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REMERCIEMENT

" A Dieu la gloire"

Mes remerciements vont tout d’abord à monsieur vice doyen charger de tutorat jacque MUMBA pour sa
confiance, son orientation et son soutien tout au long de ce travail.

Je tiens également à remercier, tout les intervenants pour leurs contributions et conseils, pour leurs
explications et réponses à mes interrogations. Je tiens aussi à remercier C.T MADI Christian ainsi que tous
les professeurs de ma discipline, chacun par son nom.

Je remercie toute l’équipe pour l’agréable accueil au sein de cette unité, toutes les personnes qui m’ont
aidé et soutenu, de près comme de loin, dans la réalisation de ce travail.

Merci pour leurs lectures et pour toutes les corrections apportées à ce rapport.

Enfin, je tiens à dédier ce travail à mes chers parents et à toute ma famille.


INTRODUCTION
Au terme de nos études universitaires, il nous a été recommandé d'effectuer un stage d'imprégnation à
la faculté de sciences économiques et de gestion qui cadre avec le domaine d'étude, comme le système
LMD oblige de concilier la théorie acquise à la pratique.

En effet ce rapport est le fruit de notre expérience professionnelle que nous avons acquise au sein de la
faculté de sciences économiques et de gestion avec des différents intervenants des divers professions.

Nous étions particulièrement émus de l'accueil et de l'encadrement qui ont été réservé par les experts de
ladite université pour qui nous gardons infiniment toutes nos reconnaissances.

La connaissance et l'expérience approfondies de notre stage, parallèle de notre faculté, ainsi que la mise
en pratique. Le stage était d'une durée de 12 jours allant du 18/03/2024 au 30/03/2024.

Outre le contenu de ce rapport porte trois (3) étapes: l'introduction, le déroulement de stage, et la
conclusion et suggestion qui seront consacrés aux informations professionnelles durant notre stage à la
faculté des sciences économiques et de gestion.
DÉROULEMENT DU STAGE

SECTION 1: FONCTION COMPTABLE DANS UNE ENTREPRISE

1.1 définition
La comptabilité est une profession trés nécesaire au sein de chaque entreprise.

Le comptable est chargé de collecter, d’analyser et de contrôler tous les flux d’argent (dépenses, recettes,
investissements) de l’entreprise. Il doit assurer l’enregistrement (en valeurs) des flux caractéristiques de
l’activité de l’entreprise (financement et exploitation) et produire les documents de synthèse traduisant
l’activité d’une période (compte de résultat) et la situation de l’entreprise (bilan) selon un dispositif
réglementé.

1.2 Les tâches d’un comptable


 Saisie des opérations comptables

 Enregistrer les opérations comptables

 Clôturer les comptes annuels

 Assurer la comptabilité analytique

 Assurer le suivi du budget et de la trésorerie

 Etablir les fiches de paie des salariés

 Préparer les déclarations fiscales et sociales

 Créer et tenir à jour les tableaux de bord (Chiffre d’affaire, résultats, etc.)

 Assurer le reporting des informations

 Tenir les livres de comptes

 Etablire les documenrts de synthèse le bilan et le compte de résultat

 Participer à l’amélioration des outils de gestion

1.3 Les compétences d’un comptable


Un comptable doit être organisé, méthodique, rigoureux, autonome et ayant les qualités suivantes:

 Aptidude à communiquer

 Maîtrise des techniques comptables


 Maitrise des logiciels informatique (outils courants et outils de gestion)

 Maîtrise des logiciels de comptabilité

 Maîtrise de l’anglais (surtout dans les entreprises internationales)

 Maîtrise des chiffres et des procédures

 Capacité d’analyse

 Capacité de synthèse

 Capacité à gérer son temps et le stress (durant certaines périodes de l’année)

 Capacité à aller chercher l’information

 Capacité à prendre des initiatives (proposer de nouveaux outils)

1.4 l'importance de la fonction comptable dans une entreprise


La fonction Comptabilité et Finance se donne pour mission de modéliser les flux de composants et
produits d’une part, et les flux financiers d’autre part afin:

 de donner des informations sur la situation financière de l’entreprise vis à vis des partenaires
extérieurs

 d’aider à la décision en mettant en avant les données économiques nécessaires

 d’utiliser au mieux les ressources financières disponibles dans l’entreprise

 d’obtenir les capitaux (au meilleur coût) nécessaires pour le développement de l’entreprise

1.5 Conclusion partielle sur la fonction comptable


La comptabilité est devenue de nos jours une fonction importante au bon fonctionnement des
entreprises.

Principale source d'information fiable et sincère, elle permet aux associés d'avoir une situation claire du
déroulement des activités et de prendre les décisions adéquates pour le bon fonctionnement de
l'entreprise.

SECTION 2: LA RAWBANK
Dans ce chapitre, il sera question de présenter de notre champ d'investigation, la Rawbank Sarl, nous
mettrons l'accent sur son historique afin de permettre aux lecteurs d'avoir une idée plus détaillée de cette
institution.
2.1 historique de la Rawbank
L’histoire commence en 1922…

Depuis quatre générations, la famille Rawji investit en RDC.

Conscients du potentiel du pays, fort d’une position centrale en Afrique et riche en ressources humaines
et économiques, les membres de la famille Rawji ont renforcé leur présence, afin d’aider ce dernier à
développer son rôle de premier plan au cœur de l’économie mondiale.

Les atouts du groupe Rawji:

Plus, de 85 années de présence, d’investissements et de développements ininterrompus aux quatre coins


du Congo. Une connaissance profonde du tissu social et des rouages de l’économie du pays.

80 ans plus tard naît la RAWBANK grâce à sa connaissance approfondie du marché et des besoins des
opérateurs économiques, la famille Rawji décide d’investir dans le secteur bancaire. C’est ainsi que naît
en 2002 la RAWBANK.

2.2 l'objectif de la Rawbank


L’objectif de RAWBANK est de donner accès à ses clients Corporate, PME, Particulier, aux techniques,
services et produits les plus modernes des secteurs bancaire et financier.

2.3 mission de la Rawbank


Soucieuse de faire preuve de la rigueur la plus stricte dans la manière de servir la clientèle, la Rawbank a
pour objectifs:

o Le placement, l'achat, la gestion, la garde et la vente des valeurs mobilières et de tout


actif financier;

o D'effectuer toutes les opérations de banque, bourse, de financement de trésorerie, de


commission ainsi que toutes les opérations sur or métaux précieux;

o Le conseil et l'assistance en matière de gestion financière ainsi que tous services destinés
à faciliter la création et le développement des entreprises;

o La représentation de titres de commissionnaires, du mandataire ou l'agent, de toutes


personnes physiques ou morales;

o Effectuer toute action ou toute opération pour tiers;

o Acquisition, construction ou location de tout immeuble utile à son fonctionnement, et à


la réalisation de son objet social ou bien-être de son personnel;
o La participation par voie de création des sociétés nouvelles, de souscription ou l'achat
des titres ou droit sociaux, de fusion, de prise de location gérance ou autrement.

La vocation de la Rawbank est de participer dans la perspective de la mondialisation et au financement


du commerce extérieur de la République Démocratique du Congo. Elle focalise son activité sur les gros
importateurs ainsi que les exportateurs " soft ou hard commodités ";

Elle est également résolue à soutenir activement les entreprises publiques, les organismes
internationaux, les organisations non gouvernementales dans leurs transactions avec l'étranger et à
favoriser leurs opérations financières. De même, elle se distingue des autres banques par l'introduction
auprès du public, des produits de monétique comme la carte de débit ou la carte de proton.

2.4 Fonctionnement de la Rawbank


La RAWBANK focalise son activité sur les gros importateurs ainsi que les exportateurs « soft ou hard
commodités »; elle est également résolue à soutenir activement les entreprises publiques dans leurs
transactions avec l'étranger et à favoriser les opérations financières des organismes internationaux, des
organisations non gouvernementales.

2.6 conclusion partielle de la Rawbank


Nous avons présenté de façon globale et plus ou moins succincte notre champ d'investigation, la
RAWBANK, qui a cinq ans d'existence en RD Congo. Nous avons pu observer que la Rawbank est un géant
dans le monde bancaire et le secteur de la finance en RDC.

SECTION 3: GESTION DES RESSOURCES HUMAINES DE LA GECAMINE


Avant de déterminer les facteurs et les conditions de l'alignement stratégique des RH à la Gécamines, il
faut d'abord mener une étude sur la politique RH de l'entreprise. L'étude en question doit se faire en deux
phases: nous allons en premier lieu dresser les éléments matériels de la politique RH de la Gécamines et
deuxièmement, nous poserons un diagnostic en vue de montrer les axes de l'alignement stratégique
proprement dit.

3.1 ELEMENTS MATERIELS DE LA POLITIQUE RESSOURCES HUMAINES DE LA


GECAMINES
Les éléments matériels de la politique RH de la Gécamines ont été décrits d'une façon mathématique lors
du dépouillement des résultats d'enquête. Nous allons essayer de les présenter ici d'une façon théorique
afin d'y apporter plus de précision.

La politique ressources humaines de la Gécamines peut être présentée sur base de quatre fonctions
pratiques de la GRH: le recrutement, la rémunération, la formation et l'évaluation et la gestion de
carrière.
3.2 Politique de recrutement
Le recrutement est: « l'ensemble des activités de recherche de la main d'oeuvre qui consiste à informer
les candidats potentiels, à l'interne ou à l'externe, qu'un poste est vacant en vue de les inciter à offrir
leurs services en posant leur candidature »

La politique de recrutement à la Gécamines est axée sur deux mesures:

Le recrutement interne et le recrutement externe. avant de procéder avec le recrutement externe,


l'entreprise commence d'abord par lancer l'offre au niveau interne. Mais, si elle ne parvient pas à trouver
le candidat recherché, elle peut dans ce cas se tourner vers l'extérieur

Mais, il faut retenir que cette pratique connait beaucoup de limites car la société prévoit, d'autre part, la
réduction des effectifs. Le recrutement pourrait donc apparaitre parfois comme une contradiction face
aux ambitions managériales de l'entreprise.

3.3 Politique salariale


La politique salariale ou politique de rémunération est l'ensemble des mesures économiques ou sociales
qu'une entreprise arrête pour gérer la rémunération des employés. L'objectif ultime d'une politique
salariale est de créer un sentiment de reconnaissance et d'équité pour les employés actuels et futurs

La politique salariale de la Gécamines prévoit une rémunération composée des éléments suivants: le
salaire de base, les commissions, les indemnités de congé, les indemnités de vie chère, les primes,
laparticipation au bénéfice, la gratification, les indemnités de prestation supplémentaire et les avantages
en nature. L'entreprise octroie également des avantages sociaux qui éventuellement ne font pas partir de
la rémunération.

En outre, nous avons constaté lors de l'enquête que la rémunération octroyée à la Gécamines ne parvient
pas à motiver les travailleurs. L'entreprise ne parvient pas à répondre aux besoins de tout le monde suit
au surnombre des agents qu'elle enregistre dans sa structure. Cela constitue l'une des faiblesses de sa
politique car l'efficacité d'une politique salariale réside dans le fait qu'il doit: «satisfaire les demandes des
employés et la capacité de payer de l'organisation ».

3.4 Conclusion partielle de la GRH


préoccupation fondamentale soulevée dans ce chapitre a été de dégager un processus d'alignement
stratégique capable d'assurer à la Gécamines une grande performance socioéconomique.

SECTION 4: GESTION MARKETING

4.1 la marketing
Le marketing est l'ensemble des moyens mis en oeuvre par une entreprise pour commercialiser ses
produits et services en adéquation avec un marché visé. Le marketing implique de connaître le marché
(clientèle, ses attentes), son entreprise et de la concurrence (forces, faiblesses, opportunités, menaces) et
de mettre au point une stratégie pour commercialiser ses produits ou services: définir le produit, son prix,
son canal de distribution et ses moyens de promotion.

Toutes les actions mises en place par le marketing ont pour objectif d’assurer la pérennité de l’entreprise,
notamment en lui permettant de développer son chiffre d’affaires.

Le marketing est entièrement tourné vers la satisfaction du consommateur; pour cela il est accompagné
par tous les services de l’entreprise. Cette discipline est composée de nombreuses spécialités. Parmi ces
spécialités on retrouve entre autres le marketing stratégique, le marketing produit, le marketing
politique et le marketing opérationnel.

4.2 marketing stratégique


Le marketing stratégique intervient en amont, il a pour but d’identifier les futurs clients et leur proposer
des produits ou services qui leur conviennent. L’identification vise à adapter le message et la publicité à
la population ciblée. Le marketing stratégique s’appuie sur différentes méthodes, telles que les matrices
SWOT et PORTER.

 Matrices SWOT et PORTER


La matrice SWOT analyse les forces et les faiblesses d’une entreprise, ou d’un produit, compte tenu des
opportunités et des menaces sur son marché. L’analyse de Porter examine la position concurrentielle
d’un produit. Cette analyse s’appuie sur les 5 forces qui interviennent dans la position concurrentielle de
l’entreprise. Il s’agit des clients, des fournisseurs, des concurrents, des produits de substitution, ou des
éventuels futurs entrants sur le marché

4.3 marketing opérationnelle


Le marketing opérationnel travaille sur les moyens à mettre en place afin de réaliser ces objectifs. Le
marketing opérationnel se focalise sur les 4 Piliers: le Produit, le Prix, la Distribution (Placement), la
Publicité. Ces 4 piliers représentent la structure de même de l’entreprise.

 Les 4 P
Afin d’obtenir les meilleurs résultats possible, l’entrepreneur ne pourra pas prendre les 4P séparément, il
lui faudra travailler sur les 4P à la fois. En effet, travailler sur le produit renvoie à la proposition au
consommateur, les gammes de produits, leurs qualités, l’ensemble de leurs caractéristiques, la qualité
des services… Le placement concerne la politique de distribution, le type de circuit choisi. La politique de
distribution déterminera la logistique à déployer. En effet, entre le choix de vendre vos produits
directement sur la toile, et de les distribuer dans une chaîne de supermarché, la logistique à mettre en
place sera différente. Il en ira de même pour la relation clientèle.
Les anglais appellent ces variables les 4 P, Product - Price - Place - Promotion:

I. La variable Produit (product: il s’agit de voir quelles caractéristiques du produit sont les
plus importantes pour le client: taille, qualité, durée de vie…

II. La variable Prix (price): il s’agit de déterminer le prix qui permettra de vendre de grandes
quantités du produit sans pour autant dégrader son image en termes de qualité.

III. La variable Distribution (place): il s’agit de déterminer les canaux de distribution (c’est à
dire les types de magasins) dans lesquels les produits doivent être vendus. Si les magasins ne
sont pas adaptés (vendre des baskets dans un salon de coiffure), les ventes seront plus faibles.

IV. La variable Communication (promotion): il s’agit de faire connaître le produit au plus


grand nombre en utilisant les supports publicitaires (télévision, internet, radio, courrier) les plus
adaptés.

COMMENT FONCTIONNE LE MARKETING DANS UNE ENTREPRISE?

Le marketing, pilier essentiel de toute entreprise, constitue l’art de comprendre les désirs et les besoins
des consommateurs pour leur offrir des produits ou services pertinents. Dans le contexte des entreprises,
le marketing englobe un ensemble de stratégies et d’actions visant à promouvoir, vendre et distribuer ces
offres tout en établissant des relations solides avec les clients.

L’importance du marketing pour la croissance et la réussite des entreprises ne saurait être sous-estimée.
En effet, le marketing agit comme le pont entre l’entreprise et le marché, facilitant la communication et
la compréhension mutuelle. En identifiant les segments de marché les plus pertinents et en adaptant les
offres en conséquence, le marketing permet aux entreprises de répondre de manière ciblée aux besoins
spécifiques de chaque groupe de clients.

Le marketing ne se limite pas à la simple promotion. Il intègre également la recherche et l’analyse des
tendances du marché, la conception de produits attractifs, la détermination de stratégies de tarification
efficaces et le choix de canaux de distribution appropriés. C’est une approche holistique qui s’étend de la
phase de développement de produit ou service jusqu’à l’après-vente, en créant une expérience client
cohérente et satisfaisante.

4.4 Conclusion partielle sur la marketing


Sans marketing, personne ne connaîtra votre produit ou service. Il permet aux entreprises de rivaliser
avec leurs concurrents et de se démarquer de leurs concurrents. Le marketing offre à l'entreprise la
possibilité de se créer une image de marque et de promouvoir ses produits, ce qui l'aidera à augmenter
ses ventes.
SECTION 5. LA DOUANE (DGDA) EN RDC

5.1 L’HISTORIQUE DE LA DOUANE


Les services douaniers de la République Démocratique du Congo (RDC) remontent de l’époque de la
colonisation lors de l’Etat Indépendant du Congo (E.I.C.) en 1885. Il est à noter que l’histoire de la

douane congolaise est étroitement liée à celle du pays depuis le début de sa colonisation en 1885 à
l’issue de la Conférence de Berlin.

En effet, la colonisation avait permis au pays de s’ouvrir au commerce international. La liberté du


commerce dans le bassin du fleuve Congo était garantie. A cet effet, l’entrée et la sortie des
marchandises dans le bassin du fleuve Congo n’étaient soumises à aucune taxe autre que la Taxe
rémunératoire sur le service rendu. Ce droit était considéré comme patrimoine du Roi Léopold II.

Comme colonie belge, les services douaniers existaient sous l’appellation de corps des gardes-frontières.
L’activité douanière était principalement régie par le Décret du 29 Janvier 1949 coordonnant et révisant
le régime douanier du Congo belge et l’Ordonnance n°33/9 du 06 Janvier 1950 portant règlement
d’exécution du Décret précité. Plus tard, par Ordonnance-loi n° 14 du 24 janvier 1964, il fut créé la
section de recherche et de surveillance douanière.

A l’indépendance du pays jusqu’au 15 mai 1979, la douane était organisée en un service public
dépendant directement du Secrétariat Général aux Finances. Cependant, la désorganisation et
l’inefficacité avaient vite gagné ce service avec, pour conséquence, un accroissement de la fraude et une
baisse substantielle des recettes. Pour remédier à cette situation, il était nécessaire de restructurer le
service de douane avec l’appui des partenaires extérieurs dont la douane française.

Du 15 mai 1979 au 03 décembre 2009, la douane congolaise a fonctionné sous forme d’un établissement
public à caractère administratif, économique et financier doté de la personnalité juridique et dénommé «
Office des Douanes et Accises », en sigle OFIDA. Cette restructuration a abouti notamment à une
réorganisation des services, à un accroissement du niveau des recettes et à une réduction progressive des
taux des droits de douane.

Depuis le 03 décembre 2009 en application du Décret n°09/43, l’administration des douanes et accises
est redevenue un service public non doté de la personnalité juridique, mais pourvu d’une autonomie
administrative et financière, placé sous l’autorité du Ministère des Finances. Elle est ainsi dénommée
Direction Générale des Douanes et Accises, DGDA en sigle.

5.2 DEFINITION DE LA DOUANE ET ACCISE


Douane: Administration qui organise et surveille la perception des droits d'importation et d'exportation
des marchandises

Accise: L'accise est une taxe prélevée sur divers produits de consommation, en particulier les boissons
5.3 MISSION DE LA DOUANE
L'Administration des douanes Congolaises a reçu du législateur sept principales missions à savoir :

5.3.1. Mission fiscale

Est la principale, la douane a pour mission d'alimenter la caisse de l'Etat par la perception des droits
d'accises et diverses recettes pour lui permettre de couvrir ses multiples charges.

5.3.2. Mission économique

Protection de l'espace économique du Pays tout en protégeant les industries locales et les produits
fabriqués localement contre la concurrence étrangère c'est- à-dire, en haussant les taux des droits
d'entrée sur les marchandises dont les similaires ou substituts sont produits localement.

5.3.3 Mission de surveillance des frontières

Tout en luttant contre la fraude de trafic d'armes à feu, des drogues des stupéfiants et terrorismes,...

5.3.4. Mission commerciale

Protéger l'environnement en luttant contre le commerce international des espèces rares de faune et flore
sauvage menacées d'extinction.

5.3.5 Mission de formation

Formation du personnel aux techniques modernes de gestion dans le domaine des douanes et accises.

5.3.6 Mission de collaboration avec d'autres administrations

L'application de la législation connexe c'est-à-dire la DGDA perçoit certaines taxes pour le compte des
autres administrations (DGI, FPI, OGEFREM, etc.).

5.3.7. Mission Financière

Lutter contre la contre façon et la piraterie ainsi que le blanchissement d'argent.

5.4 PROCEDURES DOUANIERES


Lorsque vous amenez une marchandise sur le territoire de la RDC, il y a tout d’abord quelques opérations
préalables au dédouanement à accomplir auprès de la douane congolaise. Ces opérations se rapportent
à la conduite en douane, à la prise en charge et au placement éventuel de la marchandise en dépôt
temporaire.
CONDUITE EN DOUANE

A l’importation, la conduite en douane consiste pour le transporteur à acheminer la marchandise


importée vers le bureau de douane le plus proche de la frontière congolaise, en empruntant la voie
légale.

Cette formalité de conduite en douane s’impose au transporteur de toute marchandise en trafic


international qui entre sur le territoire de la RDC, quel que soit le mode de transport utilisé : maritime,
terrestre ou aérien.

En effet, toutes les marchandises transportées doivent être inscrites sur le Manifeste du moyen de
transport. Dès l’arrivée au bureau des douanes, le transporteur (capitaine du navire, conducteur du
véhicule, commandant d’aéronef, etc.) doit déposer (manuellement ou électroniquement) à la douane la
déclaration de chargement (manifeste) dûment signé avec, en annexe, les titres de transport des
marchandises transportées. Le non-respect de cette obligation constitue une importation en contrebande
(donc irrégulière).

PRISE EN CHARGE

Dès que le moyen de transport entre sur le territoire de la RDC, le transporteur a l’obligation de remettre
à la douane le manifeste (déclaration de chargement) et de lui présenter les marchandises transportées.

Une fois la marchandise importée est placée sous sujétion douanière (sous contrôle de la douane) et que
la déclaration de chargement est déposée par le transporteur et enregistrée par le bureau de douane, il y
a prise en charge de la marchandise. La marchandise sera également prise en charge physiquement dans
l’enceinte du bureau de douane qui l’a accueillie. Une telle marchandise peut, dès lors, être déclarée.

Les marchandises présentées au bureau de douane sans qu’elles ne soient reprises sur une déclaration de
chargement doivent également être présentées à la douane. Elles seront également prises en charge.

5.5 Conclution partielle sur la DGDA

la douane congolaise a la volonté de mettre en place non seulement le processus accéléré de traitement
des opérations douanières mais également le contrôle efficace basé sur la gestion des risques et le
contrôle à posteriori qui garantit la perception des recettes, la conformité aux législations douanières
ainsi que la sécurité et la protection de la société

SECTION 6. METIER DE CONSULTANT


Le consultant intervient auprès des entreprises pour y analyser et résoudre des problèmes ponctuels. Il
peut opérer dans des domaines très variés. C'est un prestataire extérieur qui travaille généralement au
sein d'un cabinet mais qui peut également officier comme indépendant.
6.1 MISSION D'UN CONSULTANT
Missionné auprès des entreprises, le consultant a pour objectif d'améliorer leur fonctionnement dans un
domaine en particulier. Il conseille leur direction générale sur des améliorations à apporter dans le
secteur des ressources humaines, de l'organisation générale, ou encore de la relation client. Il analyse
leurs problèmes, prescrit des solutions adaptées et accompagne leur mise en place.

6.2 RÔLE D'UN CONSULTANT

Un consultant peut être généraliste ou spécialisé dans un domaine particulier. Toutefois, il agit toujours
selon un processus d'expertise répondant à des normes précises.

En vue d'améliorer le fonctionnement d'une entreprise, il va :

 Analyser les besoins et les attentes de son client par l'écoute et la réalisation d'études;
 Réaliser un pré-diagnostic afin d'évaluer la faisabilité et l'opportunité de sa mission;
 Définir les moyens financiers et humains nécessaires au bon déroulement de sa mission;
 Mettre en place des méthodes de travail en organisant un comité de pilotage et des groupes de
travail;
 Définir des indicateurs afin d'assurer le suivi de sa mission;
 Analyser la situation existante au sein de l'entreprise;
 Élaborer différents scénarios répondant au problème pour lequel il a été missionné, et les
présenter à son client;
 Planifier et mettre en place le scénario choisi;
 Réaliser une étude sur sa mission en vue de permettre le meilleur retour d'expérience possible.

6.3 QUALITÉS REQUISES POUR DEVENIR CONSULTANT

Le consultant n'est pas toujours bien accueilli dans les entreprises. C'est notamment le cas dans les
services qu'il vient restructurer. Il doit ainsi faire preuve d'excellentes qualités humaines mais également
de pédagogie. Il doit être un bon communicant pour faire passer au mieux ses idées.

Pour bien cerner les problèmes d'une entreprise, le consultant doit savoir écouter ses interlocuteurs.
Curieux et réactif, il sait poser les bonnes questions permettant de définir au mieux sa mission. Avoir un
esprit d'analyse et de synthèse est primordial pour comprendre et retranscrire ses objectifs.

Enfin, le consultant doit savoir s'imposer avec diplomatie auprès des dirigeants d'entreprises qui n'ont
que peu de temps pour lui. Il doit souvent agir seul et faire preuve d'un fort esprit d'initiative. Sa rigueur
et sa créativité lui permettent d'affronter des situations sans cesse nouvelles et d'y trouver des solutions
adaptées.

6.4 CONCLUSION PARTIELLE DU MÉTIER DE CONSULTANT

Les métiers de consultant sont diversifiés et passionnants, offrant de nombreuses opportunités pour ceux
qui aiment résoudre des défis et apporter des changements positifs.
SECTION 7. OFFICE CONGOLESE DE CONTRÔLE
Fruit de l‘intensification des échanges des biens et marchandises entre fournisseurs et acheteurs, OCC est
historiquement une réponse au besoin d’organismes neutres et indépendants pour assurer la régularité
des transactions commerciales et sauvegarder les intérêts des différents partenaires concernés dans le
commerce international.

7.1 MISSION DE L'O.C.C


L’Office congolais de contrôle, pour le compte de son Client Institutionnel, l’Etat Congolais, assure les
missions suivantes:

• Contrôle de qualité, de quantité, de conformité et de prix de toutes marchandises et produits à


l’importation comme à l’exportation;

• Analyses physico-chimique et microbiologique des produits;

• Prévention des sinistres, et, commissariat d’avaries;

• Contrôles techniques sur les appareils de production, dans le secteur de la sécurité de l’environnement
du travail, de la métrologie légale, de l’industrie et des travaux de génie;

• Contrôle et certification de la production industrielle nationale;

• Gestion et exploitation de silos, magasins généraux et entrepôts sous douanes;

• Production des statistiques sur le commerce extérieur et la production nationale, au profit de la Banque
centrale du Congo ainsi que du gouvernement congolais pour l’élaboration de la politique économique
nationale.

7.2 OBJECTIF DE L'O.C.C


L’objectif principal est de participer activement au développement du pays par:

• l’élaboration des statistiques plus fiables dans le domaine du commerce extérieur et de production
locale;

• la réalisation de l’économie en devises en combattant les fraudes;

• la sécurisation des opérateurs économiques;

• la protection de la santé de la population;

• l’atténuation des effets de l’inflation importée.

D’autres objectifs comme la prévention des accidents de travail, le constat d’avarie et la sauvegarde des
droits à l’indemnisation sont aussi à relever.
7.3 CONCLUSION PARTIELLE SUR L'O.C.C

L’OCC est aux côtés des entreprises pour développer leur compétitivité, grâce à la qualité de production,
l’optimisation des flux commerciaux et la sécurité. L’Office offre à ses Clients les prestations suivantes :

• Inspection;

• Tests & Analyses;

• Métrologie & Contrôles Techniques;

• Certification;

• Commissariat d’Avaries & Sécurité;

• Management de la Qualité

SECTION 8. LA LOGISTIQUE
La logistique peut être définit comme l’activité cherchant à maitriser les flux physiques d’une entreprise
afin de mettre à disposition et de gérer des ressources correspondant aux besoins.

Il s’agit donc d’optimiser la gestion des moyens pour atteindre les objectifs prédéfinis.

C’est dans le domaine militaire que le terme logistique est apparu, il s’agissait de l’organisation du
ravitaillement des troupes afin qu’elles puissent conserver leurs capacités opérationnelles dans la durée.

8.1 IMPORTANCE DE LA LOGISTIQUE

La logistique est importante pour tous les acteurs de l’entreprise car elle influence son activité. C’est,
dans la plupart des entreprises, une fonction transversale qui concerne l’ensemble des services et permet
de les lier le plus efficacement possible. Elle fait partie de la chaîne de valeur.

La logistique est un véritable outil de compétitivité qui a pour but d’améliorer la coordination des services
de l’entreprise et de les mobiliser pour poursuivre un objectif commun: la satisfaction des clients. Dans
certains secteurs d’activité, la logistique peut constituer un avantage concurrentiel.

8.2 L'OBJECTIF DE LA LOGISTIQUE

L’objectif de la logistique en entreprise porte à la fois sur du court terme (optimisation des flux physiques
quotidiens) et sur du moyen à long terme (mise en place de plans d’actions pour optimiser les
paramètres de production et de stockage)
8.3 CONCLUSION PARTIELLE SUR LA LOGISTIQUE

La logistique consiste à gérer tout ce qui concerne le transport et le stockage des produits de l’entreprise:
véhicules nécessaires au transport, fournisseurs de l’entreprise, entrepôts, manutention…, en optimisant
leur circulation pour minimiser les coûts et les délais.

La gestion de la logistique s’effectue désormais grâce aux systèmes d’informations de l’entreprise. Pour
que celle-ci soit performante, l’entreprise doit idéalement utiliser une codification claire et identique pour
chaque fonction de l’entreprise, et utiliser la télétransmission des informations

L’objectif de la fonction logistique de l’entreprise est de coordonner les produits en circulation de manière
à ce que les produits circulent en continue (pour diminuer les délais de livraison) et à regrouper les
produits (pour diminuer les coûts).

La chaîne logistique de l’entreprise gère les flux le plus efficacement possible pour réduire les principaux
coûts suivants: coûts d’approvisionnement, coûts d’acheminement, coûts de production, coûts de
stockage.

La gestion de la logistique s’appuie sur des indicateurs pour mesurer la performance du système en place
et détecter les points que lesquels l’entreprise doit progresser, comme par exemple :

 Pour les approvisionnements: taux de disponibilité et délais de livraison ;

 Pour le stockage: suivi de la valeur du stock, des pertes de valeur et de la couverture des stock ;

 Et pour le transport: Coût moyen par produit et taux de remplissage du moyen de transport.

SECTION 9. CROISSANCE ÉCONOMIQUE ET DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE


9.1. La notion de croissance économique

a. Définition de la croissance économique

La croissance économique est souvent présentée comme ayant toutes les vertus. Elle permet de diminuer
le chômage dans les pays industrialisés et de réduire la pauvreté dans les pays en développement.

Elle correspond à l’augmentation, pendant une longue période, du volume de la production et des
richesses d’un pays.

La croissance est un phénomène quantitatif et ne doit pas être confondue avec le développement qui –
phénomène qualitatif – prend en compte des facteurs sociaux et culturels, tels que l’évolution de nos
sociétés vers un meilleur niveau de vie et vers de meilleures conditions sociales.

b. Les principaux facteurs de la croissance

Parmi les principaux facteurs de la croissance, on peut citer:


• l’augmentation de la population active;

• la qualification de la main d’œuvre;

• l’accumulation du capital;

• le progrès de l’organisation du travai;

• le progrès technique;

• les innovations.

c. La mesure de la croissance

Le PIB (Produit Intérieur Brut) est la somme des valeurs ajoutées créées par les entreprises d’une nation.

Il permet d’apprécier le niveau de vie d’une nation et sert également de base de calcul du taux de
croissance économique.

d. Les limites du PIB comme indicateur de mesure

Le PIB est un indicateur simple et pratique, mais il comporte cependant des limites:

• il ne prend pas en compte un certain nombre d’activités économiques, comme la production


domestique, le bénévolat et le travail au noir.

• il comptabilise la richesse créée par une nation, mais il ne tient pas compte de la manière dont cette
richesse est créée.

Exemple: les milliards d’euros dépensés pour nettoyer les côtes après le naufrage du pétrolier Erika sont
comptabilisés comme une activité économique, et ajoutent ainsi à la création de richesses du pays.

• Le PIB ne tient pas compte de la vraie valeur des activités non-marchandes car celles-ci sont évaluées à
leur coût de production et non pas à leur prix du marché.

9.2 Le développement

a. Les critères économiques et sociaux du développement

Si la croissance est un phénomène quantitatif, le développement est un phénomène qualitatif. Il prend en


compte la transformation des structures économiques, sociales, culturelles et démographiques qui
accompagnent une croissance durable.

Le développement s’intéresse à la structure de la production qui se modifie lorsque une économie passe
par exemple d’un secteur primaire prédominant à un secteur tertiaire développé.
On parle également de développement quand la croissance fait évoluer les structures familiales vers de
nouveaux modes de vie et donne un accès plus étendu à la scolarité, ou lorsque la population devient
plus urbaine et que le pouvoir d’achat augmente.

Le développement se constate également à travers les entreprises, lorsque celles-ci s’ouvrent vers
l’extérieur et s’internationalisent.

b. Les indicateurs du développement

Le PIB ne convient pas pour mesurer le développement. C’est un indicateur quantitatif qui ne prend pas
en compte les facteurs qualitatifs d’une économie. Il faut donc utiliser un outil de mesure commun aux
différents pays, qui permet de rendre compte de la dimension qualitative du progrès socio-économique

9.3 CONCLUSION PARTIELLE

 La croissance, phénomène quantitatif, correspond à l’augmentation de la production d’un pays


sur une longue période. Elle se mesure par le PIB. Cet indicateur comporte toutefois des limites
car il ne prend pas en compte la manière dont une nation réalise sa croissance.
 Le développement, phénomène qualitatif, est un processus à long terme qui s’accompagne de
transformations des structures économiques, sociales, culturelles, démographiques et mentales.

SECTION 10. L'ENTREPRENEURIAT


L’entrepreneuriat désigne l’action d’entreprendre, de mener à bien un projet.

Souvent utilisé dans le secteur des affaires, le terme entreprendre signifie créer une activité (économique)
pour atteindre un objectif, répondre à un besoin. Le créateur représente l’entrepreneur, soit le porteur du
projet

10.1 Les avantages de l'entrepreneuriat

L’entrepreneuriat peut offrir de nombreux avantages à ceux qui décident de se lancer dans cette
aventure. Les entrepreneurs ont la possibilité de créer et de réaliser leurs propres idées, ce qui peut être
très gratifiant. D’autre part, ils ont la liberté de travailler à leur propre rythme et de prendre leurs
propres décisions. Les entrepreneurs ont également la possibilité de contrôler leur propre destinée
financière en fonction de leur propre travail et de leur réussite. En bref, l’entrepreneuriat peut être une
excellente voie pour ceux qui cherchent à réaliser leur potentiel et à atteindre des objectifs personnels et
financiers.

10.2 les inconvénients de l'entrepreneuriat

L’entrepreneuriat offre une liberté et une flexibilité que l’on ne trouve pas dans les emplois traditionnels,
mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de défis. Les inconvénients de l’entrepreneuriat comprennent une
charge de travail inégale, des revenus incertains et un risque financier important. Les entrepreneurs
peuvent travailler de longues heures pour que leur entreprise réussisse, puis continuer à travailler encore
plus dur pour maintenir leur entreprise à flot. Par ailleurs, les revenus des entrepreneurs peuvent varier
considérablement d’un mois à l’autre, ce qui peut créer une certaine instabilité financière. Enfin,
l’entrepreneuriat implique un risque financier important. Les entrepreneurs doivent investir leur propre
argent dans leur entreprise et n’ont souvent pas accès aux avantages sociaux tels que l’assurance
maladie. Malgré ces inconvénients, l’entrepreneuriat peut être une expérience enrichissante et
gratifiante pour ceux qui sont prêts à relever le défi.

10.3 Différences entre entrepreneuriat et salariat

L’entrepreneuriat et le salariat sont deux formes d’emploi très différentes. L’entrepreneuriat implique
généralement que vous soyez votre propre patron, que vous ayez une certaine liberté dans la prise de
décision et que vous portiez une grande partie de la responsabilité financière. En revanche, le salariat
signifie que vous êtes employé par une entreprise et que vous travaillez pour un salaire fixe, avec moins
de liberté dans la prise de décision et une responsabilité moindre en termes de finances. Alors que
l’entrepreneuriat peut sembler plus indépendant et motivant, le salariat offre souvent une certaine
sécurité de l’emploi et une garantie de revenus réguliers. Il est important de considérer ces différences
avant de choisir une voie professionnelle.

10.3 conclusion partielle sur l'entrepreneuriat

L’entrepreneuriat, en tant que phénomène économique et social, est devenu un sujet digne d’intérêt, au
cœur de l’actualité et consacré par les décideurs politiques. L’entrepreneuriat, sous toutes ses formes
d’expression, se développe dans un écosystème.

11. MÉTIER DEXPERT COMPTABLE


L’expert-comptable est un professionnel de la comptabilité chargé de tenir les comptes des entreprises
civiles et commerciales ainsi que des organisations à but non lucratif. Il gère, contrôle, surveille, redresse
la comptabilité des entreprises et des entités juridiques auxquelles il n’est pas lié par un contrat de
travail. Il établit les bilans et les comptes de résultats. Il conseille et accompagne ses clients dans toutes
les phases de leur évolution.

 QUELQUES DÉFINITIONS

1. Expert-comptable:

toute personne dont la profession habituelle est d’organiser, d’apprécier et de réviser les comptabilités
des entreprises et organismes auxquels il n’est pas lié par un contrat de travail

2. Commissaire aux comptes:

Expert-comptable dont le mandat ou la fonction est d’effectuer en vertu des dispositions légales,
réglementaires, statutaires et des décisions des instances judiciaires, des missions de vérification des
états financiers des tiers en vue de leur certification
3. Révision comptable:

examen des états financiers de l’Entreprise, visant à vérifier leur sincérité, leur régularité, leur conformité
et leur aptitude à refléter une image fidèle.

4. Certification des comptes:

examen auquel procède un expert-comptable en vue d’exprimer une opinion motivée sur la régularité et
la sincérité des états comptables et financiers

11.1 Missions de l'expert-comptable


L’expert-comptable doit utiliser ses compétences de comptabilité et de gestion pour:

Gérer la comptabilité en entreprise: mettre en place une comptabilité adaptée à l’entreprise, la surveiller,
élaborer des comptes annuels et des budgets prévisionnels, établir les états financiers, calculer des coûts
de revient, réaliser des attestations et mettra en place d’une comptabilité analytique;

Aider à la gestion de l’entreprise: assister les créateurs d’entreprise, appuyer un projet d’investissement,
effectuer des contrôles budgétaires, apporter des conseils en termes de formation, d’export et conseiller
les entreprises en difficulté grâce à des plans de continuation ou de restructuration;

Assister des entreprises pour les obligations légales: établir des bulletins de salaire et des déclarations
fiscales et sociales, assister la gestion des ressources humaines et mettre en place des systèmes
d’épargne salariale, de prévoyance ou de retraites adaptés à la structure de son client;

Apporter des conseils pour l’information de l’entreprise: soutien quant à l’élaboration de cahier des
charges, au choix des logiciels de gestion et en fonction des demandes du client, étudier les opportunités
de l’entreprise.

L’expert comptable est un professionnel de la comptabilité dont le rôle va beaucoup plus loin que
l’établissement des comptes de l’entreprise: C’est un véritable partenaire du dirigeant qui fournira des
conseils en matière juridique, fiscale, sociale, comptable voir même patrimoniale.

11.2 rôle d'un expert comptable

Le rôle de l’expert comptable est très important pour les entreprises, que ce soit lors de sa création, de
son développement ou de sa transmissio

11.3 conclusion partielle d'un expert comptable


Lorsqu’une entreprise s’entoure des services d’un expert-comptable, il lui devient impossible de faire
n’importe quoi et notamment de frauder. Un bon expert-comptable n’acceptera jamais de contribuer aux
fraudes car il se trouve dans l’obligation de respecter de nombreuses normes et il risquerait d’engager sa
responsabilité dans ce cas de figure.
Il est important de préciser ici que l’expert-comptable, tout en restant dans le cadre légal, se trouve tout
à fait en mesure d’optimiser la situation de l’entreprise et de son dirigeant. Pour cela, il utilise des
techniques conformes à la législation.

Enfin, et c’est encore une fois une question de bon sens, l’expert-comptable veille à ce que l’entreprise
remplisse ses obligations comptables, fiscales, juridiques et sociales. Il est attentif à tous les délais à
respecter et s’assure que les déclarations soient bien envoyées par l’entreprise dans les délais impartis.

SECTION 12. MINISTÈRE DES INFRASTRUCTURES (PROVINCIALES)


C'est un ensemble d'ouvrage, d'équipements économiques et techniques dont la communauté à besoin
pour s'épanouir.

Une infrastructure est un ensemble d’installations et d’équipements qui permet le fonctionnement et le


développement d’une activité ou d’un territoire.

12.1 typologie d'infrastructures


o Les infrastructures de transport: Elles permettent le déplacement des personnes et des
marchandises, ainsi, elles facilitent les échanges et le commerce. (Exemples: routes, autoroutes,
chemins de fer, ports, aéroports, ponts, etc.)

o Les infrastructures de communication: Elles permettent la transmission de l’information, ainsi,


elles favorisent sa diffusion et le développement des nouvelles technologies. (Exemples: réseaux
téléphoniques, réseaux internet, etc.)

o Les infrastructures de services: Elles permettent de répondre aux besoins de la population, on


retrouve donc toutes les infrastructures qui fournissent des services aux personnes : hôpitaux,
écoles, centres commerciaux, etc.

o Les infrastructures d’énergie: Elles permettent la production, le transport et la distribution de


l’énergie: centrales électriques, lignes électriques, gazoducs, oléoducs, etc.

12.2 rôle de l'infrastructure


Une infrastructure bien conçue est un facteur essentiel de la prospérité nationale et une condition
préalable à l'expansion économique et à la croissance future. Les infrastructures permettent aux pays
d'être productifs, de jouir d'une certaine qualité de vie et de connaître une progression économique en
stimulant la croissance, en créant des emplois et en améliorant la productivité, la qualité de vie et
l'efficience.

12.3 conclusion partielle sur les infrastructures


Des infrastructures modernes et efficientes sont essentielles à la réussite des économies modernes et à la
prospérité des pays. Elles servent à la fois d'injection directe dans une économie et de catalyseur indirect.
Comme nos économies cherchent à croître et à maintenir leur croissance, nous devons nous attaquer aux
enjeux du vieillissement et de l'insuffisance des infrastructures, des exigences changeantes et des
cybermenaces croissantes et collaborer afin de comprendre pleinement les vulnérabilités et de mettre en
œuvre des mesures coordonnées de sécurité et de résilience.

SECTION 13. L'ORGANISATION MANAGERIALE


Le management est posé comme l'art de diriger une organisation et de prendre les décisions nécessaires
à la réalisation de ses objectifs. Il s'agit d'une démarche globale qui repose sur quatre grandes fonctions
génériques: piloter (fixer des objectifs et contrôler), organiser, animer et diriger.

13.1. Les fonctions du management


Le management consiste à diriger une organisation par la mise en œuvre de ses moyens humains et ma-
tériels pour atteindre ses objectifs. Le management concerne aussi bien la gestion de l'entreprise par son
gérant que la direction d'une commune par son maire.

Le management s'appuie sur quatre grandes fonctions:

o Piloter: fixer des objectifs et contrôler les résultats

Dans le cadre du pilotage de l'organisation, le manager va mettre en place une stratégie, définir des
objectifs cohérents et un but à atteindre. Par la suite, il va contrôler si les résultats obtenus sont
conformes aux objectifs fixés. Si besoin, il étudiera les actions correctrices à mettre en œuvre afin
d'améliorer les résultats futurs.

o Organiser: répartir et coordonner le travail

Le management consiste à organiser le travail. Pour cela, il faut définir puis répartir les tâches entre les
individus qui composent l'organisation, puis coordonner leurs actions afin d'atteindre efficacement
l'objectif commun.

o Animer: mener et mobiliser les hommes

Gérer une organisation nécessite de mobiliser tous ses acteurs afin d'atteindre l'objectif commun. Il faut,
selon les cas, mettre en place des actions de formation, des systèmes d'évaluation ou de motivation des
acteurs.

o Diriger: prendre des décisions pour réaliser les objectifs

Diriger l'organisation, c'est prendre des décisions qui vont l'engager sur le long terme mais qui sont
nécessaires à la réalisation de ses objectifs.
13.2 les sortes de management
 Le management stratégique

Le management stratégique consiste à prendre des décisions concernant les orientations de


l'organisation à long terme. Il suppose donc une prise de risques, car la décision se prend dans le cadre
incertain d'un environnement de plus en plus fluctuant.

La décision stratégique, souvent complexe, est prise au niveau hiérarchique le plus élevé (ex. : dirigeant
d'une entreprise, président d'association…) Elle présente un caractère peu répétitif et difficilement
réversible puisqu'elle nécessite des ressources importantes et engage par conséquent la pérennité de
l'organisation.

 Le management opérationnel

Le management opérationnel consiste à assurer le fonctionnement quotidien de l'organisation. Il


concerne les décisions opérationnelles qui sont par définition plus simples et plus fréquentes, avec un
impact à moyen et court termes. Il est assuré par le personnel d'encadrement ou hiérarchiquement plus
bas et vise à mettre en place concrètement la stratégie de l'organisation à l'aide de plans opérationnels
(ex: création d'outils, formation et animation des collaborateurs). Le management opérationnel fait
appel à des compétences de gestion (humaines, financières, logistiques, commerciales…) pour optimiser
les différentes ressources nécessaires à la réalisation de la stratégie.

Par conséquent, le management stratégique est en étroite collaboration avec le management


opérationnel, le succès de l'un dépendant de l'autre.

13.3 LES FONCTIONS CLÉS DU MANAGEMENT

Le management requiert une série de compétences essentielles pour guider une entreprise vers le succès:

 Planification stratégique: la planification est la boussole qui oriente l’entreprise vers ses objectifs.
Les managers élaborent des stratégies, anticipent les défis et allouent les ressources pour
concrétiser la vision à long terme.

 Organisation et structuration: tel un architecte, le manager organise et structure l’entreprise. Il


conçoit les équipes, établit les processus et assure que chaque élément contribue à l’efficacité
globale.

 Direction et leadership: le manager dirige son équipe avec leadership et vision. Inspirer, motiver
et montrer la voie sont les éléments clés pour mener l’équipe vers le succès.

 Contrôle et évaluation de la performance: le manager contrôle et évalue la performance. Cette


fonction garantit l’efficacité opérationnelle, identifie les opportunités d’amélioration et assure
une croissance continue.
13.4 Rôle du management dans une entreprise

Le rôle du management dans la réussite d'une entreprise ne peut être sous-estimé. Une gestion efficace,
une communication claire et un leadership fort sont tous des éléments clés de la réussite d'une
entreprise. Sans eux, une entreprise peut avoir du mal à atteindre ses objectifs et à prospérer.

LA GESTION EFFICACE

Une gestion efficace implique la planification, l'organisation, la direction et le contrôle des ressources de
l'entreprise. Sans une gestion efficace, une entreprise peut se retrouver désorganisée, inefficace et
incapable d'atteindre ses objectifs.

LA COMMUNICATION CLAIRE

Une communication claire est essentielle pour assurer que tout le monde dans l'entreprise comprend les
objectifs et sait ce qu'on attend d'eux. Sans une communication claire, les employés peuvent se sentir
perdus et désengagés, ce qui peut nuire à la productivité de l'entreprise.

LE LEADERSHIP FORT

Un leadership fort est nécessaire pour inspirer et motiver les employés, pour créer un environnement de
travail positif et pour guider l'entreprise vers le succès. Sans un leadership fort, une entreprise peut avoir
du mal à motiver ses employés et à atteindre ses objectifs.

13.5 conclusion partielle sur le management

Véritable pilier de toute entreprise prospère, le management des organisations est l’art de guider les
équipes vers l’accomplissement d’objectifs stratégiques, de créer un écosystème où l’innovation
s’épanouit et où les défis deviennent des opportunités. Une bonne gestion garantit l’efficacité
opérationnelle, la motivation des équipes et la résilience face aux changements.

Mais dans un monde où la seule constante est le changement, le concept de management de transition
émerge comme une réponse agile aux périodes de transformation. Il offre une expertise pour naviguer
avec succès à travers les transitions organisationnelles.

SECTION 14. LA DIRECTION DES RECETTES DU HAUT-KATANGA (DRHKAT)


Dans le but de maximiser les recettes de la province du haut-Katanga. La direction des recettes du haut-
Katanga DRHKAT en sigle a vu le jour un certain 25 décembre 2009 par l'édit n00004/2009. Entérine par
l'arrête provincial n00038 du 12 juillet 2014.

La DRHKAT est un service public provincial sous tutelle du ministère provincial ayant les finances dans ses
attributions dote d'une personnalité juridique et d'une autonomie administrative et financière.

14.1 mission de la DRHKAT


La DRHKAT exerce toutes les missions et prérogatives en matière de recettes fiscales non fiscales et
autres revenant à la province du haut-Katanga sur toute son étendue notamment:

 + L'assiette, le contrôle, le recouvrement et le contentieux des impôts provinciaux et locaux.

 + Le contrôle d'ordonnancement, le recouvrement et le traitement du contentieux des recettes


non fiscales.

 + Le suivi et la tenue de statistiques des recettes à caractère national et celles relatives aux
matières a compétence concurrente.

 + L'étude et la soumission à l'autorité compétente des projets d'édits d'arrêtés, de circulaire et


décisions en la matière.

14.2 conclusion partielle sur DRHKAT


La DRHKAT s'occupe de la mobilisation des recettes pour les comptes du trésor public tend national (40%)
que provincial, tandis que les autres régies financière traditionnelles sont chargées de l'administration
des recettes publiques talque:

 La direction des impôts (DGI)

 Direction de la générale des douanes et assise (DGDA)

 Direction générale des recettes administrative, domaniales, judiciaires et de participation


(DGRAD).

 Et toutes les administrations, chacune en ce qui concerne ses services prestes avec contrepartie.

SECTION 15: LA DIVISION ÉCONOMIQUE


Le ministère de l'Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique prépare et met
en œuvre la politique du Gouvernement en matière économique, financière, budgétaire ou encore fiscale.

15.1 Attribution de la division économique


Le Ministère de l’Économie et des Finances assure l’élaboration, la mise en oeuvre, le suivi et l’évaluation
de la politique du Gouvernement en matière de pilotage de l’économie et de gestion du développement.
Il formule et coordonne la mise en oeuvre des politiques et stratégies de développement.

Il est chargé d’élaborer, proposer et mettre en oeuvre, à partir des grandes orientations et des grands
équilibres arrêtés par le Gouvernement, la stratégie économique de l’État à court, moyen et long terme.

Il a en charge la Gestion du Portefeuille de l’Etat et exerce la tutelle de gestion des entreprises publiques
et parapubliques.
Il est également chargé d’élaborer et de mettre en oeuvre, conjointement avec le Ministère du budget, la
politique du gouvernement en matière de mobilisation des ressources financières extérieures destinées
au financement du développement.

Il assure la conduite, la coordination et le suivi du dialogue sur les politiques et les priorités nationales
avec les partenaires au développement.

Il élabore et suit la mise en oeuvre de la réglementation nationale en matière de gestion des projets et
programmes de développement.

En collaboration avec le Ministère du budget, il négocie et signe les conventions et accords économiques
et financiers de l’État.

Il assure aussi la coordination et le suivi des projets de développement des politiques sectorielles en
étroite collaboration avec les Ministères sectoriels concernés.

Conjointement, avec le Ministère auprès de la Présidence, chargé des investissements, il assure le suivi de
la mise en oeuvre de la stratégie nationale de partenariat public-privé.

Il assure la réalisation des études et des prévisions économiques à court, moyen et long termes ainsi que
le suivi de la conjoncture économique nationale, régionale et internationale.

Il a en charge la normalisation, la centralisation et la diffusion des outils et des données statistiques. A ce


titre, il élabore et met en oeuvre, en collaboration avec les ministères concernés, la stratégie nationale de
collecte, de traitement et de diffusion de l’information statistique.

Il élabore, met en oeuvre et suit la politique industrielle du gouvernement ainsi que les législations et
réglementations en matière d’industrie.

Il assure l’organisation et la promotion des petites et moyennes entreprises ainsi que des petites et
moyennes industries PME/PMI, en relation avec les ministères concernés.

Il exerce, conjointement avec le ministère du budget, la tutelle de l’Inspection Générale des Finances.

15.2 Mission de la division économique


La condition de réussite ou d’échec de cette mission se trouve dans la manière de dialoguer avec les
autres départements sur leurs objectifs, sur leurs méthodes pour ainsi définir les moyens et ressources les
plus avantageux pour investir et améliorer le quotidien et croire en l’avenir collectif.

Dialoguer avec l’extérieur pour utiliser le meilleur logiciel qui convienne aux besoins planifiés et atteigne
le plus tôt les objectifs fixés L’autre condition de réussite se trouve dans l’approche spécifique du
management.

La réussite d’un leader s’explique souvent par la qualité de son entourage.

15.3 conclusion partielle


Pour renverser l’actuelle tendance de la structure de l’économie congolaise dominée par le secteur
primaire, le Gouvernement de la République au travers de la mise en œuvre du Plan National Stratégique
de Développement se propose de mettre en place la stratégie de diversifier son économie en s’appuyant
sur le développement des secteurs et filières ci-après:

 L’agriculture et la chaine agro-alimentaire;

 La forêt et les industries de transformation et de commercialisation du bois;

 Les mines;

 Les bâtiments et matériaux de construction;

 Le tourisme et l’hôtellerie;

 Les services financiers.

SECTION 16: MINISTÈRE DU CADASTRE


 Attributions

Coordonner et superviser les activités de la Direction;

Diriger tout le personnel du Cadastre;

Signer tous les documents spécifiquement cadastraux et tous les courrier ;

Inspection à l’intérieur et contrôle de la discipline par contrat personnel et au moyen des états
d’activités;

Rédiger des instructions pour le personnel du Cadastre;

Contrôler la formation du personnel et y participe, exécute, s’il est Géomètre ou Arpenteur, certains
travaux de mesurage et bornage ou de délimitation, parmi les délicats ou présentant une valeur
didactique;

Organiser les marchés des travaux cadastraux à exécuter par les Géomètres privés.

 Mission

Le cadastre étant service technique s’occupe de l’inventaire des biens immobiliers en utilisant Les
arpenteurs, les géomètres, dessinateur, ingénieur géomètre et experts immobiliers;

Les titres immobiliers s’occupent à l’octroi des titres et à sa conservation.

La structure du ministère se présente comme suit:


Chapoté par Son Excellence Monsieur le Ministre qui applique la politique Foncière du gouvernement,
l’administration foncière est dirigée par un secrétaire Général qui est épaulé par dix directeur à savoir:

 Directeur des Services Généraux et du Personnel;

 Directeur des Titres Immobiliers;

 Directeur du Cadastre Foncier;

 Directeur du Cadastre Fiscal;

 Directeur de l’Inspection;

 Directeur du Contentieux Foncier et Immobilier;

 Directeur des Biens sans maître;

 Directeur des Fonds de Promotion Foncière;

 Directeur des Etudes et Planification;

 Directeur de l’Ecole Nationale du Cadastre et des Titres Immobiliers.

En province, le Ministère des Affaires Foncières fonctionne par le biais des circonscriptions foncières qui
regorgent deux divisions:

La division des Titres Immobiliers et la Division du cadastre.

Présentement, la République Démocratique du Congo compte 130 circonscriptions et la vision de


l’Administration foncière est de faire de chaque territoire du pays.

 Conclusion partielle des affaires fonciérès


L'arpentage cadastral est indispensable pour protéger les droits de propriété du citoyen en enregistrant
les informations foncières dans les registres cadastraux, qui servent à vérifier publiquement les
informations cadastrales telles que l’emplacement et la superficie du terrain.
SUGGESTION DU RAPPORT DE STAGE
Nous ferons ici, des suggestions pouvant permettent à notre faculté de sciences économaque et de
gestion d’améliorer les conditions de passation de stage.

C’est pourquoi, nous souhaiterons que notre faculté mette en place les entreprises aproprier enfin de
permettre aux étudiants de concilier la théori à la pratique et non pas trop accumuler des théoris sans
pour autant passer au praque.

Il sera opportun de nous projeter dans des entreprises pour acquérir des compétences professionnelle
chers autorité académique.
CONCLUSION GENERALE
Au terme de notre formation professionnelle de douze jours entant que stagiaire à la faculté des sciences
économiques et de gestion, en sigle nous pouvons conclure ce rapport de stage en disant que ce stage a
été très enrichissant pour nous car il nous a permis de découvrir les fonctionnements et les organisations
de différentes entreprises, et les traitements de différentes tâches dans une entreprise.

Tous vos enseignements fournis ont été sincère, correctes et bons. Je dis et je vous remercie.
ANNEXE
Les noms des intervenants et leurs sujets traités
1) Mm Maguy. Sujet: la comptabilité
2) Mr junior SAMBWA. sujet: la Rawbank
3) Mr SAMANG le GRH de la GECAMINE
4) John NDALA docteur en management de marketing
5) Mr Narcisse MPMBU directeur de la DGDA
6) Mr Olivier Kahola expert en consulting
7) Mr Bula. Sujet: la logistique
8) Kilondo Nguya Didier docteur en développement politique
9) Ngosa Bupe Gody. Sujet: l'entrepreneuriat
10) SEM MBIMBI expert comptable agréé
11) Mr Zongwe Kizabi k. Michel. Sujet: les infrastructures
12) Prof Ditend expert en gestion managériale
13) Mr CYRILLE directeur à la DRHKAT
14) Mr Lamb A Nkomb. sujet: la division économique
15) Mr Saky Mpoyo. Sujet: ministère du cadastre

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