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Mohamed Bouchoua
Chifae Ayad El
Khalate
Montage expérimentale
But de manipulation :
Le but de l’expérience est de mesurer les différentes périodes de deux pendules
couplés à l’aide d’un ressort, lancés selon trois méthodes différentes, à savoir : en
phase, en opposition de phase et en engendrant le couplage de battement, et, par ces
observations, on va voir si la pratique coïncide avec la théorie présentée au cours.
Etude théorique :
1. Equation de mouvement :
On considère le système formé par les deux pendules couplés par le ressort de raideur k.
On suppose que les dissipations dues aux frottements et à la viscosité de l'air restent
négligeables. On néglige la masse du ressort à boudins. Les amplitudes des oscillations
sont supposées rester faibles pour pouvoir considérer que l'allongement du ressort est
linéaire en fonction de θ2 - θ1 •
En notant L la longueur de la tige du pendule et d la distance commune qui séparent les
points de fixation du ressort aux axes de rotation (ressort horizontal), les énergies
cinétique et potentielle du système s'écrivent :
𝟏
𝐓 = 𝑻𝟏 + 𝑻𝟐 = 𝑰(𝜽̇ 𝟐𝟏 + 𝜽̇ 𝟐𝟐 ) (1.1)
𝟐
Et
𝟏 𝒌𝒅𝟐
𝑽 = 𝑽𝟏 + 𝑽𝟐 + 𝑽𝒓𝒆𝒔𝒔𝒐𝒓𝒕 = 𝒎𝒈𝒍�𝜽𝟐𝟏 + 𝜽𝟐𝟐 � + (𝜽𝟐 − 𝜽𝟏 )𝟐 (1.2)
𝟐 𝟐
Avec
𝜽𝟐𝟏 𝜽𝟐
𝑽𝟏 = −𝒎𝒈𝒍(𝐜𝐨𝐬 𝜽𝟏 − 𝟏) = 𝒎𝒈𝒍 (𝐜𝐨𝐬 𝜽 ≅ 𝟏 − )
𝟐 𝟐
𝜽𝟐𝟐
𝑽𝟐 = −𝒎𝒈𝒍(𝐜𝐨𝐬 𝜽𝟐 − 𝟏) = 𝒎𝒈𝒍 𝟐
𝐤(∆𝐱)𝟐 𝐤𝐝𝟐
(𝛉𝟐 − 𝛉𝟏 )𝟐
𝐤
𝑽𝒓𝒆𝒔𝒔𝒐𝒓𝒕 = 𝟐
= 𝟐 (𝒅 𝐬𝐢𝐧 𝜽𝟏 − 𝒅 𝐬𝐢𝐧 𝜽𝟐 )𝟐 = 𝟐
(𝐬𝐢𝐧 𝜽 ≅ 𝜽)
𝒎
Notons aussi que 𝐈 = 𝐦𝐀 𝐋𝟐 + 𝐦𝐓 𝐋𝟐 /𝟑 et 𝐦 = 𝒎𝑨 + � 𝑻 � où 𝐦𝐀 est la masse accrochée à
𝟐
l'extrémité et 𝒎𝑻 la masse de la tige.
Les équations de Lagrange permettent alors de former le système suivant :
(1.3)
𝐦𝐠𝐋 𝐤𝐝𝟐
Avec : 𝛚𝟐 = +
𝐈 𝐈
2. Modes Propres :
Ce sont les solutions synchrones et bornées du système (1.3). Ils s’obtiennent sous
forme complexe en posant:
(1.4)
(1.5)
(1.6)
(1.8)
Les modes propres normalisés par la condition a=1 sont donnés par :
(1.9)
D’où :
(1.10)
𝛉𝟎𝟏 ̇ ̇𝟎
𝚯(𝟎) = �
𝛉𝟏 (𝟎)
� = � 𝟎� Et ̇𝚯(𝟎) = �𝛉𝟏 (𝟎)� = �𝛉𝟏 � (1.11)
𝛉𝟐 (𝟎) 𝛉𝟐 𝛉̇𝟐 (𝟎) 𝛉̇𝟎𝟐
Ce qui conduit à
(1.17)
Avec :
Ω𝑐1 +Ω𝑐2
Ω𝑏 = Ω𝑐2 − Ω𝑐1 Et Ω𝑛 = (1.18)
2
Etude expérimentale :
Etude de pendule simple :
Le système étant découplé, en choisissant successivement les pendules 1 et 2, lancer
l’acquisition des fréquences afin de mesurer les fréquences propres fd1 et fd2 .
Calculer les moments d’inerties I1 et I2 .
Masse Fréquence Fréquence Moyenne Moyenne 𝑰𝟏 𝑰𝟐
accrochée lue 𝐟𝟏 (Hz) lue 𝐟𝟐 (Hz) 𝐟𝟏 (Hz) 𝐟𝟐 (Hz) (Kg.𝐦𝟐 ) (Kg.𝐦𝟐 )
𝐦𝐀
0.4975 0.4975
0.5 0.5
Tableau 1
Erreur relative
Fréquence lue Fréquence lue Moyenne fc1, fc1, Theo (Hz) 𝐟𝐜𝟏,𝐞𝐱𝐩 −𝐟𝐜𝟏,𝐭𝐡𝐞𝐨
f1 (Hz) f2 (Hz) exp (Hz) � �
𝐟𝐜𝟏,𝐭𝐡𝐞𝐨
0.5 0.5076
0.4901 0.5076
Tableau 2
0.5747 0.5555
0.5714 0.5617
Tableau 3
Période lue Période lue Moyenne Moyenne fn,theo (Hz) fb,theo (Hz)
Tn (s) Tb (s) fn,exp (Hz) fb,exp (Hz)
1.9 1.84
1.77 1.98
Tableau 4
Montage expérimentale
But de manipulation :
Etude théorique :
1. Equation de mouvement :
Considérons un tronçon élémentaire d’un fil de section constante (S) et de longueur (ds).
Le fil constitué d’un matériau de densité ρ est soumis à la tension F supposée constante.
L'équation d'équilibre selon la direction verticale s’écrit :
(2.1)
La langueur l’arc ds est :
(2.2)
En supposant que les déplacements transversaux restent petits, on a :
(2.3)
Les 3 relations précédents entrainent l'équation dite des cordes vibrantes :
(2.4)
C’est une équation d’onde qui se réécrit :
(2.5)
Avec c0 la célérité de propagation donnée par :
(2.6)
(2.7)
En substituant (2.7) dans (2.5), il vient :
(2.8)
Où ()’ désigne la dérivation par rapport à x et ( ) la dérivation par rapport à t. La
constante qui apparaît au dernier membre de (2.8) est négative pour que g(t) soit bornée
dans le temps. La solution des solutions des deux équations séparées définies par (2.8)
entraîne
avec (2.9)
(2.10)
En substituant (2.10) dans (2.9), il vient
(2.11)
On obtient alors les pulsations propres :
(2.12)
et les formes propres normalisées en posant (Yn)max=1
(2.13)
Un mode propre de vibration de la corde est donc :
(2.14)
L’impact bref du marteau sur la corde su point d’abscisse x0 peut être modélisé par les
conditions suivantes
(2.15)
Où δ est la distribution du Dirac.
La solution générale s’obtient, par décomposition sur les modes propres et en tenant
compte des relations s’orthogonalité entre les modes, sous la forme suivante :
(2.16)
avec :
(2.17)
Remarquons que les coefficients An appelés amplitudes modales décroissent en (1/n)
vers 0 et que :
(2.18)
Tous les modes participent à la réponse, mais le mode fondamental n=1 domine tous les
autres.
Par ailleurs, l’amplitude étant mesurée au milieu de la corde qui représente un nœud de
vibration pour tous les modes d’ordre pair, seul les modes impairs vont participer à la
réponse.
Mais les modes à partir du troisième, déjà de contributions faibles, vont s’amortir
rapidement de sorte se trouve quasiment représentée par le mode fondamental dont la
fréquence est :
(2.19)
Etude expérimentale :
La corde est posée sur deux couteaux (supports en forme de triangle). Un dynamomètre
est intercalé entre la corde et un support fixe afin de mesurer la force de tension qui se
développe dans la corde. Afin de ne pas plastifier les cordes ou carrément les rompre on
veillera à ne pas dépasser la tension seuil Fmax = 22 N.
La longueur de la corde est réglée par déplacement des couteaux sur la règle de mesure.
On amortira en cas de besoin les vibrations du tronçon de la corde se trouvant à
l'extérieur de l'intervalle fixé par les deux couteaux au moyen d'un doigt en faisant
attention de ne pas provoquer une surtension dans la corde.
La corde est excitée au moyen d'une légère frappe réalisée par un crayon. La réponse de
la corde est alors une vibration qui contient la fréquence fondamentale et les
harmoniques. La vibration de la corde est captée en son milieu, entre les points d'appui,
par un dispositif optique. La corde doit coïncider au repos avec la fente de la plaque. Le
signal d'une cellule photoélectrique munie d'un diaphragme à fente est amplifié puis
transmis à l'oscilloscope. Ce dispositif est effectif quand on s'intéresse seulement aux
fréquences et non pas aux amplitudes des vibrations. Le compteur est mis en marche
seulement après atténuation des harmoniques supérieures lorsque la fréquence
fondamentale est encore visible sur l'écran de l'oscilloscope. Les mesures expérimentales
seront effectuées sur des fils fabriqués avec les matériaux suivants :
ϕ = 0.4 mm ϕ = 0.5 mm
T (ms) F=15 N F=21N F=15 N F=21N
L = 40 cm 6.27 5.30 7.84 6.63
L = 60 cm 9.41 7.96 11.77 9.95
Tableau 4
φ = 0,3 mm // Nickel
F= 15 N
L (m) Freq (Hz) ln(L) ln(Freq)
0,40 212,32 -0,92 5,36
0,50 169,85 -0,69 5,13
0,60 141,55 -0,51 4,95
F= 18 N
L (m) Freq (Hz) ln(L) ln(Freq)
0,40 232,58 -0,92 5,45
0,50 186,07 -0,69 5,23
0,60 155,06 -0,51 5,04
F= 21 N
L (m) Freq (Hz) ln(L) ln(Freq)
0,40 251,22 -0,92 5,53
0,50 200,97 -0,69 5,30
0,60 167,48 -0,51 5,12
Tableau 1 ( φ = 0,3 mm // Nickel)
φ = 0,3 mm // Nickel
F=21 N
F=18 N
F=15 N
ln (L)
D’après la figure 1, on a :
- Pour F= 15N :
84.77 84.77
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = − ln(𝐿) + 4.44 = − ln(𝐿) + ln(84.77) = ln � � ⟺ 𝐹𝑟𝑒𝑞 =
𝐿 𝐿
- Pour F= 18N :
92.76 92.76
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = − ln(𝐿) + 4.53 = − ln(𝐿) + ln(92.76) = ln � � ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 =
𝐿 𝐿
- Pour F= 21N :
100.48 100.48
• ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = − ln(𝐿) + 4.61 = − ln(𝐿) + ln(100.48) = ln � � ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 =
𝐿 𝐿
Donc :
𝐶𝐿
𝐹𝑟𝑒𝑞 = = 𝐶𝐿 𝐿−1 (Eq.1)
𝐿
φ = 0,3 mm // Nickel
L= 0.4m
Figure 2 ln Freq = f ln F
L= 0.5m
L= 0.6m
ln (F)
- Pour L= 0.4m :
ln(𝐹) ln(𝐹)
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = +4= + ln(54.6) = ln�54.6√𝐹� ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 = 54.6√𝐹
2 2
- Pour L= 0.5m :
ln(𝐹) ln(𝐹)
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = + 3.78 = + ln(43.82) = ln�43.82√𝐹� ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 = 43.82√𝐹
2 2
- Pour L= 0.6m :
ln(𝐹) ln(𝐹)
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = + 3.6 = + ln(36.6) = ln�36.6√𝐹� ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 = 36.6√𝐹
2 2
Donc :
φ = 0,3 mm
L = 0,4 m // F= 15 N
ρ (kg.m-3) Freq (Hz) ln(ρ) ln(Freq)
7100 (Conthal) 237,71 8,868 5,471
8800 (Constantan) 213,52 9,083 5,364
8900 (Nickel) 212,32 9,094 5,358
L = 0,4 m // F= 21 N
ρ (kg.m-3) Freq (Hz) ln(ρ) ln(Freq)
7100 (Conthal) 281,27 8,868 5,639
8800 (Constantan) 252,64 9,083 5,532
8900 (Nickel) 251,22 9,094 5,526
L = 0,6 m // F= 15 N
ρ (kg.m-3) Freq (Hz) ln(ρ) ln(Freq)
7100 (Conthal) 158,48 8,868 5,066
8800 (Constantan) 142,35 9,083 4,958
8900 (Nickel) 141,55 9,094 4,953
L = 0,6 m // F= 21 N
ρ (kg.m-3) Freq (Hz) ln(ρ) ln(Freq)
7100 (Conthal) 187,51 8,868 5,234
8800 (Constantan) 168,43 9,083 5,127
8900 (Nickel) 167,48 9,094 5,121
Tableau 2 (φ = 0,3 mm)
φ = 0,3 mm
L= 0.4 m // F = 21 N
L = 0.4 m // F = 15 N
L = 0.6 m // F = 21N
L = 0.6 m // F = 15 N
ln (ρ)
D’après la figure 3, on a :
- Pour L= 0.4 m // F = 21 N :
- Pour L= 0.4 m // F= 15 N :
- Pour L= 0.6 m // F= 21 N :
- Pour L= 0.6 m // F= 15 N :
𝐶𝜌
Donc : 𝐹𝑟𝑒𝑞 = = 𝐶𝜌 𝜌−0.5 (Eq.3)
�𝜌
Cρ est un paramètre qui dépend (entre autres) de la langueur du câble L et de la
tension F.
Cuivre
L = 0,4 m // F= 15 N
r=φ/2 Freq (Hz) ln(r=φ/2) ln(Freq)
0,0002 159,24 -6,215 5,070
0,00025 127,39 -5,991 4,847
L = 0,4 m // F= 21 N
r=φ/2 Freq (Hz) ln(r=φ/2) ln(Freq)
0,0002 188,41 -6,215 5,239
0,00025 150,73 -5,991 5,015
L = 0,6 m // F= 15 N
r=φ/2 Freq (Hz) ln(r=φ/2) ln(Freq)
0,0002 106,16 -6,215 4,665
0,00025 84,93 -5,991 4,442
L = 0,6 m // F= 21 N
r=φ/2 Freq (Hz) ln(r=φ/2) ln(Freq)
0,0002 125,61 -6,215 4,833
0,00025 100,49 -5,991 4,610
Tableau 3 (Cuivre)
Cuivre
•
L = 0.4 m // F = 21 N
L = 0.4 m // F = 15
L = 0.6 m // F = 21 N
L = 0.6 m // F = 15 N
ln (r = φ/2)
Figure 4 : ln(Freq) = f (ln(r = Φ/2))
D’après la figure 4, on a :
31.84𝑒 3 31.84𝑒 3
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = − ln(𝑟) − 3.447 = − ln(𝑟) + ln(31.84𝑒 3 ) = 𝑙𝑛 � � ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 =
𝑟 𝑟
37.67𝑒 3 37.67𝑒 3
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = − ln(𝑟) − 3.279 = − ln(𝑟) + ln(37.67𝑒 3 ) = 𝑙𝑛 � � ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 =
𝑟 𝑟
21.24𝑒 3 21.24𝑒 3
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = − ln(𝑟) − 3.852 = − ln(𝑟) + ln(21.24𝑒 3 ) = 𝑙𝑛 � � ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 =
𝑟 𝑟
25.12𝑒 3 25.12𝑒 3
ln(𝐹𝑟𝑒𝑞) = − ln(𝑟) − 3.684 = − ln(𝑟) + ln(25.12𝑒 3 ) = 𝑙𝑛 � � ⇔ 𝐹𝑟𝑒𝑞 =
𝑟 𝑟
Donc :
𝐶𝑟
𝐹𝑟𝑒𝑞 = = 𝐶𝑟 𝑟 −1 (Eq.4)
𝑟
Synthèse :
But de manipulation :
Dans le cas du fluide parfait, l'état du fluide est défini par la donnée
des deux variables d'état p(M,t) (pression) et ρ(M,t) (densité) ainsi que
�⃗(M, t) où M est la position d’un point quelconque
le champ de vitesse V
du domaine fluide et t le temps. En notant M = [x1 x2 x3]t
et �V⃗= [v1 v2 v3]t , l’application du principe fondamental de la
dynamique à un volume de contrôle élémentaire du fluide permet
d’écrire:
(3.1)
(3.2)
Les équations (3.1) et (3.2) ont été établies par Euler en 1755 et
portent le nom d'équations d’Euler. Elles sont quatre équations et
contiennent les cinq inconnues: p, ρ, v1, v2, v3.
L'équation complémentaire est l'équation d'état du fluide qui spécifie
une relation entre p et ρ.
2. L’approximation acoustique :
Posons :
(3.3)
(3.4)
(3.5)
(3.6)
𝐑𝐓
𝐂 = �𝛄 Où R est la constante des gaz parfaits, T la température et µ
𝛍
la masse molaire.
Onde acoustique plan :
C’est un cas qui se présente par exemple dans le cas d’ un long tube
excité par un piston à son extrémité. L’equation de l’acoustique se
simplifie sous la forme:
(3.7)
(3.8)
Onde sphérique:
Dns le cas d’une source acoustique admettant la symetrique, l’équation
des ondes acoustiques prend le forme:
(3.9)
Et l’intensité est:
(3.10)
Etude expérimentale :
Réalisation du montage
Il faut faire appel à l’oreille humain afin de s’assurer que la
bande [20 𝐻𝑧, 20 𝐾𝐻𝑧] appartient au domaine des fréquences
audible.
On choisira dans la suite des fréquences proches des valeurs
correspondant aux repères suivants : 2000HZ, 4000Hz, 6000Hz,
8000Hz, 10000Hz.
On mesure l’amplitude A du signal délivré par le microphone, on
n’oubliera pas de diviser le résultat lu sur l’oscilloscope par le
facteur d’amplification qui sera fixé à 600.
Tableau 1
A=A(f)
0,007
0,006
0,005
0,004
A=A(f)
0,003
0,002
0,001
0
2000 4000 6000 8000 10000
Conclusion :
D’après la courbe on constate que l’amplitude du signale délivré par le
microphone prend sa valeur maximale entre 2000Hz et 6000Hz mais
après il va diminuer immédiatement dès qu’il dépasse 6000Hz.
𝑑1 − 𝑑2
𝐶0 = 𝑐0 (𝑓 ) =
𝛿𝑡 (𝑓)
L’atténuation en (dB/m) par :
−20 𝐴2
𝛼 = 𝛼 (𝑓 ) = � � 𝑙𝑜𝑔10 � �
(𝑑2 − 𝑑1 ) 𝐴1
Tableau 2
d1 (mm)=150 ; d=d2-d1
C0(f)
450
400
350
300
250
200 C0(f)
150
100
50
0
2000 4000 6000 8000 10000
Traçage de courbe 𝜶(f)
α(f)
100
50
0
2000 4000 6000 8000 10000
-50 α(f)
-100
-150
-200
Conclusion :
D’après les deux graphes, en remarque qu’entre 0 et 6000Hz les
courbes sont opposées. Mais entre 6000Hz et 10 000Hz, en remarque
une augmentation après une diminution de courbe.