Ville, urbain, habitat

COURS DE SOCIOLOGIE

COURS DU 22.03.23

Enseignement de studio : travail sur résidence d’artistes

On emploi « Nos artistes » pour parler des futurs utilisateurs → dimension égocentré, ça construit notre façon d’être en tant
qu’architecte

Notre façon d’interagir illustre notre monde (matériel, socio-spatial, impact sur la façon dont on va utiliser l’espace)

- Cultures, normes, règles

- Objets sociaux
- Adjectifs possessifs

Le cas de notre positionnement en classe, de quoi dépend-il ?

Hypothèses sur la question socio-spatiale :

- Lien aux autres (groupe d’amis ou non*)

- Lien au cours
- Places disponibles ou prises
- Notre physiologie (vue)
- Si possibilité, on se met là où on se sent bien
- Actions du quotidien perturbées, ça change (brise la routine) → différents paramètres peuvent nous pousser à agir
différemment
- L’image que l’on veut donner de soi (celui qui arrive en retard, ne veut pas être mal vus)

La structuration socio spatiale s’observe à l’échelle de l’amphithéâtre mais c’est aussi transposable à une échelle de la ville et
de l’urbain.

LE GROUPE

comment est-il constitué ?

pas forcément lié à l’amitié car la question de subjectivité est très présente, pas toujours de réciproque

- centres d’intérêts commun

- fréquence à laquelle on voit les personnes
- si on peut, on cherche à se regrouper avec des amis

Renvoi à une notion d’image : représentation sociale (représentations des autres) → tout le monde le fait, en faisant des
hypothèses sur qui est autrui (on catalogue) pour savoir comment me comporter avec cette personne

On fait des corrélations entre la façon dont parle la personne, la posture… Ces images, ces jugements sont fait constamment.

La représentation sociale = ensemble de paramètres que je vois, qui me permettent de « trier » le monde, de le rendre
compréhensible pour moi

Pour concevoir des espaces, on mobilise un ensemble de représentations sociales ! On s’appuie sur ce qu’on s’imagine de ce
qu’est un logement de tel ou tel type → il est intéressant de comprendre ces représentations en les décryptant
Lorsqu’on se fait des représentations, on définit souvent des personnes de bizarre → renvoi à des normes sociétales

Qu’est-ce que l’on mobilise pour la résidence des artistes ?

Les éléments de départ:

- les besoins
- les formes d’art
- les aspects fonctionnels
- les éléments existants (observation et analyse sur site)
- un programme qui définit différentes contraintes → possibilité de questionner ce programme
➔ on détermine ces paramètres grâce notre tête et la documentation

synthèse collective :

- la manière dont on conçoit dépend de notre culture, de nos expériences , de nos valeurs et de notre sensibilité
- importance des mots, leur impact (ex : pronoms possessifs), leur sens (signification)
- les représentations spatiales que l’on a automatiquement dans la société
- la différence entre espace conçu, perçu, vécu
- le jugement, on étiquette les autres, on s’en fait des représentations = catégorisation des personnes selon des
normes (chacun se positionne différemment par rapport à la norme)
- réflexion sur ce qu’est un groupe et comment il est constitué (selon les affinités, les groupes de classe, les centres
d’intérêts)

« garder la face » pour Goffman = chacun de nous va tout faire consciemment et inconsciemment pour donner une image de
soi en intégrant des normes pour continuer à être en interaction avec les autres et ne pas être marginalisé par la société

On agit beaucoup en réfléchissant à l’image que l’on va avoir de nous

On appréhende le monde en essayant de façon plus ou moins explicite de catégorisé le monde

Nous sommes tous sociologues (on observe le mode et on essaie de le rendre compréhensible en le catégorisant → action
que les enfants font très souvent) = pensée de Becker

Evaluation : synthèse analytique du cours (une copie double max)

- Des éléments vus en cours : connaissance/culture (notions, auteurs, concepts...)

- Des éléments de débat
- Des éléments perso (questions, réflexions, références personnelles... → si possible en lien avec l’architecture)
- Ecrit, schémas, frise analytique

Date de rendu : 24 mai à 10h00

COURS DU 29.03.23
La ville et l’urbain relève d’une question publique → les 3 dimensions sont liées

Dans les années 60, Henri Lefevre affirme que le monde est majoritairement urbain, l’urbain est devenu la « condition
majoritaire » (La Révolution majoritaire, 1970)

Hypothèse de signification :

- les villes se développent dans un certain modèle moderne

- Renvoi à une manière de vivre (Georges Simmel, La ville moderne) imposée dont on ne peut échapper
➔ Les villes industrielles, occidentales, se soumettent à ce nouveau modèle, les gens assimilent et intègrent ces
nouvelles manières de vivre

Pourquoi on ne parle pas de la campagne ?

ce nouveau modèle vient aussi s’imposer dans les campagnes, on parle d’urbanité pour l’ensemble des territoires → c’est en
ce sens que la campagne n’est pas explicite dans le titre

Du fait de ce nouveau modèle, il va y avoir un impact sur la fabrication des normes et donc sur la conception des habitats.

Extrait de documentaire qui se déroule milieu XIXe siècle : ère de l’industrialisation

A cette période, beaucoup d’hommes de l’Europe étaient migrants. Leur objectif était de réussir à atteindre l’Amérique en
bateau, l’arrivée était au niveau du site d’Ellis Island à NY. Leur souhait était de se trouver une meilleure qualité de vie car ils
étaient souffrant de misères, famines, guerres...

A l’arrivée, une visite médicale où on vérifiait que chaque migrant était en bonne santé était imposée. Si ce n’était pas le cas,
ils étaient renvoyés. Ceux qui étaient en bonne santé, devaient ensuite passer un test avec des questions. Seuls ceux qui
avaient tout juste pouvaient rester sur le territoire, le reste était renvoyé sur leur terre natale → validation médicale et juridique

Ils étaient ensuite utilisés dans les usines, on les faisait travailler

extrait de Charlie Chaplin :

- Place des migrants dans les usines

- Le lien entre chef-travailleur
- Principe de travail à la chaine
- Notion d’efficacité, de rentabilité, de production → notions recherchée nouveau système
- Déshumanisation de l’homme, machine à produire

Villes productivistes qui se construisent et se conçoivent pour des objectifs capitalistes, de production massive → lien au
travail, au capital, à l’argent est très important

Nouvelle classe sociale qui émerge = ouvriers → impact sur l’habitat

Les gens s’éloignent de la capacité de faire, ils ne détiennent plus leur œuvre (c’est le patronat qui possède)

COURS DU 05.04.23

Introduire le cours en amphi sans parler :

- La prof attend quelque chose de nous

- On est perplexes : quand va commencer le cours ?
- On ne sait pas si ça fait partie ou non du cours
- On attend qu’il se passe quelque chose
- On s’attend à ce que la professeur prenne la parole = personne qui dirige ce cours
- On fait la liste des choses que j’aurai pu faire pendant ce temps là
➔ On est habitué = la norme
➔ La sanction = être puni
Le moment de flottement : on interprète en fonction de situations « quasi » similaires + on interprète par rapport à ce que l’on
imagine que l’autre attend

On n’ose pas prendre la parole pour demander que le cours commence → ne pas vouloir sortir de la masse car :

- on ne veut pas subir le regard des autres (rejet, moqueries…)

- on a peur de ne pas être soutenu
- on ne veut pas être repris voire humilié par l’enseignant

sur quoi s’appuie notre interprétation ?

- le vécu
- le caractère
- le verbal et le non-verbal
- agacement, attente, détachement par rapport à la situation, analyse de la situation et des personnes

On pose une série d’hypothèse → en sociologie, il n’y a pas de vérité

Le sociologue s’intéresse à la situation et l’analyse car elle en dit beaucoup sur la société et la façon dont les rôles vont avoir
un impact (c’est quoi la société ? comment on agit ? comment on fonctionne ou dysfonctionne ensemble ? comment les
espaces sont vécus et perçus...) → ici rapport prof-étudiant (peur du jugement, de l’autorité, de sa détacher de la masse…)

On comprend la façon dont cette société est organisée et normée !

Le sociologue s’appuie sur des éléments, des actions, des signes pour poser des hypothèses (avec des marges de certitude
plus ou moins importante) → le savoir est relatif !

Urbanisation et industrialisation (XIXe siècle) :

- Nouvelles classes sociales : ouvrier et patronat

- L’homme est là pour produire des richesses. Il y a une rationalisation du travail : notion de temps de travail qui
émerge
- Aliénation, déshumanisation, tri… = l’homme ouvrier devient une marchandise
- L’artisan : propriétaire ≠ l’ouvrier : il est bloqué dans une chaîne de production (il fait qu’un bout et pas le travail en
entier), il perd son droit de propriété face au patronat
- L’objet pour l’artisan est unique alors que celui de l’ouvrier est capable d’être reproduit à l’identique !

On est sur un nouveau modèle productiviste qui a mené à des constructions en béton, de masse = système d’architecture
productiviste

La ville devient alors un lieu capitaliste. Ce capitalisme fonctionne avec la ville urbaine. L’urbanisation et l’industrialisation sont
deux phénomènes, processus qui ont émergé ensemble, qui se sont construits dans le temps (par les migrations massives =
mouvement de masse notamment) et qui fonctionnent ensemble.

Suite à la migration, il a été nécessaire de construire rapidement des logements (≠habitats) pour les ouvriers, proches des
usines. On commence alors à utiliser des matériaux plus rapide d’utilisation = modification des techniques architecturales,
engendrant des transformations pour le logement en lui-même (le parcours architectural, l’organisation spatiale, la qualité
des matériaux…). C’est le patronat notamment qui finance ces logements, cherchant un minimum de confort pour les
ouvriers = le nouveau modèle de construction, d’habitat apparait

Le logement est matériel (l’architecte pour concevoir fait un nombre d’hypothèses élevé !). L’habitat est habité (le chez soi,
dimension d’appropriation, et porte une attention à l’environnement autour).

Ex : les cités jardins, le patronat met en place des habitats un peu vert pour les ouvriers, le but étant qu’ils s’y sentent bien
dedans pour qu’ils puissent par la suite être dans leur meilleure forme pour produire.
La sociologie urbaine émerge aux EUA, plus précisément à Chicago, car l’urbanisation est un processus nouveau et qu’il
engendre beaucoup de dysfonctionnements dans cette ville moderne.

La révolution Haussmann : Haussmann est nommé baron de la ville de Paris suite à la demande de Napoléon au début du
XIXe siècle

- volonté de redynamiser la ville

- quartier au centre de paris abritant une population très pauvre est repensé pour créer un centre parisien riche et
bourgeois avec une périphérie plus pauvre (proches abattoirs usines)
- Elargissement des voies : pour l’assainissement, pour éviter les révoltes populaires et les soulèvements (moins de
barricades par exemple) et pour la mobilité des piétons, des marchandises…

Architecture Haussmannienne = urbanisme sécuritaire

COURS DU 12.04.23

Peut-on poser l’hypothèse que ce sont souvent/toujours les mêmes personnes qui se taisent/parlent au début du cours ?

- Habitude, caractère
- En fonction de l’emplacement dans l’amphi
Ça dépend du moment/de la nécessité/l’urgence de partager un sujet (le rendu)
- Besoin d’une pause
Personnes qui ne parlent pas n’ont personne à qui parler
- Dépend de l’intérêt au cours dès le début et le besoin de concentration dès le début
- Corrélation entre intérêt et ne pas parler
- Les personnes qui ne parlent pas, peuvent faire complètement autre chose

Peut-on poser une seconde hypothèse : certaines personnes seraient-elles bien mieux ailleurs que dans cet amphithéâtre ?

Peut-on poser l’hypothèse que ceux qui ne se sentent pas à leur place là tout de suite et maintenant puissent essayer de
trouver la bonne place ?

Poser des questions et essayer d’y répondre avec des hypothèses peut permettre de :

- Identifier des comportements inconscients

- Partager les ressentis dans l’amphi
- Tester des hypothèses et les vérifier (confirmer, infirmer, nuancer, expliciter...)
- → concevoir des escaliers par exemple : aller vérifier avec des vrais escaliers
- avoir l’avis des autres
- avoir une expérience (pour par exemple faire un projet : visite, se documenter, discuter, culture,...)
→ mon expérience perso suffit-elle ? le projet par rapport à mes goûts ou ...? Il est peut-être nécessaire de vivre
l’expérience, de visiter, de se documenter, donc de tout faire pour aller plus loin

Le prof de studio est-il plus expérimenter que nous ?

- plus âgé
- plus de problématiques qu’on se pose → il connait les solutions ? (contextualisation nécessaire)
- expérience dans l’accompagnement
- champ de créativité important quand on passe sans connaissance (quand on arrive neuf)

Quand on se projette, on cherche à poser des questions, on pose des regards différents sur une situation, on veut expliciter
les termes des débats, on pose des hypothèses en les explicitant !
Nos hypothèses que l’on posent pour se projeter, ne sont jamais neutres → basées sur des préjugées, des prénotions

Mais la solution architecturale n’est qu’une illusion, il n’y a pas de bonnes réponses.

Réflexion sur la période du XIXe siècle

Ensemble de paramètres économiques, politiques et sociaux concomitant qui vont donner à la ville son aspect moderne,
contemporaine, industrialisée

L’architecture accompagne des visions politiques de ce que devrait être la société, qui incarne un certain modèle de société.
L’architecte va donc légitimer certains modèles de sociétés, l’architecture est un acte politique en lui-même.

cf : vidéo sur la révolution Haussmann

Comment des territoires se construisent ?

➔ le dessous des cartes

croissance démographique entre 1841 et 1861 à Paris

- annexion de territoires périurbains

- raisons économiques
- centre de voies de circulations, donc beaucoup de flux

Paris étouffe entre quantité d’habitants trop importante, insalubrités, voies de circulation bouchées...

C’est le projet Haussmann qui est mis en place pour répondre à cette problématique d’étouffement !

Haussmann revoit les voies de circulation, il redéfinit le modèle des bâtiments, immeubles, il met en place des espaces verts,
des parcs, il repense les réseaux d’eau (double distribution pour eau potable et celle non-potable pour les autres besoins) et
il définit des tracés pour les chemins de fer.

Suite à la révolution haussmannienne, nos réactions :

- les habitants du centre de Paris ont créés des problèmes ailleurs, en périphérie :
→ problème de logements
→ d’accessibilité
→ gentrification organisée (phénomène conscient) : remplacement d’un groupe social par un autre
→ quelle compensation ?
→ ségrégation socio-spatiale : répartition géographique en fonction des classes sociales d’appartenance
- sans Haussmann, à quoi ressemblerait Paris aujourd’hui ?
- ligne de fer tout autour de Paris pour le commerce principalement
- modernisation
- architecture qui va servir notamment pour mettre en valeur les perspectives
- homogénéisation architecturale

COURS DU 10.05.23

Tout ce qui se passe ensemble dans la classe, révèle des choses → c’est ce qui intéresse la sociologie

workshop : il entraine une désorganisation, qui n’est pas souhaitée (lié à de la procrastination par exemple)

Le sociologue dépasse l’analyse rapide, l’analyse simple → il cherche à comprendre

La désorganisation de la semaine, on l’accepte, on subit, on s’adapte et on se conforme au système en place → on

n’interroge pas cette norme dans l’administration, on l’intègre même si elle ne nous convient pas forcément.
Le sociologue ne s’arrête pas à observer la désorganisation, il va l’analyser et s’intéresser exclusivement à l’origine (la raison),
aux effets,…

Le groupe social en se conformant, contribue à légitimer cette norme (on peut aussi questionner, détourner la norme).

lien avec l’architecture :

En acceptant souvent une norme, on la légitimise et on va l’installer comme quelque chose de défini. Par exemple, si sur un
chantier, les ouvriers arrivent toujours en retard et que le patron l’accepte, cela légitimise leur acte et ils vont alors se
permettent de la répéter dans le temps.

On peut parler ici de « normes comportementales », sociales, relationnelles,…

Il existe aussi des normes sanitaires liées au logement.

effets de la désorganisation de la semaine :

- tensions : le souci mineur prend plus d’importance, effet boule de neige car on est préoccupé par plusieurs choses
- désaccords, mécontentements : baisse de motivation
➔ effets relationnels

Cette désorganisation a des impacts sur la façon de percevoir les enseignants et les enseignements → on nous rabâche de
bien nous organiser, de ne pas faire de charrettes, pour finalement nous contraindre à en faire

On a l’impression de subir plutôt que d’apprendre. On subit les erreurs d’organisation des enseignants et du personnel
administratif.

Ici, on nomme les faits sociaux de cette « double semaine » (avec des mots qui peuvent être inventés).

On pose un regard théorique : la théorisation permet de comprendre le monde qui nous entoure en s’appuyant sur des faits,
des discours, des éléments tangibles. Cela relève de la conceptualisation (=poser des concepts, façon de regarder quelque
chose).

exemple: le mouvement artistique → le modernisme est un concept qui nous permet de visualiser des images d’architecture,
de peinture, de sculpture…

On utilise constamment des concepts, souvent de façon inconsciente et parfois à tort.

Qu’est-ce qu’un concept sociologique ?

Processus / effet = deux termes indispensables pour comprendre le « concept »

exemples :

- la gentrification (=remplacement d’une population pauvre par une population plus riche) est un processus qui se
fabrique sur un temps long, et qui définisse l’urbain.
La gentrification est dû à l’augmentation des prix des logements et des terres.

- la ségrégation socio-spatiale (=quand dans un territoire, on observe de façon très distincte et marquée des
divisions, des segmentations de terres dédiées chacune à des classes sociales différentes) → liée à l’économie
Il existe aussi la ségrégation socio-spatiale-raciale qui est liée aux origines des individus

- le développement durable → concept qui évolue

Les concepts peuvent évolués en fonction des connaissances qu’on acquiert, de l’attention qu’on y porte (populaire ou pas,
effet de mode ou pas), de la personne qui l’emploi et du regard qu’elle y porte (génération, expérience), des contextes
(santé, pollutions avec usines nucléaires principalement, série d’études réalisées).

➔ Les concepts ne sont pas figés dans le temps !

pour le rendu : au plus tard à rendre le 26mai

sujet = ville-urbain-habitat

- Moments – étapes… le quoi ?

- Comment ?
- Effets ?
- Discussions – débats
➔ Faire des liens réflexifs et analytiques avec du perso

Nécessaire que ces éléments figurent dans le rendu (choses vues en cours + choses vues pas en cours), par exemple sous
forme de frise socio-historique.

APPROCHE SOCIO-HISTORIQUE

On se situe après la 2nd guerre mondiale, moment important = moment de reconstruction (mise en place en 1945 du
ministère de la reconstruction)

cf : visionnage d’un documentaire sur la reconstruction en 1948 (important d’analyser les éléments de la vidéo, vision
analytique car il est faux de penser que l’on peut avoir une vision neutre et exhaustive)

Les villes de France ont été détruites donc il est important de reconstruire le pays pour pouvoir reloger les individus. La
reconstruction se doit d’être rapide en préfabriqué. Mais la notion de confort, de luminosité semble être la nouvelle priorité.

➔ qui est concerné ? toutes les classes sociales ? La rapidité et le confort ne sont-ils pas antinomiques ?

Il faut ici dépasser la reconstruction matérielle, dimension mentale à prendre en compte.

on peut se questionner sur :

- la durée de vie de ses nouveaux bâtiments (lien avec la rapidité)

- l’impact à plus grande échelle, sur le « dessin » de la ville
- l’impact sur les manières de vivre des individus, y compris les commerces