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RAPPORT DE STAGE

LA PERCEPTION HAD KOURT PROVINCE SIDI


KACEM

Promotion : 2022 / 2023

Du 30 jusqu’à 26 NOVOMBRE

ENCADRE PAR : Mme SAHLI NAWAL


Réalisé par : ZAKARIA ELHABRI
M. NAKI YOUNES

Dédicace
1
Je dédie ce travail à :
Ceux que personne ne peut compenser les sacrifices
qu’ils ont consentis Pour mon éducation et mon bien-
être, et ont toujours été là pour moi, et qui m’ont donné
un magnifique modèle de labeur et de persévérance.
J’espère qu’ils trouveront dans ce travail toute ma
reconnaissance et tout mon amour.

2
SOMMAIRE
Remerciement.....................................................................5
Introduction........................................................................6
I présentation de trésor......................................................7/8
 Historique ...............................................................9/10
 Organigramme........................................................11
 La fiche signalétique……………………...………12/13
II Travaux effectuées :
 Le recouvrement.................................................... 14/15
 Service visa……………………………………….16
 Le budget............................................................17/18
 Recette et dépense.................................................. 20/26
 Intervention des systèmes informatiques…………27/29
 Autres taches effectuées………………………….29
III. Projet de fin de formation :
 Problématique ( l’organisation des horaires de travail
Inadéquate)……………………………….…..30
 L’objectif…………………………………………30
 Méthodologie ( Questionnaire )………………….31
IV. Conclusion ..................................................................33

3
4
REMERCIEMENT

Je tiens à remercier tous les personnels de la perception de had


kourt pour leurs remarques et leurs orientations pendant le stage.
J’aimerais également remercier tous ceux qui m’ont apporté leurs
soutiens et leurs aides au cours de ce stage, ainsi que ma famille
Je tiens à remercier sincèrement madame Nawal sahli, qui, en tant
que professeur encadrant, s’est toujours montré à l’écoute et très
disponible tout au long de la réalisation de mon projet. Ainsi je la
remercie pour l’aide et tout le temps qu’il a bien voulu me consacrer

5
INTRODUCTION

Le stage a été réalisé dans le but de découvrir le monde du


Travail au sein des administrations et dans le but de mettre en
Pratique les connaissances théoriques que nous avons étudiés
Durant notre formation à l’I.S.T. A (Institut Spécialisé de
Technologie Appliquée), ainsi que pour s’intégrer à la vie active,
Et s’informer sur les exigences de la vie professionnelle et des
Tâches administratives et techniques qui nous attendent une
Fois insérée dans le monde du travail.
Aussi, il s’agit d’une opportunité précieuse pour nous initier au
Travail d’équipe, à développer l’esprit d’équipe et apprendre
Comment affronter et surmonter les divers problèmes
Relationnels qui surgissent souvent entre les membres de la même
Équipe.
En fin, il s’agit d’un apprentissage complémentaire qui va enrichir
Non seulement notre patrimoine cognitif mais aussi notre
Curriculum vitae (CV).

Partie 6: I
I Présentation général

1/LA TRESORERIE

La Trésorerie Générale du Royaume constitue l’une des


administrations les plus importantes du Ministère des
Finances et de la Privatisation et à travers laquelle
transite l’ensemble des flux financiers et comptables de
l’Etat et des collectivités locales. Elle est également au
centre d’un maillage institutionnel constitué des
administrations publiques, des établissements publics,
des collectivités locales et d’autres grandes institutions
financières tous concernées par la gestion des deniers
publics. La TGR a initié, depuis 3ans, un grand projet de
modernisation dont la vision stratégique est sous-
tendue par deux objectifs fondamentaux savoir :
 La contribution à l’amélioration substantielle de la
gestion des finances publiques ;
 L’amélioration du service rendu aux clients et
partenaires

7
2 /La perception
On peut définir Les perceptions comme étant des
postes de base
De la trésorerie Général du Royaume "TGR", en effet
ceux-ci
Correspondent à : ✓ Des dépenses publiques, des
paiements des
Charges et des rentes diverses.
✓ De recouvrement des impôts, des taxes, ET autres
recettes
Perçus en encaissement.
✓ De la prise en charge et de recouvrement des
créances
Publiques de l'Etat affectée à leur caisse.
✓ De la tenue de la comptabilité, de l'élaboration des
situations
De gestion liées aux opérations financières de l'Etat.
✓ Du recouvrement des contraintes ou commissions’
extérieures
Émises par les autres comptables publics ou par les
comptables
Des pays étrangers, dans le cadre de conventions
d’assistance
Mutuelle en matière de recouvrement des créances
publique.

8
3 / Historique :
1792-1822 : Organisation financière confiée des "
Oumana " sous le règne du Sultan Moulay
Slimane.
1860 : Généralisation de la fonction de oumana el
Mostafad en qualité de percepteurs des
Contributions indirectes dans toutes les
Villes et des oumana el khers (oumana el
Kabaîl) dans les zones rurales sous le règne
Du sultan Moulay El Hassan
1865 : Instauration des trésoriers payeurs
Généraux
1906 : Création d'une banque d'Etat
1907 -1916 : Fonction de Trésorier Général de l'Empire
Confiée à la Banque du Maroc
27 Juin 1916 : Création de la fonction de Trésorier Général
(Avec la nomination du premier trésorier
Général du Protectorat du Maroc)
1917 : Dahir du 9 juin 1917 : Règlement général
De la comptabilité publique
1950 : mise en place des premiers jalons de
L’activité bancaire de la Trésorerie Générale
1er octobre 1961 : Nomination du premier Trésorier de
Nationalité marocaine : Feu Mohamed
Bernoussi
21 Avril 1967 : Décret Royal portant règlement général de

9
La Comptabilité Publique
1970 : Nomination de Mr Yahia Ben toumert à la
Tête de la TGR
1973 : Nomination de Mr Ahmed Bensalem à la
Tête de la TGR
22 Novembre 1978 : Décret relatif aux attributions et à
L’organisation du Ministère des Finances et
De la privatisation
1986 : Nomination de Mr Salah Hamzaoui à la tête
De la TGR
1998 : Nomination du feu Mr Abdelfattah

10
L’organigramme

Percepteur

Fonde des pouvoirs

Service Service
Service Service Service

Dépense Guichet
Personnel Comptabilité Recette

Recouvrement

La fiche signalétique

Focus

11
La banque mondiale audite la société civile

TRESOR PUBLIC

La TGR et le CED pourraient fusionner d’ici à fin 2005

L’audit et le contrôle interne du trésor public

Audit interne : le retour à des missions comptables et financières

FINANCES PUBLIQUES

Comment réformer les impôts locaux

La gouvernance locale a l’heure de la nouvelle charte communale

Le projet de réforme de la fiscalité locale est en cours de finalisation :

De moins en moins d’impôts

POLITIQUE ECONOMIQUE

Le conseil national de la monnaie et de l’épargne : la stabilité

Macroéconomique

BANQUE

Loi en acier contre chèque en bois

Enjeux et perspectives des nouvelles technique de gestion du risque de


crédit

Capital -risque : activité sur le fil du rasoir

N.T.I.C ET G.R.H

Premières évaluations des stratégies ministérielles de réforme :


moderniser dans la transparence

Départs volontaires : les mouvais calculs de l’état

CHRONIQUE

Le prix 2005 du meilleur jeune économiste

12
Un homme du trésor expert un chercher des politiques monétaires ou
service de la zone euro

A LA UNE DES PERIODIQUES

CONTACTS

Va remarquer suggestions et commentaires peuvent être adressés ou


service de la documentation E-mail : tginfos@tgr.gov.ma Tel : 05 37 57 88
39

13
Partie : II

Les travaux effectuées de la perception selon service :

I le recouvrement :

1-le recouvrement des créance publiques

Il s’agit d’un article narratif dans lequel on va présenter les éléments en


relation avec l’équilibre budgétaire ; sur

Le continent africain en général et au Maroc en particulier le


recouvrement des créances publiques, relevé d’une

Difficulté immense, en raison du niveau des opérateurs économiques, de


l’incivisme fiscal et des politiques

Gouvernementales, requiert une très grande importance de par sa mission


de financer les dépenses publiques.

Le recouvrement des créances publiques est confié aux comptables


publics, seuls chargés de la collecte des

Créances de l’État, qui rencontrent d’immenses problèmes lors de


l’exécution de leurs missions, en plus des

Contribuables défaillants et des contribuables qui organisent leurs


insolvabilités, les comptables publics sont

Soumis au paradoxe de faire à la fois le recouvrement et les diligences aux


créances avant leurs prescriptions pour

Ne pas engager leurs responsabilités personnelles pécuniaire.

La procédure de recouvrement implique plusieurs acteurs ; les


ordonnateurs, les comptables publiques et autres

Agents de l’État sont tous chargés de réussir leur mission. Ce dernier est
codifié par une panoplie de lois et

14
Règlement qui montre clairement que pour arriver à sa finalité le
comptable public peut déclencher une procédure

De recouvrement forcé qui peut aller jusqu'à l’emprisonnement du


contribuable défaillant. Le recouvrement des

Créances publiques est l’enjeu le plus important dans les pays africains et
marocains pour poursuivre le

Développement souhaité, pour en faire et réussir l’action de recouvrement,


il faut faire face aux difficultés qui

L’entrave et d’utiliser les actes matériels de façon optimale qui permet à la


fois la collecte des fonds et l’instauration.

IL y a deux types de recouvrement :

 Les recouvrements amiables : le débutent par l’envoi d’un avis


d’imposition au redevable indiquant les éléments
Suivants :
 Le nom et adresse du contribuable.
 La nature d’impôt et l’année.
 La date de mise en recouvrement et date d’exigibilité.
 Le montant à payer.
Il est dit amiable dans la mesure où l’initiative de règlement est
laissée au
Redevable, et ce, dans un délai de deux mois suivants celui de mise en
recouvrement.
Passant ce délai, le redevable sera passible d’une majoration de 15%
pour le premier mois
De retard et de 0,5% par mois ou fraction de mois supplémentaire
écoulé entre la date d’exigibilité et celle de paiement.
Le recouvrement forcé :

Les actes de recouvrement forcé sont par ordre :


 Le commandement.
 La saisie.
 La vente.
 Et la contrainte par corps.
 L’autorisation du chef de l’administration matérialisée par
l’apposition
D’un visa du Trésorier régional sur l’état de poursuite, et ce, pour tout
Acte de recouvrement forcé à l’exception du commandement.

15
 Le commandement :
Le commandement est un acte par lequel le contribuable est invité à s’acquitter
de Ses dettes. Il est notifié au contribuable à l’expiration d’un délai de 30 jours,
à compter de La date d’exigibilité et au moins 20 jours après l’envoi du dernier
avis sans frais. En cas de Refus par le contribuable de recevoir le
commandement, celui-ci est considéré comme notifié le 8éme jour qui suit la
date du refus. Si l’agent de notification ne rencontre personne au domicile du
redevable, le commandement est considéré comme notifié le10éme jour qui suit
la date de son affichage audit domicile.
 La saisie

Si le contribuable ne se libère pas de ses dettes dans un délai de 30 jours, à


compter

De la notification du commandement, le Percepteur peut procéder à la


saisie de ses biens et effets mobiliers. Lorsque la vente des biens meubles ou
des récoltes ne suffit pas pour

Couvrir le montant de la dette du contribuable, le Percepteur peut procéder à la


saisie et à

La vente des biens immeubles (saisie immobilière), du fonds


de commerce ou des véhicules.

Le service visa :

En tant que Trésorier provincial ou Receveur communal ; le


Percepteur de had kourt chargé de gérer, comme on a déjà
signalé, dix budgets locaux dont un provincial,

Deux urbains et sept ruraux.

En effet ; il s’occupe, cette fois-ci, de l’exécution desdits


budgets tant en recettes

Qu’en dépenses.

Comment peut-on donc définir le budget des Collectivités


Locales ? Comment est-il présenté ? Quelles sont les recettes
et les dépenses de ces collectivités ? Et comment

Elles sont exécutées ?

16
Le budget des collectivités locales :

Présentation du budget :

Le « Budget » est l’acte par lequel sont prévues et autorisées


l’ensemble des

Charges et ressources d’une Collectivité Locale ou d’un


groupement des CL.

Il comprend deux parties :

 La première partie décrit les crédits de fonctionnement


tant en recettes qu’en

Dépenses ;

 La deuxième partie est réservée aux crédits


d’investissement. Elle présente

L’ensemble des ressources affectées à l’équipement et l’emploi


qui en est fait.

Le budget peut comprendre, en outre, des budgets annexes et


des comptes

Spéciaux qui sont créés par arrêté conjoint du Ministre de


l’Intérieur et du Ministre des

Finances.

Les budgets annexes décrivent :

 Dans une première partie : les recettes et les dépenses de


fonctionnement.
 Dans une deuxième partie : les ressources et les dépenses
d’investissement.

Les comptes spéciaux comprennent.

2. Approbation du Budget :

17
Le projet du Budget est préparé par le Gouverneur pour la
Province et par le

Conseil Communal pour les communes urbaines. Il est présenté


au vote des assemblées

Délibérantes au début de la session ordinaire du mois


d’Octobre.

L’approbation du Budget de la Province et des communes


urbaines est donnée par

Le Ministre de l’Intérieur après Visa du Ministre des Finances.


En cas de refus de Visa, le

Budget est soumis à l’approbation du Premier Ministre.

3. modification du Budget :

Le Budget ne peut être modifié que dans la forme suivie pour


son approbation et

Dans les cas suivants :

 Pour l’ouverture des crédits supplémentaires lorsque des


recettes nouvelles où

Supérieures aux prévisions ont été réalisées ;

 En cas d’insuffisances des crédits de fonctionnement lorsqu’il


y a lieu de

Recourir à un virement de crédits d’un article à un autre à


l’intérieur d’un

Même chapitre ;

Ces modifications interviennent sur autorisation spéciale du


Ministre de l’Intérieur

Ou du Gouverneur, dans le premier cas, et sur décision dans


les autres cas.

18
les service recettes :

Les recettes des Collectivités Locales sont prises en compte


au titre de Budget de

L’année au cours de laquelle elles sont encaissées. Les


créances restant à recouvrer, à la

Clôture de la gestion, sont imputées à la même rubrique du


Budget de l’année suivante,

Lors de leur encaissement, sans distinction d’année d’origine.

Procédure d’exécution des recettes :

La perception de toutes les recettes des CL s’effectue en vertu


d’ordres de

Recettes. Ces derniers sont récapitulés sur des bordereaux


d’émission établis en quatre

Exemplaires comportant un numéro d’ordre ininterrompu par


gestion.

Après confirmation de la prise en charge desdits ordres de


recettes, et dès leur

Réception ; le Receveur doit s’assurer que les titres sont bien


décrits et que leur

Vérification ne donne lieu à aucune remarque.

Les ordres de recettes définitivement admis sont complétés


par le cachet « vu bon

À recouvrer ». Ensuite ; le Receveur procède à des diligences


pareilles à celles poursuivies

Pour le recouvrement des impôts de l’Etat.

Modes de perception des recettes :

19
Les recettes prises en charge sont perçues, soit au comptant,
soit par application :
- Les premières sont toujours des recettes perçues sur titres et
réglées au guichet en
Numéraire ou par le biais du chèque.
- Les autres sont réglées par opérations internes, c’est-à-dire,
par application. En
Effet, on peut trouver des applications diverses concernant les
comptes de trésorerie, à
Titre d’exemple :
 Les versements des régisseurs à imputer ;
 Les recettes à classer ;
 Les consignations…
En outre ; il existe des applications afférentes aux comptes
des organismes
Supérieurs comme, par exemple, des recettes provenant du
compte de l’organisme de
Tutelle au profit de la Collectivité Locale intéressée.

les service dépenses :

Les dépenses des Collectivités Locales que le Percepteur est


habilité à en assurer
L’exécution sont de deux types, à savoir, les dépenses du
personnel et les dépenses du
Matériel.
Les dépense du personnel :
Elles sont formées de tous les salaires et indemnités versés
au personnel titulaire et
Agents temporaires des Collectivités Locales. Elles
comprennent principalement :
 Les salaires ;

20
 Les avancements ;
 Les reclassements ;
 Les allocations familiales ;
 Les indemnités des travaux pénibles et salissants ;
 Le capital de décès ;
 Les primes de naissance…
Pour qu’elles soient payées aux créanciers, toutes les
dépenses précitées doivent
Passées régulièrement par un certain nombre d’étapes :
l’engagement, l’émission, le visa
Et le paiement.
Sur la base du document de la loi des cadres de l’ensemble
du personnel de
Chaque collectivité ; Le Receveur reçoit, chaque début
d’exercice, des fiches de
Proposition d’engagement accompagnées des listes
détaillées des engagements proposés.
Il procède ensuite au contrôle de ces engagements en
vérifiant :
 La disponibilité des crédits ;
 La concordance de la rubrique budgétaire avec l’objet
de la dépense ;
 Et que l’engagement soit régulier vis-à-vis des textes et
lois en vigueur

Les dépenses du matériel :

21
 Le bon de commande :

La procédure de bon de commande permet à l’Administration


de se procurer de

Tous les biens et services nécessaires au fonctionnement du


service public.

Son utilisation est autorisée pour les dépenses dont le montant


n’excède pas

200.000Dhs.

Dans ce cas ; et après la réception de la fiche de proposition


d’engagement,

Concernant le bon de commande, par l’ordonnateur ; le


Percepteur ; en tant que

Comptable public ; procède aux vérifications suivantes :

 La qualité de l’ordonnateur ou de son délégué ;

 La nature du service ou prestation ;

 L’imputation budgétaire du service ou prestation du bon de


commande en

Question ;

 L’exactitude des calculs de liquidation ;

 L’arrêté en lettres et en chiffres du montant ;

 Et le nom et l’adresse du fournisseur.

Si le Percepteur constate que toutes les pièces sont


régulières ; il procède au VISA

De paiement « VU BON A PAYER ». Sinon ; la dépense est


rejetée, et elle est appuyée

22
D’une note d’observation en rappelant les références du
bordereau d’émission où le

Percepteur explique les motifs de son rejet.

Il reste à signaler, à ce niveau, que pour les budgets des


communes rurales il n’y a

Pas lieu du VISA CED.

 Le marché

La règle fondamentale des dépenses de matériel est que toute


dépense excédante

Deux cent mille dirhams (200.000 DH) doit faire l’objet d’un
marché.

 Les mentions qui doit contenir un marché public

Un marché doit contenir au moins les mentions suivantes :

 Le mode de passation ;

 La référence expresse du décret des marchés publics ;

 Les indications des parties contractantes ;

 L’objet du marché et le lieu d’exécution de la prestation ;

 Les pièces incorporées dans le marché ;

 Le prix ;

 Le délai d’exécution ;

 Les conditions de réception et de livraison des prestations ;

 Les conditions de règlement ;

 Les clauses de nantissement ;

 Les conditions de résiliation ;

 L’approbation du marché par l’autorité compétente

23
 Le contrôle du comptable (cas d’un marché d’A.O)
Les dépenses relatives aux marchés sont soumises à un
contrôle portant sur la
Forme et sur le fonds.
Le contrôle exercé par le comptable commence à la
séance d’ouverture des plis, et
Ce, par l’étude des dossiers administratifs et techniques
et des bordereaux des prix.
Le dossier présenté à la Perception pour paiement doit
comporter les pièces
Suivantes :
 Un état d’engagement ;
 Le P.V d’ouverture des plis ;
 Un acte d’engagement ;
 La notification d’approbation du marché ;
 Le décompte définitif ;
 Une attestation d’assurance ;
 Un ordre de service à l’entrepreneur ;
 Le CPS ;
 L’original et une copie du marché ;
 Un ordre de paiement ;
 Un avis de crédit ;
 Deux exemplaires du bordereau d’émission.
Pour chaque marché, le Percepteur tient une fiche de
contrôle. Elle fait ressortir les
Informations concernant l’identité de l’ordonnateur,
l’adresse de la partie contractante,
L’objet du marché, les conditions relatives au
cautionnement, les retenues de garantie, les
Délais d’exécution, l’ordre de service, le mode de
passation, le montant du marché, le
Montant des acomptes et pénalités.

24
1. Mode de règlement des dépenses

Après avoir effectué les contrôles nécessaires, qui


doivent être, bien évidemment,

Réguliers ; le paiement des dépenses visées doit y avoir


lieu, soit en numéraire, soit par

Virement :

 Le paiement en numéraire :

 Le paiement par virement :

V. Section5 - Les régies communales :

Les régies présentent une dérogation au principe de la


séparation des pouvoirs des

Ordonnateurs et des Comptables. En effet, d’une part,


vu la faible importance et le

Caractère imprévisible de certaines dépenses ; et d’une


autre part, en vue de faciliter les

Opérations d’encaissement de certains produits, on


peut constituer des régies de dépenses

Et de recettes.

Le recrutement des salariés :

Le recrutement d’un salarié est la

Recherche d’une adéquation entre les besoins de


l’administration

Et les compétences d’un individu.

Ayant repéré ses besoins en personnel, l’administration


devra

25
Formuler précisément ses attentes et les compétences
nécessaire

Pour y répondre.

La rémunération du personnel :

Longtemps, la gestion des

Ressources humaines a été limitée au servie de paie des


salaires.

La rémunération a une double dimension :

C’est un coût pour l’administration (on parle ici de charge de

Personnel) mais c’est en même temps un facteur de


motivation

Pour le salarié.

Le salaire est donc l’équilibre résultant de ces deux forces : à


la

Hausse pour le personnel, à la baisse pour l’administration.

La rémunération ne se limite pas au salarié fixe ; une partie du

Salaire peut dépendre des performances du personnel (partie

Variable).

Etat d’engagement :

Document par lequel un responsable du

Personnel permet de calculer le salaire net d’un salarié selon

Une échelle, un échelon, indice, situation familial, nombre


d’enfant,

Et ainsi la nature des émoluments annuels.

26
Intervention des systèmes informatique dans

L’application opérationnelle dans la perception

Demnate

Il existe plusieurs types d'applications informatique avec lequel


Perception travail pour simplifier ses opérations, on indique par
Exemple :
1-Gestion intégrées de la recette GIR :
L’accès au système requiert une authentification basée sur le
Compte utilisateur et le mot de passe y attribué.
Dans le cadre de la modernisation de la Trésorerie Générale du
Royaume, visant notamment la rationalisation et l’optimisation de
La gestion des finances publiques, il a été procédé au
Développement, par palier, d’un nouveau système de gestion
Intégrée des recettes (GiR).
Il en sera, progressivement, de même pour les acteurs relevant
De la sphère de l’ordonnateur.
GiR est un produit qui vise à répondre aux attentes des
Redevables, des comptables et des ordonnateurs. Il s’agit
Notamment de :
Pour les redevables :
 Faciliter et moderniser le mode de paiement
Payer ses créances auprès de n’importe quel poste
Comptable.
Pour les comptables :
Recouvrer les créances avec efficacité et efficience
 Avoir une situation détaillée de l’ensemble des créances
D’un redevable indépendamment de leur lieu de prise en
Charge o Utilisation ergonomique du système informatique.
Pour les ordonnateurs :
Avoir une visibilité sur les recettes
 Imputation rapide des recettes réalisées
2- gestion intégrées de dépense GID :
Dans le cadre des grandes réformes de modernisation et de
Promotion pour la bonne gouvernance, le projet GID se veut être
Le vecteur promotionnel de la gestion rationnelle des dépenses
Publiques ; et ce grâce à une utilisation efficiente des nouvelles
Technologies de l’information et de la communication.

27
La mise en place du système de Gestion Intégrée des Dépenses
(GID), permettra l’optimisation de la gestion de la dépense
Publique dans les meilleures conditions de fiabilité, célérité et
Efficacité.
En effet, l’environnement actuel se caractérise par des exigences
De plus en plus accrues, en termes de qualité de service, de
Transparence, d’efficacité et d’efficience. Or, l’exécution de la
Dépense publique qui représente un moyen important d’exécution
Des politiques gouvernementales accusent une certaine lourdeur des
Contrôles exercés, des interprétations disparates de certains
Concepts de la gestion de la dépense et la non généralisation des
Systèmes d’évaluation de l’efficacité de ses services.
Par ailleurs, Il existe une certaine disparité au niveau de
L’utilisation des Technologies de l’Information et de la
Communication qui supporte le métier de la dépense et qui est
Essentiellement due à un manque de coordination dans
Le développement de certains systèmes et à leur faible niveau
D’intégration.
L’impact sur le processus de la dépense se traduit par un
Allongement des coûts et des délais de réalisation de la
Commande publique, ainsi qu’au retard dans l’élaboration des
Comptes administratifs et des projets de Lois de Règlement. Et
Par conséquent, il est difficile d’avoir une vision globale de
L’exécution du budget. Par ailleurs, des ressources importantes
Sont mobilisées pour la gestion de la dépense au détriment des
Vrais métiers de chacun des départements ministériels, tout en
Favorisant la multiplication des coûts d’acquisition et de
Maintenance des systèmes et des équipements informatiques
Relatifs à la gestion de la dépense.
Dès lors, il est nécessaire de concevoir et de mettre en œuvre
Un système d’information budgétaire et comptable unifié et
Commun à l’ensemble des acteurs, visant la rationalisation et
L’optimisation de la gestion publique, à travers notamment une
Utilisation avisée des nouvelles technologies de l’information et de
La communication.
La finalité globale du système GID consiste à permettre aux
Intervenants dans le processus d’exécution de la dépense de se
Doter d’un outil performant de gestion qui répond à leurs besoins,
Tout en étant parfaitement intégré aux systèmes de leurs
Partenaires, en vue de leur assurer la réalisation de leurs
Prérogatives dans les meilleures conditions de fiabilité et de
Célérité requise. Ainsi le système GID devrait constituer à

28
Terme :
Un levier de modernisation de l’Administration ;
Un socle de mise en œuvre des réformes budgétaires ;
Un outil capable de fournir, en temps réel, l’information

Nécessaire aux prises de décisions.

Les taches effectuées :


Durant mon stage au sein de la perception HAD KOURT j'ai pu
Effectuer plusieurs tâches dans les différents postes que j'ai
Occupés.
 Recouvrement des créances j’ai pu assister à plusieurs
Opérations tel que : la délivrance de permis de conduit les
ATF les taxes que ce soit professionnelles où
D’habitations...
Mon stage au sein de perception a été très bénéfique et
Instructif. Au cours de ces quatre semaines, j'ai ainsi pu
Observer et participer, au fonctionnement quotidien d'une
Administration. Au-delà, de l'activité de chacun des services, j'ai
Pu constater les relations humaines entres les différents
Fonctionnaire de la perception, indépendamment de l'activité
Exercée par chacun d'eux ; ainsi j'ai pu ressentir l'importance
Des relations humaines au sein de l’administration et même celles
Nouées avec les clients par ce qu’une bonne relation induite une
Bonne réputation à l'organisme et aux employés de ce dernier.
En effet, l'atmosphère au sein de l’établissement était
Très chaleureuse et bienveillante. A titre d'exemple, j'ai
Constaté qu'un air familial régnait au sein de la perception, il y
Avait une absence des rapports de force entre dirigeant est
Subordonnés, et une présence de l'entraide entre les différents
Employés.

Partie : de
29 PFF
 Problématique :
( l’organisation des horaires de travail Inadéquate )

 Contexte :

( Jai traité un problème de


l’organisation de pause de travail
inadéquate)

 L’objectif :

( organiser le planning de travail )

Questionnaire :
30
Est-ce que la durée de pause adéquate

8 : Oui 12 : non

Est-ce que la durée de pause inadéquate

16 : Oui 4 : non

Quelle est la durée suffisante pour vous

20min 30 min 15 min

9 :salariés 9 :salariés 2 :salariés

31
30

25

20

15

10

la durée de pause adéquate la durée de pause inadéquate

32
Conclusion

La mise en stage est une initiative parfaite qui ouvre la


porte face à tout stagiaire de tester et d’amplifier ses
connaissances et aussi à vivre réellement le champ
professionnel.
Il est indéniable que la période du stage était
considérablement exceptionnelle pour consolider et
mobiliser les compétences acquises au cours de la
période de formation.
Le stage que j’ai effectué à la perception de had
kourt a été une opportunité très intéressante puisqu’il
m’a permis, d’une part d’approcher le monde
professionnel, et accumuler des connaissances
pratiques sur la gestion des collectivités locales et leur
participation à la promotion tout sur le niveau
commercial, culturel et socio-économiques d’autre part.
En général, ce stage m’a été très bénéfique.

33
34

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