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Stage EC2

L’ACTION FEU
EN 1991 1-2 - 2004
Objectifs spécifiques du module

– Connaître le contexte général du


dimensionnement au feu des structures

– Connaître les actions thermiques et mécaniques


sur les structures exposées au feu

– Présenter les principes généraux et les règles


d’application des ces actions
2
Documents de référence
– Norme NF EN 1991-1-2 - juillet 2003.
Indice de classement : P 06-112-1

– Annexe Nationale NF P EN 1991-1-2 qui fixe les


valeurs de certains coefficients en France.
Indice de classement : P 06-112

– Les deux documents forment un ensemble cohérent


avec l’EN1990, l’EN1991-1-1, l’EN1991-1-3,
l’EN1991-1-4 ainsi que leurs Annexes Nationales
respectives
Sécurité en cas d’incendie
Exigences essentielles pour la limitation des risques
incendie
(Directive des Produits de Construction 89106/CEE)
l'OUVRAGE doit être CONÇU de telle manière que :

• la STABILITÉ des ÉLÉMENTS PORTEURS soit présumée ASSUREE pendant


une durée déterminée
• l'APPARITION et la PROPAGATION du FEU soient LIMITÉES
• l'EXTENSION du FEU aux OUVRAGES VOISINS soit LIMITÉE
• les OCCUPANTS puissent QUITTER l'OUVRAGE ou être SECOURUS
• la SÉCURITÉ des ÉQUIPES de SECOURS soit PRISE EN COMPTE
Sommaire
Section 1 Généralités
1.1 Domaine d'application
1.2 Références normatives
1.3 Hypothèses
1.4 Distinction entre principes et règles d'application
1.5 Termes et définitions
1.6 Symboles

Section 2 Procédure de calcul structural au feu


2.1 Généralités
2.2 Scénario de feu de calcul
2.3 Feu de calcul
2.4 Analyse thermique
2.5 Analyse mécanique
Section 3 Actions pour l'analyse thermique (actions
thermiques)
3.1 Règles générales
3.2 Courbes nominales température/temps
3.3 Modèles de feu naturel
Sommaire (suite…)
Section 4 Actions pour l’analyse structurale (actions mécaniques)
4.1 Généralités
4.2 Simultanéité des actions
4.3 Règles de combinaisons des actions
---------------------------------------------------------------------------------------------------------

Annexe A (informative) Courbes paramétrées température/temps


Annexe B (informative) Actions thermiques pour les éléments
extérieurs - Méthode de calcul simplifiée
Annexe C (informative) Feux localisés
Annexe D (informative) Modèles de feu avancés
Annexe E (informative) Densités de charge calorifique
Annexe F (informative) Temps équivalent d'exposition au feu
Annexe G (informative) Facteur de forme
Bibliographie
Section 1
GENERALITES
Domaine d’application
– Applicable aux bâtiments en prenant en compte une
charge calorifique liée au bâtiment et à son
occupation.

– Utilisable avec les parties relatives au calcul au feu


des EN1992 à l’EN1996 et de l’EN1999

– Comporte les actions thermiques et mécaniques à


utiliser en association avec l’EN1990 et l’EN1991
Section 4
ACTIONS POUR L’ANALYSE
STRUCTURALE
Les définitions
Les définitions
Les définitions
Les définitions
Les définitions
Actions thermiques
• Au cours de l’incendie, on distingue 3 phases
• Developpement = combustible brule
ÎC’est un feu localisé
Incendie généralisé
L’ensemble du combustible présent dans le volume
participe au développement du feu
Î Flash over
ÎTemperature du compartiment > 400-500
ÎBris de glace, °
REFROISISSEMENT
Section 2
PROCEDURE DE CALCUL STRUCTURAL
AU FEU
Généralités
Une analyse structurale au feu doit passer par les
étapes suivantes :
Sélection des scénarios de feu de calcul pertinents ;
• Détermination des feux de calcul correspondants ;
• Calcul de l’évolution de la température à l’intérieur des
éléments structuraux ;
• Calcul du comportement mécanique de la structure exposée
au feu.
Feu de calcul
Scénario de feu de calcul

– Le scénario de feu de calcul est déterminé par une


évaluation du risque incendie.

– Le feu de calcul n’est appliqué qu’à un compartiment


du bâtiment à la fois sauf spécification contraire du
scénario.
– Si les autorités nationales spécifient des exigences de
résistance au feu, le feu de calcul correspond au feu
normalisé, sauf spécification contraire.
– C’ EST LE FILM CATASTROPHE
Actions mécaniques
– Les dilatations et déformations imposées et empêchées dues à
l’exposition au feu créent des effets d’action (forces et moments)
: actions indirectes Aind,d

– La combinaison des actions doit être faite conformément à


l’EN1990 pour les situations accidentelles : combinaison
fréquente.

– Il n’est pas nécessaire de prendre en compte les actions indirectes


dues à des éléments voisins lorsque les exigences de sécurité
concernent les éléments soumis aux conditions de l’incendie
normalisé.
Actions mécaniques
– On ne prend pas en compte la diminution des
charges imposées du fait de la combustion

– Il est possible de ne pas tenir compte des charges


de neige du fait de sa fonte

– Il n’est pas nécessaire de prendre en compte


d’autres actions accidentelles sauf celles
provoquées par l’incendie (impact dû à
l’effondrement d’éléments)
Analyse mécanique

– La durée utilisée pour l’analyse mécanique est la même


que pour l’analyse thermique
– La vérification de la résistance au feu doit être faite en
termes de :
• temps d’exposition

• résistance à l’effort

• température
Analyse thermique
– Lors de l’analyse d’un élément, la position du feu de
calcul par rapport à cet élément doit être prise en
compte
– Selon le feu de calcul (chapitre 3), deux procédures
sont possibles :
• Avec une courbe nominale température/temps, l’analyse
doit être effectuée pour une durée spécifiée, sans phase de
refroidissement
• Avec un modèle de feu, l’analyse thermique est effectuée
pour toute la durée de l’incendie, y compris avec phase de
refroidissement
Section 3
ACTIONS POUR L’ANALYSE
THERMIQUE
Règles générales
– Le flux thermique net à la surface de l’élément permet
de calculer les actions thermiques
– C’est une combinaison de la convection et du
rayonnement:

– Le flux thermique net par convection est donné par :

– αc = 25 W/m²K pour incendie normalisé et feu


extérieur
– αc = 50 W/m²K pour feu hydrocarbure
– αc = 35 W/m²K pour incendies "naturels"
– αc = 4 W/m²K pour la face non exposée des éléments
séparatifs
Les flux thermiques
• 1) LES ACTIONS THERMIQUES SONT
CALCULEES A PARTIR DU FLUX THERMIQUE A
LA SURFACE DE L ELEMENT.
• CE DERNIER TIENT COMPTE DU TRANSFERT
THERMIQUE PAR :

• RAYONNEMENT
• CONVECTION

• 2) CALCUL DES TEMPERATURES DES


GAZ
Règles générales
Le flux thermique par rayonnement est donné par :

• Φ est le facteur de forme (Annexe G, =1 valeur recommandée)


• εm est l'émissivité de la surface de l'élément
(=0.7 pour le béton)
• εf est l'émissivité du feu (=1, valeur recommandée)
• σ est la constante de Stephan Boltzmann
(= 5,67 ⋅ 10-8 W/m²K4)
Θr est la température de rayonnement effectif de
l'environnement du feu [°C] (Θr = Θg dans les cas
courants)
Θm est la température de surface de l'élément [°C].
Les courbes nominales de FEU
• LA LOI ISO COURBE NOMINALE
C’est celle du DTU FEU

• LE FEU EXTERIEUR

• LE FEU D HYDROCARBURE
Courbes nominales
température/temps
– Courbe température/temps normalisée (« feu iso »)
θ g = 20 + 345 log10 ( 8t + 1)

– Courbe de feu extérieur (murs extérieurs uniquement)


θ g = 660(1 − 0,687 e −0 ,32t − 0,313 e −3,8t ) + 20

– Courbe d’hydrocarbure
θ g = 1080 (1 − 0,325 e −0 ,167 t − 0,675 e −2,5t ) + 20

– Courbe "hydrocarbure majorée" pour tunnels (en France)


: coeff 1280 au lieu de 1080
Courbes nominales
température/temps
Modèles de feu naturel
– Modèles de feu simplifiés :
• Sont fondés sur des paramètres physiques (densité de charge calorifique +
conditions de ventilation) avec un domaine d’application limité
• Température supposée uniforme pour les feux de compartiment et non
uniforme pour les feux localisés
– Modèles avancés .
Ils doivent prendre en compte :
• les propriétés des gaz
• l’échange de masse et d’énergie
Il convient d’utiliser un des modèles suivants : une zone, deux zones, ou
dynamique des fluides)
EC1
• INTRODUCTION DE FEUX NATURELS
PARAMETRES

• 3 LOI NOMINALES TEMPERATURE/TEMPS

• UN NIVEAU D AGRESSION DIMINUE


EC1
• LES ACTIONS THERMIQUES
• LES ACTIONS MECANIQUES DILATATION
• LES SITUATIONS D INCENDIE (accidentelles)
• LE FEU ET SON DEVELOPPEMENT
• L EXPOSITION AU FEU
• LES SITUATIONS POST-INCENDIE
Î refroidissement
EC1
COURBE NOMINALE
TEMPERATURE /TEMPS

MODELE FEU PRENANT EN COMPTE LA


DUREE DU FEU
ET SON REFROIDISSEMENT
ACTIONS
• DEFINIR LA POSITION DU FEU / ELEMENT
• POUR LES ELEMENTS EXTERIEURS
ÎOuvertures toits
ÎMurs separatifs
principe
• L’eurocode prévoit la possibilité d’utiliser des
modèles de feu naturel.
Î Soit par modèle simplifié fondé sur des
paramètres physiques spécifiques avec un domaine
d’application limité.
Î Soit par modèle dit avancé (méca des fluides)
traitant le développement du feu en prenant en
compte les propriétés des gaz, les échanges de
masses etr d’énergie.
LE FEU NATUREL
• SOIT PAR MODELES SIMPLIFIES

• SOIT PAR MODELES AVANCES


Le FEU NATUREL
ANNEXE A
PRISE EN COMPTE DU
REFROIDISSEMENT
Annexe A
Courbes paramétrés
température/temps
Feu paramétré
−0,2t * −1,7t * −19t *
θg = 20 + 1325(1 − 0,324e − 0,204e − 0,472e )

– Cette courbe est valable pour des compartiments ayant
une surface de plancher inférieure à 500 m² et une
hauteur maximale de 4 m

– La température maximale θmax en phase


d’échauffement est atteinte pour :
t * = tmax
*
[
= tmax .Γ ; tmax = max ( 0,2.10 −3 qt ,d / O ); tlim ]

– q,td est la valeur de calcul de la densité de charge


calorifique rapportée à la surface totale At du plancher
Feu paramétré
Γ = temps modifié en fonction du facteur d’ouverture O
et de l’absorptivité thermique b ;
– Av = surface totale d’ouvertures verticales sur tous les
murs (m²) ;
– At = surface totale de l’enceinte (murs, plancher,
plafond y compris les ouvertures) (m²) ;
– heq = moyenne pondérée des hauteurs de fenêtre sur
tous les murs (m) 2 .
(O / b)
Γ =
( 0 ,04 / 1160 ) 2

O = Av heq / At 0,02 ≤ O ≤ 0,2


θ g = 20 + 1325 (1 − 0,324 e Feu paramétré
−0 ,2t *
− 0,204 e −1,7t *
− 0,472e −19t *
)

Sollicitations thermiques - courbe paramétrée

1200

1000
températures (°C)

800 exemple de feu


"naturel"
600

400

200

0
0 50 100 150 200
temps (min)
Annexe B
Actions thermiques pour les
éléments extérieurs
Méthode de calcul simplifié
Actions thermiques pour les
éléments extérieurs
– Température maximale d’un compartiment en feu
– Taille et température des flammes sortant des
ouvertures
– Paramètres de rayonnement et de convection
r

Annexe C Q
z'

Feux localisés D
Flamme touchant le
plafond
H
Lf
Q z
D

Flamme ne touchant
pas le plafond
Feux localisés

– La longueur de flamme Lf d’un feu localisé est donné


par :

• D est le diamètre du feu [m]
• Q est le débit calorifique donné par l’Annexe E [W]
– Si la flamme ne touche pas le plafond, la température le
long de l’axe de la flamme est

– z0 est l’origine virtuelle de la source de chaleur :


< 1 kW

Illustrations de quelques
débits calorifiques

Bûcher de bois
0,6 m2 - 400 kW

Flamme Feu de nappe


20 kW 1 m2 – 2 MW
Feu de voiture – 10 m2 – 8 MW
Feu d’entrepôt – 8000 m2 – > 800 MW
Flammes touchant le plafond
– Le flux thermique reçu au niveau du plafond par unité de surface
exposée au feu à une distance r de l’axe de la flamme est donné
par :


• y est un paramètre :
• Lh est la longueur horizontale
de flamme :
• Q*h est un débit adimensionnel :
• z’ la position verticale de
la source virtuelle de chaleur :
Flux thermique net
– Le flux thermique net reçu par unité de surface exposée au feu
au niveau du plafond est donné par :

avec : .
• h : le flux thermique
αc : coefficient de transfert thermique par convection (=35 W/m²K)
Θm: température de la surface de l’élément [°C]
Φ : facteur de forme (=1.0)
εm : émissivité de la surface de l’élément (=0.8 ou 0.7)
εf : émissivité des flammes du feu (=1.0)
σ : constante de Stephan Boltzmann(=5.67.10-8)
PHASES DE FEU NATUREL
COURBES DE FEU
FEUX NATURELS
FEUX NATURELS

© SOCOTEC Stage CEA Bâtiment et Génie Civil - n° 15


FEU
NOUVELLE NOTION
Débit Calorifique Q

– Pendant la phase de développement du feu, le débit calorifique est


donné par :

où tα est le temps nécessaire pour atteindre un débit=1MW et dépend


du type d’occupation (Tableau E.5)
– La phase de développement est limitée par un plateau horizontal
correspondant à l’état stationnaire :
Qmax=Afi.RHRf

• Afi est la surface maximale du feu [m²]
• RHRf est le débit calorifique maximal produit par 1m² de feu et dépendant
du type d’occupation (d’après le Tableau E.5)
Débit Calorifique Q
Débit Calorifique Q
– Le plateau horizontal s’arrête quand 70% de la charge
calorifique totale est consumée
– La phase de décroissance est linéaire et débute lorsque
70% de la charge calorifique a été brûlée et se termine
quand la charge calorifique est intégralement
consuméeQ
stationnaire
Qmax
développement décroissance
70% de la
charge calorifique
t
Annexe D
Modèles de feu avancés
Modèles une zone
– La température, la densité, l’énergie interne et la
pression de gaz sont supposées homogènes dans le
compartiment
Modèle une zone
– On suppose que le débit de gaz entrant par les ouvertures est
le même que le débit de gaz sortant :

– Le bilan énergétique des gaz dans le compartiment est donné


par:

• Eg est l’énergie interne du gaz


• Q est le débit calorifique du feu
• (Qin – Qout) exprime la perte de chaleur par convection par les
ouvertures
• Qwall est la perte d’énergie vers les parois de l’enceinte par
rayonnement et convection
• Qrad est la perte d’énergie par rayonnement par les ouvertures
Modèle deux zones
– Hypothèse : les produits de combustion
s’accumulent en une couche sous le plafond avec
une interface horizontale définissant deux couches
– Dans la couche supérieure ou inférieure, les
caractéristiques du gaz sont supposées uniformes

- Températures des zones chaude et froide


- h : hauteur d’interface entre zones
Modèle deux zones
– Les échanges de masse et d’énergie sont calculées
entre ces deux zones

– Devient modèle une zone si :


• La température de la couche supérieure dépasse les
500°C
• L’épaisseur de la couche supérieure dépasse 80% de la
hauteur du compartiment
Modèle calcul dynamique des
fluides
– Un modèle de calcul de dynamique des fluides (CFD) peut être
utilisé pour :
• Résoudre numériquement les équations différentielles partielles
• Obtenir les variables aéro-thermodynamiques en tout point du
compartiment
– Les équations sont basées sur les énoncés mathématiques des
lois de conservation :
• La masse d’un fluide est conservée
• Deuxième loi de Newton (variation de quantité de mouvement)
• Premier principe de la thermodynamique (variation de l’énergie)
Illustration des modèles de calcul
dynamique des fluides

SOFIE, Résultat d'un


benchmark au sein des
organismes de
recherche en matière de
feu (FRS), Royaume-Uni

SMARTFIRE,
l'Université de Modèles de
Greenwich, Royaume-
Uni champs
Annexe E
Densités de charge calorifique
Densité de charge calorifique
q f ,d = q f ,k .m.δ q1.δ q 2 .δ n [MJ / m²] ....( E .1)

Annexe non applicable au niveau français remplacée


par un guide pour la détermination de la charge
calorifique et de ses conditions de combustion
Guide de remplacement de
l’ANNEXE E
•Détermination de la charge calorifique de calcul
•qf,d = qf,k ⋅ m [MJ/m2]
•Où :
• m est le coefficient de combustion ;
• qf,k est la densité de charge calorifique caractéristique par
unité de surface de plancher [MJ/m²].

•(1) La densité de charge calorifique de calcul est définie par :


•(2) Cette densité de charge calorifique peut éventuellement être modifiée
pour tenir compte de mesures de prévention et de protection contre l'incendie,
propres au projet et aux scénarios considérés. Dans un tel cas il doit être
démontré que la valeur retenue ne conduise pas à une probabilité de ruine
supérieure à celle utilisée en situation normale.
LES REGLES SIMPLES
• IL SUFFIT DE DETERMINER LA
CHARGE APPLIQUEE = PROPORTION
DE LA CHARGE A FROID ET LIRE

• LES DIMENSIONS MINIMALES


• LE FERRAILLAGE MINIMAL
• ENROBAGES NINIMAUX
Procédure de calcul
Feux nominaux
Procédure de calcul
Feux naturels
Approche Approche pour Utilisation Obligation Obligation
pour action vérification du par les d'accord sur d'avis sur
thermique comportement Bureaux les scénarios études par
au feu d'études d'incendie par un
la laboratoire
Commission agréé par le
de Sécurité ministère de
l'intérieur
Valeurs tabulées OUI - NON
Feux nominaux
Méthodes simples OUI - NON

Méthodes OUI - OUI


avancées

Valeurs tabulées non applicable - -


Feux naturels
Méthodes simples OUI (mais OUI OUI
domaine
d'application
limité)

Méthodes OUI OUI OUI


avancées
LE FEU
• LES OUVRAGES DOIVENT JUSTIFIER
D UN CLASSEMENT AU FEU
• Î soit par essai

• Î soit par calcul

• C’est le classement REI


Les combinaisons
BILAN
• DTU PLUS SEVERE
• PAS DE REDUCTION DE Q
• COEF 1,3 ET NON 1
LES METHODES SIMPLIFIES

• C EST EN FAIT LA METHODE CLASSIQUE


DU DTU
• ON EVALUE LE CHAMP DES
TEMPERATURES

• ON DETERMINE L AFFAIBLISSEMENT

• ON EN DEDUIT LA SECTION REDUITE

• ON VERIFIE L EQUILIBRE PAR LA SECTION


REDUITE
METHODE DE L ISOTHERME
500
• METHODE SIMPLE
EC2 BETON COURBE
GENERALE
EC2 BETON COURBES
SIMPLIFIEES
EC2 ACIERS
EC2 ACIERS N
EC2 ACIERS X
EC2 ACIERS COURBES
SIMPLES
EC2 COURBE ACIERS
EC2 FEU POTEAUX
LES POTEAUX
EC2 POTEAUX
LES POUTRES
EC2 POUTRES ISOS
EC2 POUTRES CONTINUES
FORMATION CIMfeu

• Règles constructives simples: MURS PORTEURS


b x a ( épaisseur )

• Élancement ≤ 50 et feu d ’un côté


• Durée F d’exigence (CF et ST) acquise si les valeurs minimales a & u sont
respectées
EC2 MURS
EC2 MURS
LES DALLES CONTINUES
ANNEXE NATIONALE
CONDITION DE COFFRAGE

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