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réalisé par :
Mr. ……………….
AVANT-PROPOS
Dans un monde qui change vite, porteur d’exigences de plus en plus fortes notamment venant
des clients, toutes entreprises se doivent de se réinventer en continu, d’améliorer ses
performances, en un mot de créer de la valeur. Le processus du régime d’amélioration repose
fondamentalement sur des compétences et une équipe motivée.
Ainsi, le régime d’amélioration est hissé d’une philosophie basée sur l’affirmation selon
laquelle, sous certaine conditions, l’espèce humaine est animée d’un désir instinctif de progrès, et
où chacun a conscience de sa part de responsabilité dans le résultat collectif final.
Essentiellement, ‘LEAN’ est centrée sur la préservation de la valeur avec moins de travail.
travail
C’est une philosophie de gestion provenant principalement de la Toyota Production System (TPS),
(
qui est réputé pour son accent sur la réduction des sept déchets de TOYOTA pour améliorer la
valeur globale de la clientèle,, mais il ya divers points de vue sur la façon dont on y parviendra
mieux. La croissance régulière de Toyota, qui était une petite entreprise et qui a parvenue a être
parmi les plus grands constructeurs
constructeur d’automobile dans le monde, a attiré l'attention sur la façon
dont elle a atteint cet importance.
importance
Lean manufacturing est une variation du thème de l'efficacité basée sur l'optimisation des
flux, c'est un exemple d’aujourd'hui
aujourd'hui du thème de récurrence dans l'histoire humaine vers
l’augmentation de l'efficacité, diminution
diminu des déchets, et en utilisant des méthodes empiriques
pour décider ce qui importe le plus, plutôt que d'accepter sans critique préalable des idées
existantes. Lean manufacturing est souvent considérée comme une version plus raffinée des
efforts d’efficacité antérieure,, en s'appuyant sur le travail des dirigeants antérieurs, tels que Taylor
ou Ford, et apprendre de leurs erreurs.
erreurs
Remerciements
Notre sujet de stage a été abouti, mais il ne le serait sans les conseils éminents et les
encouragements inépuisables de
d notre encadrant professeur ABDELLAH EL BERKANY ainsi
qu’au personnel de SNOP TANGER,
TANGER donc il apparait opportun de commencer ce rapport
r de stage
par des remerciements, à ceux qui nous ont beaucoup appris au cours de ce stage, et même à ceux
qui ont eu la gentillesse de faire de ce stage un moment très profitable.
Sans oublier d’allouer nos expressions de considération à tous ceux qui ont participé de prêt
ou de loin à l’élaboration de ce travail et à rendre notre stage de fin d’études si riche et fructueux.
Nos remerciements et nos considérations, les plus sincères, vont aussi à tout le corps
professoral la filière : conception mécanique
mécanique et innovation. Et on espère que nos honorables
Professeurs trouveront aussi l’expression de nos respects et nos reconnaissances dans l’ensemble
de ce travail.
Remerciements……………………………………………………………
…………………………………………………...……………..
……………..……..3
Résumé……………………………………………………………
………………………………………………………………………………………..
…………………………..…11
Abstract……………………………………..
……………………....………………………………………………
………………………………………………….12
Introduction générale…………………………………………………………………………...13
générale…………………………………………………………………………
Chapitre 1 : Présentation
résentation d’organisme d’accueil………..………………………
d’accueil…… …………………………....………16
Bibliographie………………………………………………………………………………….…
…………………………………………………………………………….…
…………………………………………………………………………….…85
Annexe1………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………….87
Annexe2…...……………………………………………………………………………………
…...……………………………………………………………………………………
…...……………………………………………………………………………………..92
Annexe3…………………………….………………
……………….………………………..…………………………………
…………………………………..93
Résumé
Abstract
Introduction générale
Les Techniques de changement rapide de fabrication suscitent depuis quelque temps un intérêt
considérable, la raison donc tient à l'obligation pour les entreprises de s'adapter à des marchés
toujours plus diversifiés, sur lesquels la réussite tient à l'existence de réactions rapides. Si les
machines demandent plusieurs heures pour passer d'un modèle à un autre, la production ne peut se
faire que par série longue. Il en résulte des stocks d'en-cours
d'en élevés,
vés, et le programme de
production ne peut répondre exactement à la demande commerciale.
L'expérience de très nombreuses entreprises, démontre qu'il est possible de réduire très
fortement les temps de changement de fabrication. Pour un tel succès on doit disposer d'une
méthode d'analyse efficace, et organiser le projet sous forme d'un travail d’équipe impliquant les
techniciens des machines, les agents des méthodes, les opérateurs, les agents de maîtrise et
l'ensemble de ceux qui connaissent le mieux le problème.
pro
Dans l’entreprise industrielle, l’indispensable progrès peut être accompli grâce à l’amélioration
continue, qui se base sur l’effort individuel et collectif et permet la recherche d’aménagements peu
coûteux dont l’accumulation conduit à des résultats
résulta appréciables au fil du temps.
C’est dans ce cadre que s’inscrit le présent travail qui traite la réduction du temps de
changement d’outils au niveau des presses BALCONI. Ce travail portera sur quatre axes
principaux débutant par une présentation de l’entreprise qui traite la description de l’entreprise
d’origine SNOP mondial, puis celle d’accueil : SNOP Tanger, ainsi que son processus
pr général de
fabrication, ensuite on détaillera le processus d’emboutissage dans le deuxième chapitre en
analysant le principe
rincipe détaillé de ce procédé de fabrication ainsi que la description du secteur
d’étude, puis dans le troisième chapitre on donnera une historique
h et une définition approfondie de
laa méthode SMED pour enfin passer ,dans le dernier chapitre, à la procédure
procédur d’application de la
méthode SMED sur les presses BALCONI qui portera sur tout le travail effectué lors de notre
stage.
1- Contexte
En préambule, on tient à préciser que compte tenu du fait que l’usine n’a démarré qu’en juin
dernier, l’entreprise ne disposait guère de documentation préétablie. De ce fait, un travail de fond
considérable a été déployé afin de récolter les informations auprès
auprès des différents départements.
Cette première partie a comme principal objectif de mettre en lumière quelques détails
concernant notre projet de fin d'études qui s’intitule « Application
pplication de la méthode SMED sur les
presses BALCONI " et qui se déroulera en trois grandes étapes :
Etape n°1 : Familiarisation
on avec le secteur d’emboutissage ;
Etape n°2 : Formation
ormation sur la méthode SMED ;
Etape n°3 : La mise en œuvre de la méthode SMED sur les presses BALCONI :
• Elaboration
laboration d’un standard
st des changements de série ;
• Analyse
nalyse des changements chronométrés
chronomé ;
• Mise en place des
de actions correctives et préventives.
2- Intérêt du projet
Le SMED est une méthode efficace, basée uniquement sur les pratiques existantes pour le
changement de fabrication. Dans la plupart des cas, il est possible d’obtenir des temps de
changement de fabrication inférieurs à 42 minutes, alors qu’ils prenaient auparavant plusieurs
heures. Le temps d’arrêt des machines et la taille des lots sont ainsi réduits. Les délais clients
peuventt alors être respectés. Une telle restructuration induit des coûts moins élevés à terme,
compte tenu du gain de productivité.
Chapitre 1
Présentation de
l’entreprise
Dans
ans un contexte de rude compétitivité et d’innovation quasi permanente, le groupe FSD
(Financière SNOP-Dunois) a su s’imposer comme leader européen de la fabrication de
composants métalliques pour l’industrie automobile.
Cette performance découle d’une constante
co évolution :
S’appuyant sur les compétences des équipes de sa filiale SNOP (Société Noiséenne
d'Outillage de Presse) en matière de découpage et
et d'emboutissage de pièces métalliques, le groupe
a renforcé sa position de leader européen par l’intégration de SMOM (Société de Mécanique et
d’Outillage Mothaise).
SNOP : est parmi les leaders européen de la fabrication de composants métalliques pour l'industrie
automobile ces
es principaux secteurs d'activité sont :
- la caisse en blanc ;
- les pièces d’organes mécaniques ;
- les pièces de sièges et dee sécurité passive.
Le groupe FSD a réalisé, durant les cinq premiers mois de 2011, un chiffre d'affaire de 678
millions d'euros. Il emploie 4.200 personnes réparties sur 26 usines dans huit pays (France,
Espagne, République Tchèque, Grande-Bretagne,
Grande Bretagne, Italie, Turquie, Maroc et Chine).
Figure 1.3
1. : Carte de localisation des sites de groupe
D’autre part SNOP Tanger est Etalée sur une superficie de plus de 5 ha dont 1 000 m2 dédiés
aux services administratifss et équipements sociaux pour la personne, c’est la première
implantation du groupe FSD sur le continent africain, qui a nécessité un financement de 300
millions de DH.
Cet investissement vise notamment à accompagner le nouveau projet de l'usine Renault de
Melloussa (Tanger) et à répondre également à une volonté d'accompagnement des marchés
émergeants de laa zone méditerranéenne.
L’équipement de haute
haute
haute technologie est composé, entre autres, de quatre presses
pre dont deux de
1 200 tonnes, une presse de 630T et une autre de 315T, 15 robots d’assemblage, des robots de
mesure dimensionnelle et d’une dizaine de presses de soudure. La direction du site estime la
consommation annuelle à 21 000 tonnes de tôles d’acier en bobines à terme. Les bobines qui
arrivent par camions sont introduites dans un dérouleur qui aboutit aux presses dans lesquelles
sont réalisées jusqu’à huit opérations de traçage,
tr de pressage et de découpage,
découpage son organigramme
suit l’hiérarchie suivante :
Directeur
général
Tajdinne
BENNIS
Figure 1.5
1. : Organigramme de l’organisme d’accueil
Ilots robotisés.
3-profilage : Le profilage à froid est la fabrication d’une section en acier au départ d’un feuillard.
La mise en forme du profil se fait en plusieurs étapes successives.
Le feuillard est déroulé et entrainé entre les galets supérieurs et inférieurs des stations de
formage successives, jusqu’à obtention de la section demandée. En amont du profilage, des unités
de perforations offrent la possibilité de faire des trous et des découpes. En aval, le profil est coupé
à la longueur souhaitée. L’intégration
intégration de ces opérations en ligne signifie un avantage en coût de
production.
Par sa nature, le profilage est un procédé permettant des tolérances constantes aussi bien pour
des aciers lourds que minces. Les sections formées à froid sont réalisées de façon économique à
partir d’une gamme d’acier presque illimitée: pré peint, inoxydable, phosphaté, pré galvanisé,
cuivre, aluminium,… etc.
Chapitre 2
Processus
d’emboutissage
2.1 L’emboutissage
L’emboutissage est un procédé de mise en forme très utilisé dans l’industrie, permettant
d’obtenir des pièces de surface non développable à partir de feuilles de tôle mince, montées sur
presse. La tôle appelée « flan », est la matière brute qui n’a pas encore été emboutie. L’opération
peut être réalisée avec ou sans serre flan pour maintenir le flan contre la matrice pendant que le
poinçon déforme la feuille.
Cette
ette technique consiste à former une pièce à température ambiante. Elle est principalement
utilisée sur un outillage avec serre-flan
serre mais peut aussi l’être sur un outillage sans serre flan dans
le cas où les emboutis sont peu profonds ou s’ils nécessitent peu d’effort de serrage.
Ce type de formage permet d’obtenir une meilleure précision dimensionnelle, limite les coûts
et évite la formation d’oxyde.
Principalement utilisé sur presses hydrauliques simple ou double effet, le formage de fonds
de réservoir en acier est le plus important domaine d’application.
• Phase 2 : le serre-flan
flan est descendu et vient appliquer une pression bien déterminée, afin de
maintenir la tôle tout en lui permettant de fluer.
• un serre flan entoure le poinçon, s’applique contre le pourtour de la matrice et sert à coincer la
tôle pendant l’application du poinçon.
2.1.3.1 Les
es avantages de l’emboutissage
-L’emboutissage
L’emboutissage est un procédé permettant d’obtenir des pièces de surface non développable à
partir de feuilles de tôle mince. C’est à dire qu’il est possible d’obtenir des formes très variées
impossible à obtenir avec un tour ou une fraiseuse.
- L’état surface d’une pièce brute d’emboutissage est nettement meilleur que celui d’une pièce
coulée. L’esthétique des pièces embouties en est donc bien supérieure et les travaux de finition tel
que le polissage sont moins lourds à gérer et surtout moins coûteux.
- Cette technique de mise en œuvre offre un bas prix de revient et permet des cadences de
production très élevées :
-100
100 à 200 pièces par heure pour des pièces de gros volumes (carrosserie automobile)
-3000 à 4000 pièces par heure pour des petites pièces (renfort, capuchon de réservoir).
-Les
Les zones d’étirement subissent un amincissement (qui doit rester limité pour éviter la rupture) et
les zones de rétreint (compression) subissent une combinaison d’épaississement et de plissement.
-Le
Le retour élastique, lorsque le poinçon se retire après la phase de mise en forme, la pièce ainsi
formée n’est plus soumise à la force de maintien. Il se produit alors un retrait de la matière. Afin
d'atténuer ce phénomène, il est courant de recourir à certains artifices tels que la frappe du rayon,
l'étirage en fin de gamme ou le maintien prolongé du poinçon.
-L’entrée
L’entrée de la matrice doit être très arrondie et polie pour éviter toute déchirure du métal et pour
optimiser le comportement des zones de retreint.
-Pour
Pour obtenir des pièces précises
précise il est nécessaire d’utiliser des logiciels permettant de simuler les
retours élastiques de la pièce.
-Le
Le temps de préparation est important.
2.1.4 L’utilisation
on de l’emboutissage
-L’emboutissage
L’emboutissage est un procédé très largement utilisé dans la ferblanterie, l’industrie automobile
pour les éléments de carrosserie mais aussi dans le domaine des appareils électroménagers du
sanitaire et de l’emballage : lavabos métalliques,
métalliques, bacs de couches, boîtes de boisson, conserves,…
- Pour les emboutissages peu profonds, les moules sont alimentés par du feuillard en ruban alors
que les moules en bloc sont alimentés par des disques ou des découpes de formes différentes.
2.2 Présentation
ion générale du secteur d’étude
2.2.1.1 Le dérouleur
Principe
Le dérouleur a pour but de supporter le rouleau et permet de dérouler la matière en fonction des
besoins.
Il est composé d’un mandrin qui assure le serrage et la rotation de la matière + tous les éléments
de sécurité :
Bras presseur
Bêche
Enceinte péri-métrique
métrique
Suivant les modèles de dérouleurs, ils peuvent être équipés d’une table de chargement matière.
Mise en place des béquilles quelque soit le système de chargement pour éviter la chute
des bobines (transport sur table).
Décerclage matière :
Mettre en place le système (oreilles ou rouleaux) permettant de maintenir en place la matière sur le
mandrin.
Le bras presseur peut redresser en partie la spire pour permettre une meilleure approche du
redresseur.
Fermer les rouleaux d’entraînement du redresseur pour maintenir la matière.
Remettre les organes de maintien matière dans leurs positions initiales.
initiales.
Régler le frein, qui doit permettre le déroulement de la matière sans trop de résistance et
empêcher la bobine de se dévider seule.
Récupérer les étiquettes de traçabilité et les mettre au poste de travail.
Recerclage matière :
⊗ Descendre le bras presseur en contact avec la matière, avant que celle ci ne soit
échappée les rouleaux du redresseur.
⊗ Ouvrir tous les rouleaux du redresseur.
⊗ Faire tourner le mandrin en arrière et amener le début de la bande au plus prés du
galet du bras presseur.
⊗ Passer le feuillard de cerclage sur le Ø extérieur dans l’axe de la bobine (gorge
dans le galet) ou suivant format matière mettre 2 cerclages sur Ø extérieur
(éventuellement doubler le cerclage en passant par l’axe de la bobine
bob pour tenir le
bord de la première spire, ép. > 3 mm).
⊗ Procéder à l’opération de déchargement.
2.2.1.2 Redresseur
Principe
Son rôle est de rendre la bande la plus rectiligne possible en agissant sur divers réglage, le
redressage est lié aux besoins de l’outil qui est monté sous presse :Il est composé de rouleaux
d’entraînement matière et de rouleaux de redressage, suivant le type de redresseur il peut être
équipé d’un bras presseur et d’une bêche.
Réglage
• La pression sur les rouleaux d’entraînement doit-être
doit être réglée au minimum en fonction :
-du
du réglage du frein du dérouleur
-du poids de la bobine.
• Il existe des abaques sur les redresseurs qui peuvent
peuvent donner des indications de réglage
suivant l’épaisseur matière.
tière.
6 +4 +5 +6
5 +3 +4 +5
4 +2 +3 +4
3 +1 +2 +3
2 0 +1 +2
Ep. Tôle Rouleau N°1 Rouleau N°2 Rouleau N°3
• Sur les formats matières en petite épaisseur, il est parfois nécessaire de libérer le serrage des
rouleaux d ’entraînements côté sortie ou entrée du redresseur pour éviter la « tôle ondulée »
sur une ou deux rives.
ARABI Faiçal et RETAL Mohamed Page 32
Application de la méthode SMED sur les presses BALCONI
2.2.1.3Boucle
Principe
• L’avance de la bande est effectuée par l’intermédiaire d’une information donnée par la
hauteur de boucle, soit mécaniquement par levier, soit électroniquement par cellules
photoélectriques.
• La boucle peut être au dessus du niveau du sol ou au dessous à l’intérieure d’une fausse
(problèmes de distance entre les organes de la ligne automatique + problèmes d’épaisseur
matière).
Réglage
2.2.1.4 Amenage
Principe
• Il commande l’avance de la bande, d’une valeur propre à chaque outillage appelé « PAS ».
Réglage
2.2.1.6 la presse
Le bâti facilite le montage des outils (accessible sur trois côtés) et dispose des caractéristique
suivantes :
2.2.1.6.1.1Presses à arcades :
Ils Assurent un maximum de rigidité, ainsi que leur effort de réaction directement supporté
par les montants.
Ils ont un allongement rectiligne suite à l’effort permettant de conserver le parallélisme entre
la table et le coulisseau.
Notre secteur d’étude dispose de 3 types de presses BALCONI qui est : Une presse 315T, une
630T et deux autres 1200T
Principe
2.2.2 Mécanisme
écanisme de mise en marche
2.2.2.1 Vilebrequin
C’est une pièce mécanique qui transforme le mouvement circulaire en mouvement alternatif.
Maneton
B’
B
C Porté palière
Joue
A’
A
2.2.2.2 Bielles
Ils assurent la relation entre les bielles et le coulisseau par l’intermédiaire du système de
surcharge, ainsi ils permettent le réglage
régla de la position du coulisseau, ces es vis sont commandées
simultanément par un système moto réducteur.
réducteur
2.2.2.4 Coulisseau
C’est la partie mobile montée sur glissières et attelée aux vis de réglage.
Pour obtenir un fonctionnement correct, il faut que l’ensemble soit synchronisé et que chaque
c
opération soit effectuée :
• A un moment précis
• Du « PAS » de l’outil
Chapitre 3
Concept et
définitions de La
méthode SMED
3.1 Introduction
Jusqu’aux années 60, la gestion de production n’a pas vraiment fait l’objet d’études ou
d’analyses approfondies car l’atelier de production était considéré comme un secteur secondaire,
les sujets majeurs de préoccupations étaient alors d’avantage
d avantage centrés sur l’informatisation qui
commençait à se développer dans les entreprises et sur les structures de management.
Cependant, à l’heure actuelle, dans un contexte de forte compétitivité entre les entreprises et
de course à la production,
n, de plus en plus d’industries tentent de concentrer leurs objectifs de
croissance sur une amélioration, voire même une optimisation de leur système de production.
Ainsi, la recherche d’une meilleure productivité industrielle reste la principale préoccupation
préoccupa de la
plupart des entreprises avec, désormais, des priorités bien connues : réduction des temps de cycle
de production, flexibilité face aux aléas, maîtrise des coûts, qualité totale…
Pour réduire significativement les temps de mise en route, donc pour réduire les coûts et
accroître la flexibilité de production, les responsables production ont donné naissance à la
méthode SMED.
Une des premières entreprises à réagir lors de la crise qui suivit le choc pétrolier fut Toyota.
M. Ohno, qui devait devenir le directeur technique de Toyota, expliquait que « lorsque l’entreprise
s’est retrouvée avec ses parkings pleins de voitures invendues, il a fallu faire quelque chose et ce
quelque chose, qui a pris des années pour se constituer en une doctrine cohérente, est la base de
toutes les organisations
ations modernes : on l’appelle le JUSTE-A-TEMPS » (Pimor 2003).
A traverss tout le concept Juste à Temps, l'entreprise se tourne vers les besoins précis de sa
clientèle. Il ne s'agit alors plus de favoriser les économies
économies d'échelles par des volumes de
production surdimensionnés, puis de vendre ce qui a été fabriqué et stocké, mais de produire la
quantité réellement désirée, avec un objectif principal qui est la réduction des coûts de production.
Cette démarche passe par une élimination systématique des stocks et des en-cours
en de production
avec des méthodes de gestion développées en grande partie au Japon, comme le kanban par
exemple.
Plusieurs facteurs poussent les entreprises actuelles désireuses d'être compétitives à adopter
une réduction massive des stocks et des en-cours
en de production. Il s’agit : d’une concurrence qui
s'accroît par une multiplication des échanges régionaux, nationaux et internationaux, des produits
avec des cycles de vie de plus en plus courts, des
des besoins de plus en plus restrictifs qui nécessitent
sans cesse un accroissement de la différenciation. En effet, l'amélioration continue de l'ensemble
du système de production dans l'attente d'une productivité globale optimale est une obligation face
à laquelle ces entreprises
rises ne peuvent pas déroger.
Dès lors, il est d'une grande importance de prendre en compte l'ensemble de ces facteurs et de
trouver un moyen d'articuler l'entreprise autour de ces contraintes très divergentes. La question qui
se pose est
st la suivante : Comment traduire au mieux, par une organisation de la logistique
adéquate, le nombre toujours plus élevé de références dans un temps de réponse continuellement
plus faible ?
Cette démarche d'organisation de la production, a pour objectif de réduire les coûts et les
délais, d'améliorer la qualité en utilisant des techniques de productions à flux tendus, c'est à dire
sans attente ni stock.
Ces objectifs sont difficiles à atteindre car il faut éliminer complètement les encours mais ils
proposent un but qui pousse à la rationalisation.. Les japonais ont montré que la réduction des
stocks et des délais crée un environnement favorable à la baisse des coûts, à associer à l'exigence
de la qualité de production.
La méthode JAT
T vise essentiellement quatre résultats :
Dès lors, l’école de Toyota a dû inventer le TQC (Total Quality Control), en vue de vérifier en
permanence les caractéristiques de ce qu’on produit.
Lorsque les dirigeants d'une entreprise décident de s'engager dans une démarche JAT, ils
doivent être conscients que les approches ne fonctionnent que si les processus ont d'abord été
analysés et que les activités sans valeur ajoutée ont été éliminées.
• La surproduction ;
• Le transport et la manutention ;
• Les transformations inutiles du produit ;
• Les stocks de surplus ;
• Les mouvements inutiles ;
• Les défauts de fabrication ;
• Les attentes.
Les attentes intolérables sont les arrêts dus à des défaillances d'équipements
d'équipement ou aux
changements de séries.
3.2.1 KAIZEN
KAI Changer
ZEN Bien
(pour le meilleur)
K A I Z E N = Amélioration Continue
Le mot kaizen (改善) est la fusion des deux mots japonais kai et zen qui signifient
respectivement « changement » et « bon ». La traduction française courante est « amélioration
continue ». En fait, par extension, on veut signifier « analyser pour rendre meilleur », c'est le nom
d'une méthode de gestion de la qualité.
qualité
Le kaizen est un processus d'améliorations concrètes, simples et peu onéreuses réalisées dans
un laps de temps très court. Mais le kaizen est tout d'abord un état d'esprit qui nécessite
l'implication
ation de tous les acteurs.
Démarche :
Cette démarche japonaise repose sur des petites améliorations faites au quotidien,
constamment, c’est une démarche graduelle et douce, qui s'oppose au concept plus occidental de
réforme brutale du type « on jette le tout et on recommence à neuf » ou de l'innovation, qui est
souvent le résultat d'un processus de réingénierie.. En revanche, le kaizen tend à inciter chaque
travailleur à réfléchir sur son lieu de travail et à proposer des améliorations. Donc contrairement à
l'innovation, le kaizen ne demande pas beaucoup d'investissements financiers, mais une forte
motivation de la part de tous les employés.
En conséquence, plus qu'une technique de management, le kaizen est une philosophie, une
mentalité devant être déployée à tous les niveaux de l'entreprise. La bonne mise
mis en œuvre de ce
principe passe notamment par :
3.2.2Méthode
Méthode des 5S
Les 5 S est
st une méthode d’organisation fondée sur 5 mots japonais dont la 1ère lettre commence
par un S : Seiri, Seiton, Seiso, Seiketsu et Shitsuke.
1) Eliminer ;
2) Ranger ;
3) Nettoyer et inspecter ;
4) Standardiser ;
5) Respecter ce standard, faire respecter et progresser.
Elle peut se résumer ainsi :
- Nous débarrassons les choses inutiles sur notre poste de travail ou dans une pièce de notre
maison ou de notre appartement,
- Nous le/ la rangeons,
3.3Définition
Définition de la méthode Smed
Il s'agit d'une méthodologie venant du JAPON dont Monsieur SHIGEO SHINGO est le
précurseur, qui
ui a découvert en 1950 à l'usine MAZDA à HIROSHIMA des phénomènes d'arrêts
liés aux changements de séries sur 3 presses de 350 - 750 - 800 tonnes
onnes qui travaillaient 24h/24h,
donc il a essayer de trouver une stratégie pour augmenter la production différente de la méthode
ordinaire liée a l’investissement.
PATRIGNIANI préconisaient de ne fabriquer chaque jour que ce qui serait monté le lendemain.
Les avantages découlant de ce principe étaient
é nombreux et en particulier :
Mais comme les contraintes actuelles n'existaient pas, personne n'a donné suite.
3.3.2 Définition
éfinition générale de SMED
L’abréviation SMED veut dire : single minute exchange of die qui signifie :
S M:Single Minute:
Une seule unité de temps, c'est à dire moins de 10 minutes.
E : Exchange :
Changement.
D : Die :
Outil (outillage).
Le SMED est une méthode d’organisation qui cherche à réduire de façon systématique le
temps de changement de série, avec un objectif quantifié, (norme AFNOR NF X50-310).
X50
Cette méthode consiste à changer l’outil en un temps exprimé par un nombre constitué d’un seul
chiffre en termes de minutes.
Elle est utilisée dans le cadre de changements de fabrication. Elle a pour objectif de réduire
ces temps, et permettre ainsi de réduire la taille de lot minimale. En effet, si les temps de
changement de série deviennent nuls, on peut
peut alors engager une fabrication à l'unité sans
augmenter les coûts.
Lors d'un changement de fabrication, la partie mise en train (MET) peut représenter une part
importante dans la fabrication. Et la partie mise en train n'est pas productive. Le but est de
diminuer ce temps consacré au réglage, afin d'obtenir des changements d'outils rapides ou des
réglages instantanés.
C’est une méthode qui, par une rationalisation du temps entre la dernière pièce bonne de la
production N et la première pièce bonne de la production
pr N+1
Pourtant, cette condition essentielle ne figure que rarement parmi les objectifs
objecti prioritaires des
entreprises, parce que les temps de changements de fabrication sont généralement
généraleme mal connus, le
plus souvent sous-estimés,
estimés, rarement analysés et contrôlés. Parce qu'ils sont perçus comme étant
pratiquement incompressibles, car leur
leur coût doit être réparti sur un nombre maximum
ma de pièces,
donc pour optimiser les couts de production il faut calculer la quantité économique de lancement.
lancement
Et d’autre part,, parce que la majorité des entreprises croient que cela signifie investir
massivement
sivement pour automatiser avec un résultat incertain.
Mais ce qu’on remarque le plus au sein des entreprises,
entreprises c’est que l'on cherche à augmenter la
productivité par l’amélioration de la production par l'étude des postes de travail:
manutention
temps total Temps total
controles
aléas
retard production
production
changement de
référence
attentes
Figure 3.3
3. : Les composants d’un cycle de fabrication
Les attentes : On peut les réduire très sensiblement par la réduction de la taille des lots.
Les changements de références : On doit les traiter et les analyser comme un poste de travail
pour les réduire au strict minimum.
Mais l’idéal reste de menerr des actions permettant de minimiser ce changement de référence
pénalisant c’est l’application de SMED qui a comme principe d’analyser
nalyser d’une façon générale la
situation
tion actuelle dans l'entreprise ce qui nous permettra de:
1°)
2°) Relever toutes les informations concernant les opérations liées à ce changement
changement :
• chronologie,
e, durées, aléas, contraintes …
• Et cela pour nous permettre de connaître la réalité des faits et non pas de se fier à des
opinions préconçues.
3°) Dissocier les opérations qui, dans l'état actuel de la technique, arrêtent obligatoirement
obligatoirem la
production c’est ce qu’on
on appelle les tâches internes.
Donc le but principale de cette méthode sera la transformation maximum de taches internes
(Tâche
Tâche qui doit être effectuée obligatoirement quand la machine est arrêtée)en
arrêtée) taches externes
(Tâche
Tâche qui peut être exécutée quand la machine est en marche).
marche)
4-rationnalisation
rationnalisation
3-conversion
2-séparation
1-identification
identification
2- Séparation des taches internes et externes : Le pas le plus important vers l'application du
S.M.E.D est de pouvoir distinguer entre les taches internes et les taches externes.
externes
Tout le monde admettra que la préparation de pièces, l'entretien, le remplissage des fiches...,
fiches
Nee devraient pas avoir lieu arrêté.
Néanmoins, il est absolument renversant de constater que
que c’est souvent le cas.
Si, en revanche, nous faisons un effort scientifique pour faire le plus possible de tâches de
façon EXTERNE,, il en résultera que le temps nécessaire aux taches INTERNE pourra être
réduit.
3- Conversion des taches internes en taches externes
ext : Cette
ette réduction qui pourra atteindre la
moitié du temps juste par la séparation des tâches internes et externes n'est pas encore
suffisante pour atteindre les objectifs du S.M.E.D.
Cette phase fait appel à deux notions importantes:
importantes
LA REEXAMINATION DES OPERATIONS : Pour découvrir si des tâches n'ont pas été
classées internes par erreur.
LA RECHERCHE DE SOLUTIONS : Pour convertir ces tâches internes en externes.
Des opérations qui ont lieu maintenant en interne peuvent souvent être converties en externe
en réexaminant leur fonction réelle.
Donc on pourra englober tous ces paramètres dans un ensemble d’étapes qui nous résument la
méthode :
Information de l’ensemble du
personnel
Généralisation des
améliorations obtenues
En outre, un atout majeur du SMED est qu'il exige une bonne communication entre les
différents départements de l'entreprise. S'il s'agit par exemple de modifier l'outillage pour réduire
les temps de changement de fabrication, il sera nécessaire d'impliquer le bureau technique, mais
aussi le service qualité et si possible un membre de l'encadrement supérieur. Plus l'équipe
impliquée est pluridisciplinaire, plus les résultats de son travail seront performants.
performants.
La mise en place du SMED est onéreuse. En effet, il en découle des coûts internes
difficilement quantifiables, qu’il s’agisse de la main d’œuvre impliquée ou des gains de
productivité réalisés. Cependant, vu les gains obtenus en terme de productivité,
productivi les dirigeants
d’entreprises estiment que c’est une démarche qui mérite d’être mise en place. Tel est le cas de
Nicolas Yatzimirsky, directeur industriel de Saint-Gobain
Saint Is over pour l’Europe de
l’Ouest : « Nous sommes tous là pour avancer. Quant aux investissements
investissements réalisés depuis la mise
en place de la démarche, ils ont permis des progrès difficilement quantifiables, mais que nous
n’aurions objectivement pas atteints sans elle ».
Les gains par le SMED sont souvent spectaculaires mais il est important de connaître les
pièges à éviter.
Dégager du temps utile pour une machine ou un processus améliore son rendement, mais peut
dans bien des cas retarder ou même rendre inutile des investissements capacitaires.
Suivre les quatre phases et enregistrer les progrès à chacune d'elle, puis reprendre la même
démarche avec un objectif plus ambitieux et réitérer jusqu'à ce que les efforts à fournir deviennent
prohibitifs par rapport aux gains escomptés.
Il ne faut pas penser que le principe du SMED n'est applicable qu'à l'industrie, aux machines et
ateliers automatisés. Les notions de changement rapide d'outil, de série ou de lot sont confondues.
Les changements de fabrication sur une ligne d'assemblage manuel, où il faut ré-agencer
ré les
postes, remplacer les outillages et gabarits spécifiques obéissent aux mêmes impératifs
impératif et la
méthode est parfaitement applicable. On peut appliquer le SMED dans une boulangerie, au
moulage plastique et pourquoi pas dans un bureau ?
Il semble néanmoins important, avant de d'engager la démarche SMED et afin d'en assurer le
succès, de prévenir
ir du "piège", dans
dans un environnement industriel, les points d'amélioration
potentiels sont nombreux. On pourrait même améliorer indéfiniment. Or le temps, les moyens
techniques, financiers et humains sont toujours limités. Se jeter sur le SMED et vouloir l'appliquer
l
partout, sans réflexion préalable est "dangereux". Il convient en effet de distinguer dans le procès
les postes ou machines qui méritent le SMED.
Vouloir en faire trop est un piège. Une démarche SMED ne doit pas avoir pour but d'établir
une performance
ormance pour la performance, mais doit contribuer à générer plus de profits pour
l'entreprise.
5 axes de progrès :
• la préparation ;
• la suppression ou simplification ou conversion des opérations de réglages ;
• la rationalisation des moyens ;
• la standardisation des machines et outils ;
• la synchronisation des tâches ;
• Observer ;
• Organiser ;
• Mettre en place et s’entraîner ;
• Améliorer ;
• Standardiser.
Les incontournables
• Check-list,
list, modes opératoires ;
• Validations sur le terrain ;
• Mise en œuvre d’idées d’améliorations simples ;
• Etat d’esprit KAIZEN ;
• L’implication et la participation de tous ;
• Les 5S.
Pour réduire le temps de réglage, on peut remplacer une rondelle fermée par une rondelle en
U. Ce remplacement élimine lee besoin de démonter complètement l’écrou du boulon sur lequel il
est vissé. En effet on relâche légèrement l’écrou et on glisse une rondelle en U sous l’écrou, puis
on revisse. Ainsi en plus de réduire le temps de montage, on élimine le risque de laisser tomber
l’écrou, de le perdre, et d’aller en chercher un autre.
Chapitre 4
MISE EN ŒUVRE DE
SMED SUR LES
PRESSES BALCONI
4.1 Problématique
Le graphe ci-dessus
dessus nous montre le diagramme résumant les différents
différents tableaux des
suivis des arrêts effectués (voir annexe 1) :
0,3 24,784%
0,25 21,843%
0,2 17,843%
0,15 11,216% 11,725%
8,824%
0,1 5,922%
0,05
0
maintenance
Arret qualité
Total arret
organisation
Total production
Arret logistique
changement de
Total temps de
outillage
Total arret
Total arret
moyen
série
Sachant que la durée d’un changement d’outil est définit entre l’obtention de la dernière
derniè et
première pièce bonne de deux gamme de fabrication successives, et suite aux tableaux réalisés
concernant les opérations journalières effectuées,
effectué s, on a pu ressortir les différentes étapes que le
conducteur d’installation ainsi que l’opérateur doivent suivre pour monter l’outil sur une presse :
Opération Actions
Chercher l’OF et le DAQ
apporter la maquette
RCP
Faire le contrôle fin de série n
vérification du programme de la
production suivante
enlèvement de bande
Ouverture porte coté outil à charger
débranchement prise Harting
Cycle démontage
Sortie tapis roulant
sortie Table outil à décharger
Ouverture porte coté outil à charger
Entrée Table outil à charger
Branchement prise Harting
Bridage de la table
Cycle montage Descente PMB
Bridage Pascale
Tournée vérification physique Bridage
Montée PMH
Réglage HOF
Montée Chariot
Avancement chariot
Centrage bobine
Ouverture mandrin
descente chariot
descente Bras coniques
Chargement bobine Evacuation Chariot
Descente bras presseur
Rotation mandrin
Sortie bèche
découpe feuillard
évacuation feuillard
recule bèche
avance bobine jusqu'à entrée redresseur
Fermeture redresseur
Redressage
Fermeture rouleau entrée sortie redresseur
Levée bras presseur
Avance ligne jusqu'à aménage
Amenage
Fermeture aménage
Découpe bout de bande
Démarrage
Entrée bande dans l'outil
Suite à cette étude, on dispose des informations nécessaires pour débuter notre application
sur le secteur de presses, en commençant par différencier entre les opérations effectuées lors des
arrêts machines (opération interne) et ceux pouvant être
être réalisées même si la presse est en marche
(externes) :
production suivante
enlèvement de bande √
Cycle démontage Ouverture porte coté outil à
√
charger
débranchement prise Harting √
Sortie tapis roulant √
sortie Table outil à décharger √
Cycle montage Ouverture porte coté outil à
√
charger
Entrée Table outil à charger √
Branchement prise Harting √
Bridage de la table √
Descente PMB √
Bridage Pascale √
Tournée vérification physique
√
Bridage
Montée PMH √
Réglage HOF √
Chargement Montée Chariot √ √
bobine Avancement chariot √ √
Centrage bobine √ √
Ouverture mandrin √ √
descente chariot √ √
descente Bras coniques √ √
Evacuation Chariot √ √
Descente bras presseur √ √
Rotation mandrin √ √
Sortie bèche √ √
découpe feuillard √ √
évacuation feuillard √ √
recule bèche √ √
Redressage avance bobine jusqu'à entrée
√ √
redresseur
Fermeture redresseur √ √
Fermeture rouleau entrée sortie
√ √
redresseur
Levée bras presseur √ √
Amenage Avance ligne jusqu'à aménage √ √
Fermeture aménage √ √
Démarrage Découpe bout de bande √
Entrée bande dans l'outil √
Fermeture des galets aménage √
coups de presse √
Sortie première pièce série B √
réglage jusqu'a obtenir la 1ere
√
pièce bonne
RCP apporter la maquette √ √
Faire le contrôle début de série
√ √
n+1
Après avoir éliminé les opérations inutiles et externaliser les opérations internes en vue
d’atteindre notre objectif qui n’est que maximiser le travail en temps masqué, on a décidé de faire
une étape préalable en parallèle avec la production de la série N qu’on a nommé l’étape de
préparation, dans cette dernière le chef d’équipe, le conducteur d’installation et l’opérateur doivent
apporter tous les outils et les moyens de contrôle qu’ils vont utiliser,
utiliser ainsi que les documents
nécessaires, à savoir :
• L'OF de la série suivante
• L'outil de la production suivante
• Le DAQ suivant
• La maquette de contrôle
• La matière (la
( bobine de matière)
Sachant que l’opérateur doit
it effectuer certaines opérations en temps masqué pour avoir un
standard minimal:
• Nettoyer la table vide
• Brider l'outil suivant sur table
• Préparation du conditionnement
• Vérification du programme de la production suivante B
• Détermination et traçage du centre bobine
• Mettre l'angle de presse entre 350 et 360 pour rendre le coulisseau en
position de démontage
Cette phase de préparation comme on a déjà déclaré est faite tout au long de la production de
la série N , c'est-à-dire qu’elle se termine une fois qu’on obtient la dernière pièce bonne
b , alors
pour s’assurer de la conformité de cette dernière, on doit faire le contrôle de la pièce avec la
maquette et remplir le RCP , ce qui nécessite énormément de temps qu’il faut réduire ,pour ce
faire, on a décidé que le CI et l’opérateur
l’opérateur travaillent au même temps, ce qui veut signifier que le
premier fait
ait le contrôle de pièce puis enlève la bande qui reste entre les guides bandes de l’outil ,
alors que le deuxième rempli le RCP .
Après avoir terminé la production de la série N, on doit changer l’outil et charger la bobine de
la nouvelle série N+1, le problème rencontré dans cette étape est que le CI se charge tout seul de
ces deux taches ce qui lui nécessite un temps énorme , donc pour le réduire, on a demandé aux
responsables de production de planifier aux opérateurs la formation adéquate pour pouvoir charger
la bobine pour qu’ils puissent travailler en parallèle avec leur CI.
CI
Redressage de la bande
Montage de l’outil série N+1
Amenage de la bande
Alors pour que tous les opérateurs soient au courant de ces améliorations, on a fait une
formation de 45 minutes pour des groupes de 9 personnes, qui avait comme objectif d’appliquer
d
le maximum possible le standard suivant, qui a été validé par le chef de production ainsi que le
responsable d’emboutissage.
Pour déterminer les durées des opérations du changement standard qui sera l’objectif de tous
les conducteurs d’installation,
ion, on a planifié de changer l’outil 13510 par deux expatrier, cet outil a
été choisi parce qu’il est fiable et il représente moins de problèmes lors de son démarrage.
Voici les résultats obtenus :
Tableau 11 : les durées des opérations d’un changement standard
Opération Durée
enlèvement de bande 2
démontage outil 8
montage outil 9
chargement bobine 13
redressage 2
Aménage 2
démarrage bande 12
RCP (contrôle& remplissage) 11
la durée total du changement standard 42
de série
L’élaboration de ce standard est très importante, parce qu’il est très utile pour comparer les
écarts ainsi que les gains obtenus après chaque amélioration.
Figure4.
4.2 : Le standard des changements de série
Alors pour calculer la durée d’un changement de série il faut prendre le maximum entre deux
opérations s’elles sont en parallèle et la somme s’elles sont consécutives
• chronologie,
• durée,
• contraintes,
• moyens matériels,
• ressources ...
Notre étude a été basée sur un échantillon de 15 outils choisis parmi une population de 103
outils.
Pour analyser ces durées obtenues en identifiant les écarts, on a besoin d’un standard qui va
être élaboré et défini en une période de 42 minutes, c’est pour cela on va entamer notre étude en
comparant les relevés avec ce dernier,
dernier la durée de chaque changement
gement d’outils est :
Le minimum : 46 min
Le maximum : 75 min
La moyenne : 58 min
L’objectif : 42min
Représentation graphique :
la durée de
changement (min)
100
90
80 durée
(min)
70 standard
(min)
60 moyenne
(min)
50
40
13567 13484 13480 13758 13466 13472 13506 13478 13510 13544 13451 13481 13547 13758 13581
numéro d'outil
Figure 4.3 : La
L variation de la durée des changements des outils
outil
Notre étude montre qu’on la moyenne des durées de changement d’outils de notre échantillon
est 73 minutes c'est-à-dire
dire qu’on est loin de l’objectif par 31 minutes,, alors pour réduire cet écart
on doit déterminer d’abord quelles sont les causes principales qui sont derrières cet écart,
éc pour ce
faire on va utiliser la méthode d’Ishikawa, qui se base sur les 5M {Matière, Moyens, Milieu, Main
d’œuvre et Méthodes}.
Après avoir bien défini le standard des changements de série, et après avoir fait le chronométrage des
de 15 outils suivants :
13567 13484 13480 13758 13466 13472 13506 13478 13510 13544 13451 13481 13547 137582 13581
Opération standard 13567 13484 13480 13758 13466 13472 13506 13478 13510 13544 13451 13481 13547 137582 13581
enlèvement de
2 2 2 3 4 2 3 4 3 4 2 3 2 3 2 2
bande
démontage outil 8 9 14 10 9 11 10 12 14 15 10 8 9 10 10 9
montage outil 9 10 10 9 10 12 16 13 15 13 9 9 9 9 10 12
chargement bobine 13 14 15 16 9 15 17 22 22 21 18 14 17 18 13 14
redressage 2 2 2 2 2 2 2 4 3 3 3 2 2 2 2 2
Aménage 2 3 5 2 3 2 2 3 3 3 3 3 2 3 2 3
démarrage bande 12 12 22 24 20 23 15 24 35 22 29 26 22 19 15 21
RCP (contrôle&
11 15 18 18 9 9 9 12 8 7 8 8 8 12 9 9
remplissage)
la durée de
changement de 42 48 66 65 52 57 53 69 75 61 63 56 53 57 46 53
série
35 standard
30 13567
25 13484
20 13480
15 13758
10 13466
5 13472
0 13506
enlèvement démontage montage outil chargement redressage Aménage démarrage RCP 13478
de bande outil bobine bande (contrôle&
remplissage) 13510
Le diagramme ABC :
Pour une étude bien éclaircie, il s’est avéré nécessaire d’utiliser un diagramme ABC pour
identifier la zone la plus critique concernant les différentes opérations constituant le cycle d’un
changement de série :
L’analyse nous a montré que le démarrage représente le plus grand des écarts
é donc il
représente la zone A du diagramme
diagramme ABC, et comme le démontage outil série A, le montage outil
série B et le chargement de bobine représente moins d’écarts, ils représentent la zone B du
diagramme ABC.
On recherche des gains de temps aussi bien au niveau des opérations internes pour des raisons
d'arrêts machine qu'au niveau des opérations externes
externes pour des raisons de coûts, donc la
modification porte à réduire les opérations internes et externes.
Cette phase
hase si elle est, du point de vue méthode, distincte de la précédente, elle relève en
pratique de la même démarche, elle
elle pourra occasionner des remises en cause du processus de
fabrication impliquées en plan d'action à long terme ainsi que des investissements
investisseme lourds.
Laa conduite d’une action S.M.E.D se fait à travers les 4 étapes vues précédemment, mais il
faut prendre en compte les conditions suivantes:
suivantes
Action 1 : Unifier le
l codage de prise HARTING
*Exemple :
Avant l’intervention :
Parmi les 29 outils qui se montent sur les trois presses on trouve l’outil 13505, cet outil avait
« 22 » comme code de programme sur les presse 1200 T c'est-à-dire
c'est dire 12011 et 12012, par contre
sur la presse 630T, il avait le code 22.
Après l’intervention :
Cet outil « 13505 » a pour code « 22 » sur les trois presses
Code =27
27=16+8+2+1
(pin1)1=2 ; (pin2)2=2 ; (pin3)4=2 ;(pin4) 8=23 ; (pin5)16= 24 ; (pin6)32 = 25 ;(pin7) 64=26
0 1 2
27=24+23+21+20
donc on doit connecter les pins 1, 2, 4,5 et 24
Alors pour mettre les maquettes a coté de chaque presse on a besoin des étagères, ce qui
nous a poussé à demander au service soudage de les préparer.
Parmi les problèmes qu’on a pu détecter, que le nombre des jauges et pieds à coulisse est
inférieure au nombre des postes, ce qui génère des déplacements inutiles et par la suite des
pertes de temps énormes donc pour faire face a ce problème la on a fait une commande pour
dédoubler
doubler les moyens de contrôle.
Figure 4.10 : La
La semelle supérieure d’outil sans plaque métallique
Parmi les problèmes majeurs répétitifs qui représentent pas mal d’écart, on trouve que le
capteur présence outil est incapable de détecter l’outil car la projection du capteur sur l’outil ne
trouve que du vide, ce problème demande énormément du temps pour être réparé, il nécessite
né
pas mal d’action pour démonter l’outil et faire sortir la table pour accéder à l’intérieur et mettre
du scotch sur le capteur.
Alors pour faire face à ce problème la, on a pensé à souder une plaque métallique sur tous
les outils qui ont ce problème la.
Action 5 : Réglage
églage des guides bandes
Guide bande: Éléments qui permettent le guidage latéral de la bande sur toute la longueur de
l’outil (au moins la partie découpe).
Guides
bandes
Un mauvais serrage des guide bande peut entrainer plusieurs anomalies au niveau de la pièce
voire déformation, rayure ou bien des côtes non-conformes.
non
Lorsque l’outil passe au service outillage, les opérateurs desserrent les guides bandes pour
réparer une non-conformité
conformité au niveau de l’outil et oublient de laisser la même épaisseur, donc le
CI trouve des difficultés pour l’adapter à nouveau à la bande.
Alors pour faire face à ce problème la, on a décidé de tracer le niveau de serrage de guides
bandes pour faciliter la tache au conducteur d’installation.
Chaque commande est répartie sur un nombre déterminé de bacs et pour les identifier on a
besoin des étiquettes qui définissent la taille de chaque bac ainsi que la référence, le type et la
destination de la pièce
Ces étiquettes sont normalement déposées sur la table SPS, mais comme le nombre est assez
élevé, ils se trouvent toujours en désordre.
Figure 4.13 : Laa manière de rangement des étiquettes sur la table SPS avant amélioration
amélioratio
Figure 4.14 : Laa manière de rangement des étiquettes sur la table SPS après amélioration
Défauts de qualité au niveau de la bobine mère : durant la période que nous avons passé
à l’atelier, nous avons remarqué que ce problème est le plus fréquent et le plus rencontré.
Enn effet, c’est principalement dû à la manutention.
évitera la perte
erte de temps et de matière).
La cisaille L‘outil
Figure 4.16 : La position de la bande entre la cisaille et l’outil.
⊗ Solutions :Mettre
Mettre en place des cales qui guident la bande vers les casquettes
ca
depuis la cisaille vers l’outil et pour faciliter la mise en place de la bande entre
ses
es guides et les casquettes.
Parmi les grandes attentes répétitives, on retrouve l’attente bobine, car Le pontier ne peut
pas honorer toute les demandes de la production (alimentation outils, matière, et stock
encours des outils)
⊗ Solutions : Consacrer un emplacement (avec une étiquette
tte ou c’est marqué
bobine
Lorsque la quantité des pièces est grande, elle sera distribuée sur plusieurs
ieurs bacs, alors une fois
le bac est rempli, le CI doit arrêter la machine pour déplacer
dépla le bac rempli et apporter un bac vide,
ce qui génère un arrêt de production.
production
*conserver la quantité définie des pièces par bacs exigée dans les IC.
Lorsque l’outil fabrique des pièces gauches et droites, il ya toujours risque de mélange des
pièces gauches et droites, de plus il est impossible de changer les bacs sans arrêter la presse.
*Un accumulateur pour éviter les arrêts machines dues aux changements des bacs
4.10.1 Suivis de
e temps de changement de série
Tableau 4.15 : Suivis de temps de changement de série pendant les 4 mois du stage
S06 S07 S08 S09 S10 S11 S12 S13 S14 S15 S16 S17 S18 S19 S20 S21 S22
Objectif 42 42 42 42 42 42 42 42 42 42 42 42 42 42 42 42 42
MAXI 99 85 90 88 79 82 73 76 75 72 75 76 72 79 62 69 71
MINI 67 50 55 35 62 47 58 59 58 48 46 48 49 51 47 45 59
MOYENNE 73 66 68 61,5 70,5 64,5 65,5 63 62,5 61 60,5 59 59,5 58 57,5 56 55
120
100 99
85 90
88
80 79 82 79
73 73 76 75 75 76
66 70,5 72 72 69 71
67 68 64,5 65,5 Objectif
60 61,5 62 63 62,5 61 60,5 62
58 59 58 59 59,5 58 57,5 56 59
50 55 55 MAXI
48 48 49 51
47 46 47 45 MINI
40
35 MOYENNE
20
0
S06 S07 S08 S09 S10 S11 S12 S13 S14 S15 S16 S17 S18 S19 S20 S21 S22
Figure 4.23 : Suivis de temps de changement de série pendant les 4 mois du stage
4.10.3 Déduction
Donc en comparant la deuxième et la dernière semaine de notre stage, on peut constater
clairement qu’il a une réduction du temps de changement de série en moyenne de 73 min à 55
min c'est-à-dire
dire un gain de 18 min par changement.
changement
4.10.4 Etude
de technico-économique
technico du gain
En moyenne, l’entreprise a tendance de monter 3 outils par presse chaque jour, qui est
l’équivalent de 12 outils sur les 4 presses quotidiennement.
Or le nombre de jours d’ouverture par semaine est de 5.5j,, ce qui vaut 5.5*52 =286j
=286 par an,
donc en tenant compte des jours fériés, des vacances et des congés, on a le temps d’ouverture
annuel qui est de 270 jr/an
Conclusio et perspective
Conclusion
La méthode SMED est donc un concept qui présente de nombreux atouts pour la gestion
Cependant, son bon fonctionnement dépend avant tout d’une communication de qualité
entre les différents départements de l’entreprise. En effet, il est souvent nécessaire d’impliquer
plusieurs services de l’entreprise et de savoir les coordonner afin d’obtenir des résultats les plus
performants.
D’autre part, un aspect peu pénalisant de la méthode SMED concerne son déploiement
donc de les réexaminer périodiquement car les progrès et les innovations technologiques peuvent
application génère une minimisation énorme en termes de temps, ce qui procure des gains en
terme d’argent
existe le concept ONTED, signifiant One Touch Exchange of Die, qui illustre à la perfection de
cette volonté de parvenir à un temps de changement très simplifié ayant une durée ultra-brève.
ultra
Bibliographie
[7] "Le système SMED", Shigeo Shingo, Editions d'organisation, Paris, 2004
Annexe 1 :
• La première journée :
temps
Heure durée de
Opération passé Remarques/suggestions
(h:m:s) l'opération
cumulé
166 pièces obtenues le
les 2 operateurs rectifient les bavures sur les pièces vendredi
7h50
obtenus le vendredi (temps masqué) en 90 min
TM (temps masqué)
redémarrage manuel (avance de bande) 7h50 55
problème sécurité outil 8h45 5 55
passage en auto 8h50 1 60
problème de sécurité 8h51 7 61 appel Fabien
passage en auto (cadence 20 cp/min) 8h58 7 68
136 pièces obtenues parties
AO: présence d'une bavure 9h05 4 75
pour le limage
Fabien fait le passage manuel
fin de série 9h09 17 79
de la bande
démontage de l'outil 13747 9h26 6 96
remplissage de l'of de 13474 9h32 102 3 min TM
attente de conditionnement pour l'outil 13457 9h32 102 43 min d’attentes TM
WADII cherche les feuillards 9h32 6 102
déchargement de la bobine 9h38 12 108
pause 9h50 10 120
l'outil est AV, attente de
montage de l'outil 13457 10h00 13 130
l'outilleur
absence du pontier, attente
attente de la matière 10h13 19 143
de Stéphane
1800 pièces demandées, 343
arrivé de la maquette 10h20 162
déjà fabriqué
AM: Pb au niveau du chariot 10h32 18 162 manque de pression
attente du service maintenance 10h50 14 180
pas de cerclages latéraux
chargement de la bobine 11h04 10 194
avertir animateur de sécurité
redressage 11h14 4 204
aménage 11h18 4 208
l'outil est AV, attente de
attente de l'outillage pour démarrer 11h22 3 212
l'outilleur
montage de fausse table pour l'outil suivant 11h25 2 215 TAF
nettoyage de fausse table en
démarrage bande 11h27 13 217
temps masqué
Pb au niveau du marquage
11h40 8 230 CI change la semaine
démontage et montage du pavé
• La deuxième journée :
• La troisième journée :
• La quatrième journée :
• La cinquième journée :
temps
durée de
Opération Heure (h:m:s) passé Remarques/suggestions
l'opération
cumulé
Réunion 7h45 5 5
déchargement bobine 7h50 15 20
démontage outil 13498 8h05 13 33
montage outil 13581 8h18 7 40
Arrêt maintenance 8h25 60 100
chargement bobine (13 min) en temps masqué lors de
9h05 100
redressage + amenage (5 min) l'arrêt maintenance
changement de marquage (2 min) fait par BRAHIM en temps
9h06 100
masqué
Démarrage de bande 9h25 20 120
la mise en marche automatique 9h45 5 125
pause 9h50 10 135
la mise en marche automatique contrôle début de série
10h00 27 162
cadence 30cp/min
attente qualité Pb au niveau d'un cote sur
10h27 38 200
le RCP
qualité : pièce non conforme 11h05 85 285 AO: intervention outillage
pause 12h30 50 335
AO : problème géométrie 13h20 25 360
la mise en marche automatique 13h45 14 374
AM: Pb au niveau de la table les 2 parties de table ne se
ferment pas
13h59 21 395
automatiquement lors de la
fin de matière
la mise en marche automatique 14h20 2 397
évacuation fin de bande 14h22 4 401
chargement 2eme bobine les mors du mandrin ne se
14h26 10 411
ferment pas à 100%
Démarrage de bande 14h36 18 429
la mise en marche automatique 14h54 31 460
fin de série 15h25 460
déchargement bobine par CI en formation débridage et démontage
15h25 22 482 d'outil 13581 et montage
d'outil 13746
chargement programme 15h47 3 485 outil pour la 1200T
pause 15h50 10 495
Bridage 16h00 4 499
Attente Matière 16h04 37 536
changement de marquage (5 min) 16h04 536 en temps masqué
chargement Bobine 16h41 4 540
AM: Pb au niveau de la bèche 16h45 45 585
17h30 585
Annexe 2 :
nature
Opération durée Opération durée
d'opération
nettoyer la table vide vérification du
apporter l'OF suivant programme de la
apporter l'outil suivant production suivante B
brider l'outil suivant sur table En détermination et En
préparation apporter le DAQ suivant temps traçage du centre temps
apporter la maquette masqué externe bobine masqué
apporter la matière mettre l'angle de
préparation du presse entre 350 et
conditionnement 360
contrôle pièces &
fin de série A
remplissage RCP
enlèvement de
2
bande
Montée Chariot
Avancement chariot
Centrage bobine
Ouverture mandrin
faire sortir le tapis roulant
descente chariot
Ouverture porte coté outil à
descente Bras
décharger
coniques
Cycle débranchement prise chargement
8 Evacuation Chariot 13
démontage Harting bobine
Descente bras
sortie Table outil à
presseur
décharger
Rotation mandrin
Sortie bèche
découpe feuillard
évacuation feuillard
recule bèche
Ouverture porte coté outil à
charger avance bobine jusqu'à
Entrée Table outil à charger interne entrée redresseur
Branchement prise Harting Fermeture redresseur
Bridage de la table Redressage Fermeture rouleau 2
Descente PMB entrée sortie
Cycle montage Bridage Pascale 9 redresseur
Tournée vérification Levée bras presseur
physique Bridage
Avance ligne jusqu'à
Montée PMH
aménage
Réglage HOF Amenage 2
Fermeture aménage
boucle
Découpe bout de bande
Entrée bande dans l'outil
Fermeture des galets
aménage
Démarrage de
coups de presse 12
bande
Sortie première pièce série
B
réglage jusqu'a obtenir la
1ere pièce bonne série B
Contrôle pièces
& Remplissage début de série 11
RCP