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VWIVERSITE DE G0514./4
BP : 204 GOMA
Chef de Travaux
tP~orAPgeE
De XIBVIE 1M-F.
II
DEDICACE
le d~die ce travai~ :
Nous serions ingrat de finir cette aste sans pour autant remercier tous Ces
Deputes, cadres et agents de rAssembae Trovincia du Nord Kivu qui ont pu
coltaborer au cours de nos recherches.
IV
sIgEcEs cEcrJ4cBqcE1IJ4crIo~s
1. Art : Article
6. Const. : Constitution
7. CT : Chef des Travaux
17. % : Pourcentage
• Chapitre Troisième :
o III.1.2. Exercice budgétaire 2008
o III.3.2. Analyse sur l'équilibre budgétaire
• CONCLUSION
• BIBLIOGRAPHIE
o A. OUVRAGES
o II.1.BREVE PRESENTATION DE L'ASSEMBLEE
PROVINCIALE
V
)3 P1OPOS
A première vue, nous pouvons dire que le budget est l'ensemble des revenus et
des dépenses.
S'il faut s'en tenir aux objectifs, le budget privé a pour but la recherche d'un profit
maximum, alors que celui de l'Etat vise, avant tout, la satisfaction de l'intérêt
général pour le bien être social.
Quant aux méthodes et techniques, il est admis que les notions déterminantes
pour le budget privé notamment les notions de coûts, de rentabilité et de
rendement, ne sont pas toujours prédominantes pour l'Etat dans la mesure où
l'intérêt général commande de ne pas les respecter ou de ne les respecter
seules1.
1 KIBUEY M-F, Le budget de l'Etat, règles et techniques de gestion, Kinshasa, 1987, p.9
VI
Ce travail n'est pas le seul qui se soit penché au budget de l'Etat. En plus,
osonsnous croire qu'il n'en est pas le dernier. Plusieurs de nos prédécesseurs s'y
sont déjà intéressés. A titre illustratif, nous pouvons citer les travaux ci-après :
dont
Le premier s'est focalisé sur le niveau des dépenses qui attireraient l'attention des
autorités du Nord Kivu dans l'élaboration du budget de la Province ; de principaux
postes budgétaires qui offrent d'importantes ressources et de principales
dépenses et recettes retenues au budget du Nord Kivu qui stimulent le
développement économique de la Province.
Le troisième travail traitera sur la manière avec laquelle les ressources de l'Etat
sont allouées entre les dépenses fonctionnelles et d'investissements ou
d'équipement de la RDC et les effets de cette allocation au sein de différents
secteurs de la vie sociale, entre autres l'éducation, la santé, l'agriculture et les
infrastructures.
L'objet de cette étude se démarque des autres par le fait qu'il veut justement
présenter le budget de l'Assemblée Provinciale du Nord-Kivu, une des Institutions
nouvellement créées par les processus démocratiques. Ce présent travail est plus
précisément axé sur les problèmes d'exécution de son budget.
O.2. PROBLEMATIQUE
Pour adopter une démarche de gestion rationnelle afin d'assurer efficacement ses
activités d'intérêt public, toute collectivité ou entité administrative, toute Institution
de l'Etat a l'obligation d'établir chaque année un budget. Ce dernier est l'acte par
lequel l'Organe délibérant de l'Etat prévoit et autorise les recettes et dépenses
pour une périodicité annuelle. A cet effet, il suffit pour chaque Entité ou Institution
administrative d'évaluer directement le coût des services ou activités publiques qui
dépendent de lui, compte tenu de leur extension possible, en terme des dépenses
et/ou des ressources y afférentes.
C'est ainsi que le budget, comme outil de gestion, permet à l'Institution qui l'a
établi d'avoir une vue d'ensemble sur la provenance de ses ressources et sur la
façon dont elle doit procéder pour leur allocation.
Par ailleurs, bien que l'on constate l'existence d'un système budgétaire bien conçu
et clairement défini, son exécution comporte un certain nombre des problèmes,
notamment ceux liés au taux de change flexible, à la modicité des dotations, etc. Il
est donc concevable d'asseoir un certain nombre de questions relatives à
l'exécution du budget au sein de cette Institution politique, résumées en quatre :
> Quelle relation y a-t-il entre les dotations et les dépenses de fonctionnement de
l'Assemblée Provinciale du Nord Kivu ?
> Peut-on affirmer qu'il s'observe l'équilibre budgétaire au sein de cette Institution
politique ?
> Quel peut être en moyenne le niveau de dotation face aux dépenses
contraignantes de l'Organe légiférant de la Province du Nord-Kivu ?
O.3. HYPOTHÈSE
Dans le cadre de la présente étude, les hypothèses ci-après ont été avancées
pour permettre une bonne analyse des questions ci-dessus.
Pour bien saisir un travail scientifique, il est requis une délimitation dans le
temps et dans l'espace. Ce travail se limite à la Province du Nord-Kivu qui
constitue la sphère d'intervention de l'Assemblée Provinciale.
Aux fins de collecter, analyser et interpréter les données, il est exigé au chercheur
de recourir à l'usage des méthodes et techniques appropriées.
Les observations contenues dans ce travail, tirées de la problématique
d'exécution du budget au sein de l'Assemblée Provinciale du Nord-Kivu pourront
aussi être généralisées à toutes les Assemblées Provinciales présentant des
caractéristiques similaires. D'où la méthode déductive a été d'usage dans ce
travail.
Chapitre Premier :
GÉNÉRALITÉS SUR LE BUDGET DE L'ETAT
Selon Grand LAROUSSE, Le budget est l'ensemble des comptes qui décrivent
pour une année civile, toutes les ressources et toutes les charges de l'Etat, des
autres collectivités publiques et des établissements publics3.
D'après M. BASLE, le budget de l'Etat est compris selon trois approches, à savoir
l'approche juridique, l'approche économique et financière et l'approche plus
politique4 :
? Dans l'approche juridique, le budget de l'Etat est une loi de finances, c'est-à-dire
« un acte par lequel sont prévues et autorisées par le Parlement les recettes et les
dépenses annuelles de l'Etat ».
Depuis ses évolutions récentes, le budget de l'Etat reste marqué par quelques
traits révélateurs de son importance. Tout essai de définition du budget doit donc
tenir compte de plusieurs éléments 5:
> Il y a ensuite l'idée de programmation d'action, ce qui présume des choix clairs.
La lecture du budget permet, en effet, de déceler les intensions, les orientations et
des formes même d'action ;
> Il y a enfin la notion de prévision. Le budget détermine à l'avance ce que
pourront être les ressources et surtout le niveau des dépenses, leur nature et
leurs limites.
Ainsi perçu, le budget de l'Etat est un dispositif légal annuel constitué d'un budget
général et des budgets annexes qui reprend les ressources attendues, d'une part,
et les dépenses, d'autre part, déterminant les attitudes politiques et la dynamique
de l'action étatique pour l'intérêt général. Il est donc un programme d'actions de
l'Etat, des autres collectivités publiques et des institutions étatiques dans lequel
toutes les recettes et toutes les dépenses à exécuter sont prévues et autorisées
sans restriction. On peut relever une différenciation qu'il y a entre le budget
général et le budget annexe.
Les budgets annexes sont signifiés par des services spécifiques de l'Etat tendant
essentiellement à produire des biens ou à rendre des services donnant lieux au
paiement d'un prix, comme une Imprimerie Provinciale, production et vente des
documents parlementaires, ... alors que la règle habituelle est plutôt la gratuité.
Ce sont des budgets des organismes auxiliaires de l'Etat et des entreprises
publiques à caractère administratif, social ou culturel, scientifique et technique
dont l'équilibre est assuré soit par un versement au budget général en cas
d'excédent, soit par une subvention en cas de déficit6. Il y a, de cela, certains
services qui peuvent être isolés afin de mieux suivre leur fonctionnement. Ces
services, étant la propriété de l'Etat, produisent un budget différent de celui de
l'Etat, mais qui est approuvé par l'Organe délibérant avant d'être exécuté.
Les règles qui sont au nombre de cinq, tournent autour soit de la périodicité
budgétaire (annualité), soit de l'équilibre entre les ressources et les dépenses
(équilibre budgétaire), soit des simples mesures de bonne gestion (universalité et
spécialité), soit des affectations comptables des ressources (unité).
Bien d'autres principes peuvent être évoqués, comme celui de l'antériorité qui
stipule que l'autorisation du budget doit être préalable ; le principe de la non
affectation des recettes et de l'unicité de caisse qui, d'une manière ou d'une autre,
sont compris dans les règles précitées.
6 Loi financière, n°83-003 du 23/02/1983, article 5 p.3
Beaucoup de ces règles ont subi des retouches qui sont intervenues au cours de
temps.
· Le budget doit être présenté par le Pouvoir Exécutif et voté ou adopté par
l'Assemblée ou le Pouvoir législatif avant l'ouverture de l'année budgétaire ;
> La règle de la priorité aux recettes qui impose de fixer les recettes avant de
déterminer les dépenses ;
Lorsque le budget est en déficit, cela veut signifier que le recours à d'autres
ressources que les ressources ordinaires pour financer le déficit est
nécessaire. En d'autres termes, cela signifie qu'il faudra recourir
notamment à l'emprunt parce que les ressources fiscales ne suffisent pas.
Le problème du déficit ne s'analyse pas comme une absence de
financement, mais comme un problème de modalité de financement.
La seconde raison est financière. Le recours à l'emprunt coûte cher puisque qu'il
faut payer des intérêts, ce qui n'est pas le cas pour l'impôt. Par ailleurs, un taux
élevé d'endettement est facteur de hausse des taux d'intérêt. Une ponction trop
importante sur les ressources disponibles, renchérit le coût du crédit. Plus les
ressources sont rares, plus elles sont chères.
1) L'équilibre prévisionnel
2) L'équilibre d'exécution
Pour pouvoir porter un jugement sur son budget et en particulier sur son équilibre,
il est nécessaire de s'assurer que les budgets que l'on compare ont le même
contenu. En effet, les pouvoirs publics sont souvent tentés de masquer la réalité
des déficits par manipulation comptable. La pratique la plus courante et la plus
inquiétante est la débudgétisation.
On revient une fois de plus à la différence de base entre les finances classiques et
les finances modernes. Les financiers classiques considéraient les problèmes de
finances isolément, et l'équilibre financier était un sacro-saint ; alors que les
modernistes remplacent les finances au milieu de la vie économique et sociale de
la nation. Au lieu de s'attaquer par conséquent à l'équilibre comptable entre les
dépenses et les recettes du budget, c'est à l'équilibre général de la vie
économique et sociale que s'attachent les modernistes. Cette conception est
consacrée par la loi financière qui reprend la formule suivante : la loi financière
définit « un équilibre économique et financier », c'est pour dire que l'équilibre
économique a priorité sur l'équilibre comptable.
Ce principe dispose que pour chaque année budgétaire, l'ensemble des recettes
et l'ensemble des dépenses doivent être inscrites au budget, c'est-à-dire leur
montant intégral doit figurer au budget. C'est la règle du produit brut. Les
omissions, les dissimulations et contradictions sont prohibées.
Il est interdit de procéder à la compensation entre les recettes et les dépenses de
façon à ne figurer au budget que le solde.
Toutes les recettes sont à considérer comme une masse unique et doivent
couvrir, sans distinction de provenance ou d'origine, toutes les dépenses de l'Etat.
Sur le plan juridique, l'unité budgétaire précise que le budget doit contenir toutes
les prévisions de dépenses ainsi que toutes les prévisions de recettes de l'Etat ; et
sur le plan matériel que toutes ces prévisions de dépenses et prévisions de
recettes doivent, en principe du moins, figurer dans un document unique.
Tout crédit ouvert à une imputation déterminée ne peut être employé que pour la
nature de dépense correspondante et ne peut être dépassé.
Les dépenses publiques sont l'ensemble des dépenses réalisées par les
administrations publiques. Leur financement est assuré par les recettes publiques
(impôts, taxes, et cotisations sociales) et par le déficit public.
> Une approche plus précise qui permet d'apprécier les conséquences
économiques, sociales ou politiques que peuvent avoir ces dépenses ;
- dépenses de transfert ;
a) Dépenses de fonctionnement
- Dépenses de personnel
c) Dépenses de transfert
Elles correspondent au rôle de redistribution que l'Etat doit jouer au titre de la
solidarité nationale. Le but poursuivi dans la réalisation des dépenses s'expose
tant sur le plan social qu'économique.
> Des entreprises (même si aujourd'hui l'Union européenne contrôle les aides
dans le cadre du principe de libre concurrence) ;
> Des institutions publiques (qui ont elles-mêmes des dépenses de transfert au
niveau local).
Cette classification économique permet d'apprécier l'impact que doivent avoir ces
dépenses sur l'activité économique générale.
2. Classifications politiques
a) Classification fonctionnelle
Elle consiste à regrouper les dépenses sur la base des secteurs d'intervention de
l'action publique. La classification fonctionnelle est une des modernités des
finances publiques où les deniers publics ne sont plus seulement envisagés
comme un moyen de s'acquitter des dépenses nécessaires au bon
fonctionnement de l'administration, mais comme un dispositif de la réalisation de
la politique du Gouvernement.
Les dépenses sont ici regroupées suivant les grandes fonctions de l'Etat. Elle
repose sur l'identification d'un certain nombre de fonctions assumées par l'Etat :
Pouvoir public et administration générale, éducation et culture social, logement et
urbanisme, industrie et services, santé et emploi, défense extérieure, transport et
communication, etc.
Chaque ministre gère les crédits de son ministère. Les dépenses sont donc
classées d'après les autorités qui en ont la disposition. Cette méthode ne peut
être valablement d'application au niveau de l'Assemblée Provinciale du Nord-Kivu.
Elle présente en effet un inconvénient :
> L'organisation est contingente. On ne peut pas analyser l'évolution des budgets
dans le temps d'autant plus qu'il y a création, fusion, disparition,...des services.
Sous l'angle politique, on retrouve les dépenses neutres qui n'interagissent pas
directement le milieu économico-social, et les dépenses actives qui investissent
ce milieu, c'est-à-dire tend à transformer.
En France, la loi organique sur les lois de finances est fondée sur le principe
d'une budgétisation non plus par nature de dépenses, mais orientée vers les
résultats à partir d'objectifs9. Le programme regroupe les crédits destinés à mettre
en oeuvre une action ou un ensemble cohérent d'actions relevant d'un même
ministère et auquel sont associés des objectifs précis, définis en fonction de
finalités d'intérêt général, ainsi que des résultats attendus et faisant l'objet d'une
évaluation.
Les dépenses actives peuvent viser des buts divers qui ne se ramènent pas aux
objectifs politiques, économiques ou aux objectifs sociaux envisagés séparément.
A titre d'exemple, nous pouvons citer les dépenses de coopération internationale.
Ainsi, la dépense active est susceptible de viser les objectifs variés, mais elle peut
prendre aussi des formes multiples.
L'exécution du budget des recettes passe par deux phases, à savoir la phase
administrative et la phase comptable.
Il convient avant tout de préciser que la classification des dépenses adoptée par
le budget du Congo est simple. Il peut généralement être remarqué les dépenses
obligatoires et les dépenses facultatives. Les premières peuvent être subdivisées
en deux groupes : les dépenses proprement dites obligatoires et les dépenses
assimilées aux dépenses obligatoires. Sont qualifiées des dépenses proprement
dites obligatoires, celles qui concernent :
- les conventions en vigueur signées par l'Etat ; - les baux et loyers à payer ;
- les abonnements, fournitures d'eau et d'électricité ; - les rémunérations ;
Les dépenses assimilées aux dépenses obligatoires sont notamment les crédits
de paiement de la tranche annuelle d'une autorisation d'engagement sur le budget
d'investissement, les restitutions des consignations diverses. Le rythme de
consommation des crédits ne se répercute pas sur l'engagement d'une dépense
obligatoire. Pour que l'engagement soit effectué il faut au préalable l'existence des
crédits suffisants. Cependant, la rémunération comporte un caractère particulier.
En ce sens qu'elle est une dépense obligatoire par nature mais non conditionnée,
dans sa liquidation, par l'existence de crédits suffisants.
- fournitures diverses ;
D'une manière plus détaillée, il existe cinq opérations chronologiques. Les quatre
autres premières sont des opérations administratives, tandis que la cinquième est
une opération comptable. Une telle distinction rigoureuse en phase est justifiée
par plusieurs raisons fondamentales : financière, juridique et administrative.
Phase comptable
Phase administrative
Pour bon nombre de cas, l'engagement n'est pas la genèse d'une opération de
dépenses mais plutôt le terminus d'une série de décisions prises antérieurement
et pour lesquelles il n'est finalement que la mesure d'application.
Elle doit, en principe, être faite au vu des titres et documents justificatifs qui
établissent les droits acquis par les créanciers de l'Etat.
Après ces trois étapes, il doit être donné l'ordre de payer c'est-à-dire
l'ordonnancement.
La règle générale à cet effet est tel que toute dépense régulièrement
engagée et liquidée, conformément au budget, ne peut être payée que si
elle a fait l'objet d'un ordonnancement.
Il y a lieu de noter qu'il peut être remarqué des dépenses payables sans
ordonnancement préalable, qui constituent en fait les exceptions à la règle
générale. C'est là un détournement de la procédure normale de l'exécution
du Budget. Toutefois, l'ordonnancement consiste, après engagement de la
dépense et liquidation de la créance, à donner l'ordre, par le canal de
l'Ordonnateur, au comptable de payer le créancier de l'Etat ou de
l'organisme budgétisé.
1. GESTIONNAIRES DES CREDITS
Notes d'Ordonnancements
ENGAGEMENT
REFUS DE VISA D'ENGAGEMENT
3. ORDONNATEUR
2. CONTROLEUR
Engagement
Visa, Observations
Refus de Visa
D'ordonnances ou de mandats :
- de délégation
-de virement
Rejet
4. COMPTABLE DU TRESOR OU BANQUE DU CONGO
Généralement, le bon de caisse est confectionné par tous ceux qui portent
la qualité d'Ordonnateur.
> s'effectuer au gré des événements sans suivre le plan de trésorerie tel
que établi ;
- la qualité de l'Ordonnateur ;
- la disponibilité des crédits ;
D'autre part, il doit, après s'être assuré que la dépense est normale,
désintéresser effectivement le créancier de l'Etat en vérifiant l'identité du
bénéficiaire et en obtenant de lui une décharge ou une quittance qui libère
définitivement l'Etat. Cette deuxième opération est directement liée à la
caisse. D'où l'appellation d' « opération de caisse ».
> Absence des justifications du service fait ; > Caractère non libératoire du
règlement ; > Absence de visa du contrôleur financier.
À la fin de l'année, il est renvoyé dans un compte unique tous les arriérés.
Ceuxci, lors de l'élaboration du budget de l'année suivante, auront une
imputation à part. Exemple de l'Article littera 11-20 : Arriérés sur
fournisseurs des biens et prestations dans le budget de l'Assemblée. Dans
ce cas, la dépense en question doit subir un réengagement dans sa
nouvelle imputation si et seulement si elle est payée au cours de l'année
suivante, soit l'année n+1 tel qu'illustré.
Chapitre Deuxième :
PRESENTATION DE L'INSTITUTION D'ETUDE
1. l'Assemblée Provinciale ;
2. Le Gouvernement Provincial.
> à l'Hôtel « Fleurs de Lys », situé sur l'avenue de la Paix No 223, Quartier
HIMBI dans la commune de Goma, à sept Kilomètres de la BDEGL.
Secrétariat de cabinet
PLENIERE
Bureau
Secrétariat de Direction
Direction Administrative
Bureau d'Etudes
Division Greffe
Division Questure
Bureau Finance
IVème Bureau
Intendance
2ème Bureau
Commission
Comm. et Presse
Sa mission est bel et bien précisée dans son Règlement Intérieur qui
stipule expressément que sans préjudice des autres prérogatives qui lui
sont reconnues par la Constitution, l'Assemblée Provinciale est appelée à :
> légiférer par voie d'édit dans le domaine des compétences réservées à
l'Assemblée provinciale ;
1. l'Assemblée plénière ;
3. les Commissions ;
Elle est compétente pour délibérer sur toutes les matières relevant des
pouvoirs et attributions de l'Assemblée Provinciale, notamment :
15. adopter des résolutions et des recommandations dans les matières non
législatives ;
L'article 10 de son Règlement Intérieur précise que dans les matières non
législatives, l'Assemblée Plénière statue par voie de résolution,
recommandation, de motion de censure ou de défiance et de motion
d'approbation.
II.2.2. Du bureau
Les frais financiers comprennent les intérêts sur l'emprunt et les autres
frais, y compris les commissions bancaires.
+ Etc.
C'est le président qui autorise toute sortie de fonds. Autrement dit, il prend
la dernière décision sur l'affection des fonds mais au strict respect des
crédits alloués à chaque rubrique budgétaire. Il s'engage par :
Pour ce faire :
3° Le sous gestionnaire
- Etc.
4° Le Mandataire
5° L'Ordonnateur Délégué
- Etc.
- Etc.
- Etc.