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DEDICACE...............................................................................................................................................ii
REMERCIEMENTS...................................................................................................................................iii
AVANT-PROPOS.....................................................................................................................................iv
RESUME..................................................................................................................................................v
ABSTRACT..............................................................................................................................................vi
LISTE DES ACRONYMES.........................................................................................................................vii
FICHE SIGNALITIQUE............................................................................................................................viii
INTRODUCTION GENERALE....................................................................................................................1
PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUE D’ANALYSE...........................................................................2
CHAPITRE I : PRESENTATION GENERALE DE CAMTRANSITET DEROULEMENT DU STAGE..................3
SECTION I : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE...............................................................3
SECTION II : DEROULEMENT DU STAGE..........................................................................................4
CHAPITRE II : APPROCHE THEORIQUE DU DEDOUANEMENT DES CONTEURS....................................7
SECTION I : GENERALITES...............................................................................................................7
SECTION II : LES REGIMES DOUANIERS A L’IMPORTATION.............................................................9
DEUXIEME PARTIE : CADRE OPERATIONNEL.....................................................................................16
CHAPITRE III : DEDOUANEMENT DES MARCHANDISES CONTENEURISEES AU PAD PAR
CAMTRANSITSARL............................................................................................................................17
SECTION I : DESCRIPTION DE LA PROCEDURE DE DEDOUANEMENT DES MARCHANDISES
CONTENEURISEES AU PAD PAR CAMTRANSITSARL......................................................................17
CHAPITRE IV : CRITIQUE ET SUGGESTION.........................................................................................23
SECTION I : DIFFICULTES RENCONTREES.......................................................................................23
SECTION II : SUGGESTIONS ET LECONS APRISES.........................................................................24
CONCLUSION GENERALE......................................................................................................................25
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES.........................................................................................................26
LISTE DES ANNEXES..............................................................................................................................27
TABLE DES MATIERES...........................................................................................................................28
I
DEDICACE
A ma MAMAN
Mme NGUELE MBARGA parfaite
II
REMERCIEMENTS
III
AVANT-PROPOS
IV
RESUME
V
ABSTRACT
The rising level of exchange in the world mainly finds its justification in globalization. It is in
this light that the goods make object of numerous import and export. To ease the transport and
handling of the goods you need to give an adapted packaging to the nature of the good, in this
line the container seems to be the most used and securized packaging. In this line the custom
procedure of containerized goods motivated us in writing this report most precisely the
technical aspect and clearance of these containers. Of these facts beginners understand that
only experts mastering all the operations participate. This clearance procedure will call on
numerous steps and documents for the customer to obtain the goods.
VI
LISTE DES ACRONYMES
VII
FICHE SIGNALITIQUE
Sigle TT
DOUALA
Siège social
VIII
INTRODUCTION GENERALE
9
PREMIERE PARTIE : CADRE
THEORIQUE D’ANALYSE
10
CHAPITRE I : PRESENTATION GENERALE DE
TRANSPOINT TRADE ET DEROULEMENT DU STAGE
I. SYNTHESE HISTORIQUE
CAMTRANSIT Sarl est une société camerounaise spécialisée dans le transit des
marchandises au capital social de 1.000.000 FCFA basée à Douala, forte d’une longue
expérience couronnée par de multiples reconnaissances tant nationales qu’internationales.
CAMTRANSIT Sarl vous propose à titre de transitaire un service clé en main où sa principale
préoccupation est votre entière satisfaction.
L’environnement interne de CAMTRANSIT est constitué de ses clients, des intermédiaires et
des divers publics ou institutions. L’environnement externe est constitué des concurrents, des
facteurs économiques, technologiques, techniques et démographiques auxquels elle doit
s’adapter.
Ainsi l’étude de la structure de la société CAMTRANSIT nous donnera une idée sur son
organisation et son fonctionnement.
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Au sein de la société CAMTRANSIT, la structure est fonctionnelle où le principe de la
spécialisation est respecté. Ici un subordonné peut avoir plusieurs chefs suivant les
compétences. Cette structure présente quelques avantages à savoir la grande souplesse dans le
travail, l’insistance sur la spécialisation, la compétence des cadres qui n’est plus à démontrer.
Ses inconvénients ne sont pas les moindres, on peut citer la répartition de l’autorité qui est
source de conflit, la difficulté de coordination comparativement aux autres structures
existantes sur le plan théorique.
Toutes les directions œuvrent pour l’évolution de l’entreprise et non pour la direction d’abord.
Dans cette structure le travail en chaine est plus visible et permet à l’entreprise d’atteindre ses
objectifs.
La synthèse historique ainsi présenté dans son entièreté, nous allons aborder la deuxième
section qui traite du déroulement du stage dans son ensemble.
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réunion afin de faire un rapport global de la journée c’est-à-dire les rendez-vous et actions
menées en journée, puis chacun retournait chez lui. Lorsqu’on avait une affaire, on déléguait
des gens qui devaient s’en occuper. Il était question d’organiser le plan logistique (transport
des commerciaux, hébergement, nourriture, imprévus…). Notre directeur nous faisait faire
des exercices afin d’avoir mieux confiance en soi, de mieux s’exprimer en public et de
dévoiler les qualités qui sont en chacun de nous. Parmi ces exercices on avait par exemple
(chanter devant tout le personnel, concours d’éloquence, simuler des rendez-vous avec des
personnalités). Une fois, il y a eu désaccord entre deux commerciaux alors le Directeur
Général leur a demandé de s’expliquer et d’arranger leurs conflits sinon il les virait tous les
deux, à la fin ils se sont expliqués et ont pu redevenir de bons collègues. On faisait également
des sorties avec notre encadreur professionnel afin de pouvoir prospecter les clients dans
d’autres milieux à l’instar de la sortie au Ministère des Finances et celle à la NFC Bank où
nous nous sommes entretenus avec le responsable commerciale marketing chargé de la
clientèle. A la fin de l’entretien on faisait le point avec tout le monde. Dans certaines
réunions, il était question de faire l’autocritique de chaque commercial afin de présenter les
bonnes et mauvaises qualités de chacun, on organisait les anniversaires des commerciaux au
bureau afin de se détendre et de mieux se familiariser. Durant tout notre stage il était question
de maitriser le domaine et l’entreprise, savoir réceptionner un client, comment se tenir face à
un client, pouvoir s’imposer dans tous les lieux professionnels. Le stage a duré deux mois et
se fut une très belle expérience professionnelle surtout lorsque nous étions partis dédouaner
un conteneur à Douala.
Dans ce chapitre, il était question pour nous de présenter d’un côté la société
CAMTRANSIT dans son ensemble, de montrer ses missions, ses atouts pour qu’elle puisse
fonctionner. D’un autre côté, de parler du déroulement du stage en mettant en exergue les
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différentes tâches auxquelles chaque stagiaire était soumis. La société CAMTRANSIT le
deuxième chapitre où nous exposerons l’approche théorique du dédouanement des
marchandises conteneurisées.
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CHAPITRE II : APPROCHE THEORIQUE DU
DEDOUANEMENT DES CONTEURS
SECTION I : GENERALITES
Il s’agit dans cette section de définir les différents concepts qui nous permettent de mieux
comprendre la procédure de dédouanement des marchandises conteneurisées.
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- L’arrimage : c’est un terme de marine relatif au chargement du navire de telle sorte
que la marchandise soit bien rangée et ne bouge pas avec les mouvements de roulis et
de tangage sans utilisation de cadrage ou de filets.
- La logistique : c’est l’ensemble des activités et des moyens relatifs au déplacement des
marchandises depuis la fabrication, l’emballage, le stockage, les manutentions, le
transport, le dédouanement, la gestion des approvisionnements et le suivi des
livraisons.
- Le dégroupage : c’est une opération technique permettant l’ouverture d’un conteneur
afin que les propriétaires des marchandises puissent les récupérer.
1. PREALABLE A LA PROCEDURE
Importer c’est faire entrer dans un pays des marchandises provenant de l’étranger. C’est aussi
que l’administration définisse un ensemble de documents exigibles à tous types de
marchandises. Toutefois, les formalités communes à tous les types de marchandises sont :
- L’inscription sur un fichier des importateurs ;
- Effectuer la déclaration provisoire des importations (DI) ;
- L’inspection avant embarquement par la SGS ;
- La demande du RUC à la SGS ;
- L’établissement du certificat d’assurance ;
- Le certificat d’origine.
2. PROCEDURE D’ENLEVEMENT
a. Etape de prise en charge par le déclarant
Le déclarant est chargé de : saisir, stocker, faire un requête de liquidation par l’intermédiaire
du module MODBRK mis à la disposition par l’administration des douanes à partir de ses
propres installations informatiques. Suit à tout ceci, il reçoit en retour l’un des quatre
messages suivants :
- Liquidation effectuée (circuit vert) ;
- Contrôle différé (circuit bleu) ;
- Contrôle documentaire (circuit jaune) ;
- Visite des marchandises (circuit rouge)
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De ce fait il connait le numéro, la date et l’enregistrement de sa déclaration, le circuit de sa
déclaration (bon à enlever, contrôle documentaire ou visite), le nom de l’inspecteur chargé de
son dossier (circuit jaune et rouge), le numéro et la date de liquidation des droits et taxes
(circuit vert et bleu).
Après toutes ces étapes il fait un contrôle documentaire (circuit jaune), visites des
marchandises (circuit rouge). L’orientation en circuit jaune ou rouge vaut obligation pour le
déclarant de se présenter devant l’inspecteur désigné. Le déclarant édite sa déclaration, signe
et la dépose auprès du bureau compétent dans le délai règlementaire d’un jour ouvrable. Il
paye les droits et taxes soit par virement bancaire, soit au comptant aux recettes des douanes.
b. Etape de prise en charge par la douane
Au bureau de douane, l’inspecteur désigné par SYDONIA ++ est chargé de visualiser sur son
poste de travail les déclarations. Il peut les éditer en cas de besoin. Il procède au contrôle
documentaire de la déclaration ; il effectue le contrôle physique des marchandises
conteneurisées, ce contrôle est précédé d’un passage au scanner ; il rédige la reconnaissance
du service et le certificat de visite ; il procède à la réorganisation éventuelle de la déclaration
après vérification ; il liquide les droits et taxes reconnues (cette liquidation à valeur de BAE)
en cas de contestation d’infraction, il fait signer au déclarant la reconnaissance du service et
rédige l’acte de contestation (procès-verbal) à soumettre au chef du bureau pour fixation
éventuelle de l’amende, puis liquide les droits et taxes reconnues.
c. Procédure de dédouanement proprement dite
Toute marchandise en transit doit faire l’objet d’une poursuite douanière pour pouvoir entrer
dans le territoire étranger. Au Cameroun, la procédure douanière générale est la suivante :
- L’obtention du RUC ;
- L’enregistrement de la déclaration en douane ;
- Le traitement du dossier en douane ;
- Paiement des droits ;
- Apurement dans le système douanier
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I. REGIME DE MISE A LA CONSOMMATION (IM4)
C’est le régime pour lequel les marchandises sont présentés à la douane et destinées à la
consommation intérieure. C’est le régime le plus couramment utilisé au Cameroun. Mettre la
marchandise à la consommation signifie accomplie les formalités (déclaration sous le modèle
IM4) et payer les droits et taxes de douane au comptant sauf ‘’dérogation’’.
2. LE RÉGIME DE L’ENTREPÔT
C’est un régime qui permet le stockage des marchandises en suspension des droits et taxes
mais sous la surveillance des agents de douane.
a. L’intérêt
- Il permet de disposer sur le territoire national des marchandises étrangères
susceptibles de faire l’objet des transactions :
- Permet de faire l’objet d’une meilleure régulation des stocks
- Permet d’améliorer la balance commerciale grâce à la possibilité de réexporter les
marchandises entreposées. La mise en entrepôt donne lieu à une déclaration sous le
modèle d’IM7.
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L’entrepôt comporte les installations à titre gratuit du corps de garde, les bureaux et
logements réservés aux agents de douane. Les dépenses de construction, de réparation et
d’entretien sont à la charge de concessionnaire.
La surveillance de l’entrepôt public
L’entrepôt public est gardé par le service de douane. Toutes les issues de l’entrepôt sont
fermées à deux clés différentes dont l’une détenue par les agents de douane.
Le séjour de la marchandise en entrepôt public
Les marchandises séjournées dans un entrepôt public pendant3 ans. Au-delà de ce délai et à
défaut de payer les droits et taxes, les marchandises doivent être réexportées. Si rien n’est fait
dans les deux cas, une sommation doit être adressée au propriétaire de la marchandise. Si la
sommation reste sans effet dans un délai d’un mois, les marchandises sont vendues aux
enchères publiques par l’administration des douanes. Le produit de la vente aux enchères,
déduction faite des droits et taxes et des frais de magasinage est versé au Trésor ou à défaut
est versé au propriétaire s’il est réclamé dans les 2 ans à partir du jour de la vente. Dépassé ce
délai de 2 ans, le reliquat est définitivement attribué au Trésor public.
b. L’entrepôt spécial
Il peut être autorisé:
- Si les marchandises dont la présence des entrepôts publics présentent des dangers qui
sont susceptibles d’altérer la qualité de votre produit.
- Pour les marchandises dont la consommation exige des déclarations spéciales2
Le séjour des marchandises en entrepôt spécial
Les marchandises ne peuvent séjourner dans un entrepôt spécial que pendant une durée de 2
ans. Au-delà de 2 ans, Idem qu’en entrepôt public.
c. L’entrepôt privé
Il peut être accordé:
- Aux collectivités ou aux personnes physiques ou morales pour entreposer les
marchandises appartenant aux tiers. C’est ce qu’on appelle entrepôt privé banal.
- Aux entreprises à caractère industriel ou commercial ayant pour leur usage exclusif en
vue d’y stocker les marchandises à faire vendre à la sortie de l’entrepôt. C’est ce qu’on
appelle entrepôt privé particulier ou entrepôt fictif.
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Les marchandises peuvent séjourner en entrepôt privé pendant 2 ans au-delà de 2 ans, Idem
que pour l’entrepôt public et spécial.
Les magasins affectés à l’entrepôt privé ne doivent contenir que des marchandises placées
sous ce régime.
Il est interdit de changer de magasin pour les marchandises placées sous le régime d’entrepôt
privé. Les colis doivent être disposés de manière à faciliter leur reconnaissance et leur
dénombrement.
Les entrepositaires doivent tenir un registre spécial faisant intervenir les mouvements des
marchandises (stocks).
1. LE REGIME DE TRANSIT
Le transit consiste dans la faculté à transporter la marchandise sous douane soit à destination,
soit au départ d’un point du territoire douanier.
En principe, lorsqu’une marchandise traverse plusieurs pays, elle doit subir ces
formalités douanières. Il est donc intéressant de solliciter le régime transit qui permet sur toute
la durée du trajet d’être excentrer des formalités douanières, du paiement des droits et taxes, et
du contrôle pendant le transport.
L’intérêt du régime de transit
- L’intérêt de ce régime est que la marchandise voyage en exonération des droits et
taxes ;
- Pour bénéficier du régime de transit, on doit déposer une soumission cautionnée par
lequel on s’engage à sorti les marchandises du territoire douanier ou à défaut s’acquitter des
droits et taxes dus.
On distingue trois types de transit :
- Le transit ordinaire ;
- Le transit simplifié ;
- Le transit international.
a. Le régime de transit ordinaire
C’est le régime douanier appliqué aux marchandises importées dans un pays en CEMAC mais
qui transitent par le territoire douanier camerounais pour être mise à la consommation des
autres Etats. Le modèle de déclaration sous ce régime est l’IM8.
Pour bénéficier de ce régime, la garantie apportée est la caution par laquelle l’importateur
s’engage à sortir avec la marchandise du territoire douanier national dans les conditions
21
prévues par les conventions du 13 Avril 1999 et du 22 Décembre 1999 liant le Cameroun et le
Tchad d’une part et la RCA d’autre part.
b. Le transit simplifié
Pour ce régime, le chef de bureau de douane peut admettre des dépôts au départ d’une
déclaration sommaire cautionnée reprenant les éléments ci-après :
- Le nombre
- L’espèce du colis
- Les marques
- Le poids brut
- La désignation
- Le prix le n° d’immatriculation du camion, du TC
- L’itinéraire choisit et le bureau de douane de destination
Cette déclaration est établie sous le modèle IM8 bis.
c. Le transit international
Il est réservé à certains transporteurs qui sont ou qui peuvent être admis par le secrétariat
exécutif de la CEMAC à souscrire vis-à-vis de la douane des engagements comporte le titre
de mot utilisé pour les différents modes de transport approprié.
22
- AT spéciale
b. Les types d’AT
- Admission temporaire normale
Ce régime est attribué dans le cadre des importations de biens et équipement, des véhicules
appartenant aux organismes internationaux des ambassades, ainsi qu’à leurs personnels.
Ce régime peut être également sollicité dans le cadre de l’importation des engins en réparation
ou alors en essai d’expérience.
Il peut encore être sollicité dans le cas des importations du matériel technique importés
provisoirement par les entreprises minières et pétrolières en vue de la recherche de la
prospection.
Ce régime peut encore être sollicité dans le cadre de l’importation des emballages pleins qui
seront réexportés vides et l’exportation des emballages vides qui seront réexportés pleins.
Pour bénéficier du régime d’AT, on doit souscrire un acquit à caution par lequel l’on
s’engage à réexporter les exportations admis temporairement dans un délai d’un an ou à
défaut, payer les droits et taxes.
23
DEUXIEME PARTIE : CADRE
OPERATIONNEL
24
CHAPITRE III : DEDOUANEMENT DES
MARCHANDISES CONTENEURISEES AU PAD
PAR CAMTRANSIT SARL
Le dédouanement des marchandises est une opération très complexe qui doit aboutir à
la sortie de celles-ci au PAD. De ce fait, cette opération logistique implique un certain nombre
d’acteurs et de procédure.
SECTION I : DESCRIPTION DE LA PROCEDURE DE DEDOUANEMENT DES
MARCHANDISES CONTENEURISEES AU PAD PAR CAMTRANSITSARL
Le dédouanement des conteneurs au PAD fait appel à plusieurs types de documents sans
lesquels le dédouanement en détail des conteneurs de CAMTRANSIT ne saurait être établi.
1. L’ordre du transit
C’est un contrat par lequel le client donne l’ordre au transitaire de procéder aux formalités
douanières relatives à la mise en consommation de ses marchandises en IM4.
2. La facture fournisseur
C’est une facture adressée au client par son fournisseur. C’est un document qui renferme
toutes les informations concernant les marchandises, la qualité, le prix unitaire et total, la
référence et parfois le fret.
3. La facture fret
C’est une facture déterminant le montant de voyages des marchandises. Elle est remise au
client par le transporteur.
4. Le connaissement ou B/L
C’est un document de transport représentant la marchandise dont il porte la description de
celle-ci. Il sert d’établissement de preuve du contrat de transport et constitue un reçu de la
marchandise « reçu pour embarquement » si la marchandise est chargée.
25
5. Le certificat d’assurance
C’est un document qui atteste que les marchandises ont été assurées à l’étranger. Toutes
les marchandises dont la valeur est supérieure à 500.000FCFA doivent obligatoirement être
assurées. L’assurance couvrira donc les dommages matériels subis par les facultés au cours de
l’opération de transport.
6. La déclaration d’importation
C’est un document autorisant l’importation des marchandises donné par le Ministère du
Commerce. Il est délivré par la SGS à partir de la facture pro-forma à un importateur.
Ensuite nous élaborons une facture pro-forma au client qui contient des éléments tels que
le cout du dédouanement, les frais de transport et nos commissions pour qu’il puisse avoir
une idée générale de ce qu’il aura à dépenser. Lorsque le client valide la pro-forma on lui fait
une facture définitive et delà nous pouvons déclencher la procédure.
26
Nous nous sommes rendus dans la ville de douala le jeudi 12 septembre 2023 aux
environs de 9heures ayant pris comme mode de transport TOURISTIQUE EXPRESS VIP,
arrivés à douala nous sommes allés déposer nos effets à l’hôtel et nous avons pris rendez-vous
avec le déclarant que nous avons choisi dès le départ et avec qui nous avons déjà eu à
travailler auparavant ; nous avons encore essayé de voir si il pouvait revoir le montant des
droits de douane mais il nous a fait comprendre qu’ il ne pouvait pas et nous avons donc
décidé de nous lancer sauf que ,lorsque nous sommes allés prendre une partie de l’argent à la
banque le déclarant a fait une mauvaise manipulation avec son téléphone et nous avons suivi
toute sa conversation qui disait qu’ il voulait d’abord prendre notre argent pour régler un autre
problème d’un client dont il avait pris de l’argent sans faire son travail delà nous avons donc
décidé de ne plus travailler avec lui et se tourner vers un autre qui était en effet un officier de
douane qui nous a confié à un autre déclarant avec qui il travaille d’habitude .
Ce dernier nous a fait comprendre qu’on ne pouvait pas commencer les procédures parce que
nous n’avions pas d’agrément import et de déclaration import ; nous avons donc commencé
par ces documents et après nous sommes allés au niveau de la SGS (société générale de
surveillance) pour récupérer notre DI (déclaration d’importation) et la délégation régionale du
commerce pour récupérer notre agrément d’importateur et nous inscrire dans le fichier des
importateurs du Cameroun.
Ensuite, nous devions établir la saisie du RVC (rapport sur la valeur et la classification
ou la conformité.) ce document se fait normalement avant l’arrivée du conteneur et l’amende
était de 1.500.000 pour le conteneur 40 pieds et de 1.200.000 pour le 20 pieds ,mais la
deuxième semaine que nous avons passés là-bas les valeurs des amendes ont augmenté soit
2.500.000 pour 40 pieds et 2.000.000 pour le 20 pieds .nous avons été conseillé par l’officier
de douane de faire un faux RVC mais avec des valeurs normales il faut noter ici que la
procédure normale va de deux a 4 jours et la procédure que nous avons prise a pris plus de
temps non seulement parce que nous nous sommes pris tard mais aussi nous avons eu un
blocage car notre DI présentait un problème sur la plateforme en fait lorsque ils ont introduit
notre dossier , il Ya deux noms qui ont apparu pour le même dossier et ceci a engendré un
problème au niveau de leur base de données .il fallait présenter une procuration pour qu’on
puisse nous identifier la procédure a été plus longue et on était obligé de prendre ce que nous
appelons la LEVEE DE LA PROVISOIRE pour avancer dans nos procédures
27
NOTONS BIEN : dans ce cas d’espèce la procédure de dédouanement s’est avérée
longue et très difficile car nous avons rencontrés beaucoup de difficultés sur le terrain dont
nous n’avions pas idées et dont la société n’avait pas prévue. Mais qu’à cela ne tienne nous
avons continué à travailler.
Apres avoir obtenue la levée de la provisoire, il était question d’aller voir l’inspecteur
de douane Monsieur KWEDI qui était en charge de notre dossier car c’est lui qui avait donné
son aval pour qu’on mette les droits de douane au prix de six millions ( 6000.000 FCFA ) et
on lui a remis 1000.000 FCFA pour lui ( c’est ce qu’ on appelle communément
LIQUIDATION OU VACATION DOUANE) lorsque nous avons voulu payer le BESC
( bordereau de suivi de cargaison ) notre dossier avait disparu dans la base de donnée il fallait
refaire la procédure car nous n apparaissions ni dans la plateforme du CNCC ( conseil
national des chargeurs du Cameroun ) encore moins dans le fichier de l’affilié de la SGS .
Lorsque nous avons recommencé la procédure au niveau De la SGS, nous étions obligé de
faire une requête au DIRECTEUR DES OPERATIONS DE LA SGS CAMEROUN pour
l’obtention d’un nouveau RVC chose qui a encore prit plus de temps. A un moment donné
nous devions passer au plan B qui était de redonner de l’argent au déclarant pour nous sortir
un RVC provisoire afin de nous permettre de continuer notre travail .entre temps nous ne
pouvions plus rien faire à part attendre le RVC provisoire ; il est sorti le lendemain et lorsque
nous voulions aller prendre le BAE (bon à enlever ) nous nous sommes heurté a un problème
car le premier inspecteur que nous avons vu a été affecté à Yaoundé et son remplaçant nous a
mis les bâtons dans les roues car c’est lui qui était en charge du dossier et ses collaborateurs
chez qui ont avait orienté le dossier (300.000 FCFA ) nous ont dit que il fallait lui donner
quelque chose sinon il allait redresser notre conteneur .il est à noter ici que pendant toutes ces
procédures nous nous sommes frottés a des personnes qui ont prétendues que ce dossier de
dédouanement leur appartenait ce qui a nous a causé non seulement beaucoup de retard mais
aussi beaucoup de tort tant sur le plan professionnel ,physique et psychologique car notre
client avant de nous passer son dossier, il a eu à contacter d’autres personnes des déclarants
et des douaniers ce qui a entrainé des cris , des menaces verbales a notre endroit et aussi à
l’endroit du déclarant .
Toutefois, lorsque nous avons constaté que notre dossier était bloqué et ainsi que les
menaces qui ont été faites à notre égard, nous sommes allés rencontrer d’abord le nouveau
inspecteur du nom de ABBAS qui nous demandait 1.500.000 pour liquider de nouveau notre
28
dossier vu que c’est lui qui remplaçait l’autre et devait nous remettre le BAE nous avons dit à
l’inspecteur ABBAS que nous ne possédions pas ce montant vu tout ce que nous avions eu
déjà à dépenser et les postes qui nous attendaient encore à payer .
Apres que nous ayons négocié il a dit qu’on lui donne 1000.000 FCFA ou rien et au
cas où on ne lui donnait pas ce montant on allait redresser notre conteneur ;nous lui avons
donné ce montant vraiment malgré nous et il nous a délivrer le BAE que nous avons joint au
BESC au RVC provisoire ensuite nous sommes allés payer nos droits de douane a la banque
ainsi que le PAD la fiche GUCCE quand nous avons eu tous les papiers ,nous sommes allés
au PORT I communément appelle PORT GABON c’est à cet endroit que se trouve la
société « CMACGM » qui a transporté le conteneur de notre client ;nous nous sommes
rendus pour payer nos frais de stationnement qui s’élevaient autour de 780.000fcfa plus les
frais de dossier 40.0000fcfa plus les frais d acconage qui était de 415.000fcfa . Après avoir
fini au PORT I nous nous sommes rendus a DIT pour récupérer les autres bons ensuite nous
avons fait la route et AL COMI dont le montant s’élevait à 150. 000 FCFA (ce montant n’est
pas forfaire il peut être plus ou moins ça dépend de qui nous avons devant nous).
En outre, quand nous avons fini, nous sommes allés vers le cautionner et le chauffeur
pour les modalités de paiement et de voyage nous leur avons remis des documents qui
devaient leur permettre d’entrer avec leur camion et ressortir avec notre conteneur.
Aux alentours de 02h37 le chauffeur nous appelle pour nous signaler qu’il a été pris par les
agents de la douane au niveau de la zone d’EDEA et que ces derniers demandaient un
montant de 50.000fcfa , nous avons demandé au chauffeur de nous passer le douanier en
question chose qu’ il a faite et nous avons trouvé un accord en lui donnant un montant de
20.000fcfa ensuite vers 10heures du matin nous sommes allés à la gendarmerie pour porter
plainte nous avons été accompagné par le déclarant et l’officier de douane pour qu’ ils
puissent témoigner de ce qui s’est passé et aussi trouver un compromis entre le CORPS
DOUANIER ET la société .à 15h 30 min , nous avons pris le bus pour nous rendre à Yaoundé
pour attendre le container qui était censé arrivé dans la soirée .nous sommes arrivés à
Yaoundé vers 20h15min et nous sommes restés attendre nos collègues au niveau de la
TRADEX MVAN pour aller attendre le chauffeur au niveau de MBANKOMO ( à ce niveau
29
il y a aussi la douane et le poste de gendarmerie ) donc nous étions avec un gendarme que
nous avons déplacé pour que le chauffeur ne soit plus embêté .
Malheureusement, lorsque nous étions dans l’attente du chauffeur, il nous a fait comprendre
qu’il était tombé en panne au niveau de la zone de MATOMB et là il était déjà 23h30 min
nous étions obligé de rentrer car il nous a dit qu’ le mécanicien devait arriver le lendemain et
lorsqu’ il sera prêt il allait nous faire signe .le lendemain matin ,nous avons appelé le
chauffeur pour savoir si tout allait bien et si le mécanicien était déjà là il nous as dit oui mais
c’était un mensonge ,car le mécanicien nous a fait comprendre qu’ il est arrivé sur place à 15h
.de temps en temps nous étions en contact avec le chauffeur car nous étions stressé par rapport
au container du client et les délais .vendredi le 18 octobre 2023 à 20h30 min le conteneur était
déjà chez le client au quartier DAMAS lieu-dit ENTREE KAMENI .
Nous avons dépoté le conteneur pratiquement jusqu’ à 23h30 pendant que l’on faisait le
dépotage, la douane mobile est venue pour contrôler mais nous étions déjà avancé dans le
dépotage ils ont vérifié les documents et nous ont fait comprendre que nous n’étions pas passé
vers le contrôle au niveau de AKOA MARIA (zone de douane) ont leur a remis un montant de
30.000 FCFA pour leur déplacement et pour qu’ils ne nous dérangent plus.
Après que le dépotage soit fini, il y a eu un autre incident avec le chauffeur parce qu’il voulait
qu’on lui donne les 50.000fcfa qui restaient pour le transport, nous lui avons fait comprendre
que ne lui devait plu rien et qu’il devait voir ça avec son patron parce que ils n’ont pas rempli
leur part de contrat qui était de faire la route jusqu’ à Yaoundé et cet argent (50.000fcfa) a
servi à faire tout cela jusqu’ à ce que le conteneur arrive à destination
Au sortie de cette mission, il était question pour nous de faire trois ou au maximum quatre
jours à douala, mais nous nous sommes confrontés à des nombreuses difficultés qui nous ont
amené non seulement à passer plus de temps (1 mois) mais aussi à dépenser plus d’argent
Ainsi donc, nous pouvons dire que même si le conteneur a pu se dédouaner, cette mission a
été un échec tant sur le plan financier que sur le plan professionnel vu le manque le manque
de documents que nous n’avions pas fait dans les temps et les délais et aussi le manque
d’informations précises à notre égard. Malgré les difficultés rencontrées nous avons pu
dédouaner, transporter et livrer le conteneur du client.
30
CHAPITRE IV : CRITIQUE ET SUGGESTION
I. AU SEIN DE L’ENTREPRISE
- Le retard du personnel à l’entreprise
- Le non-respect des délais dû en l’occurrence au fait qu’un client avait déjà promis
à certaines personnes qu’il a contacté avant nous que ce sont eux qui allaient
dédouaner le conteneur. Il a reçu une cotation de quinze millions et une autre de
seize millions qu’il a jugés coûteuse comparativement à celle de la société
CAMTRANSIT(onze millions cinq cent mille). Ce quiproquo a entrainé non
seulement un prolongement significatif des délais mais aussi des dépenses
supplémentaires importantes ;
NB : la marchandise du client était classée dans les divers et ça coutait vingt-deux millions
(22.000.000fcfa) comme valeur imposable et comme droits de douane elle paye douze
millions (12.000.000 FCFA).
31
-
I. SUGGESTIONS
- Nous devons nous informer sur les procédures administratives et douanières avant
l’arrivée du conteneur et savoir quel PORT recevra notre conteneur pour déjà
savoir quelle posture ou conduite à tenir ;
- Avoir dans notre base de données la liste des chauffeurs pour le transport ;
- Avoir le contact de certains inspecteurs douaniers ou officiers de douane pour
qu’ils puissent nous aider lorsque nous avons des problèmes au niveau de la
douane (droits de douane, SGS etc…) ;
- Faire une ouverture de dossier du client et augmenter nos commissions pour
sécuriser nos transactions ;
- Prendre toutes les informations nécessaires chez le client avant de nous engager et
lui demander les originaux des documents ;
- Faire une sous- traitance avec d’autres entreprises de transit
- Faire de la publicité
- Faire un planning d’horaires d’arrivée et sortie des personnels
- Ne pas faire confiance à ce que le client nous dit sans vérifier les informations
nécessaires ;
- Bonne gestion des finances au niveau des divers et des nouveaux postes ;
- Capacité active sur le plan décisionnel pour gérer une crise ;
- Il faut toujours avoir un plan A, B et C lorsque nous faisons face à ce genre de
problème et savoir garder notre « sang-froid » ;
- Ne pas prendre pour argent comptant toutes les informations qui fusent de partout ;
- Les menaces peuvent subvenir de partout lorsque les intérêts des uns et autres se
sentent menacés ;
32
CONCLUSION GENERALE
33
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
OUVRAGES SPECIALES :
-code de douane ; édition 2013 ;
- CEMAC, réglementation douanière, page 3,4
COURS DE DOUANE
WEB
-www.omc.com
-www.GUCE.cm
-www.SGS.cm
RAPPORT DE STAGE :
34
LISTE DES ANNEXES
- Factures surestaries ;
- Facture frais des dossiers ;
- Fiche GUCCE e-tracking ;
- RVC provisoire physique ;
- Déclaration d’importation ;
- Autorisation d’enlèvement ;
35
ABLE DES MATIERES
SOMMAIRE..............................................................................................................................................i
DEDICACE...............................................................................................................................................ii
REMERCIEMENTS...................................................................................................................................iii
AVANT-PROPOS.....................................................................................................................................iv
RESUME..................................................................................................................................................v
ABSTRACT..............................................................................................................................................vi
LISTE DES ACRONYMES.........................................................................................................................vii
FICHE SIGNALITIQUE............................................................................................................................viii
INTRODUCTION GENERALE....................................................................................................................1
PREMIERE PARTIE : CADRE THEORIQUE D’ANALYSE...........................................................................2
CHAPITRE I : PRESENTATION GENERALE DE CAMTRANSITET DEROULEMENT DU STAGE..................3
SECTION I : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE...............................................................3
I. SYNTHESE HISTORIQUE.......................................................................................................3
II. STRUCTURE ORGANISATIONNELLE.....................................................................................3
SECTION II : DEROULEMENT DU STAGE..........................................................................................4
I. ACCUEIL ET TACHES EFFECTUEES........................................................................................4
II. PORTEE DU STAGE..............................................................................................................5
CHAPITRE II : APPROCHE THEORIQUE DU DEDOUANEMENT DES CONTEURS....................................7
SECTION I : GENERALITES...............................................................................................................7
I. DEFINITION DES CONCEPTS................................................................................................7
II. CADRE GENERAL.................................................................................................................8
1. PREALABLE A LA PROCEDURE.........................................................................................8
2. PROCEDURE D’ENLEVEMENT..........................................................................................8
SECTION II : LES REGIMES DOUANIERS A L’IMPORTATION.............................................................9
I. REGIME DE MISE A LA CONSOMMATION (IM4)................................................................10
II. REGIMES ECONOMIQUES.................................................................................................10
36
1. LE RÉGIME DU PERFECTIONNEMENT ACTIF OU ADMISSION TEMPORAIRE EN VUE DE
LA TRANSFORMATION OU ENCORE IMPORTATION TEMPORAIRE POUR TRANSFORMATION
10
2. LE RÉGIME DE L’ENTREPÔT...........................................................................................11
III. LES REGIMES SUSPENSIFS (TRANSIT, AT)......................................................................13
1. LE REGIME DE TRANSIT.................................................................................................13
2. LE RÉGIME D’ADMISSION TEMPORAIRE.......................................................................14
DEUXIEME PARTIE : CADRE OPERATIONNEL.....................................................................................16
CHAPITRE III : DEDOUANEMENT DES MARCHANDISES CONTENEURISEES AU PAD PAR
CAMTRANSITSARL............................................................................................................................17
SECTION I : DESCRIPTION DE LA PROCEDURE DE DEDOUANEMENT DES MARCHANDISES
CONTENEURISEES AU PAD PAR CAMTRANSITSARL......................................................................17
I. L’OBTENTION DES DOCUMENTS REQUIS POUR ETABLIR UNE DECLARATION EN DETAIL. 17
1. L’ordre du transit..........................................................................................................17
2. La facture fournisseur...................................................................................................17
3. La facture fret...............................................................................................................17
4. Le connaissement ou B/L..............................................................................................17
5. Le certificat d’assurance...............................................................................................18
6. La déclaration d’importation........................................................................................18
II. CAS PRATIQUE : DEDODUANNEMENT CONTENEUR 40 PIEDS AU PORT AUTONOME DE
DOUALA CONTENANT DU MATERIEL DE CONSTRUCTION........................................................18
1. Recherche de la meilleure offre de cotation.................................................................18
2. Procédure de dédouanement proprement dite...........................................................18
CHAPITRE IV : CRITIQUE ET SUGGESTION.........................................................................................23
SECTION I : DIFFICULTES RENCONTREES.......................................................................................23
I. AU SEIN DE L’ENTREPRISE.................................................................................................23
II. SUR LE TERRAIN................................................................................................................23
SECTION II : SUGGESTIONS ET LECONS APRISES.........................................................................24
I. SUGGESTIONS...................................................................................................................24
II. LECONS APPRISES.............................................................................................................24
CONCLUSION GENERALE......................................................................................................................25
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES.........................................................................................................26
LISTE DES ANNEXES..............................................................................................................................27
TABLE DES MATIERES...........................................................................................................................28
37
38