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soif"(l-4)" une chevelure embaumée de forêts" (l-2) Métaphores" toute une chevelure
embaumée de forêts" (l-2) "l'herbe profonde y noie le pied des arbres" (l.3)Lyrisme: l. 4
à 6, Colette nous parle de ses sentiments et les interprête de manière poétique et utilise
aussi plusieurs métaphores ( outil du lyrisme) "le parfum des bois de mon pays égale à
la fraise et la rose!" (l.5) "un fruit insaisissable qu'on aspire en ouvrant les narines"(l.6-
Personnification de son pays natal créant ainsi un lien entre elle et son pays.
"j'appartiens à un pays que j'ai quitté" On voit qu'il y a un lien d'appartanence entre
des sens: "yeux" (vue) ; "oreilles", "écoute encore" (l'ouie), "déliciex", "soif"
(gout),"parfum", "aspire en ouvrant les narines"," tu la flaire ici" (odorat), " donne tes
mains dans les miennes" (toucher); -le lecteur et missy sont invité à faire confiance à
colette, elle sait où elle va, comme le présice la propositions "un petit chemin que je
connais" (l-11) champ lexical de la couleur: "vert délicieux", "jaune et bordé", "rose
Colette remet la nature en avant,en lui donnant un rôle et en definissant une forêt de
son ancien pays,elle exprime les sensations ressenti quand on entré dans la foret et
que une odeur de les feuilles étaient tombé,L'automne est ici pejoratif car elle a un rôle
dénigrant pour la nature "meurtrit" La nature est associée au pourrissement, aux odeurs
fortes. Attention cela n'est pas forcément négatif... métaphore:<<sentier enchanté qui
mène hors de la vie >>comme un chemin qui l'amène hors de elle ,qui montre la
de Paris ,la ou elle habitait,ça oppose les deux lieux. "te voilà pâle" (l.16 et 17)
Comparaison "Le chant bondissant des frelons fourrés de velours t'y entraîne et bat à
tes oreilles COMME le sang de ton coeur" (l.12-13) injonction: "donne tes mains dans
les miennes" (l-10)= l'interlocutrice, le lecteur suis colette dans son voyage répétion du
pronom (Tu) dans le premier paragraphe <<encore>> l'adverbe souligne son désire a
yeux jaloux" (l.18) l’utilisation de la ponctuation , Répétition de "Que t'ai-je dit ?" (l.16 et
21) image des racines et la difficulté de se séparer du pays - "mes racines qui saignent"
merveilles" (l.20)
23)
Parallelisme : "pour oublier le vent et la mer"(l.17) et "je ne voulais qu'oublier le vent et
la mer"(l.20)
<<<Conclusion<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
En conclusion, nous pouvons observer une opposition marquée entre les expressions
"viens" au début du passage et "n'y va pas" à la fin du passage. Cette opposition met
en évidence la prise de conscience de Colette au fil de son discours envers Missy. Elle
réalise que peut-être elle ne devrait pas insister autant sur sa connexion avec son pays
d'origine, car cela semble provoquer une certaine jalousie chez Missy. Colette se rend
compte que Missy se sent éloignée de ces sentiments et émotions qu'elle éprouve
envers sa terre natale. Il est intéressant de noter l'utilisation des pronoms personnels
"je" et "tu" dans ce récit. Cela permet à Colette de s'adresser directement à Missy, mais
relations entre les personnages. Cela ajoute une dimension profonde et introspective à
ce passage. Colette exprime non seulement ses propres émotions, mais crée aussi une