Introduction

Dans le cadre de notre TP sur les sûretés mobilières, nous allons étudier les différentes garanties que
les créanciers peuvent prendre sur des biens meubles pour sécuriser les prêts et les crédits. Nous
allons notamment nous intéresser aux différentes formes de sûretés mobilières telles que le
nantissement, la cession de créance, le gage et le contrat de location-financement. Nous allons
également analyser la loi n° 18/001 du 9 mars 2018 relative aux sûretés mobilières en République
démocratique du Congo (RDC) qui vise à faciliter l’accès au crédit en offrant des garanties sur des
biens mobiliers et en mettant en place un registre national des sûretés mobilières pour garantir leur
opposabilité aux tiers. Cette étude comparative nous permettra de mieux comprendre les enjeux liés
aux sûretés mobilières dans différents contextes juridiques et économiques.

Développement

Les sûretés mobilières : sont des garanties que les créanciers peuvent prendre sur des biens meubles
(biens qui peuvent être déplacés) pour garantir le remboursement de leurs créances. Elles sont régies
par le droit commercial et sont utilisées dans les transactions commerciales pour sécuriser les prêts
et les crédits. Les principales sûretés mobilières sont :

le nantissement, la cession de créance, le gage et le contrat de location-financement.

Le nantissement permet au créancier de prendre une garantie sur un bien meuble appartenant au
débiteur, sans que celui-ci ne perde la possession du bien. La cession de créance permet au créancier
de récupérer les sommes dues sur une créance que le débiteur a envers un tiers.

Le gage permet au créancier de prendre une garantie sur un bien meuble en en prenant possession.
Enfin,

le contrat de location-financement permet au créancier de financer l’achat d’un bien meuble en

échange d’un loyer et d’une option d’achat.

Loi sur les sûretés mobiliers La loi n° 18/001 du 9 mars 2018 relative aux sûretés mobilières en
République démocratique du Congo (RDC) vise à faciliter l’accès au crédit en offrant des garanties sur
des biens mobiliers et en mettant en place un registre national des sûretés mobilières pour garantir
leur opposabilité aux tiers.

Conclusion

En conclusion, l’étude des sûretés mobilières est essentielle pour comprendre les mécanismes de
garantie mis en place pour sécuriser les prêts et les crédits. Les différentes formes de sûretés
mobilières telles que le nantissement, la cession de créance, le gage et le contrat de location-
financement offrent des solutions adaptées à chaque situation. La loi n° 18/001 du 9 mars 2018
relative aux sûretés mobilières en RDC est une avancée significative pour faciliter l’accès au crédit en
offrant des garanties sur des biens mobiliers et en mettant en place un registre national des sûretés
mobilières. Cette étude comparative nous permet de mieux comprendre les enjeux liés aux sûretés
mobilières dans différents contextes juridiques et économiques, et de mieux appréhender les
pratiques et les solutions qui peuvent être mises en place pour garantir la sécurité des prêts et des
crédits.