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Économie internationale

Études

 Commerciales (exportations et importations)


 Financières (transaction issue des exportations et des importations ou
bien les IDE ou Investissement de portefeuille)
 Monétaires

Plan

1. Tendances du commerce inter


2. Structure du commerce inter
3. Explication théorique du commerce inter
4. Dimension politique du commerce inter
5. Les firmes multinationales
6. La balades des paiements
7. Les taux de changes

Raisons/motif du commerce international

Le principal est les coûts de production relatifs entre les pays → théorie des
avantages comparatif de Ricardo.

Les agents ont un goût pour la variété́


En concurrence monopolistique les produits sont différents mais substituable
Donc lorsque l'on passe à une économie ouverte on a un gain de variété

Les dotations factorielle (terre, mains d’œuvre qualifié ou non, dotation en


capital)

Là, on débat sur le protectionnisme et des arguments qui peuvent encourager


au protectionnisme

- Écologie
- Perte de travail cependant les gains apporté par l’ouverture est plus grand
que les

Pertes liées à celle ci -

-
Des relations économiques entre différents pays

Chapitre 1 : Les grandes tendances du commerce


internationale
1.1. PIB mondial

PIB = somme des valeurs ajoutées

PIB mondial en 2020 = 75 000 mds €

Valeurs du commerce mondial 2020= 20 000 mds € (banque mondiale) donc la


plupart des biens sont consommé localement

Taux d’ouverture
poids ou dépendance du CI dans une économie ici mondiale

Il y a une tendance
Bien que le PIB et le CI ne soit pas à la même échelle on observe une tendance
à la hausse du commerce mondiale depuis 1950
raison

 Baisse des coûts de transports


 Baisse des tarifs douaniers
 Mondialisation
 Les chaînes de valeurs mondiales → DIPP (division internationale des
processus de production) → principale explication de la croissance
exponentielle
Le taux de croissance de ci est plus volatile que le PIB cette volatilité est lié aux
chaines de valeurs
exemple
Si on produit un ordi en trois parties

La coque en France puis exporté au japon pour les parties interne qui est
exposé en chine pour les claviers

Donc si on revient sur les transactions en France on compte la valeurs ajouté


une fois, puis il est envoyé au japon et ajoute sa valeurs ajouté à celle des
Français puis en chine, etc.
Puis quand cette chose est finie

Donc s’il y a une baisse de production l'élasticité de ce choc sur le commerce


est plus forte car compté plusieurs fois
La crise du COVID est un très bon exemple. Elle a créé un choc qui entraîne une
baisse des fragmentations de la production

1.2. La perception de la mondialisation

« Quels sont les trois principaux mots qui vous viennent à l’esprit lorsque l’on
vous parle de mondialisation ? » OpinionWay (2018)

En règle générale lorsqu'on parle de commerce et de règle commercial c


souvent l’OMC qui régule.

Tendances :
- Le commerce croit plus vite que le PIB dans les années 50
- La croissance en volume est exponentielle.

En période de crise, chute plus rapide du commerce du pays.

1.3. Transport et communication

Qu’est-ce qu’un coût commercial ?

Différents types de coûts commerciaux :


 Coûts de transport
 Coûts d’assurance (exporter est une opération risquée)
 Les tarifs douaniers

Tous ces coûts sont des coûts variables.


Quels sont les coûts fixes ? :
 Les barrières linguistiques
 Adaptation au marché étranger.
 Les normes auxquels il faut s’adapter. Par exemple, les produits
alimentaires doivent respecter un certain nombre de normes pour entrer
en France. Certains États en profitent pour mettre en place des barrières
techniques.

a) Les coûts de transport

Les frais de transport maritimes ont énormément baissé depuis 1920 (ils ont
été diminués par 10).
Cette évolution peut aussi s’observer sur le coût du transport aérien.
Les coûts de communication ont également beaucoup baissé. Par exemple, le
coût d’un appel téléphonique est devenu quasiment nul.

Cette chute des coûts ont entraîné une croissance du commerce international.

Cette chute des coûts sont liés aux avancées technologiques.


Ex :
 La containerisation du commerce qui a facilité la réduction du transport
maritime.
 Les avions cargos ont pris en taille  plus de place pour le transport

Évolution de la réglementation en faveur des entreprises dans le secteur du


transport  développement du secteur aérien et maritime.

En 2019 :
Le transport maritime est dominant en valeur et en volume
Le transport aérien est utilisé majoritairement pour les objets de valeur.

Pour la communication, les avancées technologiques ont également permis la


chute des coûts :
 Apparition de la fibre optique dans les années 1970’s
 L’apparition des satellites.

Impact en termes de commerce :


 L’information circule beaucoup plus vite
 Le commerce des services. Par exemple :
o Les centres d’appel délocalisés dans des pays où la main d’œuvre
est peu coûteuse
o L’enseignement à distance.
o Télétravail en général.
o Le e-commerce

La chute des coûts de communication, c’est la mort de la distance.

Effectivement, chute des coûts de transport, évolution de la


téléconommunication, mais parallèlement, les barrières tarifaires et techniques
elles aussi se développent.

Les consommateurs construisent leur propre barrière :


Certains consommateurs préfèrent des produits issus de circuits courts plutôt
que des produits importés.
Mais l’impact sur le commerce est négligeable.

D’autres raisons de l’essor du commerce mondial :


 Forte volonté politique des États pour réduire les barrières douanières.

1.4. Volonté politique

 Depuis 1995 l’OMC a remplacé le GATT et le cycle de Doha a été lancé en


2001. Il n’est toujours pas clôturé à ce jour.

Cette volonté politique a mené à des négociations dans le cadre du GATT, qui
ont permis d’aboutir à des réductions de tarifs douaniers.
Depuis 1995, ces négociations sont de moins en moins fructueuses, car plus de
pays sont impliqués.

Baisse tendancielle des droits de douane :


En 1950, le niveau moyen de droits de douanes était de 40% (chiffre discuté).
La chute a mené à 3% en 1999.

En moyenne, depuis 1990, le tarif MFN (Most favoured nation  tarifs que les
membres de l’OMC s’accordent entre eux) a été assez stable pour les pays
avancés.
Pour les pays en développement, on passe de 45% en 1990 à 10% en 2017.

Cette chute des tarifs douaniers est avantageuse pour tout le monde.

Les pays qui ont adoptés des stratégies de substitution aux importations
(produire localement ce qu’on importe pour développer le commerce local) ont
échoué.
Au contraire, les pays comme la Chine qui ont favorisé les importations s’en
sont mieux sorti.

Le cycle de Doha est un échec. La conséquence directe est la multiplication des


accords de libre-échange entre les partenaires bilatéraux :

Entre pays développés, pas beaucoup d’accords de libre-échange car ils sont
déjà favorisés par l’OMC.
Entre pays en développement, les accords bilatéraux ont énormément
augmenté sur la période.

Si l’OMC fonctionnait correctement, il n’y aurait pas besoin de tous ces accords.
1.5. Fragmentations

Pour les pays de l’OCDE, il y a besoin de 5 documents pour importer.


Pour les pays d’Afrique subsaharienne, le nombre de documents nécessaires
pour importer est double.
Disparité entre pays développés en en développement.

Le nombre de barrières non-douanières, à l’inverse des barrières douanières,


augmentent.
Ce sont des règlements techniques ou normes réglementaires qui vont définir
les caractéristiques du produit.

Dumping : stratégie de vente à perte pour s’intégrer dans un pays et éliminer la


concurrence.
Les subventions peuvent être considérés comme une barrière à l’échange  si
l’État avantage les entreprises locales, elles vont pouvoir baisser leur prix.

Les 2 principales barrières non-douanières sont les barrières sanitaires et


techniques.

Même si les coûts ont chuté, l’exportation n’est pas une activité accessible à
tous.
En France, seulement 120 000 entreprises en moyenne exportent.
Pourquoi ? :
 Il y a un certain nombre de coûts à supporter (fixes et variables). Seules
les entreprises les plus productives peuvent se le permettre.

1000 entreprises représentent 70% des exportations françaises et 100


entreprises représentent 40% des Exp FR  activité très concentrée.
1.6. Perspectives historiques

Première vague de mondialisation de 1820 à 1914.


Ce n’est pas un phénomène nouveau.
Première phase : les pays importent ce qu’ils ne produisent pas
Deuxième phase : commerce interbranche  les pays s’échange les mêmes
produits.

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