité
Article 9 du code civil : dommage et intérêt porte atteinte à la vie privée
Article 226-1 du code pénal dispose que : « est puni d’1 an d’emprisonnement, et de 45 000
d’amendes, le fait au moyen d’un précédé quelconque volontairement de portée atteinte à
la vie privée d’autrui »
Droit S’éteint à la mort.
Droit au respect du domicile :
Article 8 de la CEDH
Propriétaire, locataire, au simple occupant
Conception large, Cour de cass 7 mai 2014 assemblée plénière : estime que « si le
propriétaire d’une chose ne dispose pas d’un droit exclusif sur l’image de celui-ci, il peut tout
de fois s’opposer à l’utilisation de cette image par un tiers lorsqu’elle lui cause un trouble
anormal »
Permet : le droit de se clore : droit de séparer son domicile, d’un autre domicile
La législation sur les jours ou les vus : en dehors du plan local d’urbanisme, une personne ne
peut planter sans permis une construction devant votre fenêtre
Les huissiers de justice ne peuvent pas intervenir dans le domicilesans l’autorisation du
juge.
Les perquisitions, ou les visites des services administratives ont besoin d’une autorisation,
et se font entre 6h et 21h
Droit au secret des correspondance :
Article 8 CEDH, prolongement du droit au respect de la vie privée
Protection des échanges épistolaires, par mail, et par téléphone. S’étend à toutes les
communications sur internet (réseaux sociaux)
Interdiction de Publier, de produire en justice le contenu d’une correspondance sans
l’autorisation de l’auteur et du destinataire
Les écoutes téléphoniques sauvages (sans autorisation, sans prévention) interdites : 10
juillet 1991 : cadre pour les écoutes téléphoniques. On autorise les écoutes par le juge, ou
les écoutes par le premier ministre. (Interception judicaire, et administrative).
Le droit à l’honneur et à la réputation :
Pas consacré par la CEDH et le code civil, mais garantit par la jurisprudence qui prévoit des
sanctions aux atteintes porté contre l’honneur, la réputation, la dignité des personnes.
Limite à la liberté d’expression (honneur, réputation, dignité des personnes)
Incrimination : loi 29 juillet 1881 : liberté de presse
Les propos diffamatoires et injurieux prononcé dans les débats judiciaires, ou au sein de
l’AN et le sénat sont couvert par une immunité.
Auteurs : rattachent à la protection de l’honneur, et de la réputation : la présomption
d’innocence : la personne est innocente jusqu’à preuve du contraire. Liée à l’honneur et la
réputation, la présomption tombe dans les faits.
Présomption d’innocence protéger par : article 9 de la DDHC, article 11 de la DUDH, article 6,
paragraphe 2, de la CEDH, article 9-1 du code civil.
Alinéa 2, article 9-1 du code civil : «
- L’absence : personne cesse de paraitre à son domicile sans qu’il n’y ait de nouvelle,
et sans qu’il n’y ait de raison de penser qu’il y a un décès.
Negotium : contrat oral a moins de force juridique qu’un contrat écrit, mais plus difficile à
prouver
Contrat écrit / oral : les juges interprètent la volonté des partis, pour la volonté écrite +
facile.
Acte juridique : effet de droit : les personnes ont plusieurs DS
Catégories d’actes juridiques :
- 1ere distinction : acte synallagmatique et acte unilatéral : unilatéral = 1 volonté,
produit des effets de droit : ex : testament / synallagmatique : plusieurs volontés :
ex : contrat
- 2ème distinction : acte gratuit et acte à titre onéreux : acte gratuit : une seule partie se
dépouille en faveur d’une autre sans obtenir de contrepartie / acte onéreux :
chacune des partis reçoit un avantagede ce qu’elle offre
- 3ème distinction : acte constitutif, translatif, et déclaratif : constitutif : créer des DS /
translatif : transférer la propriété d’un bien, la propriété passe d’une main à l’autre,
transfert d’un DS / déclaratif : créer rien, mais constate l’existence d’un droit