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Introduction :

Vous connaissez très certainement l’histoire de


Steve Jobs grâce à l’invention du système
d’exploitation Windows, ou même mark Zuckerberg
grâce à l’invention d’un des plus grands réseaux
sociaux, Facebook. En effet, on a tendance à
garder en tête les noms de ces personnages qui
d’une manière ou d’une autre ont réussi à marquer
leurs noms en participant au changement et à
l’évolution de nos vies conventionnelles.
Cependant, de nos jours, il existe tellement
d’inventions exceptionnelles, qu’il est presque
impossible de retenir les noms de tous leurs
créateurs. Ainsi, c’est à cet effet que nous avons
décidé de nous pencher sur le cas d’une entreprise
exceptionnelle, Google.
(voir feuille)
Google est aujourd’hui classé parmi les plus
grandes sociétés du monde. Alors c’est au vu de
cela que nous avons décidé de nous pencher sur la
question à notre manière, tout en essayant de
répondre aux quelques interrogations suivantes «
qui sont les fondateurs de Google ? », « quelles
sont les origines de l’entreprise».
Présentation :
 Recrutement : Travailler chez Google, il faut
bien se l’avouer, ça fait rêver pas mal de gens.
Avec ses locaux de rêve, les services proposés
et a notoriété de l’entreprise chaque année
Google reçoit plusieurs millions de CV. LA
meilleure preuve d’une culture d’entreprise
forte QUI ATTIRENT LES DIPOMÉS DES 4 COINS
DU MONDE .
Vous vous doutez bien qu’ils ne peuvent
embaucher tout le monde : moins de 1% des
candidatures sont retenues. Le process de
recrutement est très rigoureux, et les recruteurs
ne peuvent consacrer que quelques secondes par
CV. Et ce qu’ils vont chercher pendant ces
quelques secondes, ce n’est pas uniquement les
compétences techniques, mais aussi et surtout les
soft skills, qui doivent ressortir au premier coup
d’œil.
Google accorde une importance très forte au fait
de travailler avec des gens qui pourront s’intégrer
facilement dans la culture de l’entreprise. Ainsi,
les personnes dont les profils mettent en valeur
un sens de l’initiative, une appétence pour le
travail en équipe, de la modestie etc… sont très
largement favorisés. La vision de l’entreprise est
la suivante : il est assez facile d’apprendre des
compétences techniques, pour les soft skills , c’est
plus compliqué. Pensez-y quand il s’agit de rédiger
vos fiches de postes, et évitez de donner une liste
longue comme le bras de
logiciels/technos/applications à impérativement
maîtriser.
Après la phase de repèrage, les candidats passent
une multitude d’entretien pour illustrer un
candidat avait passé 23 entretiens pour au final
ne pas être retenus
Voici quelques exemples de questions posés :
 "Racontez-moi un épisode au cours duquel votre
comportement a eu un effet positif sur l'équipe ? Et
comment vos collègues ont réagi ?"

 "Faites moi part d'un épisode difficile avec quelqu'un


(un client, un collègue ou un camarade de classe).
Qu'est-ce qui rendait difficile la collaboration .
Comment avez-vous résolu ce problème ? Qu'auriez-
vous pu faire différemment ?

Type de mana
On entend beaucoup parler du management de
google comme d’une référence. Ce modèle est
apprécié des sociétés dans lesquelles l’innovation a
une place importante. Mais ce mode d’encadrement
d’équipe inspire de plus en plus d’entreprises.
Alors en quoi est-il particulier, et qu’est-ce qui attire
les dirigeants ?

Les dirigeants de cette entreprise ont des principes


simples mais pas toujours très faciles à mettre en
place: mettre les ressources humaines au centre de
l’entreprise, donner de l’importance à l’humain pour
avoir en retour un travail de qualité. Ils utilisent un
mode de management participatif: ouverture d’esprit
et enthousiasme, recueil d’informations, partage
des idées et des contraintes, recherche d’idées et
créativité, construction commune. Dans le
management participatif on retrouve la théorie
Y selon laquelle faire des efforts physiques et
mentaux au travail est aussi naturel que s’amuser, le
contrôle et la punition ne sont pas les seules façons
de faire travailler les gens, si un travail apporte des
satisfactions, alors l’engagement envers l’entreprise
s’améliore. Aussi, mis dans de bonnes conditions,
l’individu accepte et recherche les responsabilités.
Ce type de mana a des résultats: l’organisation est
construite autour de principes de confiance et
d’auto-contrôle, les employés utilisant cette liberté
pour mieux s’impliquer dans le travail. Ils sont alors
beaucoup plus aptes à prendre des initiatives et à
accepter les responsabilités.
l’ambiance est détendue. Tout est prévu pour que
les employés se sentent bien et n’aient qu’une seule
vie : la vie au bureau. C’est-à-dire que toutes les
activités sont concentrées dans l’entreprise même..
Des pique-niques familiaux et des “ Pyjama
Day ”sont même organisés au sein du groupe. Selon
les dirigeants, favoriser l’esprit de détente aiderait
les employés à être plus motivés pour aller travailler
que s’ils avaient trop de règles à suivre. Google veut
aussi éviter “ le millefeuille de contrôles
hiérarchiques ”, donc la pression dû à la
hiérarchisation Car Google part du principe que ce
ne sont pas les chefs qui savent tout mais que
l’innovation peut venir de chacun. • Sélectionner les
meilleurs ressources humaines en vue d’inspirer le
respect mutuel et maintenir la hauteur des attentes
réciproques;• Miser sur les petites équipes de
manière à réduire les coûts de coordination, faciliter
la communication et accélèrer les
apprentissages ;• Se coordonner grâce à l’usage
systématique des technologies limitant ainsi les
opérations liées au management et favorisant la
connaissance, le partage et l’échange;• Prioriser la
satisfaction des utilisateurs en toutes
circonstances;• Partager et décentraliser les
données numériques pour alimenter les échanges
entre ingénieurs et favoriser une culture d’entreprise
fondée sur la rigueur;Ces sujets sont d’actualités, et
nécessitent une remise en cause des modes de
management plus traditionnels. Il est indéniable que
ce type de modèle, utilisé par Google, mais aussi par
d’autres entreprises, apporte une réelle avancée
dans la façon de travailler.
La face cachée
20 000 salariés manifestentDe Singapour à
New York, en passant par Londres et même au
siège mondial de Mountain View en
Californie, des milliers d’employés de Google avaient
observé jeudi dernier un arrêt de travail pour
dénoncer la gestion du harcèlement sexuel au
sein de l’entreprise. Ils étaient 20 000 employés
et sous-traitants dans cinquante villes, selon les
organisateurs. En Asie, en Europe et en
Amérique, les employés se sont réunis afin de
soutenir leurs collègues victimes de harcèlement
et protester contre la politique de dissimulation
des affaires menée par l’entreprise.
Entreprise à part qui entretient le mythe sur son
recrutement hors-norme de talents aussi divers que
complémentaires, Google fait rêver. Liberté de travailler
sur ses projets personnels, locaux fastueux et agréables,
doux sentiment d'appartenir à une forme d'élite : un poste
chez le géant américain relèverait donc de l'idéal.
Pourtant, à en croire la quarantaine de témoignages
d'anciens et actuels salariés publiés sur le site américain de
discussion Quora, tout ne serait pas si rose dans l'une des
sociétés les plus célèbres du monde.

1. Un management trop distant


Les managers ? "Pas assez qualifiés", voilà ce qu'annonce
de but en blanc une salariée. "Le problème chez Google,
explique une autre, c'est que les gens aiment y travailler
car ils peuvent résoudre des problèmes techniques ardus -
et ce sont en général des gens qui ne jugent pas très
intéressant d'apprendre à développer leur intelligence
émotionnelle.
2. Une entreprise qui prend toute la place dans leur vie
Plusieurs se plaignent de la charge de travail écrasante, de
la pression et de la culture du fameux mail envoyé à minuit
ou deux heures du matin.
3. Une entreprise trop grande pour être agile
Pour une employée, la taille gigantesque de Google (53 600
employés en 2014 à Moutain View, le siège californien) est
un inconvénient majeur
4. Trop de gens "formidables" mais surqualifiés...
"Le processus de recrutement est tellement difficile qu'ils
ont une flopée de candidats brillants même pour des postes
peu importants
5. Des esprits trop conformistes
"Ils embauchent toujours la même personne, se plaint un
employé anonyme. Toujours le même profil, issu des
mêmes dix universités, la même vision du monde, les
mêmes centres d'intérêt. Sans mentir, j'ai dû croiser cent
triathlètes en trois ans chez Google.

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