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<<<Mouvement 1 (l.1/l.

15): Puissance du Souvenir: description du pays natal,

vision euphorique des paysages<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<


Dans ce premier mouvement nous constatons: PERSONNIFICATION"mon ame a

soif"(l-4)" une chevelure embaumée de forêts" (l-2) Métaphores" toute une chevelure

embaumée de forêts" (l-2) "l'herbe profonde y noie le pied des arbres" (l.3)Lyrisme: l. 4

à 6, Colette nous parle de ses sentiments et les interprête de manière poétique et utilise

aussi plusieurs métaphores ( outil du lyrisme) "le parfum des bois de mon pays égale à

la fraise et la rose!" (l.5) "un fruit insaisissable qu'on aspire en ouvrant les narines"(l.6-

7) Expression des sensations champs lexical du corps humain: «chevelure», «pied»,

«âme», «narines», «mains», «coeur», «yeux», «oreilles» = rapport à la phrase

précédente de l'extrait où Colette regrette son pays natal=personne qui la possédait.

Personnification de son pays natal créant ainsi un lien entre elle et son pays.

"j'appartiens à un pays que j'ai quitté" On voit qu'il y a un lien d'appartanence entre

Colette et la campagne. (l-1) et de "écoute encore...écoute bien" l.10-15 champ lexical

des sens: "yeux" (vue) ; "oreilles", "écoute encore" (l'ouie), "déliciex", "soif"

(gout),"parfum", "aspire en ouvrant les narines"," tu la flaire ici" (odorat), " donne tes

mains dans les miennes" (toucher); -le lecteur et missy sont invité à faire confiance à

colette, elle sait où elle va, comme le présice la propositions "un petit chemin que je

connais" (l-11) champ lexical de la couleur: "vert délicieux", "jaune et bordé", "rose

brûlant", "montagne bleuâtre" <<l'automne pénètre et meurtrit les feuillages tombés>>

Colette remet la nature en avant,en lui donnant un rôle et en definissant une forêt de

son ancien pays,elle exprime les sensations ressenti quand on entré dans la foret et

que une odeur de les feuilles étaient tombé,L'automne est ici pejoratif car elle a un rôle

dénigrant pour la nature "meurtrit" La nature est associée au pourrissement, aux odeurs

fortes. Attention cela n'est pas forcément négatif... métaphore:<<sentier enchanté qui

mène hors de la vie >>comme un chemin qui l'amène hors de elle ,qui montre la

celébration de la nature.Qui compare son enfance avec un merveilleux pays et La ville

de Paris ,la ou elle habitait,ça oppose les deux lieux. "te voilà pâle" (l.16 et 17)

Comparaison "Le chant bondissant des frelons fourrés de velours t'y entraîne et bat à

tes oreilles COMME le sang de ton coeur" (l.12-13) injonction: "donne tes mains dans

les miennes" (l-10)= l'interlocutrice, le lecteur suis colette dans son voyage répétion du
pronom (Tu) dans le premier paragraphe <<encore>> l'adverbe souligne son désire a

se replonger dans son rêve

<<Mouvement 2 (l. 16 à 19) : prise de conscience en voyant le visage de Missy<<


Dans le deuxieme mouvement:
Synesthésie et champ lexical des éléments naturels - "la mer et le vent" (l.17) - "des

yeux jaloux" (l.18) l’utilisation de la ponctuation , Répétition de "Que t'ai-je dit ?" (l.16 et

21) image des racines et la difficulté de se séparer du pays - "mes racines qui saignent"

(l.18) la Comparaison de Colette à un arbre déraciné (l.18) Anaphore - "je parlais, je

parlais de mon pays" (l.16-17).


Ton du conte et du rêve (l.16-20) elle fait la description du pays comme un "pays de

merveilles" (l.20)

<<<<<Mouvement 3 (l. 20 à 25) : retour au présent et à la réalité<<<<<


On remarque le côté cauvin de Colette à travers la description qu'elle fait de son pays.
« J'ai parlé en songe" (l.21) = songe veut dire ses pensées
pronoms personnels " Je", "Tu"= opposition
Ponctuation répétition de "Que t'ai-je dit?"(.16 et 21
Personnification "une montagne bleuâtre et nue"(l.24) une campagne un peu triste"(l-

23)
Parallelisme : "pour oublier le vent et la mer"(l.17) et "je ne voulais qu'oublier le vent et

la mer"(l.20)

<<<Conclusion<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
En conclusion, nous pouvons observer une opposition marquée entre les expressions

"viens" au début du passage et "n'y va pas" à la fin du passage. Cette opposition met

en évidence la prise de conscience de Colette au fil de son discours envers Missy. Elle

réalise que peut-être elle ne devrait pas insister autant sur sa connexion avec son pays
d'origine, car cela semble provoquer une certaine jalousie chez Missy. Colette se rend

compte que Missy se sent éloignée de ces sentiments et émotions qu'elle éprouve

envers sa terre natale. Il est intéressant de noter l'utilisation des pronoms personnels

"je" et "tu" dans ce récit. Cela permet à Colette de s'adresser directement à Missy, mais

également d'impliquer le lecteur. Ainsi, le récit devient plus intime et personnel,

renforçant l'impact émotionnel du texte. En somme, cette opposition et utilisation des

pronoms personnels contribuent à mettre en lumière les nuances de sentiments et de

relations entre les personnages. Cela ajoute une dimension profonde et introspective à

ce passage. Colette exprime non seulement ses propres émotions, mais crée aussi une

proximité avec Missy et le lecteur.

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