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KINSHASA/FUNA
Par
Collaborateur :
ASS. LUALABA KITENGE Séraphin
OBJECTIF
L’objectif de ce cours est de permettre aux étudiants de maitriser l’essentiel des
concepts et pratiques du management moderne.
SON CONTENU
- Permet aux camarades étudiants de disposer de connaissance, les mettre en
pratique mais également clarifier son éthique personnelle et la façon dont ils
souhaitent exercer le pouvoir ;
- Rappelle aux étudiants que manager, c’est avant tout manager avec son temps,
en comprenant les aspirations des nouvelles générations ;
- Informe les étudiants qu’un manager doit savoir rester à l’écoute, en sachant
créer un climat de confiance ;
- Confirme aux étudiants que le Management est un cours qui doit être placé
dans un contexte plus global, en lien avec les stratégies de l’entreprise et les
transformations régulières des aspirations sociétales ;
- Aide les étudiants, espérons-le, à transformer leurs pratiques de management
en véritable avantage comparatif et facteur clé de succès pour la création, la
gestion et le développement d’une organisation.
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SERVICES
3. Le capital physique
4. Les capitaux immatériels
MARCHE
c. La productivité
Il existe différents types de productivité dont :
La productivité du capital : valeur ajoutée/capital fixe productif en volume ;
La productivité du travail : valeur ajoutée/nombre d’heures travaillées ;
La productivité globale des facteurs : valeur ajoutée/volume des facteurs
capital et travail.
Chiffre
d’affaires
Volume de
production
Temps
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Les étapes de vie d’une entreprise peuvent être caractérisées soit en valeur (chiffre
d’affaires) soit en volume (volume de production).
1.3.1. La Création
La première étape de la création d’une entreprise repose sur l’émergence d’une idée
portée par un homme disposant de ressources (financières, matérielles,
technologiques, intellectuelles).
On peut recenser différentes sources d’inspiration dont :
L’observation de l’environnement professionnel ;
L’observation de la vie de tous les jours ;
L’étude de la presse,
La participation à des salons professionnels.
Le créateur présente un certain nombre de caractéristique pour mener à bien son
projet dont :
- La motivation ;
- La curiosité ;
- Le gout du risque ;
- Une appétence pour l’action ;
- Une bonne capacité d’adaptation et de flexibilité ;
- Une maitrise de la négociation ;
- Une certaine polyvalence, car il va endosser au début de son activité des
fonctions différentes (responsable financier, directeur, responsable RH,
responsable production ou prestataire de services, responsable marketing,
etc.).
Toute création d’entreprise nécessite des ressources financières, le créateur peut
donc :
Procéder par apports personnels ;
Obtenir un crédit auprès des banques ;
Obtenir des aides, des subventions pour lancer son activité ;
Négocier avec une entreprise de portage ;
Négocier avec une société de capital à risque.
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Par exemple
L’Entrepreneur (le créateur) peut demander un prêt à taux zéro pour un montant
allant de 1 000 à 10 000 Dollars US pour une durée allant d’une à 5 année lorsqu’il
détient plus de 50 % du capital de l’entreprise créée. Il peut solliciter une
subvention auprès de l’Etat ou ses partenaires. Il existe également des concours et
des prix qui permettent de financer les projets de création d’entreprise prometteurs.
L’Entrepreneur (le créateur) doit constituer une série de dossiers pour convaincre ses
partenaires (ex les financiers) mais également pour s’assurer de la viabilité de son
projet. Il va constituer :
- Une étude de faisabilité commerciale ;
- Une étude de marché ;
- Une étude de faisabilité financière/un plan de financement ;
- Une étude de faisabilité technique.
Le statut juridique de la nouvelle structure est également crucial :
- Le statut d’auto entrepreneur :
- L’entreprise individuelle : est un statut spécifique dédié aux petites entreprises
qui n’exige aucun apport légal mais qui impose au dirigeant d’être solidaire
des dettes de l’entreprise ;
- L’entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée : est une forme de société
à associé unique qui protège son dirigeant, car il est responsable des dettes de
l’entreprise à hauteur de ses apports dans le capital. Son patrimoine personnel
est donc protège ;
- La société à responsabilité limite (SARL) : est une forme de société qui n’exige
aucun capital minimum dans laquelle les associés (au minimum 2, maximum
100) ne sont responsables des dettes qu’à hauteur de leurs apports
personnels ;
- La société en nom collectif : est une personne morale qui rassemble des
associés qui ont la qualité de commerçants. Elle ne requiert aucun capital
minimum et se dirigeants sont responsables de dettes de l’entreprise ;
- La société d’exercice libéral à responsabilité limité : est une société qui permet
d’exercer une activité libérale par l’intermédiaire d’une société à responsabilité
limitée. Il faut au minimum 2 associés qui peuvent être des personnes
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1.3.2. Le Développement
La croissance de l’entreprise se traduit par un certain nombre de caractéristiques
comme :
Une augmentation des facteurs de production ;
Un investissement renforcé ;
Une adaptation permanente aux exigences de l’environnement ;
Une augmentation de la demande ;
Une évolution de la structure organisationnelle, car l’organisation s’agrandit
(au niveau de son effectif, de son statut juridique, de ses bâtiments, etc.).
L’entreprise doit répondre à certains défis :
- Suivre au plus près l’évolution de son marché, car si elle n’est pas en mesure
de répondre au bon moment à la demande, elle pourrait se faire devancer par
ses concurrents ;
- Planifier son activité et prévoir les ressources nécessaires à son évolution ;
- S’assurer de disposer d’une trésorerie suffisante ;
- Mettre en œuvre une gestion financière saine ;
- S’assurer de disposer des bonnes compétences ;
- Mettre en place des systèmes pour absorber le changement de taille ;
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- Maitriser le changement.
1.3.3. La maturité
La maturité d’une entreprise se traduit par certaines caractéristiques dont :
- Une augmentation des facteurs de production ;
- Un investissement qui diminue pour finalement se stabiliser ;
- L’atteinte d’une taille critique de fonctionnement ;
- Une maturité technologique ;
- Une demander par rapport aux produits et/services de l’entreprise qui se
stabilise voire qui diminue, car l’entreprise affronte une saturation du besoin.
L’entreprise doit répondre à certains défis :
- S’adapter à la demande ;
- Rationnaliser ses moyens de production pour une meilleure rentabilité ;
- Tenter de se positionner sur une nouvelle activité ;
- Optimiser ses compétences, mettre en place des logiques de knowledge
management ;
- Capitaliser ses connaissances ;
- Apprendre de son expérience.
1.3.4. Le Déclin
Le déclin d’une entreprise se traduit par certaines caractéristiques dont :
- Des facteurs de production qui ne sont plus rentables ;
- Un désinvestissement ;
- Une baisse de la demande ;
- Une obsolescence technologique.
Dans cette configuration, l’entreprise peut soit :
- Disparaitre, être reprise par une autre entreprise (absorption, fusion,
acquisition) ;
- Renaitre grâce à une nouvelle activité ou l’accès à un nouveau marché.
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Activités immobilières ;
Activités scientifiques et techniques, de services administratifs et de soutien ;
Enseignement, santé humaine et actions sociales ;
Autres activités de service.
2.1.2. Macro-environnement
Le macro-environnement peut s’appréhender par l’approche PESTEL, c’est-à-dire,
Politique, Economique, Social, Technologique, Environnemental, Légal.
Politique Economique
Environnemental Technologique
Les flèches ne sont pas unidirectionnelles mais bien bidirectionnelles, car elles
soulignent non seulement l’impact de l’environnement sur l’entreprise mais
également les actions que l’entreprise peut entreprendre sur celui-ci (ce qui participe
à modifier).
Chacune des dimensions a ses incidences sur l’entreprise ainsi que les réactions
possibles de cette dernière :
La dimension politique : peut designer la stabilité d’un gouvernement en
place. Aussi, elle peut designer la fiscalité d’un pays qui est plus ou moins
avantageux et être considéré comme source d’opportunités. Un
gouvernement qui connait l’instabilité politique est régulièrement menacé
d’évasion ou de fuite de fiscale, car les entreprises souhaitent domicilier leurs
activités dans des pays à faible fiscalité. Les droits de douane, les accords entre
les pays ou encore les systèmes de protection sociale constituent des
opportunités ou les menaces pour les entreprises ;
La dimension économique : renvoie aux politiques, aux revenus des ménages
disponibles, au PIB (produit intérieur brut qui permet de quantifier pour un
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Selon Edgard Morin (2005), l’organisation peut être considérée comme un système
dans la mesure où elle est composée de différents composants qui entretiennent des
relations non seulement entre eux mais également avec l’environnement.
L’organisation ici considère comme un système, présente différentes
caractéristiques :
- Elle ne fonctionne pas en autarcie puisqu’elle doit interagir avec son
environnement ;
- Elle est par nature complexe et on ne peut l’appréhender qu’en les
juxtaposant puisqu’il est impératif de comprendre également les relations, les
liens entre eux ;
- Elle est dynamique donc toute approche statique ne peut suffire à la
caractériser. On peut évoquer les boucles de rétroactions qui permettent à
l’organisation de s’adapter à son environnement ;
- Elle poursuit une finalité qui se décline sous la forme d’objectifs stratégiques
puis de sous objectifs tactiques et opérationnels.
L’organisation est donc un système complexe qui interagit avec son environnement
qui lui-même est constitué d’un ensemble de systèmes complexes.
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Suite aux travaux de Taylor, Henry Fayol (1841-1925) s’était intéressé aux qualités
qui doivent remplir les dirigeants des entreprises ainsi qu’à leur rôle, car il considère
que la performance organisationnelle dépend de leurs qualités.
L’autorité doit toujours être visible, présente ou représentée dans l’entreprise.
L’administration d’une entreprise repose sur la conjugaison des éléments d’action
d’administration suivants :
- Prévoir : savoir anticiper l’activité et développer un projet d’entreprise cohérent ;
- Organiser : maitriser le processus de production à la fois dans dimension technique
mais également sociale ;
- Commander : identifier les meilleures approches de management pour organiser le
travail entre les salariés ;
- Coordonner : trouver les leviers de cohésion pour relier et harmonisé le travail ;
- Contrôler : surveiller les temps de travail, les procédés de fabrication selon les règles et
les ordres
L’entreprise est perçue comme une machine administrative dont l’efficacité dépend
des capacités de gouvernance et d’administration des dirigeants.
L’administration renvoie à un ensemble d’opération dont :
- Des opérations techniques ;
- Des opérations commerciales ;
- Des opérations financières ;
- Des opérations de sécurité ;
- Des opérations de comptabilité ;
- Des opérations administratives.
Les dirigeants d’entreprise doivent détenir des qualités dans différents domaines
de compétences dont :
- Des qualités physiques : comme la santé ou l’adresse ;
- Des qualités intellectuelles : comme l’agilité intellectuelle ou encore la
perspicacité ;
- Des qualités morales : comme le sens des responsabilités ou encore le
dévouement ;
- Des qualités empiriques : comme la bonne connaissance du terrain, du
monde industriel.
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Le courant néo-classique est également marqué par les travaux de Peter Ferdinand
Drucker (1909-2005). Dans son ouvrage de 1954 intitulé « The Practice of
Management », il propose de mettre en place la Direction par objectifs (DPO). Il
considère que chaque division doit avoir des objectifs clairs, quantitatifs et
atteignables.
La plupart des décisions stratégiques sont basées sur la comptabilité, le contrôle de
gestion ou encore la finance.
Il considère que le manager est un chef d’orchestre qui doit remplir différentes
fonctions dont :
- Etre capable de déterminer la mission de chaque division ;
- Fixer des objectifs clairs pour chaque division ;
- Identifier le travail à réaliser pour ensuite être capable de déployer une
coordination ;
- Motiver, informer et écouter les salaires ;
- Identifier les critères de mesure pour évaluer si les objectifs ont atteints ;
- Former les salariés.
- Rémunération ; - Carrière ;
- Sécurité ; - Promotion
- Conditions de interne ;
travail ; - Responsabilité ;
- Ambiance - Contenu du travail
Les outils de gestion sont des moyens au service des managers qui sont responsables
de la coordination des activités pour servir les intérêts organisationnels et s’aligner
avec la stratégie.
Les pratiques de management permettent de gérer les ressources humaines de
manière à faire converger les nombreux objectifs portés par les individus vers un
objectif commun.
Bien que certaines pratiques de management puissent s’enseigner, l’art de piloter les
actions individuelles est aussi une affaire personnelle, c’est-à-dire une approche
instinctive, intrinsèque qui ne peut se formaliser en connaissance explicite,
transférable.
Selon, Le Manageor (2014), le manager :
a. Remplit une série de fonctions au service de la stratégie de l’entreprise, car il
assure le relais entre la gouvernance et les collaborateurs dont il a la
responsabilité ;
b. Remplit les fonctions techniques comme assurer le développement et le bon
fonctionnement du service dont il a la charge ;
c. Coordonne les activités
d. S’assure du respect des délais,
e. Organise le planning ou encore gère le budget.
Aussi, il doit trouver les leviers pour motiver son équipe tout en assurant la qualité
de la communication à différents niveaux :
Au sein de son équipe,
Entre la gouvernance te son équipe ;
Entre son équipe et la gouvernance.
Peter Drucker (2006), le management est une activité visant à obtenir des hommes un
résultat collectif en leur donnant un but commun, des valeurs communes, une organisation
convenable et la formation nécessaire pour qu’ils soient performants et puissent s’adapter au
changement.
Selon cette définition, l’auteur renseigne que :
Il est donc nécessaire d’orienter les actions individuelles vers un objectif
commun qui soit partagé par l’ensemble des collaborateurs d’une entreprise ;
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Il est nécessaire de former les individus pour qu’ils soient performants dans
leurs activités.
4.1. Salariés dans l’entreprise
L’entreprise rassemble une grande variété de collaborateurs et il existe de
nombreuses approches pour établir des typologies. Nous en avons identifié 4, il s’agit
de :
a. Les ouvriers, employés et collaborateurs : cette catégorie est constituée des
exécutants (qui ont la charge des taches bien spécifiques confiées par leurs managers. Ils
sont responsables de la qualité du travail qui leur est confié et du respect de délais
demandés) ;
b. Les agents de maitrise, techniciens supérieurs : les agents de maitrise et les
techniciens supérieurs sont responsables de l’exécution d’Operations de fabrication
qualifiées, ils assurent l’application des procédées de fabrication et contrôlent les
résultats de l’ensemble des actions effectuées. Ils détiennent un niveau de qualification
équivalent à un Bac +2 ;
c. Cadres intermédiaires : les cadres intermédiaires aussi appelés cadres de premier
niveau se trouvant positionnés entre les opérateurs (ouvriers et agents de maitrise) et la
ligne hiérarchique. Ils occupent une place croissante dans les entreprises et sont mieux
en lieux formés ;
d. Cadres supérieurs : les cadres supérieurs organisateurs occupent un rôle diffèrent du
cadre dirigeant puisqu’ils remplacent la logique « stratégie – structures – systèmes »
par une démarche davantage axée sur la motivation, l’optimisation des processus ainsi
que sur une gestion plus individualisée des ressources humaines. Les cadres supérieurs
organisateurs agissent selon les priorités suivantes : la création d’un contexte
organisationnel plus innovant pour favoriser les relations interpersonnelles et valoriser
les agents, une plus grande décentralisation favorisant la prise de responsabilité et la
recherche d’une plus grande stabilité, source de motivation. L’accès à ce poste
s’effectue de la manière suivante : par le diplôme, par les promotions
internes et par le recrutement externe, au cours de la carrière.
4.2. Styles de management
Les styles de management dépendent de la conjugaison entre différents facteurs :
a. la personnalité du manager ;
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interlocuteurs et assurer une certaine liaison entre eux. Selon les configurations
différentes, quelqu’un peut occuper la fonction de management grâce au processus
de promotion interne ou en fonction de management par recrutement externe.
La structure simple a été développée par les auteurs de l’école classique comme
Charles TAYLOR ou Henry FAYOL pour identifier les modes d’organisation du
travail.
Ainsi, Charles Taylor va proposer la structure fonctionnelle (où chaque
collaborateur dépend de plusieurs supérieurs hiérarchiques) que Henry FAYOL va
modifier en créant la structure hiérarchique (où il présente l’unicité de
commandement en attribuant pour chaque collaborateur un seul supérieur
hiérarchique), la structure hiérarchico-fonctionelle développée en 1970 aux Etats-
Unis appelée « staff and line », la structure divisionnelle qui repose sur un principe
de répartition du pouvoir et de la responsabilité (cette structure s’organise autour
des activités conduite par l’entreprise et se divise en unités opérationnelles en
fonction de la zone géographie couverte ou en fonction des produits développés par
l’entreprise).
5.1.2. Structures complexes
Progressivement, en fonction des contraintes et opportunités de l’environnement et
des ambitions des dirigeants d’entreprises, les structures organisationnelles se sont
complexifiées.
Certaines sont très opérationnelles et sont largement utilisées par les entreprises
alors que d’autres s’avèrent difficiles à mettre en place d’un point de vue empirique
et demeurent des projectifs théoriques d’un modèle de fonctionnement
organisationnel. Il s’agit de (a) structure matricielle, (b) structure organisationnelle en
étoile, (c) structure multidimensionnelle, (d) structure d’entreprise en réseaux.
5.2. Evolution des structures
5.2.1. Caractéristiques de l’organisation
Selon Henry Mintzberg (2003), il faut la formalisation du fonctionnement de
chaque entreprise et distingue cinq (5) parties clés ci-dessous :
a. le sommet stratégique : regroupant les personnes dotées de larges
responsabilités, assimile trois types de devoirs comme : la supervision directe,
la gestion des relations entre l’organisation et son environnement et le
développement de la stratégie de l’entreprise ;
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BIBLIOGRAPHIE
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20. Roboan X. (2012), « Conception systématique pour la conversion d’énergie électrique 1 :
gestion, analyse et synthèse, Paris, éd. Lavoisier ;
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Annexe
1. Quels sont les étapes lors de la création d’une entreprise ?
- Concevoir une idée,
- Ecrire son idée sur le bout d’un papier ;
- Savoir son produits (biens ou service) ;
- Exécution du projet, c’est – à – dire, mener une étude de faisabilité en faisant les
descentes sur terrains pour savoir la nature du marché, le milieu, concevoir des
questionnaires d’enquêtes que la population va répondre. Cette étude de faisabilité va
aider à identifier les besoins et désires de la population ;
- Analyser les questionnaires d’enquêtes pour savoir qui a dit oui ou non afin
d’identifier le prospect ;
- Recrutement du personnel.