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20 mn
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CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LE LEADERSHIP
3. LEADERSHIP ET PERFORMANCE
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SECTION 1.1
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1. DÉFINITIONS DU LEADERSHIP ET DU MANAGMENT
DEFINITIONS DU LEADERSHIP
• Définition 1: (ROBBINS & JUDGE).
“La capacité de mobiliser et d’orienter durablement un groupe d’individus vers
l’accomplissement de buts précis”
Il peut être associé ou pas à l’exercice d’une fonction de management.
• Définition 2: (WARREN BENNIS)
« Le leadership est la capacité de transformer une vision en réalité concrète. »
• Définition 3: (MICHAEL AMSTRONG)
Le leadership consiste à amener des personnes à faire de leur mieux pour obtenir un
résultat souhaité. On peut parler de capacité à persuader les autres de se comporter
différemment. Le leadership implique de développer et de communiquer une vision pour
l'avenir, de motiver les gens et de s'assurer de leur engagement pour la tâche à accomplir.
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1. DÉFINITIONS DU LEADERSHIP ET DU MANAGMENT
DEFINITIONS DU LEADERSHIP
• Définition 4 : (DIXON).
« Le leadership n’est rien d’autre que d’exercer une certaine influence sur les autres
pour qu’ils agissent de concert pour atteindre un objectif qu’ils n’auraient peut-être
pas atteint aussi facilement s’ils avaient été laissés à eux-mêmes ».
• Définition 5: (BUCHANAN ET HUCZYNSKI)
C’est "le processus qui consiste à influencer les activités d’un groupe organisé dans
le cadre de ses efforts en vue de la réalisation de ses objectifs."
• Définition 6: (MICHAEL ARMSTRONG)
Le leadership est le processus qui consiste à influencer le comportement des autres
pour obtenir des résultats.
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1. DÉFINITIONS DU LEADERSHIP ET DU MANAGEMENT
DEFINITIONS DU MANAGEMENT
• Définition 1 (MICHAEL ARMSTRONG)
Le mot «management» serait dérivé du verbe italien « maneggiare », qui signifie «manier un
cheval» dans le but de le diriger (palefrenier). Cette définition indique que manager signifie avoir
la responsabilité de quelque chose (dont on n’est pas forcément propriétaire).
Le management est le processus qui permet de faire avancer les choses. Les managers définissent
des objectifs, déterminent et obtiennent les ressources nécessaires pour atteindre ces objectifs, les
affectent à des activités planifiées et s'assurent que ces activités se déroulent comme prévu afin
d'atteindre des objectifs fixés.
• Définition 2 (HENRY FAYOL)
Le management consiste à assurer les fonctions suivantes: planifier, organiser, commander,
coordonner et contrôler.
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1. DÉFINITIONS DU LEADERSHIP ET DU MANAGMENT
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SECTION 1.2
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ACTIVITE 1: PAGE 1 DU CAHIER
30 mn
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1.2 DIFFERENCE ENTRE MANAGER ET LEADER
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1.2. DIFFERENCE ENTRE MANAGER ET LEADER
▪ Cette réalité prend plus d’importance s’il s’agit d’un frontline manager.
(Superviseur et son adjoint)
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2. DIFFERENCE ENTRE MANAGER ET LEADER
Leadership Management
GERER LA
GERER LE
COMPLEXITE
CHANGEMENT Aligner les intérêts
et les objectifs Planifier
Un manager Un leader
Prépare les plans et les budgets, fixe les Développe une vision et une stratégie pour
objectifs et gère la complexité. atteindre cette vision.
S’assure que les plans conçus sont déroulés Motive et inspire les employés afin qu’ils
contrôlant le travail des employés et travaillent pour réaliser cette vision, prend
résolvant les problèmes rencontrés. soin de leurs besoins, valeurs et émotions.
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1.2. DIFFERENCE ENTRE MANAGER ET LEADER
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1.2. DIFFERENCE ENTRE MANAGER ET LEADER
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1.2. DIFFERENCE ENTRE MANAGER ET LEADER
“Fait les bonnes choses" “Fait bien les choses" “S’assure que les choses ont été bien faites”
Autorité qui dit comment le budget et le Autorité qui recrute, licencie et met en Met en place le budget d’une équipe ou
personnel sont dirigés et mis en oeuvre place un budget opérationnel d’une unité
Supervise les ressources et l’atteinte des Supervise le personnel et les ressources pour
Supervise la stratégie et les fonctions
objectifs dans un domaine opérationnel accomplir les taches ou activités
LEADERSHIP ET PERFORMANCE
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1.3 LEADERSHIP ET PERFORMANCE
DEFINITION DE LA PERFORMANCE
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1.3 LEADERSHIP ET PERFORMANCE
DEFINITION D’UN RESULTAT ET D’UN INDICATEUR
9. Rédiger, executer et
3. Suivre la performance
4. Recueillir toutes évaluer un plan
de l’employé et analyser
informations et données d’amélioration de la
les écarts et faire les
utiles (Monitoring) performance
feedbacks (Monitoring)
(Improvement) 36
1. SITUATION 2.
COMPORTEMENT 3. IMPACT ET 5. ETAPES
ET CONTEXTE ET
4. DISCUSSION SUIVANTES
CONSEQUENCE
PERFORMANCE
3.3 Examiner les options et évaluer les risques associés pour mieux envisager la suite des actions.
Prendre des
3 décisions 3.4 Veiller à ce que les décisions soient prises à temps et les communiquer clairement aux agents et aux équipes.
éclairées
Préparer des plans pour mettre en œuvre les décisions et s'assurer qu'elles sont approuvées par les personnes et les
3.5
équipes pertinentes.
3.6 Utiliser efficacement les processus de rétroaction (feedback) pour surveiller la mise en œuvre et l'impact des décisions.
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SECTION 1.4
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1.4 LES DIX ROLES DU MANAGER SELON MINTZBERG
Le manager crée et
De par la vertu de sa
Le manager est la entretient des contacts
position à la tête d'une
personne qui guide toutes aussi bien avec son
organisation, chaque
les activités des environnement interne
manager doit accomplir
subordonnés, les motive et qu'externe, pour le meilleur
des obligations de nature
les influence. fonctionnement de
légales ou cérémoniales.
l’organisation
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1.4 LES DIX ROLES DU MANAGER SELON MINTZBERG
43
1.4 LES DIX ROLES DU MANAGER SELON MINTZBERG
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1.4 LES DIX ROLES DU MANAGER SELON MINTZBERG
Plusieurs études ont testé la théorie de Mintzberg et l’ont confirmé. Cependant il est
établi que les rôles changent en fonction de la position occupée par le manager.
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1. 4 LES DIX RÔLES MAJEURS DU LEADER MANAGER
1. OBJECTIFS DU CHAPITRE
5. NIVEAUX DE DEVELOPPEMENT
6. LA CULTURE D’ENTREPRISE
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SECTION 2.1
OBJECTIFS
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1. OBJECTIFS DU MODULE
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SECTION 2.2
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2.2 DÉFINITIONS DU LEADERSHIP SITUATIONNEL
Edwin hollander a été l'un des premiers écrivains a pensé sur le leadership situationnel. Il
a passé en revue les théories du leadership. Il a effet retenu que le comportement du
leader était étroitement lié à la situation à laquelle il fait face.
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2.2 DÉFINITIONS DU LEADERSHIP SITUATIONNEL
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2.2 DÉFINITIONS DU LEADERSHIP SITUATIONNEL
L'approche situationnelle renforce le fait que les humains ont des besoins et ceux-ci
varient selon la géographie, la culture, les contextes, la taille des entreprises et ainsi de
suite. Ces besoins influencent les choix et la façon dont les leaders prennent des
décisions.
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2.2 DÉFINITIONS DU LEADERSHIP SITUATIONNEL
Cette approche de leadership situationnel que nous venons de décrire, a été affinée et
développée en modèle par Blanchard et Hersey (1997). Il est basé sur l'interaction
entre deux comportements critiques:
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SECTION 2.3
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2.3 MODÈLE DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
Pour être efficace, le leader doit être en mesure d'utiliser tous les styles de leadership et
savoir quand les utiliser selon le niveau de développement de l’employé.
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2.3 MODÈLE DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
Des leaders qui ne sont pas suffisamment flexibles pour adapter leur style de leadership aux
circonstances peuvent diriger efficacement dans certaines situations mais mal dans d'autres.
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2.3 MODÈLE DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
PAR CONSÉQUENT, CE MODÈLE EST IDÉALEMENT ADAPTÉ POUR DÉCIDER AU NIVEAU D’UNE ÉQUIPE
ET AU SOUTIEN À LA PERFORMANCE DES PERSONNES TOUT AU LONG DE LA RÉALISATION D’UNE
TÂCHE OU D’UNE ACTIVITÉ OU D’UN PROJET.
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2.3 MODÈLE DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
Ils se caractérisent par une communication à sens unique entre le leader et les membres de
son équipe.
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2.3 MODÈLE DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
Défini comme la mesure à laquelle vous vous engagez dans une communication bilatérale avec
une personne ou un groupe que vous managez.
Ces comportements comprennent des attitudes d'écoute, de facilitation et de soutien. Il s'agit
d'aider la personne à s'aider elle-même.
Le comportement centré sur la tâche et le comportement centré sur la relation sont les dimensions
du leadership situationnel. Ils sont placés sur des axes d'une grille et les 4 quadrants qui sont
formés peuvent être utilisés pour identifier 4 styles distincts de leadership.
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2.3 MODÈLE DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
B - Comportement centré sur la relation ou de soutien
ENGAGEMENT DE L’AGENT
Coaching Délégation
Direction Soutien
-
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MODÈLE DU LEADERSHIP SITUATIONNEL
(HERSEY & BLANCHARD, 1977)
+
S2 S4
ENGAGEMENT Coaching Délégation
S1 S3
-
Direction Soutien
zéro - COMPETENCE +
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LE LEADERSHIP SITUATIONNEL DÉCRIT QUATRE GRANDS STYLES QUE VOUS POUVEZ UTILISER.
Style 1 Style 2
Diriger Coacher
Style 3 Style 4
Soutenir Déléguer
• Partager des • Confier la
idées et faciliter responsabilité
la prise de des décisions et
décision de leur mise en
œuvre
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2.4 STYLES DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
COMPORTEMENT DIRECTIF
Surveille étroitement
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2.4 STYLES DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
COMPORTEMENT DE SOUTIEN
Fournit un soutien et des encouragements IL N'Y A PAS DE «ONE SIZE FITS ALL»
MEILLEURE APPROCHE POUR
Implique les agents dans les discussions sur les
INFLUENCER LES GENS
activités de travail
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SECTION 2.5
NIVEAUX DE DÉVELOPPEMENT
DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
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2.5 NIVEAUX DE DEVELOPPEMENT DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
Le niveau de développement est défini par la mesure qu’une personne démontre qu’elle
est compétente et engagée à accomplir la tâche.
• Les quatre dimensions sont (Blanchard & Hersey, 1997):
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2.5 NIVEAUX DE DEVELOPPEMENT DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
Les deux composantes principales du niveau de développement d’un agent sont la compétence
et l'engagement.
Compétence
Est l’ensemble des connaissances et habiletés qu'un individu ou un groupe peut mobiliser et
apporte à la réalisation d’ une tâche ou une activité lui permettant de prédire ou d’atteindre
des objectifs.
Engagement
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2.5 NIVEAUX DE DEVELOPPEMENT DE LEADERSHIP SITUATIONNEL
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1. STYLE DE LEADERSHIP DIRECTIF
AGENT D1: COMPETENCE ET ENGAGEMENT FAIBLES
D1
STYLE DE SOUTIEN
STYLE DIRECTIF
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1. STYLE DE LEADERSHIP DIRECTIF
AGENT D1 : COMPETENCE ET ENGAGEMENT FAIBLES
Ce style de leadership est plus approprié lorsque les suiveurs (subordonnés) ont un
faible engagement et une faible compétence pour la tâche à accomplir. Lorsque les
suiveurs ne peuvent pas faire le travail et ne veulent pas ou ont pas peur d'essayer, le
superviseur doit dans ce cas assumer un rôle hautement directif.
La direction exige que le superviseur définisse les rôles et les tâches des suiveurs et les
surveillent étroitement.
Les décisions sont prises par les superviseurs et la communication est à sens unique. Si
le superviseur se concentrait davantage sur la relation dans cette situation, les suiveurs
deviendraient confus quant à ce qui devait être fait et à comment le faire.
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2. STYLE DE LEADERSHIP COACHING
AGENT D2: COMPETENCE FAIBLE ET ENGAGEMENT ELEVE
D2
STYLE DELEGATIF
STYLE COACHING
Engagement faible
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2. STYLE DE LEADERSHIP COACHING
AGENT D2: COMPETENCE FAIBLE ET ENGAGEMENT ELEVE
Cette approche de leadership est plus appropriée lorsque les suiveurs ont un grand engagement
mais une faible compétence pour la tâche à accomplir. Le coaching exige toujours que les
superviseurs définissent clairement les rôles et les tâches, mais ils recherchent des idées et des
suggestions de la part du subordonné.
Les décisions restent la prérogative du superviseur, mais la communication est beaucoup plus
bidirectionnelle. Les suiveurs ayant besoin d'un encadrement et de supervision car ils sont encore
relativement inexpérimentés, mais ils ont également besoin de soutien pour renforcer leur estime
de soi et leur participation à la prise de décision afin de rétablir leur engagement.
Pendant le coaching, le leader passe du temps à écouter, conseiller et aider le suiveur à acquérir
les compétences nécessaires pour effectuer la tâche.
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3. STYLE DE LEADERSHIP DE SOUTIEN
AGENT D3: COMPETENCE ELEVE ET ENGAGEMENT FAIBLE
D3
STYLE DIRECTIF
STYLE DE SOUTIEN
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3. STYLE DE LEADERSHIP DE SOUTIEN
AGENT D3: COMPETENCE ELEVE ET ENGAGEMENT FAIBLE
Ce style de leadership est plus approprié lorsque les suiveurs ont un faible engagement mais
une grande compétence pour la tâche à accomplir. Un leadership de soutien, c’est-à-dire
centrée sur la personne, fonctionne lorsque l'agent peut faire le travail, mais refuse de le faire
ou fait preuve d'un manque d'engagement.
Le leader n’a pas besoin de lui montrer quoi faire, mais plutôt de chercher à savoir pourquoi
le suiveur refuse et s'efforce de le persuader de coopérer. La clé d'un leadership de soutien
consiste à motiver et à renforcer la confiance des agents. Il n’est pas important dans ce cas de
clarifier les détails du processus de réalisation, l’agent sait déjà quoi et comment faire mais
manque de motivation pour agir.
Ce style implique d'écouter, de féliciter et de faire en sorte que les suiveurs se sentent bien
lorsqu'ils montrent l’engagement nécessaire pour réussir.
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4. STYLE DE LEADERSHIP DELEGATIF
AGENT D4: COMPETENCE ET ENGAGEMENT ELEVES
D4
STYLE COACH
STYLE DELEGATIF
Engagement faible
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4. STYLE DE LEADERSHIP DELEGATIF
AGENT D4: COMPETENCE ET ENGAGEMENT ELEVES
Cette approche de leadership est plus appropriée lorsque les suiveurs ont un engagement et
une compétence élevés. Les superviseurs doivent faire de la délégation lorsque l’agent peut
faire le travail et est motivé pour le faire. Dans ce cas les chances que le suiveur réussisse sont
raisonnables, et il a besoin de peu de supervision ou de soutien.
La délégation garde toujours le leader impliqué dans les décisions et la résolution des
problèmes, mais l'exécution est principalement entre les mains des suiveurs.
1. Définir la
relation
Fixer les
objectifs
6. Evaluer la
démarche 2. Déterminer le
gloable niveau de
d’encadrement développement
et ses résultats de l’employé
PROCESSUS
D’ENCADREMENT
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CAS PRATIQUE
ACTIVITÉ 4.1
Quelles situations dans votre travail de tous les jours pourraient utiliser chacun de ces
quatre styles de leadership? Travailler en groupe et essayer de donner un style pour
chaque situation de travail vécue.
1. DIRIGER
2. COACHER
3. SOUTENIR
4. DELEGUER
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ACTIVITE 1
CARACTERISTIQUES ET STYLES DE
LEADERSHIP
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CAS PRATIQUE NIVEAU DE DEVELOPPEMENT CARACTERISTIQUES STYLE DE LEADERSHIP
ACTIVITÉ 1
Compétent et engagé
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ACTIVITE 2
DIAGNOSTIC DE NIVEAU DE DEVELOPPEMENT
PAGE 4
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SECTION 2.6
LA CULTURE D’ENTREPRISE
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2.6 LA CULTURE D’ENTREPRISE
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2.6 LA CULTURE D’ENTREPRISE
88
2.6 LA CULTURE D’ENTREPRISE
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2.6 LA CULTURE D’ENTREPRISE
L’entreprise fonctionne comme une cellule familiale, en ce sens, elle renferme des secrets,
fautes, non dits etc., ce sont ses tabous.
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2.6 LA CULTURE D’ENTREPRISE
Ils représentent l’image de l’entreprise. L’entreprise est souvent reconnue à travers ses
symboles et se différencie des autres entreprises par eux.
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2.6 LA CULTURE D’ENTREPRISE
• Départ à la retraite
• Affectations ou démissions
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2.6 LA CULTURE D’ENTREPRISE
COMPOSANTE DE LA CULTURE D’ENTREPRISE: LES VALEURS
Ce sont les idées et les croyances que les membres de l’entreprise ont en commun et qui
guident leurs comportements. Ainsi, chez General Electric, on affirme que le progrès est
le produit le plus important. Exprimées ou non dites, ces valeurs n’en restent pas moins
une cause essentielle de la réussite d’une firme, parce qu’elles modèlent la stratégie, le
style de direction ou les relations entre les services et les hommes.
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2.6 LA CULTURE D’ENTREPRISE
• LE SUPERVISEUR JOUE UN RÔLE CRITIQUE, NON SEULEMENT COMME MODÈLE DANS SES COMPORTEMENTS
ET SA PERFORMANCE MAIS AUSSI DANS SES INTERACTIONS AVEC LES EMPLOYÉS ET LES AUTRES, DEDANS
ET EN DEHORS DE L’ORGANISATION, IL DEVRAIT ÉGALEMENT PARTICIPER À LA FORMATION DU MODÈLE QUE
LES AUTRES SE FONT DE L’ORGANISATION.
• L’IMAGE QUE L’ORGANISATION ESSAIE DE VÉHICULER PEUT ÊTRE PERÇUE PAR LES PARTIES PRENANTES
MAIS LE SUPERVISEUR EST AUSSI UN INGRÉDIENT ESSENTIEL QUI DOIT S’ASSURER QUE LES OPÉRATIONS
ET LES EMPLOYÉS CONFIRMENT CETTE IMAGE PAR LEURS ACTIONS ET LEURS VALEURS.
• LES ATTENTES NON DITES OU NON ÉCRITES ENTRE EMPLOYÉS OU LE CONTRAT PSYCHOLOGIQUE, SE
RÉFÈRE GÉNÉRALEMENT À DES ATTENTES INTANGIBLES COMME LA LOYAUTÉ, L’ÉQUILIBRE ENTRE SALAIRES
ET LE TRAVAIL BIEN FAIT ETC. QUAND TOUTES LES PARTIES HONORENT LE CONTRAT ALORS TOUT VA BIEN,
MAIS VIOLER CE CONTRAT ÉRODE LA CONFIANCE ET A COMME RÉSULTAT LA SOUFFRANCE DANS LA
QUALITÉ DES RELATIONS.
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FIN DU MODULE ET MERCI.
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