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La société en commandite simple c’est une société de personne qui comprend deux
associés au moins et qui sont les commandités lesquels sont tenus, personnellement et
solidairement de dettes sociales et de deux associés au moins, les commanditaires, qui
sont tenus qu’à concurrence de leurs apports. Les associés commandités sont soumis
au même régime que celui auquel sont soumis les associés dans une société en nom
collectif. Les associés commanditaires sont soumis au même régime juridique que celui
auquel sont soumis les associés dans une société à responsabilité limitée. L’associé
commanditaire ne peut faire un apport en industrie.
La société en commandite par actions (SCA) est une société commerciale qui se
distingue par son mode de fonctionnement.
Associés commandités : des associés « actifs » qui gèrent la société, ils ont
la qualité de commerçant.
Associés commanditaires : des associés « passifs » qui financent la société
et en surveillent la gestion. Ce sont des investisseurs, ils ont la qualité
d'actionnaire. Il leur est interdit de s'immiscer dans la gestion externe de la
société (ex : signature d'un contrat fournisseur). En revanche, ils participent à
la vie interne de la société par le biais des assemblées générales et du conseil
de surveillance.
On peut donc penser à la situation suivante : Un administrateur personne physique d’une société
anonyme A est aussi actionnaire majoritaire d’une autre société B, dont il n’est pas dirigeant. La
société A a conclu avec la société B une convention importante. Si la société B est une société de
personne alors la convention doit rentrer dans le champ d’application de l’article 200, puisque
l’administrateur est un associé tenu solidairement des dettes de la société B. Qu’en est-il alors si
la société B serait une société à responsabilité limité ou une société anonyme ? Bien que
l’administrateur de la société A a intérêt indirect apparent dans la convention. Il n’est pas certain
que la procédure de contrôle va être appliqué puisque on n’est pas sur que l’administrateur va
respecter l’obligation d’information qui lui pèse dessus. En effet, en vertu de l’article 200. I, les
dirigeants de la société anonyme doivent déclarer par écrit tout intérêt direct ou indirect qu’ils
ont dans les contrats ou opérations conclues avec la société ou demander de le mentionner dans
les procès-verbaux du conseil d’administration. Ne convient-il pas alors d’ajouter une obligation
d’information encore plus précise selon laquelle les dirigeants doivent déclarer annuellement par
écrit leurs placements et participations dans d’autres sociétés.
Une société anonyme qui se spécialise dans l'acquisition et la gestion d'immeubles commerciaux,
tels que des centres commerciaux ou des galeries marchandes, et qui les loue ensuite à des
détaillants ou à d'autres entreprises, constitue un autre exemple de société anonyme dont
l'activité principale est le commerce ou la location de fonds de commerce.(comme geant ki saker
h and m fih ynajm yaatih boutique lwehed ekher et donc aatah clientele)
Article 200 :
Il faut préciser qu’en cas de renouvellement tacite ou en cas de changement des conditions
convenues initialement, il faut qu’il y ait une nouvelle autorisation du conseil.
Pour répondre à cette question. il faut distinguer entre deux cas: celui où l'assemblée approuve et
celui où elle désapprouve la convention préalablement autorisée par le conseil en labsence puis en
présence de dol. V En l'absence de dỏl ? Dans le cas où l'AG approuve : les conventions approuvées
produisent leurs effets à l'égard des tiers et ce conformément aux dispositions du sous paragraphe 4
du paragraphe Il de l'article 200 nouveau du CSC. Elles produisent tous leurs effets même si elles ont
des conséquences préjudiciables pour la société sous réserve de la responsabilité de la personne
intéressée et ce conformément aux dispositions de l'article 202 alinéa 1 du CSC qui stipule que « tout
avantage précisé à l'article 200 procuré par l'effet des conventions au président ou au DG ou au DGA
ainsi qu'à un ou plusieurs membres du CA au détriment de la société (indépendamment de la
décision de l'AG) ne les exonère pas de la responsabilité
Par ailleurs, le sous paragraphe 4 du paragraphe Il de l'article 200 nouveau du CSC précise que « les
conséquences préjudiciables à la société des conventions réglementées sont mises à la charge de
l'intéressé lorsqu'elles ne sont pas autorisées par le conseil d'administration et désapprouvées par
l'assemblée générale » suite à un vote de cette assemblée destiné couvrir la nullité conformément
aux dispositions de l'article 202 du CSC.
II
Explication du paraghphe fi mémoire hajer fil impact fisacle (Le compte courant des associés n’a pas
fini de créer des problèmes. En effet, lors des contrôles fiscaux, les vérificateurs considèrent
souvent que lorsque ce compte est significativement créditeur ; ceci traduit la minoration du
chiffre d’affaire. Ces bénéfices occultes seront donc traités comme des revenus distribués
imposables.) :
Lorsqu'un compte courant associé affiche un solde important et créditeur, cela peut indiquer que
l'entreprise a accumulé des dettes envers ses associés. Cette accumulation peut résulter de diverses
transactions, telles que des prêts consentis par les associés à l'entreprise ou des bénéfices non retirés
qui restent dans le compte courant.
Les vérificateurs fiscaux peuvent considérer un solde important et créditeur sur le compte courant
comme une indication que l'entreprise aurait pu sous-déclarer ses revenus. Cela pourrait être
interprété comme une manière de dissimuler des bénéfices en les enregistrant comme des dettes
envers les associés plutôt que comme des revenus d'exploitation dans le chiffre d'affaires de
l'entreprise.En d'autres termes, si l'entreprise réalise des bénéfices mais les enregistre comme des
dettes envers les associés dans le compte courant, cela pourrait conduire à une sous-estimation du
chiffre d'affaires déclaré, ce qui pourrait attirer l'attention des vérificateurs fiscaux.
Introduction generale :
Dans le cadre de sa mission générale, le CAC est tenu de remplir plusieurs obligations, telles que
l'audit des états financiers en vue de la certification, la vérification de la sincérité du rapport de
gestion et le contrôle des conventions réglementées, etc