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Section 2 - Effets
136. L'exception d'inexécution est d'abord un fait : le fait pour l'excipiens de suspendre l'exécution de
ses obligations. Ce sont les tribunaux qui, saisis le cas échéant par l'une ou l'autre des parties, vérifient a
posteriori si les conditions requises pour légitimer ce fait se trouvaient réunies (V. supra, nos 42 s.). Dans
la négative, le manquement commis est rétrospectivement privé de la circonstance immunisante
derrière laquelle s'abritait l'excipiens, ce qui expose ce dernier aux sanctions habituellement attachées à
l'inexécution des obligations : exécution forcée, résolution, réduction de prix, accompagnées, le cas
échéant, d'une demande en réparation du dommage causé. C'est ce que signifie l'affirmation suivant
laquelle l'excipiens agit « à ses risques et périls » (Civ. 1re, 5 mars 1974, no 72-11.884 , Bull. civ. I,
no 73). Ainsi, le locataire qui suspend le paiement des loyers, alors que les conditions de l'exception
d'inexécution ne se trouvaient pas réunies, s'expose à ce que le juge constate l'acquisition de la clause
résolutoire au profit du bailleur (V. par ex. Civ. 3e, 8 déc. 2009, no 08-20.017 . – Civ. 3e, 6 janv.
2009, no 07-20.316 ).
137. Il est à noter toutefois que les conditions de l'exception d'inexécution diffèrent de celles de la
résolution (sur ces dernières, V. Résolution – Résiliation [Civ.] ), de telle sorte que le juge qui écarte
l'exception d'inexécution n'est pas nécessairement conduit à rejeter toute demande en résolution formée
par l'excipiens, ou à prononcer la résolution aux torts de ce dernier. Il peut aussi, si les circonstances s'y
prêtent, prononcer la résolution aux torts de l'autre partie. L'illégitimité de l'exception d'inexécution ne
fait en effet pas disparaître le manquement commis par le cocontractant de l'excipiens, lequel, s'il est
antérieur et suffisamment grave, peut donc justifier la résolution à ses torts. Ainsi, dans une affaire dans
laquelle l'exception d'inexécution a été jugée illégitime en raison de la disproportion entre la riposte de
l'excipiens et le manquement antérieur, la résolution n'en a pas moins été prononcée aux torts de l'autre
partie : selon la Cour de cassation, le rejet de l'exception d'inexécution, fondé « sur la gravité relative
des manquements aux obligations respectives, n'est pas contradictoire avec la constatation, à la charge
de la société Natalys, de fautes de nature à justifier la résolution du contrat à ses torts » (Com. 17 mai
1971, no 70-10.687 , Bull. civ. IV, no 131).
138. À supposer, quoi qu'il en soit, que l'exception d'inexécution soit fondée, il convient de mesurer ses
effets dans les rapports entre les parties (V. infra, nos 139 s.) ainsi qu'à l'égard des tiers (V. infra, nos 147
s.).
Art. 1er - Effets entre les parties
139. Situation d'attente. - L'exception d'inexécution donne lieu, entre les parties, à une situation
d'attente. L'excipiens ne se trouve pas définitivement relevé de ses obligations, mais est simplement
autorisé à en suspendre l'exécution tant que l'autre partie ne s'est pas elle-même exécutée ou n'a pas
offert de le faire (Com. 3 déc. 1979, no 78-12.368 , Bull. civ. IV, no 318 : « Par le jeu de l'exception
d'inexécution […], les relations contractuelles suivies entre les parties ont été suspendues mais non
rompues ». – Comp. Com. 26 janv. 1970, no 68-12.258 , Bull. civ. IV, no 29). C'est dire que
l'exception d'inexécution produit des effets comparables à ceux qu'aurait l'octroi d'un terme suspensif
d'exécution (pour une opinion consistant d'ailleurs à affirmer que la dette de l'excipiens n'est alors pas
exigible : B. GRIMONPREZ, De l'exigibilité en droit des contrats, préf. C. OPHÈLE, 2006, coll.
Faculté de droit de Poitiers, LGDJ, nos 157 s.).
140. Suspension et refus d'exécution. Doutes nés de la réforme - Les textes issus de l'ordonnance de
réforme du 10 février 2016 font malheureusement naître un doute nouveau. Deux formules distinctes
y sont employées. Selon l'article 1217 du code civil, le créancier peut « suspendre ou refuser
d'exécuter » ses obligations. Tout porte donc à croire que la suspension et le refus d'exécution sont deux
choses différentes. D'ailleurs, l'article 1219, qui traite de l'exception d'inexécution avérée, indique que
le créancier peut dans ce cas « refuser d'exécuter » tandis que l'article 1220, qui traite de l'exception
d'inexécution anticipée, indique que le créancier peut dans ce cas « suspendre l'exécution de son
obligation ». À chaque hypothèse d'exception d'inexécution correspondrait donc un effet propre. Quels
seraient ces deux effets ? Suivant une première interprétation, la « suspension » serait une désactivation
temporaire du lien obligatoire qui s'opposerait au « refus d'exécuter », lequel impliquerait au contraire
un anéantissement définitif de l'obligation (V. suggérant cette lecture sans y adhérer, T. GENICON,
article préc. [supra, no 17], no 25). Suivant une seconde interprétation, la « suspension » et le « refus
d'exécuter » emporteraient tous deux une désactivation temporaire de l'obligation, mais la première
s'appliquerait lorsque l'exécution a commencé tandis que la seconde s'appliquerait avant tout début
d'exécution (V., impl. A. REYGROBELLET, article préc. [supra, no 95]). Aucune de ces
interprétations n'est convaincante et c'est la distinction même entre la suspension et le refus d'exécution
qui doit être condamnée. Il serait inexplicable que l'exception d'inexécution avérée produise des effets
différents de ceux de l'exception d'inexécution anticipée. Il serait pareillement inexplicable que
l'exception d'inexécution produise des effets autres que temporaires. Plus vraisemblablement, les
rédacteurs de l'ordonnance, croyant bien faire, ont entendu aider à la distinction entre l'hypothèse
classique d'un créancier confronté à une inexécution avérée et qui, tenu de s'exécuter en second,
« refuse » de le faire (art. 1219) et celle, moins habituelle, d'un créancier qui est tenu de s'exécuter en
premier et qui « suspend » néanmoins l'exécution lorsqu'il réalise que l'autre partie ne s'exécutera pas à
terme (art. 1220). L'emploi de ces expressions ne doit pas tirer à conséquences et on tiendra pour acquis
qu'il ne résulte des textes nouveaux aucun changement s'agissant des effets de l'exception
d'inexécution : c'est toujours d'une suspension dont il est question.
141. Actes incompatibles avec la reprise d'exécution. - La jurisprudence antérieure à la réforme veillait
à ce que l'excipiens n'aille pas au-delà de la simple suspension temporaire de ses obligations et
sanctionnait donc toute attitude ou acte qui serait incompatible avec la reprise de l'exécution. Ainsi, le
concédant qui accepte qu'un concessionnaire s'installe à proximité d'un autre ne peut-il justifier cette
décision par le jeu de l'exception d'inexécution : le concédant, « sans se borner à suspendre l'exécution
de ses obligations, avait, en méconnaissance de celles-ci, modifié l'équilibre contractuel en créant de
nouvelles conditions de concurrence préjudiciables à son cocontractant » (Com. 19 déc. 1989, no 88-
13.789 , Bull. civ. IV, no 327). De même, le fournisseur reprochant à son distributeur exclusif un
manquement au contrat de distribution n'est-il pas fondé à rompre ce contrat et à confier durablement
la distribution à un autre partenaire : « l'exception d'inexécution, fût-elle fondée, permettait [au
fournisseur] non pas de rompre le contrat conclu avec [le distributeur] mais seulement d'en suspendre
l'exécution en distribuant provisoirement en Belgique, par elle-même ou par un tiers, les produits
concernés » (Com. 1er déc. 1992, no 91-10.930 , Bull. civ. IV, no 392). De même encore, le salarié,
tenu d'une clause de non-concurrence, ne peut pas s'estimer libéré et entreprendre une activité
contraire à la clause au seul motif que l'employeur n'a pas versé avec ponctualité l'indemnité prévue en
contrepartie (Soc. 20 nov. 2013, no 12-20.074 , RDC 2014. 203, obs. O. Deshayes). De tels actes
sont certes concevables si la résolution du contrat est décidée. Mais ils ne peuvent être justifiés sur le
seul fondement de l'exception d'inexécution.
142. Un cas limite se présente lorsque la suspension impliquée par l'exception d'inexécution vient elle-
même empêcher définitivement l'exécution utile du contrat pour l'autre partie. Ceci arrive lorsque la
prestation suspendue doit être exécutée avant telle date, sous peine de perdre toute utilité pour son
destinataire (soulignant l'originalité de cette hypothèse, V. T. GENICON, article préc. [supra, no 17],
qui prend l'exemple des musiciens qui refusent de jouer à la date du spectacle ; sur cette hypothèse
V. d'ailleurs, Civ. 1re 12 juin 2012, no 11-13.764 , RTD civ. 2012. 527, obs. B. Fages , mais l'arrêt
ne fournit guère d'enseignements puisque la cassation y est purement disciplinaire). Le traiteur peut-il,
par exemple, refuser de livrer les plats commandés pour le mariage ? N'irait-il pas, ce faisant, au-delà
d'une simple suspension temporaire ? Il ne le semble pas. Dans ce cas, la suspension ne cesse pas d'être
temporaire du point de vue de l'excipiens, même si elle risque d'avoir des effets définitifs pour le
créancier. Il y aurait même quelque chose de curieux à ce que le créancier soit empêché d'opposer
l'exception d'inexécution dans cette hypothèse où, précisément, l'importance de la ponctualité dans
l'exécution lui confère un moyen de pression appréciable sur le débiteur défaillant. Cela étant dit, le
juge devra tenir compte des conséquences particulièrement graves de la suspension au moment de
vérifier que la riposte n'était pas disproportionnée au manquement initial.
143. Absence de transfert des risques. - Lorsque l'obligation volontairement suspendue consiste en la
remise d'une chose, l'exception d'inexécution n'a pas pour effet de transférer les risques de cette chose à
l'autre partie (Civ. 3e, 9 mai 1972, no 71-11.369 , Bull. civ. III, no 293).
144. Reprise d'exécution. - La situation d'attente créée par la mise en œuvre de l'exception
d'inexécution prend fin lorsque le débiteur de l'excipiens s'exécute (ce qui suppose qu'il soit encore en
mesure de le faire). L'excipiens ne pouvant plus justifier la suspension de ses propres obligations, il doit
alors s'exécuter. Toutefois, si le manquement commis par son débiteur cause à l'excipiens un dommage
auquel l'exécution ne met pas fin, ce dernier peut en réclamer la réparation. Il ne devra lui-même
aucuns dommages et intérêts à son débiteur, si du moins l'exception d'inexécution est jugée fondée.
146. Saisine d'un juge. - La situation d'attente créée par les inexécutions réciproques doit, s'il n'y est pas
remédié spontanément par les parties, inciter l'une d'elles à saisir le juge. À la supposer fondée,
l'exception d'inexécution place alors l'excipiens dans une situation favorable. Ne pouvant se voir
reprocher d'avoir suspendu l'exécution de ses obligations, ce dernier se trouve en quelque sorte
immunisé contre l'action en exécution forcée, en résolution ou en indemnisation intentée par l'autre
partie. Une telle action doit être rejetée au fond. En revanche, une condamnation à l'exécution forcée,
la résolution ou l'allocation de dommages-intérêts peut être prononcée contre l'autre partie à la
demande de l'excipiens. Ce dernier, s'il s'est contenté en première instance de demander le rejet de la
demande en exécution formée contre lui, peut d'ailleurs former en appel une demande
reconventionnelle en résolution : la jurisprudence considère qu'une telle demande n'est pas nouvelle
(V. Demande nouvelle [Pr. civ.] ), dans la mesure où « l'exception d'inexécution et l'action en résolution
d'une convention constituent, sous deux formes différentes, l'exercice du même droit et tendent aux
mêmes fins » (Civ. 1re, 2 févr. 1999, no 96-21.291 , D. 1999. Somm. 217, obs. P. Julien ; RG proc.
1999. 627, obs. G. Wiederkehr). S'agissant de l'allocation de dommages et intérêts, il convient de noter
que la suspension par l'excipiens de ses obligations, qui aura précédé la demande, aura souvent pour
effet de limiter le préjudice subi par ce dernier, ce dont il devra être tenu compte (A. PINNA, La
mesure du préjudice contractuel, préf. P.-Y. GAUTIER, 2007, LGDJ, no 321).
147. Les tiers aux obligations réciproques inexécutées peuvent être affectés par l'exception
d'inexécution dans deux hypothèses différentes.
148. Les tiers prenant la place des parties initiales. - Le tiers qui est devenu créancier de l'une des
obligations réciproques peut se voir opposer l'exception d'inexécution. Prenant la place de l'une des
parties, il est logiquement soumis aux mêmes exceptions. Tel est le cas du cessionnaire ou du subrogé.
(V. supra, nos 57 s.). Tel est également le cas des ayants cause universels ou à titre universel des parties
aux obligations réciproques (sur cette qualité, V. Ayant cause [Civ.] ). L'hésitation est en revanche
permise s'agissant du sous-acquéreur du bien retenu par le vendeur initial demeuré impayé. On peut en
effet se demander, dans ce cas, si le sous-acquéreur agit en qualité de cessionnaire de la créance de
délivrance du bien ou s'il agit en revendication de la chose en vertu du droit de propriété que lui a
conféré son vendeur. Mais, à vrai dire, la question est dépourvue d'intérêt pratique puisqu'un tel litige
se résout sur le terrain du droit de rétention, dont la jurisprudence admet qu'il est opposable erga omnes
(V. Rétention [Civ.] ). En somme, à chaque fois qu'un tiers prend la place de l'une des parties aux
obligations réciproques, l'exception d'inexécution lui est opposable. Cette règle ne reçoit qu'une
exception, curieuse et critiquée : la Cour de cassation décide que le vendeur sous réserve de propriété,
subrogé dans la créance de prix de revente de son acheteur placé en procédure collective contre le sous-
acquéreur, ne peut se voir opposer par ce dernier l'exception d'inexécution ni aucune autre exception.
Elle juge que « lorsque l'acquéreur d'un bien vendu avec réserve de propriété le revend sans avoir payé
l'intégralité du prix, la revente opère, par l'effet de la subrogation réelle, transport dans le patrimoine du
vendeur initial du prix ou de la partie du prix impayé par le sous-acquéreur au jour de l'ouverture de la
procédure collective du débiteur, sans que le sous-acquéreur puisse opposer au vendeur initial les
exceptions qu'il pourrait faire valoir contre son propre vendeur » (Com. 5 juin 2007, no 05-21.349 ,
RTD com. 2008. 622, note A. Martin-Serf ; JCP 2008. I. 117, no 11, obs. M. Cabrillac et
Ph. Pétel. – Adde : Com. 5 juin 2011, no 07-14.181, RTD civ. 2011. 378, obs. P. Crocq ; JCP 2011.
524, note S. Ravenne. – V. déjà Com. 3 janv. 1995, no 93-11.093 , Bull. civ. IV, no 3 ; D. 1996.
Somm. 221, obs. F. Pérochon ; RTD civ. 1997. 166, obs. F. Zénati ; JCP 1995. I. 3841, obs.
M. Cabrillac et Ph. Petel).
149. Les tiers agissant en exécution de la dette de l'excipiens. - Un tiers, sans être devenu créancier
d'une des obligations réciproques, peut néanmoins vouloir agir contre l'excipiens. Il convient, après
R. CASSIN (op. cit. [supra, no 20], p. 690 s.), de distinguer deux cas de figure. En premier lieu, le tiers
peut agir contre l'excipiens afin de réclamer le paiement de la dette de ce dernier. Ainsi, le créancier
chirographaire, agissant par la voie oblique, peut vouloir demander paiement au débiteur de son
débiteur. L'exception d'inexécution lui est alors opposable. Parce qu'il « pénètre dans le rapport
synallagmatique » (R. CASSIN, op. et loc. cit.), le tiers peut se voir opposer l'exception d'inexécution
fondée sur ce rapport (V. Action oblique [Civ.] ). En second lieu, le tiers peut agir contre l'excipiens, en
vertu d'un droit propre, sans demander l'exécution de la dette de ce dernier. L'exception d'inexécution
ne lui est alors pas opposable puisque « l'action n'a pas le rapport synallagmatique pour support
nécessaire » (R. CASSIN, op. et loc. cit.). Ainsi, le créancier bénéficiant d'une sûreté réelle sur un bien
ne pourrait se voir opposer par l'acquéreur de ce bien un manquement par le vendeur aux obligations
issues du contrat de vente.
Index alphabétique
■Cession de créance 57 s.
■
de créances professionnelles « Dailly » 59
■
par le créancier de l'excipiens 58 s.
■
par l'excipiens 62 s.
■Cession de dette 63
■Clauses abusives 33
■Code civil
■
article 1209 66
■
article 1216-1 65
■
article 1217 12
■
article 1219 13, 25, 124
■
article 1220 14, 25, 123
■
article 1315 135
■
article 1327 63
■
article 1327-2 63
■
article 1353 135
■
article 1601-3 82
■
article 1612 10
■
article 1704 6
■
article 1799-1 7
■
article 1948 6
■
article 2286 10, 41
■Code de commerce
■
article L. 442-6 34
■
article L. 622-13 88
■
article L. 641-11-1 90
■Code de la consommation
■
article L. 212-1 33
■
article L. 312-55 72
■
article L. 313-44 72
■
article R. 212-1 33
■Compensation 38, 54
■
et exception d'inexécution 38
■Conditions 43 s.
■
de fond 43 s.
■
de mise en œuvre 123 s.
■Contrat
■
administratif 30
■
d'échange 6
■
d'entreprise 7 s.
■
de distribution exclusive 8
■
synallagmatique
■
imparfait 26
■
parfait 27
■
unilatéral 29
■Crédit à la consommation 72
■Crédit immobilier 72
■Crédit-bail 8, 46
■Définition 1
■Délégation parfaite 52
■Dépôt 6
■Domaine 25 s.
■Droit de rétention 10
■
et exception d'inexécution 41
■Droits réels 49 s.
■Effets 136 s.
■
entre les parties 139 s.
■
extinction du contrat 145
■
saisine du juge 146
■
suspension temporaire de l'exécution du contrat 140 s.
■
transfert des risques de la chose 143
■
à l'égard des tiers 147 s.
■Fonctions 20 s.
■Fondement 18 s.
■Force majeure 77
■Gestion d'affaires 28
■Inexécution 75 s.
■
anticipée 78 s.
■
exécution défectueuse 76
■
gravité 109
■
non fautive 77
■
preuve 133 s.
■
risque 78 s.
V. Exception d’inexécution anticipée, Ordre d'exécution des prestations
■Location-gérance 8
■Mandat 27
■Mise en demeure
■
absence de nécessité 125
■
intérêt 126
■Nature juridique 23 s.
■Notion 2
■Novation 52
■Obligation naturelle 51
■Obligations réciproques 45 s.
■
transfert d'une obligation à un tiers 56 s.
■Paiement 52
■Pluralité de débiteurs 67 s.
■
obligations conjointes ou solidaires 67
■
obligations mutuelles 70
■
obligations parallèles 69
■Prescription extinctive 55
■Procédure collective 87 s.
■
contrats en cours 88
■
liquidation judiciaire 90
■
non-déclaration de la créance 52, 88
■
plan de sauvegarde ou de redressement 89
■
sauvegarde ou redressement judiciaire 89
■Rapports synallagmatiques 28
■Remise de dette 52
■Résolution
■
et exception d'inexécution 39 s.
■Subrogation 58
■Terme suspensif 79
■Vente 6
Actualisation