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Introduction
Enjeux
▪
Introduction
ĐƋƵŝƐŝƚŝŽŶŽƵĐĞƐƐŝŽŶƚŽƚĂůĞĚƵĐŽŶƚƌƀůĞŽƵĚ͛ƵŶĞƉĂƌƚŝĐŝƉĂƚŝŽŶŵŝŶŽƌŝƚĂŝƌĞĚ͛ƵŶĞƐŽĐŝĠƚĠ
ZĞŐƌŽƵƉĞŵĞŶƚĚ͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞƐ;ĨƵƐŝŽŶƐĂĐƋƵŝƐŝƚŝŽŶͿĞƚĂƉƉŽƌƚƉĂƌƚŝĞůĚ͛ĂĐƚŝĨ
Scission
ĐƋƵŝƐŝƚŝŽŶŽƵĐĞƐƐŝŽŶĚ͛ƵŶĚŽŵĂŝŶĞĚ͛ƵŶĞĂĐƚŝǀŝƚĠ
KĨĨƌĞWƵďůŝƋƵĞĚ͛ĐŚĂƚ;KWͿ͕KĨĨƌĞWƵďůŝƋƵĞĚ͛ĐŚĂŶŐĞ;KWͿ͕KĨĨƌĞWƵďůŝƋƵĞĚĞZĞƚƌĂŝƚ;KWZͿ͕ZĞƚƌĂŝƚKďůŝŐĂƚŽŝƌĞ
(RO)
Introduction
▪
▪
▪ (=> éviter la sous évaluation)
▪ , lors Ě͛ŽƉĠƌĂƚŝŽŶƐ de restructuration et de regroupements Ě͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞƐ
(=> préoccupation du maintien de ů͛ĞŵƉůŽŝͿ
▪ Ě͛ƵŶĞ entreprise non cotée (=> sortie du capital)
▪ et (=> donateurs, héritiers de titres de sociétés)
▪
▪ et parties prenantes de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ (=> fiabilité et pertinence des comptes)
(court, moyen,
long terme)
+
1. Travaux préalables à l’évaluation
Principes
1. DIAGNOSTIC STRATEGIQUE
2. DIAGNOSTIC FINANCIER
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1. Travaux préalables à l’évaluation
Principes
▪ A partir de cette confrontation, ů͛ĠǀĂůƵĂƚĞƵƌ estime la plus ou moins grande adaptation des compétences et ressources de
ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ aux contraintes imposées par ů͛ĞŶǀŝƌŽŶŶĞŵĞŶƚ et aux opportunités ƋƵ͛ŝů recèle
▪ Les sont les caractéristiques de toute nature requises par ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ dans un environnement déterminé
pour ƋƵ͛ĞůůĞ atteigne ses objectifs (exemple : accès aux ressources de matières premières͙)
▪ Ces travaux qui peuvent être réalisés en collaboration avec le management à partir Ě͛ et de ,
sur la société permettent à ů͛ĠǀĂůƵĂƚĞƵƌ Ě͛ĂƉƉƌĠŚĞŶĚĞƌ le contexte général Ě͛ĠůĂďŽƌĂƚŝŽŶ des prévisions Ě͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ et de résultat de
ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ figurant dans le plan Ě͛ĂĨĨĂŝƌĞƐ prévisionnel
1. Analyse stratégique
▪ Par ailleurs, la société X a une activité très saisonnière et sa date de clôture de comptes annuels correspond à la saison « creuse »
1. Analyse stratégique
▪ Après une étude approfondie, vous pensez que la provision pour litiges est surévaluée de 50%
▪ Après étude des engagements de crédit bail, vous pensez que :
✓ Le crédit bail concerne des constructions
✓ 2/3 de ů͛ĞŶŐĂŐĞŵĞŶƚ constitue le capital restant dû et 1/3 des charges Ě͛ŝŶƚĠƌġƚƐ
1. Analyse stratégique
▪ Considérons une entreprise ayant un actif économique de 100 et une rentabilité de ů͛ĂĐƚŝĨ économique après IS de 10%
▪ Considérant un taux de charges financières après IS de 5%, calculer pour chacun des cas suivants, le résultat Ě͛ĞdžƉůŽŝƚĂƚŝŽŶ
après impôt, le ROCE, le résultat net et le ROE de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ
▪ Quel constat en tirez vous ?
100 0 ? ? ? ?
75 25 ? ? ? ?
50 50 ? ? ? ?
25 75 ? ? ? ?
1. Analyse stratégique
Marge brute / CA
55%
EBIT / CA
15% - Frais de structure / CA
30%
- Amortissements / CA
10%
ROCE ROCE avant IS
20% 28,57% x
/ (1 –IS 30%)
BFR / CA
1/ 17,5%
CA / Actif
Economique Actif immo / CA
1,9 45,8%
Autres actifs et passifs
/ CA
-10,6%
1. Analyse stratégique
▪ Etude ƋƵ͛ŝů convient de compléter par ů͛ĂŶĂůLJƐĞ de la croissance du Chiffre Ě͛ĂĨĨĂŝƌĞƐ (interne, hors effet devise)
ȴ ŚŝĨĨƌĞĚ͛ĂĨĨĂŝƌĞƐ
Inflation / Déflation
générale
ȴ Prix
Inflation / Déflation
spécifique
1. Analyse stratégique
▪
✓ Comprendre le du plan Ě͛ĂĨĨĂŝƌĞƐ : outils prévisionnels à la disposition de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ͕ compréhension de
la construction des prévisions, expérience et implication du management
✓ sur plusieurs années
40 40 40 40
t1 t2 t3 t4 t5
(100)
✓ Cette durée varie avec les types Ě͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ et de secteur concernés, de la visibilité relative à ů͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ de la société à évaluer et
des cycles propres à ů͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ (5 à 7 ans pour les biens de consommation, 20 à 30 ans dans les services aux collectivités͙)
✓ Plus la durée du plan Ě͛ĂĨĨĂŝƌĞƐ est courte, plus le poids de la valeur terminale est importante dans la valeur globale de
ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ
▪
✓ Niveau normatif du BFR
▪ La Valeur Terminale représente fréquemment plus des 2/3 de la Valeur Ě͛ŶƚƌĞƉƌŝƐĞ (=> conséquence de plans Ě͛ĂĨĨĂŝƌĞƐ
courts, agressifs et de taux Ě͛ĂĐƚƵĂůŝƐĂƚŝŽŶ bas)
▪ Les hypothèses permettant de déterminer la Valeur Terminale sont un enjeu Ě͛ĠǀĂůƵĂƚŝŽŶ et de négociation majeur
3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
ඹ
▪ au terme de
ů͛ŚŽƌŝnjŽŶ explicite ou à ů͛ŝƐƐƵĞ Ě͛ƵŶĞ période
Ě͛ĞdžƚƌĂƉŽůĂƚŝŽŶ des prévisions modélisée par
ů͛ĠǀĂůƵĂƚĞƵƌ (« Cash Flow Fade »)
▪ (avec ou sans
croissance)
▪ par les évaluateurs (51%)
Flux normatif croissant à l'infini Méthode du Cash Flow Fade
Multiple de sortie Autres
✓ Le peut
dès lors être considéré comme constant
Variation du BFR (/ BFR n-1) g
✓ Le et les évoluent Taux de rotation de l'AE (% CA) égal au taux de la dernière période
parallèlement au chiffre Ě͛ĂĨĨĂŝƌĞƐ
✓ Les doivent être
aux (=> logique de non
Résultat d'exploitation
renouvellement des investissements)
(-) IS
(+) Amortissements
(-) Investissements
▪ En principe, la (-) Variation du BFR
mesurée à partir du bilan économique est
✓ le du flux normatif est proche de celui
constaté en fin de période explicite
Valeur terminale par le flux normatif
▪ à retenir est un . Pour ů͛ĞƐƚŝŵĞƌ͕ plusieurs éléments
peuvent être pris en considération :
✓ Les perspectives de croissance de ů͛ĠĐŽŶŽŵŝĞ à long terme
✓ Celles du secteur de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ à évaluer
✓ Sa croissance organique sur les dernières années
▪ Le Ŷ͛ĞƐƚ pas obligatoirement le même pour toutes les entreprises. Il convient ainsi de déterminer un taux propre à
ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ à évaluer :
Avec :
Taux d’inflation spécifique
- Taux de déflation
= Taux d’inflatio
spécifique
Taux e
▪ Cette méthode consiste à considérer que ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ ne peut atteindre un flux normatif à ů͛ŝƐƐƵĞ de la période des prévisions
disponibles, ů͛ĂƚƚĞŝŶƚĞ de cette valeur terminale Ɛ͛ĠĐŚĞůŽŶŶĂŶƚ sur plusieurs années successives au-delà de la période de prévisions
▪ De même ů͛ĠǀĂůƵĂƚĞƵƌ doit déterminer un pour les capitaux engagés, en théorie proche de la croissance du PIB
de la zone géographique Ě͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ
3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
Période couverte
Durée du plan d'affaires Cash Flow Fade par la valeur finale
à ů͛ŝƐƐƵĞ de laquelle ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ 20 30%
25%
de la « vitesse de croisière » 16
14
✓ Le (autour du PIB en 20%
▪ :
✓ Mesure directe (régression linéaire entre le cours de bourse et ů͛ŝŶĚŝĐĞ boursier)
✓ Valeurs disponibles dans de nombreuses bases de données (Datastream, Bloomberg͙)
✓ Tester la cohérence des coefficients beta par différentes sources et avec le beta moyen du secteur
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Formule simplifiée (généralement
appliquée) de calcul du beta sans dette
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3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
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3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
Le coût de la dette
▪ Le doit correspondre à ce que coûterait, dans les conditions actuelles du marché, le refinancement de
ů͛ĂĐƚŝĨ économique non couvert par les fonds propres
▪ En pratique, on peut déterminer :
✓ À partir des opportunités actuelles de refinancement de la société sur une durée homogène avec celle de ses actifs
✓ À défaut, en majorant le coût actuel des obligations Ě͛ƚĂƚ Ě͛ƵŶ spread tenant compte du différentiel de risque, pour le
prêteur, entre ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ évaluée et ů͛ƚĂƚ
Attention : en période de crise, le spread peut être atypiquement élevé
3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
La pondération Vd/Vcp
▪ >͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ vaut ů͛ĞŶƐĞŵďůĞ des flux actualisés ƋƵ͛ĞůůĞ est susceptible de rapporter dans le futur
FCF FCFE
(Free Cash Flows) (Free Cash Flows to Equity) CD
Flux de trésorerie après impôts Flux de trésorerie après impôts (Cash Flow to Debt)
mais intérêt et mais intérêt et Intérêts + remboursement de dette
remboursement de dette remboursement de dette
3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
Exemple - Enoncé
▪ Déterminer le wacc de la société X non cotée pour laquelle ů͛ĠǀĂůƵĂƚĞƵƌ a pu relever les bétas endettés de sociétés comparables
cotées sur la base de données Datastream. En tenant compte des hypothèses suivantes, calculer le wacc de la société X :
✓ Taux de corrélation du béta minimum retenu : 0,25
✓ Taux Ě͛/^ : 30%
✓ Coût de la dette avant IS : 5%
✓ Gearing (D/FP) : 20%
ß desendetté ?
ß endetté ?
Prime de risque du marché 5,00%
Taux sans risque 1,00%
Exemple - Solution
La Valeur d’Entreprise
▪ La est déterminée selon la formule suivante :
ிி
V ሻൌσ
ᇱ
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ୀଵ ሺ
ଵାௐ
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3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
✓
✓ (net Ě͛/^ si destinés à être cédés)
✓ couvrant des charges en cash non prise en compte dans les flux : certaines provisions pour risques et charges non récurrentes, si
leur décaissement Ŷ͛ĞƐƚ pas inclus dans les FCF
✓ (ne pas retenir la valeur comptable des intérêts minoritaires mais leur valeur réelle ʹ cours de bourse, DCF
spécifique͙)
✓
✓ non appréhendés à travers ů͛ƵƚŝůŝƐĂƚŝŽŶ Ě͛ƵŶ taux
effectif Ě͛ŝŵƉƀƚ dans les FCF, etc͙
▪ La et donc ů͛ĞŶĚĞƚƚĞŵĞŶƚ financier net doivent en tout état de cause être, en théorie, évalués à leur
▪ La valeur de ů͛ĞŶĚĞƚƚĞŵĞŶƚ net est théoriquement égale à la valeur actuelle des flux futurs à payer (intérêt et capital) actualisés au coût de
marché de la dette, soit au taux auquel ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ pourrait contracter dans les conditions actuelles de marché
▪ Exemple de calcul de la valeur de marché Ě͛ƵŶĞ dette obligataire au remboursement in fine de 100, à coupon annuel de 5% et au coût de marché
de la dette de 10% :
✓ Valeur de marché de la dette = 5 x (1,10)^(-1) + 5 x (1,10)^(-2) + 5 x (1,10)^(-3) +͙+ 105 x (1,10)^(-n)
▪ En généralisant cette formule, on Ɛ͛ĂƉĞƌĕŽŝƚ que plus le risque augmente, plus le taux Ě͛ŝŶƚĠƌġƚ ou Ě͛ĂĐƚƵĂůŝƐĂƚŝŽŶ appliqué à la dette augmente,
plus le risque augmente, plus ů͛ŝŵƉĂĐƚ sur la valeur de marché de la dette est important à la baisse
3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
▪ Le DCF constitue un outil précieux pour mener une négociation car il Ɛ͛ĂŐŝƚ Ě͛ƵŶĞ méthode reposant sur de multiples
hypothèses (notamment taux Ě͛ĂĐƚƵĂůŝƐĂƚŝŽŶ et données de croissance de ů͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ et taux de marge figurant dans le plan
Ě͛ĂĨĨĂŝƌĞƐͿ pouvant être discutées
3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
▪ Exercer un du management
▪ du plan Ě͛ĂĨĨĂŝƌĞƐ
▪ Les doit être calculée à partir des et non pas à la clôture des exercices. Le passage
entre le BFR à la date de ů͛ĠǀĂůƵĂƚŝŽŶ et le BFR moyen constitue un flux Ě͛ĂũƵƐƚĞŵĞŶƚ de la première période Ě͛ĞdžƚƌĂƉŽůĂƚŝŽŶ
▪ des phénomènes cycliques ou non récurrents
▪ Le ne correspond pas au CA de la dernière année, mais intègre par rapport à celui-ci, le taux de croissance à
long terme g
▪ La doit être cohérente avec la croissance à long terme du CA précisée ci-dessus. Cette variation
correspond rarement à la variation de BFR de la dernière année
▪ Le niveau des doit être cohérent avec la durée de vie économique de ů͛ŽƵƚŝů de production et
avec ů͛ŝŶƚĞŶƐŝƚĠ capitalistique à long terme de ů͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ
▪ La doit être cohérente avec les investissements normatifs (les amortissements convergent
vers les investissements, pas ů͛ŝŶǀĞƌƐĞͿ
▪ , retraiter ů͛ĞdžĐĞƉƚŝŽŶŶĞů͙ (cf. diagnostic financier)
3. Flux futurs de trésorerie actualisés (DCF)
▪ : si la société à évaluer opère dans un pays émergent, retenir le taux sans risque tel que publié (emprunts Ě͛ƚĂƚͿ
soit un taux en fonction de la notation du pays par les agences de notation DŽŽĚLJ͛Ɛ͕ S&P ou Fitch
▪ La doit être calculée sur la base de valeurs de marché
▪ Actualiser la à ů͛ĂŝĚĞ du (n) et non
pas (n+1)
▪ Ne pas chercher à utiliser des taux Ě͛ĂĐƚƵĂůŝƐĂƚŝŽŶ différenciés selon les scenarios, dès lors que le taux Ě͛ĂĐƚƵĂůŝƐĂƚŝŽŶ rémunèrera
uniquement le risque systématique
▪ Les peuvent varier selon les périodes de calcul et les bases de données : privilégier la
▪
▪
✓ : en théorie, le cours spot intègre toutes les informations disponibles au jour de ů͛ĠǀĂůƵĂƚŝŽŶ
✓ : en pratique, ne pas retenir uniquement un cours instantané mais présenter des moyennes
pondérées
✓ Le cours moyen pondéré permet de lisser la volatilité
4. Le cours de bourse
▪ A court terme, les marchés financiers peuvent être sujets à certains déséquilibres provenant de ů͛ĞŶǀŝƌŽŶŶĞŵĞŶƚ économique et
financiers
▪ >͛ĂĐƚƵĂůŝƚĠ économique récente illustre bien la volatilité des cours et ů͛ĞdžŝƐƚĞŶĐĞ de « bulles » spéculatives
4. Le cours de bourse
▪ A qui se comparer ?
▪ Quelles informations privilégier ?
▪ :
✓ Spécificités réglementaires ?
✓ Modifications intervenues sur le secteur depuis cette date ?
▪ :
✓ Rachat des actifs / des titres ?
✓ Opération amicale ? / hostile ? / alliance ?
✓ Mise en compétition / surenchère ? => risque de surévaluation
▪ :
✓ Situation financière (sauvetage) ?
✓ Obligations réglementaires (concentration sur un secteur) ?
▪ :
✓ Stratégie industrielle / financière ?
✓ Synergies anticipées ? Réalisées ?
✓ Intégration ? Diversification ? Limiter le caractère cyclique de ů͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ ?
▪ (titres ou cash) : le fait de payer en titres accroit la difficulté Ě͛ĂƉƉƌĠĐŝĂƚŝŽŶ du prix Ě͛ĂĐƋƵŝƐŝƚŝŽŶ
5. Méthode des multiples
▪
✓ Vérifier la cohérence des normes et méthodes comptables utilisées par les comparables et la société à évaluer (ex : durées
Ě͛ĂŵŽƌƚŝƐƐĞŵĞŶƚ͕ traitement de la R&D͙)
✓ Retraitement homogène avec la cible évaluée
✓ Cf. Diagnostic financier pour les principaux points Ě͛ĂƚƚĞŶƚŝŽŶ
▪ Comprendre et être en mesure de hiérarchiser les sociétés de référence par groupes homogènes
5. Méthode des multiples
Chiffre d'affaires
EBITDA
EBIT
Résultat net
Intérêts minoritaires
RNPG
na na
5. Méthode des multiples
▪
✓ Expliquer / justifier les critères de choix de multiples retenus
❖ Le est assez dans la mesure où les sont réalisés à partir des niveaux de
valorisation alors que les incluent des évaluations issues de
5. Méthode des multiples
▪ : retenir deux critères de choix plutôt ƋƵ͛ƵŶ seul et écarter les sociétés dont les caractéristiques sont trop
éloignées de ů͛ĞŶƚŝƚĠ à évaluer
▪ : privilégier les transactions (réalisées au cours des 3 dernières années) ayant porté sur une
et réalisées en (les transactions payées en titres sont plus difficiles à analyser), vérifier que le prix
de la transaction ne soit pas majoré Ě͛ƵŶĞ prime justifiée par des synergies spécifiques et ƋƵ͛ŝů ne tienne pas compte Ě͛ĂƵƚƌĞƐ
facteurs, tels ƋƵ͛ƵŶ complément de prix à venir ou au contraire Ě͛ĞŶŐĂŐĞŵĞŶƚƐ pris par ů͛ĂĐŚĞƚĞƵƌ contribuant à baisser le prix de
cession apparent
▪ Si la société à évaluer opère dans , chaque segment doit être évalué séparément en appliquant un
multiple déterminé par un
▪ Données consolidées en normes IFRS pour les sociétés cotées comparables vs référentiel comptable français pour les comptes de la
TPE ou PME à évaluer
▪ ^͛ĂƐƐƵƌĞƌ de la cohérence de ů͛ ou du résultat net Ě͛ĞdžƉůŽŝƚĂƚŝŽŶ entre la société à évaluer et les sociétés de ů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶ (=> mise
en ƈƵǀƌĞ de retraitements)
▪ Disposer de données pertinentes ce qui Ŷ͛ĞƐƚ pas le cas lorsque le
par
5. Méthode des multiples
Erreurs fréquentes
▪ Utilisation de la capitalisation boursière au lieu de la Valeur Ě͛ŶƚƌĞƉƌŝƐĞ pour calculer les multiples Ě͛/d͕ EBITDA et CA
▪ Non prise en compte de la valeur des intérêts minoritaires et des sociétés mises en équivalence
▪ Documentation insuffisante ou non fiable des transactions
▪ Confusion valeur pre money / post money lors de la prise en compte des transactions réalisées par augmentation de capital
▪ Analyse insuffisante des sociétés composant ů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶ et des déterminants de leur valorisation
▪ Moyennes arbitraires : privilégier ů͛ƵƚŝůŝƐĂƚŝŽŶ de médianes par rapport aux moyennes qui permettent Ě͛ĞdžĐůƵƌĞ les valeurs extrêmes
des multiples de ů͛ĠĐŚĂŶƚŝůůŽŶ
Comparable 1 1,82 2,00 1,54 13,22 20,98 12,48 23,95 24,11 21,04
Comparable 2 0,91 0,84 0,71 18,40 21,40 14,12 18,31 20,47 14,13
Comparable 3 1,92 2,19 1,66 26,84 22,02 12,31 36,98 38,56 19,01
Comparable 4 18,50 9,15 6,24 n/a 57,84 18,29 n/a 67,56 22,66
6. Actif Net Réévalué
Points d’attention
▪ : les actifs hors exploitation sont évalués à leur valeur vénale déterminée sur la
base de leur valeur de vente, les actifs Ě͛ĞdžƉůŽŝƚĂƚŝŽŶ sont évalués à leur valeur Ě͛ƵƚŝůŝƚĠ différente selon le contexte (cession à un
tiers͙)
▪ Pour évaluer la , Ɛ͛ŝŶƚĞƌƌŽŐĞƌ sur les possibilités pour ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ de renégocier sa dette à la date de ů͛ĠǀĂůƵĂƚŝŽŶ
▪ Dans le cas de cession de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ͕ évaluation des sur la base des prix de vente diminués des coûts de
distribution et évaluation des tenant compte des coûts restant à supporter pour leur mise sur le marché
▪ Si nécessaire, recours à un actuaire pour évaluer les ou détermination du calcul de ces derniers grâce à un logiciel
dans les PME/TPE
▪ La méthode de ů͛EZ ne donne pas une mesure satisfaisante des capitaux propres car elle ignore la valeur du fonds de
commerce non comptabilisé ou des autres actifs incorporels non reconnus au bilan (capital immatériel)
Fonds de
Valeur réelle commerce
des
fonds propres ANR
(1)
Activité A
300 Valeur de la
dette
200
6. Actif Net Réévalué
▪ , ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ vaut plus par son passé (capitaux propres réévalués) que par ses
perspectives futures de rentabilité
✓ Il convient donc dans ce cas, non pas Ě͛ŝŶǀĞƐƚŝƌ͕ mais plutôt de commencer à désinvestir, à liquider les actifs, pour obtenir une meilleure
rentabilité et une meilleure allocation des ressources
▪ (ce qui est le cas fréquent pour une activité
caractérisée par ů͛ŝŵƉŽƌƚĂŶĐĞ des actifs incorporels), ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ est alors fortement rentable et investit dans des projets dont la rentabilité est
supérieure à son coût du capital
▪ et peuvent différer tout au long du Ě͛ƵŶĞ entreprise qui a connu un certain succès
✓ A la de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ : Valeurs patrimoniales et Valeurs de rentabilité sont car ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ Ŷ͛Ă pas encore investi
✓ : les Valeurs patrimoniales peuvent diminuer en raison des pertes dues au démarrage de
ů͛ĂĐƚŝǀŝƚĠ et les seront car elles anticipent des flux de trésorerie futurs positifs liés à ů͛ĂŵĠůŝŽƌĂƚŝŽŶ de la
performance
✓ En phase de : la en raison du réinvestissement partiel ou total des bénéfices et la constitution
du fonds de commerce. Les continueront à croître et resteront
✓ En phase de : la croissance des Valeurs de rentabilité va se réduire, voire Ɛ͛ĂƌƌġƚĞƌ reflétant ainsi ů͛ĠǀŽůƵƚŝŽŶ normale des
bénéfices. En revanche, la Valeur patrimoniale continuera à croître, mais à un rythme plus ralenti, car ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ augmentera son rythme
de distribution. Au total,
✓ En phase de : les deviennent , les bénéfices de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ diminuant. La
Valeur patrimoniale continue à croître mais à un taux très faible ũƵƐƋƵ͛ă ů͛ĂƉƉĂƌŝƚŝŽŶ des premières pertes. Les Valeurs de rentabilité, sont
pour leur part, très faibles
7. Les primes et les décotes
▪ La décote de taille traduit ů͛ŝĚĠĞ que les sociétés de petite taille présenteraient un degré de risque supérieur à celui des société de grande taille et entraineraient
une exigence de rendement supérieur de la part des investisseurs
▪ La décote Ě͛ŝůůŝƋƵŝĚŝƚĠ correspond à un ajustement à la baisse de la valeur des titres Ě͛ƵŶĞ société afin de prendre en compte ů͛ĂďƐĞŶĐĞ de faculté pour
ů͛ŝŶǀĞƐƚŝƐƐĞƵƌ de vendre ses titres sans délai et en même temps sans coût
▪ Décote de taille : exposition concurrentielle plus forte pour les sociétés de petite taille, moindre diversification en termes de clients, Ě͛ĂĐƚŝǀŝƚĠƐ de présence
géographique accès restreint à certaines sources de financement et coût de financement plus élevé, ressources financières moins importantes, etc͙
▪ Décote Ě͛ŝůůŝƋƵŝĚŝƚĠ : impossibilité de vendre des titres à leur prix à un instant donné, absence de cotation, existence de restrictions de cessibilité (clauses
Ě͛ĂŐƌĠŵĞŶƚ « lock up » imposées par les banques, respect de contraintes fiscales, pacte Ě͛ĂĐƚŝŽŶŶĂŝƌĞƐ avec des clause limitant la cessibilité immédiate͙)
▪ Décote de taille :
✓ Méthode DCF : prise en compte Ě͛ƵŶĞ prime supplémentaire dans le calcul du taux Ě͛ĂĐƚƵĂůŝƐĂƚŝŽŶ
✓ Méthode des comparables boursiers : décote appliquée aux multiples dérivés Ě͛ƵŶ échantillon de sociétés comparables, si celui-ci est constitué de sociétés
de taille sensiblement plus importante que celle de la société évaluée
▪ Décote Ě͛ŝůůŝƋƵŝĚŝƚĠ : décote sur les multiples de comparables ou prime de risque supplémentaire ajoutée au taux Ě͛ĂĐƚƵĂůŝƐĂƚŝŽŶ
▪ Toutes les sociétés peuvent être concernées par la décote de taille et Ě͛ŝůůŝƋƵŝĚŝƚĠ
▪ Sur la base Ě͛ƵŶ échantillon de 78 rapports Ě͛ĞdžƉĞƌƚŝƐĞ indépendante rendus publics depuis début 2015
✓ Niveau compris entre et
▪ La pondération doit résulter de ů͛ĂŶĂůLJƐĞ préalable de ů͛ĞŶƚƌĞƉƌŝƐĞ et du bon sens de ů͛ĠǀĂůƵĂƚĞƵƌ. >͛ĂĚŵŝŶŝƐƚƌĂƚŝŽŶ fiscale
fournit tout de même un tableau de pondération à titre indicatif
▪ « Financecontrôleau quotidien», Laurent Cappelletti et Christian Hoarau, Dunod
▪ « Financed’entreprise
», Pierre Vernimmen, Pascal Quiry, Yann Le Fur, Dalloz
▪ Conférence IMA du 14/4/2015, « L’évaluation
danstoussesétats»
▪ « Missiond’évaluation,
Guidepratique», édition 2012, Ordre des experts comptables
▪ « Guide de l’évaluation
des entrepriseset des titres de sociétés», Direction générale des finances publiques
novembre 2006
▪ « Lespiègesde l’évaluation
d’entreprise
», Edouard Camblain, Vuibert
▪ « Théorieet pratique de l’évaluation
d’entreprise
», Franck Bancel, Usha R. Mittoo, Analyse financière n°48, sept.
2013
▪ « Primeset décotesdansle cadredesévaluationsfinancières», Société Française des Evaluateurs (SFEV), 2018